Le statut pénal de Denis Christel Sassou Nguesso

Dans l’affaire dite des biens mal acquis Denis Christel Sassou Nguesso est considéré par les juges du pole financier de Paris comme le parrain de la mafia congolaise. Dans ce dossier des BMA tous les chemins des juges mènent vers Denis Christel Sassou Nguesso.

Nous avons le devoir patriotique de tordre le cou aux mensonges colportés par certains médias à la solde des criminels de Brazzaville.

Monsieur Denis Christel Sassou Nguesso n’est pas un témoin assisté dans cette affaire des biens mal acquis pour la simple raison que Le témoin assisté ne peut être placé sous contrôle judiciaire ou en détention provisoire, ni faire l’objet d’une ordonnance de renvoi ou de mise en accusation devant le tribunal correctionnel ou la cour d’assises. … En pratique, le recours au statut de témoin assisté reste juridiquement inoffensif sauf qu’il vous donne le droit d’accès au dossier.

Monsieur DCSN est bel et bien mis en examen et il ne pouvait qu’être mis en examen au regard des charges lourdes retenues contre lui.

DCSN était placé en garde vue.

Fréquemment relayée par les médias dans de multiples affaires, mise en scène au cinéma, la garde à vue n’en demeure pas moins une procédure méconnue pour la majorité d’entre nous, souvent considérée à tort comme symbole de culpabilité d’une personne.

Bien que les dispositions du Code de procédure pénale stipulent les conditions de sa mise en œuvre, il existe peu d’indications pratiques quant à la compréhension et à la maîtrise du déroulé de cette mesure en faveur du mis en cause.

Parce qu’au delà d’une mesure privative de liberté, monsieur Denis Christel Sassou Nguesso a touché du doigt sa première vraie condition de son existence humaine. Il a mesuré à raison et à une échelle inférieure ce que endurent à tort les Jean Marie Michel MOKOKO, Paulin MAKAKA, OKOMBI Salissa et des centaines de prisonniers politiques au Congo Brazzaville.

L’article 63 du Code de Procédure Pénale consacre la garde à vue comme mesure permettant de restreindre la liberté d’aller et venir d’une personne pour les besoins d’une enquête ou d’une instruction, au sein des locaux des services de police judiciaire.

DCSN a été placé en garde à vue du fait qu’il existe à son encontre plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu’il a commis ou tenté de commettre une infraction punie par une peine de prison.

 Pour DCSN la garde à vue a été vécue comme la fin du monde

Il a regardé autour de lui et a constaté l’étroitesse de la cellule dans laquelle il était  enfermé. Devant lui une porte carcérale  condamnée par une serrure imposante et de lourds barreaux. Et il observait ébahi sa cellule chambre. Le long des murs court un banc en béton assez large pour s’allonger. Dans un coin il disposait d’un matelas en mousse de 6 cm d’épaisseur et des couvertures qu’il n’osait toucher car ils avaient l’air de grouiller de vermines.

Il entendait les cris de ses voisins, l’un qui frappe depuis des heures pour aller aux toilettes, l’autre qui avait l’air d’avoir la nausée.

DCSN était enfermé dans une cellule sans le moindre confort : inconfort matériel, odeurs désagréables, températures variables, nuisances sonores, manque de sommeil…

Et durant tout ce temps, les autorités de police judiciaire ont mis à mal, pour les besoins de l’enquête ou de l’instruction, sa dignité frauduleusement impériale, notamment en lui pratiquant de minutieuses fouilles corporelles .

Ce qui était éprouvant pour lui c’est que ni lui, ni sa famille ,ni même ses avocats ne s’attendaient à la rigueur de l’application  des prescriptions  de l’article 63 ;138 et suivants du code de procédure pénale afférentes au contrôle judiciaire et à la garde à vue.

– Sa famille n’était pas préparée à une telle éventualité étant habituée au confort de l’article 96 de la constitution congolaise.

– La garde à vue lui a fait découvrir ce que c’est le manque de sommeil, le manque d’hygiène car il a passé des jours sans se laver et il a mesuré comment sont traités et nourris de nombreux compatriotes affamés par le pouvoir brutal et inhumain des nguesso. Il n’a pas supporté le régime alimentaire aux chiens subi par tout gardé à vue.

-DCSN, l’homme qui porte deux chemises neuves  par jour a découvert les aspérités de l’accoutrement des congolais galériens de Mikalou, Bacongo, Mbota…il s’est plaint de la pénurie des vêtements confortables et chauds ;

DCSN a été privé de tout vêtement susceptible d’être considéré par les officiers de police judiciaire comme dangereux pour lui ou pour les autres. On lui a retiré ses  lacets, ceinture, montre  enfin tout son apparat constellé de bling bling.

La problématique principale de DCSN c’est que dans cette cellule carcérale, son mentor de papa, voleur, violeur, criminel, génocidaire et maquilleur n’était pas là pour le sevrer. Dans cet environnement carcéral de contraintes procédurales, DCSN était sourd, aveugle et surtout privé de femmes et de maitresses. Il n ‘a pas supporté durant l’érection de ces jours privatifs de liberté et de redressement préliminaire de dormir sur la béquille bien que faiblement aidé par les vibrations de ses réminiscences libidinales.

Et ces conditions ont méthodiquement entamé son état mental occasionnant ainsi  le stress et la dépression. Il a été bien cuisiné et immanquablement il est passé à table. DCSN a balancé comme jamais, a zézayé et baragouiné à l’instar des bêtifiantes logomachies du sinistre Asie Dominique de Marseille, au grand bonheur des juges du Pole financier. DCSN est apparu lors des débats et des auditions complètement perdu, il ne savait même plus les contours de sa profession…

A l’issue de sa garde à vue :

Considérant le rapport sur «les enseignements de l’affaire des biens mal acquis et les pièces versées au dossier à l’appui de la plainte des associations Transparency International France et Sherpa».

Conforté par les nombreuses diligences et contributions des pièces envoyées par les diasporas via son bras judiciaire au pole financier et surtout la curieuse et heureuse collaboration de la DGST ; le parquet dans ses réquisitions demandait que monsieur Denis sassou Nguesso soit placé en détention provisoire.

De même le juge d’instruction au regard de la gravité des charges et des faits, estimait que la détention provisoire était indispensable au regard des éléments précis et circonstanciés résultant de la procédure, qu’elle constituait l’unique moyen de parvenir à l’un ou plusieurs des objectifs suivants et que ceux-ci ne sauraient être atteints en cas de placement sous contrôle judiciaire ou d’assignation à résidence avec surveillance électronique.

La détention provisoire article 144 du CPP requis par le parquet et le juge de l’instruction permettait de:

1° Conserver les preuves ou les indices matériels qui sont nécessaires à la manifestation de la vérité ;

2° Empêcher une pression sur les témoins ou les victimes ainsi que sur leur famille ;

3° Empêcher une concertation frauduleuse entre la personne mise en examen et ses coauteurs ou complices ;

4° Protéger la personne mise en examen ;

5° Garantir le maintien de la personne mise en examen à la disposition de la justice ;

6° Mettre fin à l’infraction ou prévenir son renouvellement ;

7° Mettre fin au trouble exceptionnel et persistant à l’ordre public provoqué par la gravité de l’infraction, les circonstances de sa commission ou l’importance du préjudice qu’elle a causé. Ce trouble ne peut résulter du seul retentissement médiatique de l’affaire. Toutefois, le présent alinéa n’est pas applicable en matière correctionnelle.

Dès lors la saisine du juge de la liberté de la détention était sollicitée. En effet à l’oxymore de son appellation « juge qui envoie en prison et qui libère » répond l’ambivalence de l’institution dans le système judiciaire français. Créée par la loi du 15 juin 2000, renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes. Le juge de la liberté et de la détention est venu remédier à travers la réforme du 15 juin 2000 l’usage excessif de la détention provisoire. Magistrat d’expérience, ayant rang de président, de premier vice-président ou de vice-président, le juge de Nanterre a été saisi dès lors qu’une mesure attentatoire aux libertés individuelles requise contre DCSN se trouvait en jeu.

Ainsi un débat contradictoire a été organisé. Un moment décisif  car la décision qui est prise a bien souvent des répercussions sur la peine prononcée par la formation de jugement.

Le débat a été catastrophique pour Denis Christel Sassou Nguesso car sa barrière linguistique initialement très pauvre, était au ras des pâquerettes  » je suis parti pour moi… ». Il est apparu que le costume présidentiable taillé par Denis Sassou Nguesso pour son fils est trop large pour ce rejeton. Traumatisé par l’ordonnance du juge de l’instruction qui avait requis sa mise en détention provisoire, DCSN a eu la langue fourchée à maintes reprises….Le comble c’est la présentation de sa carte de résident française alors qu’il est de notoriété internationale que celui-ci travaille et a une résidence fixée au Congo Brazzaville. Et qu’il appert que la présentation de cette carte de séjour ne pouvait constituer une garantie suffisante de représentation tout comme ses nombreuses résidences constitutives de biens mal acquis.

Le placement sous contrôle judiciaire demandé par les avocats de DCSN exigeait le dépôt de son passeport au greffe du juge instructeur. Muni de sa carte de séjour, DCSN présentait fièrement son passeport diplomatique en contradiction juridique avec la lettre et l’esprit du contrôle judiciaire d’une part et du droit international régissant le statut des diplomates d’autre part.

Face à cette difficulté, le juge de la liberté et de la détention fut obligé de soumettre Denis Christel Sassou Nguesso à un contrôle judicaire musclé.

 Compte tenu de la faiblesse et du trouble consécutif généré par le passeport diplomatique, le juge de la liberté et de la détention a jugé que les conditions  traditionnelles du contrôle judiciaire étaient  insuffisantes dans ce cas d’espèce et que la prescription d’une assignation à résidence assortie d’une surveillance électronique était indispensable.

Ce contrôle judiciaire a été ordonné sous deux conditions cumulatives à savoir :

– il était nécessaire à l’enquête et prononcé à titre de mesure de sûreté,

– DCSN encourt une peine lourde d’emprisonnement correctionnel.

Ainsi DCSN était soumis à  plusieurs obligations énumérées à l’article 138 du Code de procédure pénale à savoir :

– une interdiction de sortir de certaines limites territoriales fixées par le juge,

– une interdiction de s’absenter de son domicile,

– une interdiction de se rendre dans certains lieux fixés par le juge,

– une obligation d’informer le juge de tous ses déplacements,

– une obligation de remettre son passeport,

– une obligation de se rendre de façon périodique au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie proche de son domicile. DCSN pointait au commissariat du ressort territorial de son domicile

-une interdiction de rencontrer certaines personnes déterminées par le juge,

– une obligation de fournir un cautionnement ou constituer des sûretés personnelles ou réelles (hypothèques, cautionnement, gage etc…),

– Une obligation de répondre aux convocations du juge tel est le cas de Edgar Nguesso.

S’agissant du cautionnement pénal, l’article 138, alinéa 2, 11° du Code de procédure pénale; le montant et les délais de versement, en une ou plusieurs fois, ont été fixés par  le juge des libertés et de la détention, compte tenu non pas des ressources, des charges et de la faculté contributive de la personne ici visée, mais au regard des sommes astronomiques volées et gérées criminellement par le mis en cause.

Le quantum de la caution fixé à 10 000 000 d’euros par le juge est la preuve et la vitrine judiciaire de l’ampleur des détournements de fonds auxquels se livre impunément Denis Christel Sassou Nguesso.

Poussé par les délices de la liberté, DCSN sauta sur le montant « cobaye » de la caution qui, en réalité n’est que l’appât d’un fort piège de fer tendu par les juges pour sonder ironiquement les abysses de cette criminalité mafieuse et galopante. Cette caution constitue une garantie de représentation certes, mais DCSN reviendra  assurément au pole financier dans les mois à venir pour être entendu dans le seul but  d’éviter le mandat d’arrêt international. N’oubliez pas qu’il entend génétiquement succéder à son père à la présidence de la République. Que la vraie caution de DCSN c’est l’évitement du mandat d’arrêt international. Pour les 10 000 000 d’euros, il n’en a cure.

Pour brouiller les pistes judiciaires, cette caution a été versée au moyen d’une ristourne des chefs d’Etats dictateurs pour sauver mwana Ndeya le désespoir de toute une nation. Il était juridiquement et judiciairement suicidaire que la caution vienne des comptes offshore de DCSN des iles caïmans, du Brésil, de Singapour, de Chine, de Suisse, de Panama…. ou simplement des pseudo banques gérées criminellement et sauvagement par le clan nguesso au Congo Brazzaville.

A titre de rappel et de comparaison, la caution de l’ancien directeur général du FMI Dominique Strauss Kahn, comme par hasard le conseiller asexuel de Denis Sassou Nguesso était de 1 000 000 de dollars…comprenne qui pourra, quelle folie !

Pour votre gouverne, avec cette caution record, le Congo pouvait éponger les neuf mois d’arriérés dûs au titre des pensions de nos maltraités «  retraités » et payer les bourses des étudiants devenus SDF partout dans le monde.

Enfin une enquête incidente se greffera sur celle des BMA aux conséquences judiciaires incommensurables pour Denis Christel Sassou Nguesso.

 Que grand bien vous fasse ce devoir d’information.

Le caractère est la vertu des temps difficiles. INGETA.

Sylvain SENDA

Chargé du Bras judiciaire et juridique de la diaspora.

11 thoughts on “Le statut pénal de Denis Christel Sassou Nguesso

  1. Zenga.mambu tu perd le Temps pour rien la France ne fera rien a se bandit c’est bien elle la france qui est l’organisteur de la mafia au congo c’est pour divertire les congolais et le temp passe quel est se procée la u I n jamais eux lieu posé vous la question

  2. ISIDORE AYA TONGA REPOND A ISIDORE MVOUBA ET AU PASTEUR NTUMI SUR LA CRISE DU POOL AU CONGO-B
    Isidore Mvouba est un homme d’État congolais ; il est né à Kindamba (département du Pool) en 1949. Il a suivi une formation d’ingénieur des chemins de fer à Moscou au cours des années 1970.

    Quant au Révérend Pasteur Ntumi, de son nom de naissance Frédéric Bintsamou, il est un pasteur, chef de milice et homme politique congolais né le 29 août 1964 à Brazzaville. « Ntumi » signifie « messager » en lari.

    Il a dirigé de 1998 à 2005 les « Ninjas » engagés dans une guerre civile contre Denis Sassou Nguesso, présentée comme la « guerre de libération du Pool ».
    Entre 2007 et 2016, il a participé à la vie politique du pays, avant de devoir à nouveau prendre le maquis après l’élection présidentielle de mars 2016 et puis…

    ISIDORE AYA TONGA REPOND A ISIDORE MVOUBA ET AU PASTEUR NTUMI SUR LA CRISE DU POOL AU CONGO-B https://www.youtube.com/watch?v=iUP_WuXzRqs

  3. Christel Kiki est à l’instar de son dit père, le chef de gang des mafieux qui pille le Congo.
    « Sassou continu à engager le Congo dans sa folie et chaque minutes congolais sont des victimes , Voyez un pays sans Hopitaux ! Toute une population en danger de mort avec sassou »,Maintenant les massacres massifs du président illégitime, Sassou Nguesso, contre les populations civiles, commencés pendant la prise du pouvoir très sanglant en 1997 et accentués par les genocides commences en 1998 contre la population civiles font du Congo un pays un prison ouvert, où l’insécurité et la mort, la faminne sont les lots du quotidien. Les genocides, massacres du tyran Sassou Nguesso ne se comptent plus. Le plus connus tous ézaient jusqu’ à lors,“L’affaire des disparus du Beach est une tuerie collective orchestrée par des hauts responsables d’État, qui s’est déroulée entre le 5 et le 14 mai 1999 au débarcadère fluvial de Brazzaville dit Beach de Brazzaville en République du Congo sous la présidence illégitime de Denis Sassou-Nguesso arrivé au pouvoir deux ans plus tôt à la suite d’un très violent coup d’état militaire en 1997.”Aucun homme civilisé ne peut s’habituer à voir un tyren, dictaeur sanguinaire, autoproclamé president de la république du Congo.
    “Au Congo-Brazzaville, les hommes, les femmes et les enfants de la région du Pool sont tués comme des mouches, ils croupissent depuis avril 2016, sous les bombes lâchées par les hélicoptères pilotés par les mercenaires ukrainiens,Sous les balles des engins de morts, des armes des mercenaries, milices de Sassou Nguesso. Du vrai cynisme. Les populations du Pool errent à travers les forêts et qui sont entassées dans les camps de réfugiés dans les villes ,abondonnés à eux memes.Le dictateur sanguinaire, Sassou Nguesso massacre le peuple pour des raisons bassement matérielles, tribalistes..” Il est temps que les Congolais optent sans plus attendre, pour la mobilisation générale pour la chute du tyran Sassou Nguesso et contre les biens mal acquis, contre le terrorisme d’Etat dans le Pool et dans tout le Congo”

  4. Ce montant exhorbitant de la caution prouve que la France profite des toutes les opportunités possibles pour tirer les marrons du feu. Il faut racketter les Africains au maximum, tant que cela est possible. Poutant les Americains avaient exigé de DSK une caution de 1 000 000 de dollars dans l’affaire du viol de Nafissatou Diallo. On ne perdra pas de vue qu’une partie du patrimoine constituant ces bien mal acquis a été réalisée sur le territoire francais avec une possible complicité des banquiers et des autorités françaises. Et dire que la France est l’unique bénéficiaire de ses biens une fois qu’ils seront gelés. Donc on peut affirmer sans coup férir que le rôle de receleur de la France dans cette affaire est engagé.

  5. Surprenant monsieur rene, de vous voir vous apitouyer sur la somme ee caution exigee a dcsn, que la france en profite ou est notre probleme, puisk. Ces pilleurs, violeurs, et criminels trouvent ca une perte que le peuple congolais juisse de cet argent par le droit le plus legal, cadire salaire, arrier, bourses etc, ils preferent piller, aller cacher ca loin, nguiriser des tiers dont l, ukiqye intention de nous garder prisonniers de leur regime.
    Quand même kous savons tous qu, aucun. President n, a juit de l, argent cache dans ces pays, a l, exemple de moboutou, etc.
    Mais l, heure vient et elle est deja venu, la ou ils vont commencer a ressentir la peur, de payer tout le mal. Immense inflige a ce peuple
    Que les congolais comprennent, que c, est pas ici question, du nord ou du sud comme invente toujours sassou. Creant le tribalisme et division au sein du pays, mais les degats de ce pillage, de ce banditisme, du vouyoutisme ne sont pas ressentis que par les sudistes , plutot par tous les congolais, kes retraites manquant de pension sont ils tous issus du sud? Non, de tout le congo, etc etc, pourquoi se faire berner par un discourt flateur tribal, au profit de sassou et son clan? Est ce que quand nous nous somles tous leves a pointe noire pour elire le general j3m, etait il sudiste, ou nous trouvions en lui, un homme integre, un vrai patriote qui pouvait retablir le pays, et les valeurs du pays!
    Il est tant que le congolais du nord et du sud s, unissent pour former un vrai front contre les forces du mal qui chaque jours enfencent le pays dans les sejours des morts
    Sachez que chaque jour, chaque heure que vous lui laissez la au pouvoir, est egal au milliers des morts /jour, des sacrifices esperabt sauver son pouvoir.
    Congolais levons nous, laissons notre peur, car de tte les facons, si on ne se leve, il va nous tuer, soit par la faim qui deja atteint des proportions inimaginables, les hopitaux non operationnels depuis bientot des mois, il ne fait cas, les biulots sacrifies beaucoup d, autres choses qui nous assiegent, les congolais meurent deja en grande masse, chaque jour, par la volonte de sassou et son clan, parailleurs nous detenons une arme qui peut les petrufier, mais l, obstacle c, est la peur de la repression, mais soit nous allons lnaffronter, et gagner, soit on le laisse regner et finir les congolais, avc tous les crenaux mis en place pour la mort d, un grand nombre des conholais par jour, la balle est dans notre camp, opposition levez. vous, vous aussi, acceptez de vous sacrifier avc le peuple.

  6. C’est tellement vrai, la prophétie du l’Abbé Fulbert Youlou, « le Congo sera dirigé par un fou », s’est accomplie.Et il n’a pas l’ombre d’aucun doute. Dans l’Etat actuel du Congo où règne le désordre dans tous les secteurs de la vie, comment en douter? Les faits sont nombreux et les exemples legions. Chacun peut faire à souhait une démonstration. Mais au bout de compte, on finira TOUJOURS par donner raison à Fulbert Youlou. Je vous prends un exemple simple. Lors de mon sejour en Normandi, il y a quelques mois, j’ai découvert que certaines contructions d’édices publics ou privés ont été faits en pierres. Pierres qu’on trouve sur place en France, et c’est très jolie. Chez nous aussi, Dieu nous a benis en nous donnant de la pierre en abondance. Partant du Djoué jusqu’à Linzolo voir même au delà, il ya de la pierre sous l’éau du fleuve congo. Et c’est ce qui fait que le trançon brazzaville jusqu’à l’embourchure du fleuve congo à l’océan atlantique ne soit pas navigable à cause des blocs de pierres dans l’éau qui forment des cataractes. Mais voilà, le congolais préfèrent aujourd’hui importer les carreaux de peu de qualité et à gros frais de Chine pour les murs de leurs maisons et ou parcelles. Peut on imaginer les pertes économiques que ce genre transaction font perdre à notre pays? A mon avis on pouvait bien aider les entrepreneurs congolais à mettre sur pied des entreprises capables d’améliorer notre pierre pour permettre aux congolais de consommer leur propre produit. Et cela pourrait aussi favoriser la création des emplois et en même temps retenir une partie d’argent dans notre pays. La pierre de notre pays est vraiment précieuse, très précieuse pour embelir nos maisons. Mais comme les commerçants ouest africains disaient en 1978, congo zoba, on ne peut pas en douter d’une telle assertion quand on est dirigé par un paysan comme Denis Sassou Nguesso et sa cohorte de ministres véritablement inutiles.

  7. Les barbares ont pris le pouvoir dans notre pays et dans de nombreux pays africains. Les barbares ne vous laissent pas beaucoup de choix : il vous faut choisir entre la soumission en cédant à la peur, la victoire après avoir osé les combattre, la mort en lâches ou à la fuite.

    Grand est le nombre de Congolais désespérés qui veulent fuir leur pays. Les barbares veulent dominer et soumettre afin de régner sans partage. Ils sont violents, sans morale, inhumains, cupides, rusés, menteurs et prêts à tout pour garder leur position hégémonique. Ils masquent leur barbarie en se donnant de faux airs de nobles.

    Quand un peuple se trouve face à de tels barbares, il a le choix entre voir sombrer le pays ou devenir à son tour un peuple de barbares pour combattre la barbarie. La paix n’est qu’un équilibre de la terreur entre barbares. Le barbare ne respecte que le barbare comme la force ne cède qu’à la force. Même lorsque les barbares jouent à la démocratie, ils n’y croient pas et trichent car ils ne respectent aucune loi.

    La seule question que nous devons nous poser est celle-ci : le Congo est-il entre les mains des barbares inhumains et sans morale ? Si oui, il ne nous reste qu’à mourir ou à devenir des barbares à notre tour pour revenir plus tard à notre kimuntu.

    Le barbare peut jouer à l’être civilisé, porter des costumes et des cravates, vivre dans une grosse maison pour vous impressionner mais il reste un barbare. Ne respectez jamais un barbare. Quel qu’il soit. Il ne mérite aucun respect.

    Lorsque vous êtes dominés par des barbares, ils vous font croire que les barbares, c’est vous et qu’ils incarnent eux, l’homme civilisé ou la civilisation. Au fond, ils restent barbares car être barbare est une nature, une intériorité, un ADN. Dans notre monde, le civilisé n’est pas toujours celui que l’on croit. On est barbare comme le lion est carnivore.

    En face du lion, le buffle n’a que le choix du combat ou de la mort. Denis Sassou Nguesso et les membres de son ethnie-Etat sont des barbares. Même milliardaire, un barbare reste un barbare. Le barbare au sommet de l’Etat est comme un virus qui a pris le contrôle de toutes les cellules d’un corps sain. Se défendre est un impératif si on veut éviter la mort. ET, CHOSE CURIEUSE, LES BARBARES VIENNENT SOUVENT DU NORD…

    LION DE MAKANDA

    COMMENT LE DICTATEUR SASSOU ET SON SYSTEME DONNENT DES IDEES A LEURS FUTURS BOURREAUX ? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/09/comment-le-dictateur-sassou-et-son-systeme-donnent-des-idees-a-leurs-futurs-bourreaux.html

  8. Aux Congolais,l’empire français vous distrait une fois de plus avec les affaires dites judiciaires de ses complices dans le pillage et la destruction du Congo pour detourner votre attention.Le malheur du peuple Congolais c’est la france.Il faut absolument chasser du Congo cet empire aux pieds en argile comme l’ont fait les Algériens et les Vietnamiens.il faut chasser du Congo par la force brute la france, ses agents tels que hubert pendino,jean paul pigasee,Mr sassou,sa famille,ses amis,son pct et ses courtisans toutes nationalites confondues.

  9. LES BORDS DU DJOUÉ A BRAZZAVILLE MOINS DE 30 ANS APRES LA CHUTE DU DICTATEUR SASSOU ANTI-CONGO !!!

    Le Djoué : il draine le versant sud-ouest des plateaux Batéké. Orienté dans la direction générale sud, avec de multiples changements de cap dus à des captures multiples, le cours du Djoué est haché de nombreux rapides jusqu’au Congo où le bassin drainé atteint presque 6000 km².

    Le régime du Djoué est régulier avec une connotation de régime équatorial de transition austral (hautes eaux entre décembre et mars et étiage en septembre). Le module, le débit spécifique et le coefficient d’écoulement à Kibossi sont respectivement de 122m3/s, 22,7 l/s/km² et 56,5%.

    http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/09/les-bords-du-djoue-a-brazzaville-moins-de-30-ans-apres-la-chute-du-dictateur-sassou-anti-congo.html

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