Le journaliste Alphonse Ndongo, suspecté d’une grave tentative d’escroquerie

Notre confrère Alphonse Ndongo, correspondant du magazine Jeune Afrique au Congo depuis des lustres, est suspecté de chantage et  tentative d’escroquerie envers une personnalité politico-administrative congolaise. 

Selon une enquête policière, Alphonse Ndongo serait de mèche avec une dame dont l’identité n’est jusque-là pas révélée. Celle-ci, venant de France, et qui se présenterait comme une ancienne amie de la personnalité en question, sollicite Alphonse Ndongo de jouer les intermédiaires pour atteindre l’autorité, car il est proche de lui.

En effet, d’après des communications interceptées entre Alphonse Ndongo et la dame, celle-ci se plaint d’avoir rendu d’énormes services au monsieur avant qu’il n’occupe ses hautes fonctions actuelles. L’autorité n’aurait  jamais osé récompenser la dame. D’où, elle en place un stratagème pour tirer du monsieur la bagatelle de 100 millions de FCFA. Le stratagème consiste à faire croire qu’elle détient des documents visuels et audio compromettant pour lui.

Et s’il ne lui donnait pas ce pactole, alors elle les diffuserait sur les réseaux sociaux pour ternir son image. C’est alors qu’elle passe par Alphonse Ndongo qui côtoie la personnalité. Le journaliste joue son rôle, même si l’autorité, qui serait un ministre du gouvernement, n’avale pas facilement l’hameçon, et leur demande de lui accorder un peu temps. Les deux « malfrats », impatients de vouloir vite assouvir leur soif, balancent quelques éléments sur la toile, par un site internet basé en France.

Rassuré de ce que le ministre était affaibli par la publication des premiers éléments sur le net, Alphonse Ndongo repart chez la personnalité en vrai porte-parole de la dame : « la dame m’a chargé de te dire de donner ce que tu peux avoir, à condition de signer une reconnaissance de dette pour le reste ». C’est à partir de ce moment que l’autorité commence à se rendre compte qu’il était victime d’un chantage et d’une tentative escroquerie par la dame et son complice Alphonse Ndongo. L’homme politique alerte les services de police qui mettent la main sur la dame et entraine l’interpellation de Ndongo par la Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST).

Alphonse Ndongo ne serait pas à son premier forfait

D’après des témoignages et moult investigations, il paraitrait que notre confrère serait impliqué à plusieurs reprises dans ce genre de complots. Il serait auteur sinon complice de chantage et tentatives d’escroquerie. Un grand pasteur de ce pays, administrateur général d’une société paraétatique de son état, aurait déjà fait les frais de ce monsieur et de sa bande. Il est également cité le cas d’un autre membre du gouvernement qui aurait laissé ses plumes à ce journaliste et cohorte.

En plus de cela, Alphonse et sa bande jouerait double jeu au milieu de services de l’Etat pour monter des fiches erronées sur des collègues journalistes dont certains ont séjourné injustement en prison. Il serait en complicité avec certains patrons de presse congolaise et « journalistes mafieux » qui ne vivent que de cette sale besogne.

Notre désolation est celle de savoir que des associations de défense des droits de l’homme au Congo se mettent à défendre certaines personnes parfois à tort, car étant responsables des faits graves, discréditant non pas seulement la corporation de journalistes mais aussi leur propres ONGs. D’où l’invite à ces associations qui se disent de « défense de droit de l’homme » de ne pas défendre à tout prix « l’indéfendable », à l’instar de Alphonse Ndongo et consorts.

La profession de journaliste est un métier noble. Que les praticiens l’exercent en toute conscience sans se mêler les pinceaux.

Alphonse Missié

2 thoughts on “Le journaliste Alphonse Ndongo, suspecté d’une grave tentative d’escroquerie

  1. nous ne debattons pas des faits sociaux ou faits divers sur ce site , d’articles tres anonymes du genre « un ministre a dit ceci » « un ministre a dit cela » « une dame venue de france »…. non nous ne debattons pas sur de telles informations.ici quand nous parlons de jean claude mayima mbemba c’est vraiment jean claude mayima mbemba, quand nous parlons de massengo thiasse c’est vraiment massengo thiasse, quand nous parlons du palais des congres de montreuil agresse par les indigenes du 242 comme quoi » mr roga roga citera dans ses chants claudia sassou ng » ce qui l’engage lui et lui seul a notre entendement et que mr roga roga n’a pas invite les indigenes du 242 a son concert il a invite ses fans ses melomanes bon ses admirateurs, l’information est reelle exacte et verifiable.et nous sermonons les indigenes du 242.nous sommes en democratie et roga roga est libre de chanter qui il veut dans ses concerts autrement c’est promouvoir la pensee unique.c’est ce que nous avions donne comme element de reponses aux indigenes du 242;

    un salaud de france en 2015 au cours d’un rassemblement de boeufs dans le cadre du refus au chgt de la constitution avait donne la parole a lydie kolelas en ces termes  » nous donnons maintenant la parole a lydie kolelas la fille du president bernard kolelas » un maccabee de france l’avait dit.et cest sur que les indigenes du 242 n y avaient vu aucun inconvenient mais pour nous les vrais fils du congo, cette presentation protocolaire etait grave et violait allegrement la constitution du 15 mars 1992

    a cette epoque nous reagissions en ces termes  » du temps de pascal lissouba seules trois personnes avaient la qualite juridique de porter le titre de president, il s’agissait de :pascal lissouba president de la republique, augustin poignet president du senat , andre milongo president de l’assemblee nationale » nous les invitions a cette epoque de bien comprendre les dispositions constitutionnelles et les differentes terminologies usitees.ainsi sur le plan constitutionnel,le « president bernard kolelas » n’avait jamais existe et b kolelas en portant le titre de « president » meme celui de sa chierie de « president de la mediation locale » etait coupable d’usurpation de titre et l’usurpation est une delinquance. ce maccabee avait disparu de la toile. nous sommes en democratie et les gens sont libres de chanter qui ils veulent dans leurs chants video youtube….

    alors de ces histoires de sexe a la congolaise avec des mjnistres qui hier bourlinguaient en france qui tournent au vinaigre non mr nous n’en parlons pas et elles ne nous interessent pas.zenga mambu n’est pas un site generaliste.nous sommes en politique.

    quant au reste que la justice fasse son travail et que jeune afrique son employeur prenne les sanctions qui s’imposent.l’etat congolais peut commencer par retirer a al ndongo son agrement de correspondant de presse

  2. Alphonse Ndongo est un ancien élève C’est mon collègue de classe du lycée technique 1er mai série BG pendant que MBOU MABA était proviseur. C’est un congolais naturalisé car en terminal il avait une autre nationalité s’il devient congolais c’est peut-être par escroquerie aussi. Il est escroc et Dieu sait confondre les gens

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