Point de presse de Tsaty Mabiala sur le Pool et sur la situation de crise au Congo

Lors d’un point de presse organisé à Brazzaville, le premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (Upads), Pascal Tsaty Mabiala, a proposé des pistes qui permettraient de mettre fin au conflit dans le Pool mais aussi de juguler la crise économique et financière au Congo.

17 thoughts on “Point de presse de Tsaty Mabiala sur le Pool et sur la situation de crise au Congo

  1. Ntumi est poursuivi en justice. Tsaty tend-t-il un piège à Ntumi? C’est une déclaration très simpliste qd on sait que Tsaty a été soutenu par le pct aux législatives passées. Peut – on aller aux négociations sans mesures d’apaisement? Surseoir des poursuites contre les opposants, libérer les opposants arrêtés arbitrairement. ne pas tenir compte de ces éléments, montre que nous n’avons pas besoin de ramener la paix dans le Pool. Sachez que un problème mal posé ,est toujours mal résolu.

  2. Sassou n’est pas un » Président de la République » les Congolais l’auraient apprécié comme tel.

    Un Président de la République n’emprisonne pas ceux qui ne partagent pas sa vision politique.

    Un Président de la République ne fait pas la guerre à ses compatriotes afin de camoufler ses échecs.

    Un Président de la République ne fraude ni ne passe son temps à mentir, il voue un respect au peuple souverain.

    Un Président de la République ne dilapide point l’argent de la Nation avec la complicité de son clan, ruinant ainsi le pays.

    Un Président de la République n’est ni un maître chanteur rompu à la corruption, ni un dégoûtant tyran moyenâgeux.

    Un Président de la République est un homme de dialogues vrais, de justice, prenant soin de la jeunesse. Il ne peut être un chef de clan borné.

    Un Président de la République n’est pas un sot en trois lettres qui change les constitutions afin de se maintenir au pouvoir. Jamais il ne se complairait dans des coups d’Etat. C’est un manque de classe !

    Un Président de la République est guidé par la raison. En outre, il donne vie à l’ Etat de droit et à l’ Etat démocratique , ces formes du pouvoir où se forge l’homme.

    M. Tsaty, vous vous êtes fourré le doigt dans l’œil. Sassou est un prédateur. Il ne comprendra pas votre discours. Vous y êtes apparu comme un habile flatteur dangereux pour l’éthique et la démocratie au Congo.

    Courage aux compatriotes injustement arrêtés.

  3. Nsati Mabiala est un pantin à la solde de sassou nguesso, il ne propose rien qui peut sortir le Congo de la crise. peut-on laisser le criminel sassou continuer à assurer l’avenir du Congo en sachant que c’est lui qui est le principal responsable de la banqueroute à répétition du Congo.
    il est compétent dans les assassinats , des emprisonnements injustifiés, le vol en bande, etc
    Ntsti Mabiala ne parle même pas des politiciens emprisonnés à tord pour leurs opinions. il reçoit les « guiris » de sassou et refuser d’évoquer ce que tous les congolais considèrent comme un préalable.
    Ntsati Mabiala continue de profiter de ruse de sassou au détriment des congolais, tôt ou tard tu en payeras le pris, le peuple ne restera pas éternellement naïf.

    courage chers compatriotes, ne soyons pas résignés,la victoire est au bout du tunnel des guesso
    Toute dictature à une fin surtout si son instigateur et sa bande ont 65ans de moyenne d’âge.

  4. Chers compatriotes

    Le Cas Tsaty Mabiala avec un (C ) majuscule est l’illustration de ce que nous appelons l’égoïsme absolu : son égocentrisme est si évolué que sa doctrine de survie qui n’est construite que selon le principe de Saint Florian. Ce principe est caractérisé par le désir égoïste d’être épargné par les mesures les plus frappantes ne fussent elles injustes qu’un être humain puisse subir, selon la devise: « épargnez ma maison, mais enflammez celle des autres »

    Comment expliqueriez-vous que lors d’une sortie sous forme de conférence de presse d’un leader du plus grand parti Politique de l’opposition à Brazzaville, que ce Monsieur ne puisse pas dispenser d’une petite minute afin de nous parler du sort de ces confrères politiciens qui sont incarcérés injustement dans les geôles du pouvoir de Brazzaville. Dans ces moments de grande Havarie économico-financière et sociale dans lequel notre pays est plongé, le peuple congolais aurait tant besoin de percevoir une étincelle de sortie et d’orientation. Nous souhaitons voir des véritables leaders et hommes politiques digne de ce nom et pas des nains en politique du calibre de Tsaty Mabiala … Cette tâche ne devait pas revenir à une organisation humanitaire du genre OCDHU pour parler des prisonniers politiques au Congo. C’est vraiment triste…

    Fidèle à son crédo défini par saint Florian : il a récité ces phrases creuses sans état d’âme et quitter les lieux ; se avoinant en sortant devant les journalistes irrités par son blackout sur les prisonniers politiques et imbu de son confort qu’il rumine en sourdines : comme un tel sort n’est arrivé qu’aux autres, moi le politicien de l’heure, j’ai du vent en poupes et je vais en tirer un maximum de profit de mon côté…. Et dire désolé cette salle histoire ne doit pas m’intéresser aussi longtemps que ce traitement ne m’a pas été personnellement infligé. Voici notre Tsaty Mabiala national.

    Ce que Tsaty Mabiala adore, c’est que pour lui en tant que homme politique et de rang, tous ses reflexes et ses intentions mêmes les plus sournoises, ne doivent naturellement qu’être inclinés à rechercher avant tout ce qui est bon pour lui (boni sibi) ou son bien propre On doit se demander pourquoi est il devenu un politicien ? Comme chassez le naturel.il revient au galop. Tsaty Mabiala ne connait pas la charité surnaturelle, qui aurait pu devenir la seule moindre et modeste voie qui pouvait nous aider à le faire aimer.

    Selon les sociologues, l’homme se forge consciemment ou inconsciemment ses sentiments à partir d’expériences pendant le parcours de sa vie. Ceux-ci incluent les bonnes et les mauvaises expériences, douloureuses ou frauduleuses, le bonheur ou toutes sortes de plaisirs que nous pouvons expérimenter.
    Tsaty Mabiala est un des rares politiciens congolais qui s’est formaté à l’image de Denis Sassou Nguesso. C’est un tribaliste pur sang, un dictateur, un cleptomane vis-à-vis des fonds et patrimoine de son propre parti, il est aussi corrompu et un corrupteur avéré. Il a réussi à transformer son propre parti UPADS en une coquille vide . D’aucun des anciens membres ne se reconnaissent dans ce que ce Monsieur représente. C’est un charlatan et un Goguenard isolé. Imaginez-vous un seul instant un tel Monsieur à la tête du Congo ?

    C’est là un des corollaires les plus élevés du principe formulé plus haut; celui de saint Florian : notre Tsaty Mabiala et son frère Jumeau Parfait Guy Kolelas n’ont pas compris que la coque du bateau de leur Tarzan a déjà reçu assez d’eau que s’aliéner en navigant à bord de cette embarcation illustre un suicide collectif, je l’avais déjà dit et je le redis ils seront poursuivis par les mêmes chefs d’accusations qui seront constitues contre leur Mentor Sassou.

    Tous les lanceurs d’alertes et Intellectuels congolais de tout bord l’avaient pourtant exprimé avec toute la mesure voulue depuis des années que Tsaty Mabiala était un « Nain » de la scène politique du Congo. Il s’est maintenu à la tête du parti UPADS en utilisant des méthodes les plus abjectes que vous ne puissiez pas vous imaginer. Tsaty Mabiala est fin limé des intrigues à 2 balles .Tsaty Mabiala est un rancunier comme Sassou, c’est une canaille qui se réveille chaque pour prendre un verre de vin rouge. C’est l’un des derniers dinosaures qui pratique le manifeste du PCUS. Tsaty Mabiala est une vielle racaille du PCT et il s’en dit toujours d’être fier. Toutes les méthodes d’endoctrinement qu’il avait jadis enseignées à l’école des cadres du parti PCT lui ont été des instruments de bon aloi pour démanteler de l’intérieur le parti UPADS.

    Vous me direz : comment çà? Attendez, avant d’avoir reçu surnaturellement la vision immédiate de s’emparer de ce parti en abandon, notre homme a usé de ces anciennes relations au sein du PCT pour rentrer paisiblement au Congo. En rappel, Tsaty Mabiala fut le ministre de la défense du gouvernement de Pascal Lissouba lorsque les hostilités du 05 Juin 1997 avaient éclaté. Alors allez y chercher l’erreur …. Je vous défie, vous n’en trouverez pas

    Vous comprendrez aisément par la suite que l’atmosphère « bon enfant » qui prévaut sur le traitement de la question des prisonniers politiques entre Tsaty Mabiala et Sassou soit au beau fixe.

    Le Congo n’a pas besoin de Tsaty Mabiala , qu’il disparaisse d’une mort subite aujourd’hui ou bien qu’il reste en vie éternellement, le peuple congolais ne saura pas situer le millimètre carré de l’impact de sa vision politique pour notre pays. C’est un homme du passé et c’est ainsi qu’il faudra le considérer.

    Un bon politicien devra continuellement se récuser, se remettre dans de nouveaux états d’âmes, qui peuvent lui permettre de découvrir des nouveaux sentiments et se rafraichir du fond de son esprit afin de répondre aux nouveau défis du monde contemporain….

    Ne prenez jamais ce néo-communiste au séreux …

    Vive le Congo

  5. Pôvre Tsaty Mabiala.

    L’UPADS doit changer d’esthétique. Une esthétique qui se veut réaliste, collée à l’actualité. Le peuple congolais est en danger de mort. L’UPADS aurait dû porter plainte contre Sassou au lieu de formuler des propositions.

    Votre parti doit se battre essentiellement pour la survie des compatriotes, de toutes ses forces. Le peuple souverain veut vivre, impérativement exister. Le parti doit dénoncer sans répit, sans filtre que Sassou (et non le  » Président de la République »), est l’ogre qui dévore depuis toujours la Liberté et maintenant, la Vie de tous.

    L’UPADS doit par conséquent, demeurer ferme face à toutes formes d’injustice, de légèreté politique dont le maître d’œuvre est Sassou, putschiste de son état.

    Faîtes de votre parti, vu la gravité de la situation au pays, une machine redoutable au service de la colère du peuple. Mettez au grand jour, les magouilles financières, les actes de barbarie, les techniques d’avilissement ou de la servitude.

    Cessez d’être ridicule, vous avez échoué. Aussi, convoquez la jeunesse, cédez lui votre place, cher Monsieur. Vous êtes dépassé par les défis du moment comme Sassou. Notre jeunesse est mordante, patriote et pleine d’audace. Le pays la réclame!

  6. Chè(e)r(e)s compatriote(s),

    Derrière la peur du sort qui leur sera réservé après la chute imminente du putschiste SASSOU II (lequel a déjà fait fuir sa femme à Paris), il y a désormais tous ses collabos ligués ensemble pour tenter vainement un dernier coup de poker en essayant de faire perdre à notre peuple sa victoire annoncée, arrachée de haute lutte. Dans cette vaine tentative, le guet-apens qu’essaie de tendre TSATY MABIALA, relève plutôt du tragicomique qui ne fait rire personne.

    Chè(e)r(e)s compatriote(s), Pascal TSATY MABIALA prétend sans honte ni vergogne que « après une période de [vrai-fausse] paix et de prospérité quoique relative, coïncidant avec une conjoncture favorable du marché pétrolier, notre pays renoue avec ses vieux démons ». Or, notre pays n’a en réalité jamais rompu d’avec ses vieux démons dont TSATY MABIALA fait malheureusement partie. Heureusement pour notre peuple, ces vieux démons seront bientôt châtiés sans pitié, quelles que soient leurs appartenances régionales, ethniques, tribales, royales ou familiales. Ils seront châtiés, même s’ils font partie de nos propres familles. On ne badine pas avec les affaires de l’Etat.

    Chè(e)r(e)s compatriote(s), dans le grand répertoire de l’œuvre criminel de Denis SASSOU NGUÉSSO, la cessation des hostilités, le dialogue ou la paix constitue un prétexte récurent dans le mode opératoire de ce criminel en série pour tuer : de Pierre KINGANGA à nos jours en passant par le Lieutenant Ange DIAWARA, le Capitaine Barthélémy KIKADIDI, le Sergent ONTSOU, le Cardinal Emile BIAYÉNDA, le Président Alphonse MASSAMBA-DÉBAT, le Capitaine Pierre ANGA, etc. Autant de victimes de ce modus operandi qui demeure inchangée. On peut tromper le peuple une fois, mais on ne peut le tromper tout le temps. En tout état de cause, seul le Révérend Pasteur NTUMI a su déjouer les pièges du putschiste, en évitant de se rendre personnellement aux mascarades de dialogues successifs, préférant y envoyer ses subalternes.

    Silencieux au plus fort des bombardements dans la région du Pool, Pascal TSATY MABIALA découvre subitement et seulement aujourd’hui les vertus de la paix, non pas pour notre peuple, mais pour sauver un pouvoir aux abois ainsi que pour sa survie personnelle. TSATY MABIALA se propose de lutter contre le mal sans s’attaquer à sa racine connue sous le nom de Denis SASSOU NGUÉSSO, l’unique ennemi du peuple. Son appel à Radio Foufou est un piège à cons dans lequel seul un couillon peut tomber, un leurre grossier dans lequel seuls les faibles d’esprit peuvent tomber. Or, le Révérend Pasteur NTUMI est le seul rempart de notre peuple contre les affres du régime putschiste de Brazzaville. Par sa bravoure, il est prêt à chasser ce putschiste qui a perdu sa bouée de sauvetage et n’a cette fois-ci aucune chance de s’en sortir tant que ce dernier ne bénéficiera d’aucune aide extérieure. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

    La Sentence

  7. Comment ce chiffon de l’UPADS peut -il passer sous silence dans ce point de presse, LES PRISONIERS POLITIQUES pauvre tsaty ma bakala. .est-Il malade à ce pont?

  8. NTSATOU MABIATA, MEDIOCRATE ABSOLU !

    Les quatre preuves de la complicité MABIATA – SASSOU

    1 – EXCLUSION DE TOUTE PRÉSENCE DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE

    A aucun moment de sa conférence de presse Ntsatou Mabiata n’évoque un VRAI DIALOGUE sous l’égide de la communauté internationale, ni même simplement sous l’égide de l’Union Africaine. Sachant que sassou détient tous les pouvoirs au Congo, cela reviendrait à engager un dialogue sous l’autorité du seul maître sassou himself.

    2 – NON ÉVOCATION DU RETRAIT PRIMORDIAL DE L’ARMÉE ET DES MERCENAIRES DANS LE POOL

    Toute guerre suppose qu’il y’ait un Agresseur et un Agressé, un Envahisseur et un Envahi. Et en l’occurence, l’agresseur – envahisseur est sassou nguesso et son armée d’assassins et mercenaires. La décence d’une personne intelligente serait d’abord d’exiger de l’agresseur – envahisseur de commencer par arrêter tout acte d’agression et de quitter le territoire qu’il a envahi avant un quelconque « simulacre » de dialogue. NTSOTO MABIATA n’est certainement pas intelligent…

    3 – DEMANDE IDIOTE ET STUPIDE A NTUMI DE SE LIVRER

    Depuis quand dans un conflit au monde à t’on jamais demandé à celui qui est en position de force, de se mettre en position de faiblesse ? A celui qui est libre, de venir se constituer prisonnier ? A celui qui a l’avantage du terrain d’abandonner ses fortifications ? A celui qu’on ne trouve pas, de se livrer « gentiment » à son ennemi ? Et cela sans la moindre garantie de sécurité que la bonne foi d’un assassin dont les mensonges (quelqu’un qui se permet de mentir au FMI) et le manque de parole (disparus du beach) sont connus mondialement. C’est à se demander si NTSOTO MABIALA n’est pas FOU !

    4 – SILENCE TOTAL SUR LES PRISONNIERS POLITIQUES

    Il y’a parfois des silences qui sont plus éloquents que des paroles idiotes d’un minable homme politique, qui se croit intelligent alors que son intelligence se situe en bas de sa ceinture. (Sur ce dernier point, le très bon post de Kassava de Tsibakala est très exhaustif).

  9. Urgent Urgent

    Ayessa Firmin et Florent Tsiba à couteau tiré.

    Après un constat sur la pléthore des agents de la présidence. 826 conseillers, charges de mission et attachés fictifs sont payés illégalement par la présidence de la république.

    Pour se justifier, Ayessa dit, c’est le doyen Yoka Emmanuel et le ministre Mboulou qui peuvent s’ expliquer sur ça.

    Je n’ai que fait ajouter 149 pour m’occuper chaque mois des sages et notables d’ owando, makoua et ceux de la sangha.

    20 attachés pour entretenir chaque fin du mois la chorale saint Denis de Makoua. j’avais l’autorisation du président. Monsieur Amouzou benito est vivant et peut me témoigner.

    Florent lui demande : Est ce que cet argent arrive à destination?

    Firmin lui dit, ne rentres pas dans les détails. Si tu veux couper fais le mais laisses 25 conseillers fictifs pour que je m’ occupe des syndicalistes.

    les autres fictifs c’est Yoka et Mboulou qui gèrent.

    Tsiba très remonté dit à Firmin que ces millions n’ arrivent jamais à destination toi, Mboulou et Yoka vous allez vous expliquer.

    Ayessa inquièt appelle le doyen Yoka Emmanuel dit le bourgeois. Ce dernier s’est mis à rire et dit à Firmin ne t’occupes pas de ce bateke, le président vit de corruption et nous suivons le guide. S’il fait le contraire, on l’associe avec les charges d’ Okombi Salissa et on le vire.

    De toutes les façons il n’aura pas le courage de m’appeler pour ça. il fait les grimaces avec toi parce que tu es parent de Mokoko que j’ai conseillé à Denis qu’on le sort, les élections sont passées, son dossier est vide, les JDO n’en veulent pas.

    D’après une source du trésor, les centaines des millions destinés aux fictifs de la présidence peuvent subventionner le CHU et l’université chaque mois.

    Ces millions peuvent aussi servir à payer la bourse des étudiants chaque mois. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/10/drole-d-alliance-secrete-entre-l-opposition-politique-et-le-dictateur-sassou-nguesso-et-pourquoi.html

    Envoyé depuis Yahoo Mail pour Android

  10. TSATSY MABIALA est lui même un corrompu et qui ôserait donner du crédit à un opposant de Pacotille!!!! Attends-toi à ce qu’un des fils LISSOUBA reprennent la tête de l’UPADS et tu verras ce que tu deviendras!!!

  11. Âpres que sassou t’es encule plusieurs fois tu as perdu la raison, Il n’a pas plus ignorant que toi. Même si la France vous manipule mais la grandeur de l’homme se trouve dans lui même.
    Le Pool
    Entre Ntumi et le plus grand criminel africain au nom de sassou, qui porte la lourde responsabilité?

    Ntumi est il responsable des faits qu’on lui reproche?
    Ceci est un grand point d’interrogation, mais comment le savoir, La plus simple des solutions c’est d’ouvrir une enquête digne de ce nom.
    La sassou t’il le droit de bombarder les pauvre innocent dans le Pool?
    Il ya eu des attaques terroristes en France et la Police c’est mis a la recherche des terroristes dans la ville de Paris.
    La police française c’est associée avec l’armée française en bombardant les zones suspectées se trouvant les terroristes ? bien sur que non.
    Dans ce cas sassou est responsable des morts et des déplacés dans le Pool.

    Quant deux personnes n’arrivent pas a s’entendre il faut une troisième personne pour les départager (la justice ou dialogue)

    Ntumi demande le dialogue avec la présence de la communauté international ceci n’est pas un préalable car sans une troisieme personne ceci devient comme juger une personne sans son avocat.

    EN REALITE QUE PAUSE LE PREALABLE C’EST SASSOU, CAR LUI IL VEUT QUE NTUMI ACCEPTE D’ABORD LES FAITS QUI LUI SONT REPROCHE SANS ENQUETTE.

    SASSOU EST LE SEUL RESPONSABLE DU DRAME DU POOL.

  12. J’ai vu des faux culs en politique, mais tsaty mabiala c’est le pire, il n’exige pas la liberation de tius les detenus politiques.
    C’est vraiment un enculé, le mot est meme faible, il pret à vendre son âme si ce n’est deja fait.
    De toute les facon, il à vraiment une tete sui n’inspire pas confiance

  13. David Londi .Bravo pour l’éclérage pour ton intervention du 23/10/2017 à 21:43 dans Congo Liberty, en réponses à des prises de position cotracdictoires et sans fondements succidé par l’ INTERVIEW DE ROBERT POATY-PANGOU : La corruptrice Antoinette Sassou-NGuesso et ses origines douteuses  » David Londi resume la vérité profonde que chacun doit comprendre. Nous les Congolais sommes le plus souvent nous sommes très drôles. Pour ne pas dire idiots. Nous savons reconnaitre et analyser la vérité. Nous ne savons pas aller droit au but. Nous n’avons pas de détermination. Une chose à reconnaitre est que l’ obstacle du développement du Congo, les malheurs actuels du Congo s’est avant tout le dictateur, tyran génocidaire Sassou Nguesso. Sassou Nguesso et sa clique. Quand quelqu’ un tue une personne, il est déjà un assassin traqué par les gens, la justice. Or Sassou Nguesso en dehors des crimes économiques, sociaux est quelqu’un qui commencé à assassinés des très nombreuses personnes depuis le début des années 1970; en passant par les assassinnats des présidents, Ngouabi, Massambat Débat, du cardinal Biayenda, sans oublier les massacres, génocides, guerres de 1997, du Pool en 1998- 2003, les disparus du Beach, d’Anga, de Ntsourou etc. Pourquoi se lancer encore à des analyses, aux discussions sans fondement qui nous écartent du but, de la lutte que nous avons sans repris. Notre ojectif qu’il ne faut pas du tout perdre de vue est celui d’arriver à mettre en prison Sassou Nguesso et sa clique. Il faut que le peuple arrive à neutraliser la dictature, Sassou Nguesso. Il faut éliminer le systéme maccabres Sassou Nguesso hors d’état de nuire tout en nous organisons pour la mise en place d# Un pouvoir réelement democratique et vers le progrès sur le plan humain et social.
    Permettez moi de reprendre ici la brève analyse de David Londi que je trouve lucide , clare comme l’eau de source.
    « Le drame des congolais réside dans le fait d’analyser la situation politique qui prévaut actuellement au pays par petits morceaux sans chercher à les inscrire dans un continuum. Il n’y a pas de génération spontanée en sciences et a fortiori en politique. Comment voir l’horloge sans penser à l’horloger ? Comment penser au chaos politique, économique et social sans penser au système mis en place par le trio Ngouabi, Yhombi et Sassou cornaqué par Noumazalaye ? Comment expliquer l’opposition féroce entre Lissouba et Noumazalaye, sur le dos de Massamba-Débat, dans les années 60 ? Se poser ce genre de questions revient à plonger dans les origines des contradictions et des malheurs qui gangrènent notre pays. Cette lutte sourde entre ces deux personnalités ne peut se comprendre qu’à l’aune de la lutte farouche dans l’unique et seul but de s’accaparer le pouvoir et le conserver, même dans les pires conditions. L’option Noumazalaye l’a remporté en favorisant l’installation du trio au pouvoir. Noumazalaye avait fait le constat qu’avec les outils d’expression démocratique habituels comme le suffrage universel les originaires de la partie septentrionale du pays ne pouvaient accéder au pouvoir et le garder durablement parce que démographiquement inférieurs, le niveau de maturité politique du peuple ne permettant pas de dépasser le vote éthno-centré.
    Quelle solution ? Mettre en place un système politique contournant le suffrage universel, le socialisme scientifique. Dans ce système, le parti dirige l’État. En effet, il est plus facile de noyauter le parti et en faire un instrument de conservation du pouvoir que d’éduquer le peuple. Dès 1970, le parti congolais du travail voit le jour avec pour leurres quelques protagonistes du sud comme Ndalla Graille et Mberi Martin qui n’y feront pas de vieux os quand le système de cooptation prendra le pas sur les procédures de nomination au bureau central du parti d’où est élu le président. Les Sassou et les Ondjele feront la loi, les revanchards comme les appelait Sassou. Dès lors commenceront les assassinats politiques au Congo avec Sassou à la sécurité dans un premier temps. Jugez-en, vous-mêmes. Dès 1970, coup d’état de Kinganga. Cet événement va entraîner la mort d’une trentaine de nos compatriotes sans jugement aucun sous l’instigation de Sassou qui force la main à Ngouabi. A partir de cette date va démarrer une épuration ethnique au sein de l’armée et de l’administration. Ce phénomène prend une ampleur telle qu’un mouvement interéthnique en dénonce les effets néfastes, le M22 de Diawara, Okoko et bien d’autres, sous l’appellation « OBUMITRI » (Oligarchie Bureaucratique Militaro Tribaliste). Profitant de cette occasion, Sassou va forcer la main de Ngouabi pour les exterminer une quarantaine de nos compatriotes sans jugement, aucun. Sassou est toujours à la sécurité, un véritable Hoover congolais, connaissant tous les coins et recoins de la politique congolaise et des hommes qui l’a font. Sentant son heure venue et après avoir placé ses hommes dans les postes les plus stratégiques, en 197, il va faire d’une pierre deux coups. Il va assassiner Ngouabi et tous les opposants potentiels et, pour lancer un avertissement au clergé, il ira jusqu’à assassiner le plus gradé d’entre ses représentants, le cardinal. Le chef de l’État assassiné, le chef du clergé éliminé, ll ne reste plus qu’un Yhombi qu’il a soigneusement déshabillé qu’il va écarter, deux ans plus tard sans coup férir, en 1979, à l’époque il est 1er vice-président coordinateur des activités du Parti et ministre de la Défense. Après une décennie de règne, en 1989, il assassine Pierre Anga et bombarde toute la localité d’Ikongono et les villages autour, un génocide puisqu’il tue les gens pire ce qu’ils sont et non pour ce qu’ils font.
    Ayant expérimenté l’échec aux élections vraiment libres de mars-août 1992, il reviendra en 1997 après avoir exterminé les partisans de Yhombi, le 10 mai à Owando, pour entrer dans une guerre qui prendra fin en 2002 et qui va tuer le 10ème de la population congolaise (400.000 victimes). Il affirme, dans le rapport Mouebara d’Opinion internationale que la violence fait partie intégrante des outils à mettre en oeuvre pour conserver le pouvoir. Il va récidiver de 2015 à 2017. Sassou est un « profito-situationniste » invétéré, il exploite des situations qu’il crée pour instaurer une situation de violence qui lui permet de régner et pour cela, il a besoin d’épouvantails ou des hommes derrière lesquels il s’abrite : les coups d’état, les kolelas, les Tsaty, les Ntumi (Ntumi 1), le clergé, etc. pour se parer des habits des démocrate. Mais tous ses crimes viennent sûrement le hanter la nuit pour avoir eu le fameux projet de changement de la constitution qui lui a permis de changer les articles 10 et 11 de l’ancienne constitution pour les remplacer par les 10 et 96 de la nouvelle avec pour objectif double : rester au pouvoir et impuni des crimes commis. Ce faisant Sassou reconnaît officiellement qu’il a commis tous ces crimes. Ne dit-on pas « Qui s’excuse, s’accuse » ? Le seul élément constant dans tous ces pogroms depuis 1970, c’est Sassou, le reste n’est que l’écume des jours. Nous sommes donc dans une dictature autocratique sanglante et dans ce contexte, les analyses politiques aussi pointues soient-elles ne servent à rien parce que nous avons les diagnostics. Ce sont les analyses qui précèdent les diagnostics et non l’inverse. Tous les gens sensés conviendront qu’après le diagnostic vient le plan d’action ou la thérapie. Nous y sommes. Je terminerai par « Actions speak louder than voice ».

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