Coup de force politique au Congo Brazzaville : Communiqué du collectif des partis de l’opposition

4 thoughts on “Coup de force politique au Congo Brazzaville : Communiqué du collectif des partis de l’opposition

  1. Si Mathias Dzon qui a prepare puis gerer financierement le coup d’etat de Sassou Nguesso pouvait demeurer fidele a son compere de l’Alima, cela aiderait beaucoup a eclaircir le paysage politique. Quand on a aide deliberement et volontairement au sabotage de la democratie et a la destruction de l’etat-nation, on devrait se montrer avare de commentaires. Vous ( Dzon, Munari, Makaya, Okombi et autres democrates de la derniere heure) avez chasse Lissouba parce que semble-t-il la democratie n’etait pas respectee et vous nous avez ramene Sassou le grand democrate. De quoi vous plaignez-vous maintenant?

  2. ATTENTION D’ICI PEU DE TEMPS VOUS RISQUEREZ DE RÉPONDRE POUR INCITATION A LA HAUTE TRAHISON ET AUX CRIMES CONTRE L’ HUMANITÉ. LES CONGOLAIS SERONT HEUREUX SANS VOUS ET VOTRE MENTOR SASSOU NGUESSO.
    Les « mauvais esprits » du Sassouland » : voici le visage hideux du gang des « primitifs’ » véritable collabos du Sassouland. Tsaty Mabiala, Anguios Engambe, Gilda Moutsara et Guy Parfait Kolelas les figures de proue de cette canaille… LA HONTE …
    https://www.youtube.com/watch?v=21VcKYKokvA

  3. La réaction du collectif des partis de l’opposition contre la décision du Gouvernement sur la reconnaissance de certains partis politiques me paraît tout simplement stupide. Est tout aussi stupide l’invocation de l’article 2 du Code civil. Je constate que comme le pouvoir en place, l’opposition ou ce qui en tient lieu manque de juristes intelligents. Il est vrai que l’article 2 du Code civil proclame la non-rétroactivité de la loi. Cependant, ignorer que ce principe ne s’applique de manière rigoureuse qu’en matière pénale, c’est faire preuve de médiocrité juridique. En matière civile en effet, le principe de la non-rétroactivité de la loi s’applique de manière lâche, car, sous l’effet de l’autre principe de la souveraineté du peuple, celui-ci peut parfaitement prescrire que telle la loi rétroagira, aucune limite ne saurait être imposée au peuple souverain primaire sans porter atteinte à sa souveraineté. Le peuple est souverain, et il décide librement sans limite. Justement dès lors que la loi sur les partis politique avait prescrit un délai aux partis créés avant elle pour se conformer à ces nouvelles dispositions ; la prescription de ce délai n’étant nullement contraire à la loi et obéissant à l’expression de la souveraineté populaire, ce délai est légal. Le principe de la non-rétroactivité de la loi n’est d’applique stricte qu’en matière pénale car ici, le principe de la souveraineté du peuple se heurte à la logique rattachée à sacro-saint principe énoncé par la maxime juridique latine : NULLUM CRIMEN, NULLA POENA SINE LEGE. Cette logique qui a valeur constitutionnelle évince donc la souveraineté du peuple, car si l’infraction est la violation d’une loi, on ne peut m’opposer une faute qui n’existait pas au moment de la commission du fait réputé désormais fautif.
    Enfin, l’on peut ne pas aimer le pouvoir en place, il convient toutefois de reconnaître que la quasi-totalité des partis politiques que le ministère de l’Intérieur refuse de reconnaître, et il en va de même de certaines autres formations politiques, n’ont de parti que le nom. Aucun d’entre eux ne peut remplir avec la base de ses membres même l’espace d’un kiosque de COGELO. Il fallait donc absolument une activité de salubrité politique mais il fallait le faire de manière égalitaire. Plutôt que de pousser des aboiements imbéciles, ces les leaders de ces groupuscules sans lendemain gagneraient à se regrouper au sein tout au plu de deux formations politiques. Alors Messieurs taisez-vous vous commencez à nous casser les couilles avec vos jérémiades idiotes.

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