Jean Dominique Okemba se frotte les mains : BGFI Bank Congo partage 5 milliards de dividende à ses actionnaires

Jean Dominique Okemba le président du Conseil d’administration de la BGFIBANK Congo, une filiale de BGFI Bank SA retrouve le sourire. La banque dont il a le contrôle vient de décider de verser 5 milliards de F CFA à ses actionnaires. Cette banque qui a été créée sur les cendres de la banque d’ELF, la « Banque Française Intercontinentale (FIBA) », mieux connue comme la banque des présidents africains a été au cœur d’une enquête française contre le groupe pétrolier controversé ELF.

La gestion de BGFIBANK comprend des personnes françaises toutes à proximité de JDO et tous anciens dirigeants de la banque pro-africaine, Crédit Commercial de France (CFF).

La bonne nouvelle du jour a donc été annoncée par le Président directeur général du groupe BGFI Bank, Henri-Claude Oyima qui a déclaré, le 8 mars à Brazzaville à l’issue des réunions des conseils d’administration et des comités spécialisés des filiales, que les membres avaient décidé de distribuer 5 milliards de dividendes.

Henri-Claude Oyima a lancé un défi de trouver sur la place une autre banque qui a toutes les performances et qui contente tous les actionnaires que la BGFI Bank. « BGFI Bank Congo est la première banque du Congo. Elle fait 31 % des parts du marché. C’est une banque qui marche bien », a-t-il précisé.

Pour lui, BGFI Bank Congo c’est 600 milliards de total bilan et 63 milliards de fonds propres. « La BGFI Bank Congo c’est 40 milliards de PNB et 8.500.000.000 en 2017. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. C’est une banque qui a une rentabilité sur fonds propre de plus de 15 % avec un coefficient d’exploitation de 40 % », a-t-il poursuivi.

Henri-Claude Oyima a indiqué que le groupe BGFI Bank se porte bien. Ses résultats sont excellents. « Notre total bilan avoisinera les 3 milles milliards de francs CFA. Nous avons les fonds propre de plus de 300 milliards de francs CFA. Notre résultat net sera de 30 milliards de francs CFA. Ce sont des chiffres qui parlent. Qui montrent la force, la rentabilité et le dynamisme de notre groupe », a-t-il poursuivi.

Il a fait savoir à cette occasion que le développement de leur groupe se poursuit par la mise en œuvre du plan d’affaire dénommé « excellent 2020 » dans lequel est mis en œuvre une dynamique développée dans les différents pays. « C’est notre plan stratégique. C’est ce plan qui nous oriente sur les métiers à mettre en place, les structures à construire et les pays dans lesquels nous pouvons nous établir », a-t-il conclu.

Henri-Claude Oyima a aussi précisé que BGFI Bank Congo est la première banque qui accompagne les projets structurant du pays.

Meraf MARAKA

 

5 thoughts on “Jean Dominique Okemba se frotte les mains : BGFI Bank Congo partage 5 milliards de dividende à ses actionnaires

  1. il fallait plutot en ce jour lundi 12 mars 2018 faire le point sur le week end du caporal ferdinand masson la nouvelle mythologie du pool apres saint michel.

  2. LES CONGOLAIS DE BRAZZAVILLE ONT-ILS RENONCÉ A LEURS DROITS ET DEVOIRS D’HUMANITÉ ET POURQUOI?
    Renoncer à ses droits d’humanité, c’est renoncer à sa qualité d’être humain. Il n’y a aucune condition humaine ou sociale et d’ailleurs de nul dédommagement possible pour qui, renonce, tout. Parmi les droits fondamentaux de l’homme, il y a bien sur la liberté parce qu’elle est comme première et fondamentale des droits de l’homme, elle n’est susceptible d’aucun dédommagement. Rien, ne la vaut. Et pourquoi ? Parce que la liberté étant la condition même de tout droit. Oui, renoncer à sa liberté, c’est renoncer au droits de l’humanité. Et ce n’est pas tout : renoncer à sa liberté, c’est renoncer aussi aux devoirs de l’humanité.
    A supposer même que nous naissions esclave, que cela soit notre condition à la naissance, nous ne sommes tenus à aucune obligation du point de vue du droit, puisque précisément aucun droit ne nous est reconnu. Par conséquent, sans liberté il n’y a ni droit, ni devoir de l’humanité. La liberté apparaît ainsi comme la condition du droit et de la morale.

    On ne peut donc pas parler d’un droit des esclaves, comme les esclaves congolais de Sassou et des Nguesso d’ailleurs. En effet, on n’est engagé à rien envers celui dont on a droit de tout exiger ». Autrement dit, le clan de sassou et des Nguesso ne sont engagés à rien envers le peuple congolais qui a renoncé à ses droits d’humanité et même à ses devoirs.
    LES CONGOLAIS DE BRAZZAVILLE ONT-ILS RENONCÉ A LEURS DROITS ET DEVOIRS D’HUMANITÉ ET POURQUOI? EXPLICATIONS https://www.youtube.com/watch?v=jUeUmubJNy8

  3. 99.75% DE CONGOLAIS ESCLAVES DE SASSOU ET DES NGUESSOS
    LES CONGOLAIS DE BRAZZAVILLE ONT-ILS RENONCÉ A LEURS DROITS ET DEVOIRS D’HUMANITÉ ET POURQUOI?
    Renoncer à ses droits d’humanité, c’est renoncer à sa qualité d’être humain. Il n’y a aucune condition humaine ou sociale et d’ailleurs de nul dédommagement possible pour qui, renonce, tout. Parmi les droits fondamentaux de l’homme, il y a bien sur la liberté parce qu’elle est comme première et fondamentale des droits de l’homme, elle n’est susceptible d’aucun dédommagement. Rien, ne la vaut. Et pourquoi ? Parce que la liberté étant la condition même de tout droit. Oui, renoncer à sa liberté, c’est renoncer au droits de l’humanité. Et ce n’est pas tout : renoncer à sa liberté, c’est renoncer aussi aux devoirs de l’humanité.
    A supposer même que nous naissions esclave, que cela soit notre condition à la naissance, nous ne sommes tenus à aucune obligation du point de vue du droit, puisque précisément aucun droit ne nous est reconnu. Par conséquent, sans liberté il n’y a ni droit, ni devoir de l’humanité. La liberté apparaît ainsi comme la condition du droit et de la morale.

    On ne peut donc pas parler d’un droit des esclaves, comme les esclaves congolais de Sassou et des Nguesso d’ailleurs. En effet, on n’est engagé à rien envers celui dont on a droit de tout exiger ». Autrement dit, le clan de sassou et des Nguesso ne sont engagés à rien envers le peuple congolais qui a renoncé à ses droits d’humanité et même à ses devoirs.
    LES CONGOLAIS DE BRAZZAVILLE ONT-ILS RENONCÉ A LEURS DROITS ET DEVOIRS D’HUMANITÉ ET POURQUOI? EXPLICATIONS https://www.youtube.com/watch?v=jUeUmubJNy8

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