Il est de petites phrases qui trahissent nos comportements, même les plus sadiques. Le Colonel Philippe Obara avait lancé à Andre Okombi Salissa, le 10 Janvier, lors de son attestation: « vous les Téké de Lékana, je ne vous comprends plus. Vas demander à ton frère Ntsourou comment ça se passe là-bas », c’est-à-dire dans les geôles du pouvoir dictatorial de Denis Sassou Nguesso.
Presqu’un mois plus tard, le brave Colonel Marcel Ntsourou a succombé à la torture dans sa cellule. Son visage émacié et bouffi présente des lésions caractéristiques de la violence qu’il a subie toute la nuit au cours de laquelle il a rendu l’âme. Son corps présenté tel un trophée de guerre a soigneusement été lavé, habillé de son abacost préféré qu’il aimait porter souvent lors de ses procès à répétition.
Un scenario qui rappelle l’immortel Marien Ngouabi à qui Pierre Anga avait coupé la carotide à l’Hôtels le Mistral de Brazzaville, sur l’actuelle avenue Nelson Mandela, le 18 Mars 1977. Son corps fut aussi impeccablement nettoyé et habillé comme si rien ne s’était passé. Ce coup d’état fut ourdi et dirigé de loin par Denis Sassou Nguesso. Comme d’habitude, il n’était pas sur les lieux du drame.
Entendre s’exprimer le Procureur André Oko Ngakala qui gère des escadrons des tueries des cadres téké à la Maison d’Arrêt de Brazzaville ne peut que faire réfléchir deux fois. Il veut exhiber le jeune Franck Mbani, pourtant codétenu de Marcel Ntsourou, donc très bien contrôlé par la justice congolaise, afin qu’il donne une version des faits qui laverait le pouvoir de Brazzaville de tout soupçon, certainement après des pressions, intox et menaces.
Il faut être né d’hier pour ne pas voir que les dés sont d’avances pipés. Et pourquoi ne parle t-il pas d’un autre membre de la famille, en l’occurrence monsieur Benjamin Mbani, papa de Frank Mbani lui aussi codétenu ? Est-il sûr que le cousin de Marcel Ntsourou, c’est-à-dire Frank Mbani, ait pu observer son « grand frère », comme il aimait l’appeler vomir du sang, sans aller alerter son papa ?
Connaissant les interprétations multiples que cette tragédie provoquerait, pourquoi les autorités de la Maison d’Arrêt qui connaissent très bien le lien familial entre Marcel Ntsourou et Benjamin Mbani ne seraient-ils pas allés appeler son oncle Benjamin Mbani?
Tout premier leader d’un parti politique à être arrêté au même moment que son neveu Marcel Ntsourou , Benjamin Mbani fut le chef du district de Mbon, dans le Département des Plateaux, en 1997, lorsque Denis Sassou Nguesso est revenu au pouvoir par les armes. Il est le petit frère maternel de la maman de Marcel Ntsourou, et papa du jeune Frank Mbani.
Pour avoir vu le Colonel Marcel Ntsourou en train de gémir et de vomir du sang, Maître Ludovic Désiré Essou a fait l’objet d’une interpellation hors de la présence de monsieur le Bâtonnier ou de monsieur le Procureur Général près la Cour d’Appel de Brazzaville, en violation de l’article 53 alinéa 4 de la loi n°026-92 du 20 août 1992. Son interpellation est, hélas, suivie de la garde à vue au poste de Commandement de la Gendarmerie de Brazzaville.
Que lui reproche-t-on, puisque le colonel a été « victime d’un arrêt cardio-vasculaire (AVC) , à en croire le procureur et le médecin-chef de l’hôpital militaire ? Si le pouvoir de Brazzaville ne se reproche rien, pourquoi a-t-il détenu Me Ludovic Désiré Essou, avocat du Général Jean-Marie Michel Mokoko ? Encore une brebis galeuse téké, comme un 18 Mars 1977, lorsquel le caporal Ontsou et le lieutenant Mboro, payèrent de leur vie sans avoir tue Marien Ngouabi, N’est-ce pas ?
D’Ontsou à Essou en passant par Ntsourou, tous téké et victimes des assassinats politiques crapuleux, n’a-t-on pas l’impression que l’histoire bégaye en République du Congo ?
Quelle que soit la durée de la nuit, le soleil finit toujours par poindre à l’horizon. Toutes ces pratiques d’un genre révolu sont celles d’un régime aux abois.
L’on n’en parlera jamais assez, le Colonel Marcel Ntsourou fut arrêté le 16 Décembre 2013 avec 52 jeunes congolais d’ethnies multiples. Rien que pour son village de Lagué, à Lékana, ils sont 37. Quelle est la stratégie du pouvoir de juguler cette crise sans précédent dans l’histoire belliqueuse du Congo ? Denis Sassou Nguesso va-t-il faire de Marcel Ntsourou un deuxième Roi Béhanzin, qui sera enterré avec toute sa cour ? Seul l’avenir nous le dira.
“Tu quoque mi fili” « Toi aussi, mon fils !», a lancé Jules César au moment de sa mort à Marcus Junius Brutus, son fils adoptif qu’il croyait l’avoir trahi. Entre Marcel Ntsourou bien que mort et Denis Sassou Nguesso, le duel ne fait que commencer. Le dictateur comprendra alors qu’il est des assassinats politiques qui hantent des régimes jusqu’à en précipiter la chute. Le sien vit ses dernières convulsions.
Pour beaucoup d’observateurs, l’assassinat de Marcel Ntsourou était programmé depuis belle lurette. Que l’on se souvienne de l’attaque de la Maison d’Arrêt de Brazzaville le 29 Décembre 2016. Le pouvoir de Brazzaville avait d’autres préoccupations. En effet, profitant du vide du pouvoir apparent aux USA, résultant de la transition des régimes entre Barack Obama puis Donald Trump, et du fait que les media du monde étaient plus concentrés sur la guerre en Syrie, le pouvoir de Brazzaville voulait en finir avec l’un de ses prisonniers les plus encombrants.
Une réunion d’urgence fut alors programmée à la DGST, à laquelle assistèrent Jean-Dominique Okemba pour le compte de Denis Sassou Nguesso, son adjoint Philippe Obara, le Colonel Thomas Bakala Mahinda, Jean-Francois Ndenguet, directeur de la police nationale, le Colonel Jules Mounkala Tsoumou, porte-parole de la police nationale, Jacques Francois Bouity directeur général de la police départementale du Pool, son adjoint Amédée Ovounda, le Général Nianga Mbouala Ngatsé, avait œuvré dans ce sens.
A l’ordre du jour, à défaut du Colonel Marcel Ntsourou, il fallait abattre coûte que coûte le Général Jean-Marie Michel Mokoko ou bien Paulain Makaya, leader de l’U.P.C, si ce n’étaient les trois à la fois. Ce plan échoua parce que les trois opposants politiques, accrochés à la gorge de Denis Sassou Nguesso tels des os, ne sortirent pas de leurs cellules au moment de faux troubles créés par le pouvoir. C’est ainsi qu’ils évitèrent de justesse d’essuyer les balles du terroriste député Aimé Hydevert Mouagni et ses supplétifs de miliciens cobras envoyés par Jean Dominique Okemba, Jean-Francopis Ndenguet et Philippe Obara.
Comme d’habitude, François Bikindou, directeur de publication du journal Le Troubadour, appartenant à Jean-François Ndenguet, avait déjà préparé un article croustillant donnant Marcel Ntsourou et ses codétenus pour abattus alors qu’ils voulaient s’évader de la Maison d’Arrêt. Il doit devoir attendre longtemps pour le publier.
Après cette tentative d’assassinat collectif manquée, le clan pensa que le nombre élevé de participants pouvait avoir provoqué des fuites et fait capoter l’opération. Au cours d’une seconde réunion plus restreinte réunissant cette fois l’amiral Jean-Dominique Okemba, le colonel Thomas Bakala Mahinda, le général Jean-François Ndenguet, le général Jacques Bouity, le général Nianga Mbouala Ngatsé et le colonel Philippe Obara, il fut décidé de procéder aux assassinats cas par cas, en commençant par le colonel Marcel Ntsourou. Suivraient alors le général Jean-Marie Michel Mokoko et Paulain Makaya.
C’est sans oublier alors que les cadres téké ne font plus dormir Denis Sassou Nguesso, depuis qu’ils l’ont aidé à reconquérir le pouvoir. Le fils de maman Mouébarra s’est replié sur son ethnie mbossi, tournant le dos à ses amis d’hier. « C’est bien beau de se laisser porter au pouvoir par des soldats au motif que vous êtes le plus gradé, commenta un jour Omar Bongo Ondimba au sujet de l’assassinat du Général Ibrahim Baré Maïnassara le 9 Avril 1999. Ma foi, le soldat devenu officier aimerait aussi régner à son tour, dans un pays où il n’y a qu’un seul fauteuil présidentiel pour plusieurs prétendants.» C’est en fait ce qui arrive à son beau père Denis Sassou Nguesso.
Le 10 Janvier 2017, contre toute attente, ce fut le tour d’André Okombi Salissa d’être arrêté dans des circonstances rocambolesques, presque trois semaines après l’assassinat de son jeune frère Roland Ngambou à la DGST.
L’arrestation d’André Okombi Salissa avait pour but entre autres, de détourner et focaliser l’attention des congolais sur celle-ci plutôt que de continuer à jaser sur l’échec de la rencontre de Denis Sassou Nguesso et Donald Trump.
Roland Ngambou mourut le 21 Décembre 2016. Il était infirme et n’avait aucune ambition politique. Il aurait dit à Jean-Dominique Okemba, « même au prix de ma mort, je ne vous dirais rien, puisque je ne sais pas où il se cache. ». La même nuit il fut tué: une victime innocente de plus.
Son grand frère André Okombi Salissa, resta emprisonné à la DGST pendant deux semaines, dans un pays où la garde à vue est légalement de 72heures. Torturé à outrance, il s’évanouit trois fois avant sa présentation au juge d’instruction que le 23 Janvier 2017.
Transféré à la Maison d’arrêt le même jour, il fut précipitamment sorti la nuit par un commando envoyé par Jean-Dominique Okemba et Jean-François Ndenguet . Reconduit à la DGST par une escorte de trois blindés, il y subit encore des tortures ce jour. Son corps meurtri, semble t-il, couvert de blessures qu’on se demande s’il pourrait survivre.
N’est-ce pas que le séjour d’un détenu à la DGST fait partie de la garde à vue, le temps de l’enquête pour établir s’il devrait être présenté à un juge ou pas ?
Pourquoi continuer à ainsi taper et torturer les détenus en attente des jugements ?
Qu’est-ce qui justifie des exécutions sommaires extra judicaires dans un pays ou la peine capitale a été abolie par la conférence nationale souveraine ?
Pourquoi les juridictions internationales restent-elles silencieuses sur ces fragrants délits de droit commun au Congo Brazzaville ?
Que fait La commission africaine des droits de l’homme et des peuples a Banjul, en Gambie ?
Qu’en dit la Cour africaines des droits de l’homme et des peuples a Arusha, en Tanzanie ?
Qu’en est-il de la Cour Pénale Internationale (CPI).
L’agenda caché du clan du pouvoir d’Oyo, a-t-on apprit, serait de profiter d’une moindre faille ou désordre social pour « zigouiller » tous les prisonniers politiques les plus importants, décapitant alors l’opposition de ses ténors. Ainsi, le cycle de la violence rentre dans sa phase la plus brutale.
Après, Denis Sassou Nguesso pourrait se retirer sereinement, convaincu qu’il n’y aura plus personne pour entraver l’ascension de son fils Christel Denis Sassou Nguesso alias Kiki jusqu’à la magistrature suprême.
D’ailleurs le tout premier crime politique crapuleux passé presque inaperçu perpétré par le clan d’Oyo au pouvoir, serait l’assassinat en 2013 par le Général Pascal Ibata, médecin-chef de l’hôpital militaire Pierre Moubengo de monsieur Grégoire Moua Likibi, oncle et ancien directeur de cabinet de André Okombi Salissa. Le ministre venait d’être relevé de ses fonctions.
Allé à l’hôpital Général de façon volontaire pour un contrôle diabétique de routine, il fut transféré à sa grande surprise à l’hôpital militaire au motif que son taux de glycémie était trop élevé; ce qui évidemment étonna, à l’époque, le patient lui même car il l’avait mesuré avant de se rendre à son rendez-vous médical. Gardé là-bas soit disant « en observation préventive prolongée », il n’en sortira plus vivant.
Sans traitement véritable, au bout de cinq jours, le vrai faux malade du Général Pascal Ibata « qui pourtant vers 13h se portait très bien et espérait sortir » à en croire son meilleur ami, professeur à l’université Marien Ngouabi, rentra très brusquement dans un coma profond. C’était alors un dernier sommeil dont il n’allait plus se remettre.
Il fut alors décidé de le ramener de nouveau à l’hôpital où il était pourtant dit auparavant qu’il n’y avait pas de traitement. Tout ce va et vient avait pour but de perdre du temps en attendant que le malade meurt.
Peu avant son transfert à l’hôpital Général, le Général Pascal Ibata en personne vint lui faire une injection sur sa fesse gauche. Les urines immédiates du malade furent un motif de satisfaction pour le médecin-chef de l’hôpital militaire Pierre Moubengo. Mais, quelle ne fut pas la stupéfaction de la famille lorsque dans les presque dix minutes qui suivirent, l’ancien directeur de cabinet rendit l’âme. Ainsi Grégoire Moua Likibi a payé de sa vie la haine du pouvoir pour André Okombi Salissa et la dualité Téké – Mbossi.
Tous les mbossi n’étant pas traités à la même enseigne, ils ne prennent évidemment pas tous part au festin : Lèdja, lènua lèbina otsatsa (on mange, on voit et on danse en désordre) ! Très tôt ce soir là, des suspicions se mirent à s’ébruiter. Beaucoup de jeunes mbossi, dont la plupart sont originaires d’Oyo et de Boundji, etc. auxquels André Okombi Salissa, du temps où il était ministre, révélèrent l’existence d’un plan diabolique d’élimination systématique de tous les cadres tékés qui passeraient par l’hôpital général et l’hôpital militaire Pierre Moubengo de Brazzaville.
Une telle épuration des cadres vise à amputer André Okombi Salissa de la main habile, autrement dit des gens valides avec lesquels gouverner au cas où il aurait gagné l’élection présidentielle de 2016 : « on verra bien avec qui il va construire ce pays, lui qui se prend pour un bâtisseur » avait lancé Jean-François Ndenguet au cours d’une réunion restreinte tenue à Mpila, anciennement cimetière téké, devenu célèbre depuis que le dictateur congolais Denis Sassou Nguesso y a élu domicile.
Grégoire Moua-Likibi n’était pas n’importe qui. Le docteur ès lettres option sociologie, enseignait à l’Ecole Supérieure d’Administration en face du collège -lycée Nganga Edouard. C’était donc une semence porteuse d’espoir qui venait d’être tuée.
D’ailleurs, eût-il été vivant jusqu’à de nos jours, lui qui avait une santé fragile, croupirait aujourd’hui derrière les barreaux, si l’on ne l’aurait pas déjà tué et jeté son corps dans le fleuve Congo comme c’est le cas des deux gardes corps d’André Onombi Salissa, notamment Claude Ngouobolo et Evariste Ngakié, tous deux portés disparus avec épouses et enfants.
Tout porte à croire que la guerre contre les tékés a bel et bien été préparée dans les officines de l’Oyocratie. Une dynamique dans l’opposition comme celle des jeunes qui s’étaient réunis au Boulevard pour dire Non au changement de la constitution suffirait pour que les brazzavillois marchent sur le palais du peuple vidé par son locataire, lequel est allé se refugier à Malabo, la Guinée Equatoriale n’étant pas signataire du traité de Rome instituant la CPI.
De la Guinée Equatoriale, Sassou Nguesso est allé au Liban. Au vu de la manière dont le procureur André Oko Ngakala et le Général Pascal Ibata se démènent pour justifier la mort de Marcel Ntsourou par un arrêt cardiaque, qui n’en est pourtant pas, la peur a changé de camp.
Le moins que l’on puisse dire c’est que le brave officier supérieur des Forces Armées Congolaises (FAC) été assassiné, ayant été torturé toute la nuit sur instructions de Jean-Dominique Okemba, lequel reçoit les ordres du sanguinaire Denis Sassou Nguesso. Il a succombé à des blessures internes, vomissant un torrent de sang :
« ça ne fait rien Sassou Nguesso me tue aujourd’hui, mais il me suivra bientôt » est désormais une petite phrase assassine qui sonne le glas ou la fin prochaine du régime moribond de Denis Sassou Nguesso. Pendant combien de temps les congolais vont-ils continuer d’assister passivement à ce qu’un homme ait raison de tout un peuple ? « On ne gagne pas la guerre contre un peuple », aimait dire Pascal Lissouba. Va-t-on tolérer ainsi l’assassinat de tous nos leaders politiques sans ne rien faire ? Notre plus grande culpabilité sur l’autel de l’histoire serait de ne rien tenter. Il y va de notre responsabilité en tant que hommes de culture face à l’histoire, n’est-ce pas ?
Colonel Destin Morapenda
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Sur la colline de mantsimou, je me retrouvais avec toi mon cher MAGNA, je te demandais comment les ninjas ont pu franchir la barrière sécuritaire pour arriver jusqu’à brazzavile.tu me répondais d’un ton sec que c’est l’oeuvre de ceux qui veulent destabiliser sassou c’est à, dire son neveu okemba et ses compères denguet et autres.battons nous et repoussons les jusqu’à leur dernier retranchement.nous n’étions que deux toi et moi.Tu as empéché l’un d’abattre l’autre mais pour combien de temps encore.Bien avant toi, ils me mirent en minorité pour m’achever au maroc pour une maladie d’origine bizzare.Aujourd’hui tu quittes la terre congolaise qui nous est chère mais tu as du dire aux autres que SASSOU est une vipère, un monstre froid.il ridiculise et tue.
Je reconnais tes compétences , grand officier aimant l’ordre et la discipline ton caractère ne pouvait que t’attirer des ennuis et des inimitiés .
Brave , les russes reconnaissent tes dons et disaient que tu es un génie mais au milieu des ténèbres les génies n’ont pas leur place.
Je serai heureux de te revoir pour parler de notre école des cadets, de l’histoire militaire de la russie , de napoléon bonaparte, de omaley des espions russes et allemands que tu aimais lire.
BON sommeil mon cher colonel et frère.tes assassins n’auront plus dès aujourd’hui le sommeil profond.
sassou ng lors du deces de marcel tsourou etait a malabo dans le cadre du sommet de la cemac.il nest donc implique ni de pres dni de loin dans ce deces.attention aux accusations fortuites.
ACCUSATIONS FORTUITES YA LIBOLO YA MAMA NA YO !
ZOBA ! YEZA ! ASSASSIN !
VOUS MOURREZ BIENTOT !
NTSOUROU VOUS A JETE LA MALEDICTION ! ET SES VIDEOS CIRCULENT DEJA, ALORS QUE VOUS CROYIEZ LE FAIRE TAIRE !
IL VOUS A DEBORDE ! PLUS INTELLIGENT QUE VOUS CES ENREGISTREMENTS ETAIENT DEJA EN LIEU SUR
IMBECILE ! SALE PEDE !
MBOULA MAMA KOU KOUA WIRI !
PEDOPHILE INCESTUEUX VA DEFLORER TA FILLE DE 8 ANS COMME TU EN AS L’HABITUDE
SALE POURRITURE !
LOQUE HUMAINE !
ah bon, marcel tsourou devient un brave officier?
OUIII ! Plus brave que vous sale enculé !
Il vous a affronté sans peur de la mort. Toutes les morts ne se valent pas ! La votre sera celle des asticots et des crapauds que vous êtes.
Tu as fini de baisé ta fille ???????
il n y a pas de regime de denis sassou ng.il a ete elu et a mis en place une nouvelle equipe gouvernementale. le gvt ne vit pas ses dernieres convulsions.mieux le congo a engrange un franc succes avec le port de pointe noire qui a traite 9,5 millions de tonnes.
9,5 millions de tonne sortis de libolo ya mama na yo !
Sale pédé !
pascal lissouba ? collez la paix a cet homme qui avait bel et bien battu bernard kolelas.
NTUMI t’attends dans le Pool ! Pourriture d’assassin !
Buveur du sang des autres !
Bientôt nous vous traquerons dans tous les pays du monde et même sous terre !
Anthropophage !
Scatophage !
Vomissure d’ivrogne !
Fosse d’aisance humaine saturée !
MINABLE VERS DE TERRE !
BOUSIER !
Marcel Ntsourou était un militaire et non un homme politique. Que disent alors les militaires ? Attendent ils qu un autre, en occurrence Mokoko, passe de l autre coté aussi, pour se faire entendre ou bien attendent ils que les FALC fassent le travail a leur place ?
En lari on dit « wa fwa wa toma » je ne suis pas un hypocrite, Ntsourou déclarait au procès des disparu du beach quand on lui posait la question de savoir s’il voyait des cadavres passer dans le fleuve. Je cite: « pensez-vous que j’ai le temps d’appeler la voirie parce que y a des cadavres qui passent sur le fleuve » pour lui les cadavre était des simples ordures, pourquoi avoir de l’ampathie comme une personne comme lui? C’est pas parce qu’il est devenu opposant de Sassou que ça fait de lui un saint, aussi il est devenu opposant par rapport à son intérêt personnel et non celui du peuple, il est mort par cupidité, je ne vois pas pourquoi faire une veillé pour ce genre que personnes, savez-vous le nombre de famille que lui et sa bande en endeuillée? Le nombres de femmes qui sont resté veuves? Le nombres d’enfants devenu orphelins? Connaissez-vousble nombre de fils de gens qu’ils ont tué? J’ai peut-être oublié mais pas pardonné pourtant je n’avais que 13ans en 1999 mais je m’en souviens encore comme si c’était hier, si vous vous avez la memoire courte pas moi, quand il se moquait des disparu du beach il le faisait avec bcp d’arrogance, tout comme le general Garcia, aujourd’hui c’est son tour, et perso je ne suis même pas choqué de sa mort, quebce soit lui, Adoua, willy Matsanga… Je leur souhaite que la terre leur soit lourd, vous oubliez les pasteurs qu’ils ont fait tué à Mindouli? Mais putain les journalistes vous n’êtes qu’une bande d’écervellé
Tu prends une phrase, tu la sors de son contexte et tu lui injecte la folie cacateuse sortie du fond de ton subconscient pour espérer en faire une vérité d’évangile ????
C’est toi qui est écervelé parce que tu ne comprends pas la marche de l’histoire !
Vous les Sassouistes, croyez duper les gens ??????
Tu ferais mieux d’aller écouter les vidéos que NTSOUROU même de son lit de mort vient de publier.
Vous espériez le faire taire ???
Hélas pour votre malheur IL PARLE !
OUIIII NTSOUROU MEME MORT, PARLE !
ET BIENTOT SON ESPRIT VOUS TRAQUERA COMME DES VULGAIRES MOUSTIQUES NUISIBLES !
Infos:
– Avec son camion mobile et des soins medicaux à la » con », Kiki prévoit d’aller soigner la population de GAMBOMA. On ne sait pas ce qu’il va inculer aux gens( pour les exterminer). Il faut dissuader les gens de n’a pas y aller.
– Une Congolaise au nom de GLORIA EDZOUTA qui s’était infiltrée dans des structures de la diaspora en France, baise avec kiki dans les hôtels en France. Non seulement elle va disséminer le SIDA mais aussi elle va empoisonner les congolais de la diaspora.
Que faisaient les 87 personnes présentes chez Tsourou quand son domicile fut attaque? cela sous entend clairement qu’ il préparait quelque chose, peut être une autre attaque ciblée sur Bacongo . Ce type n a jamais été quelqu’ un de bien, il a précipité la mort de plusieurs personnes surtout les lari, et vous voulez que les gens organisent une veillée mortuaire pour lui? Pourquoi quand il était vivant n avait il pas explique comment ils avaient organise les assassinats crapuleux du Beach? Plus de 300 personnes, que des Lari, et vous voulez que les gens s apitoient sur son sort? Vous reconnaissez qu’ il avait aide Sassou a reconquérir le pouvoir, il a donc une lourde responsabilité sur la déboires actuels des congolais, et vous croyez que nous avons la mémoire courte?
Idiot
Enculé de sale Sassouiste
Tu crois venir berner les gens ici ???
Mboula mama kou !
Es-tu mbochi ou lari?
Tu ne ressembles pas à un nibolek téké!
Ils sont nombreux ce colonel écrivain !
Ou alors, il est multiple ces colonels convertis à la plume.
On dirait que ce tout dernier a du reprendre du service. Car lui n’est pas à la retraite, semble-t-il!
oui le colonel marcel tsourou n’etait pas un opposant politique car il n’avait pas de parti politique.il n’etait membre d’aucun groupe politique style idc frocad…alors il avait quand meme acquis des cocktails molotov pour faire sauter la station total de bacongo et la gare de brazzaville.y a t il au sien de larmee congolaise un code de bonne conduite? mais en tt cas il est mort , au colonel f mbaou guy b p kolelas, lydie kolelas d rediger leurs testaments.ils mourront en 2017.en tt cas guy b p kolelas sera tue avant 2021 il ne sera pas candidat en 2021. okombi salissa lui aussi mourra.
SALE MENTEUR DE SASSOUISTE , ASSASSIN !
NTUMI t’attends dans le Pool ! Pourriture d’assassin !
Buveur du sang des autres !
Bientôt nous vous traquerons dans tous les pays du monde et même sous terre !
Anthropophage !
Scatophage !
Vomissure d’ivrogne !
Fosse d’aisance humaine saturée !
MINABLE VERS DE TERRE !
BOUSIER !
POURQUOI LE DICTATEUR SASSOU NGUESSO A-T-IL EU RAISON DE MASSACRER LES CONGOLAIS? https://www.youtube.com/watch?v=6TFluyPjlr4
Ce qui vous préoccupe c’est de savoir qui a tué Ntsourou marcel, et pourtant vous connaissez bien la réponse. A mon avis vous ne vous posez plus des bonnes questions; l’unique question capitale est: que faut il faire nous les hommes en armes puisque vous avez signé officier supérieur. Malheureusement vous etes aussi rentré dans cette routine de discourir comme les civiles. Même un enfant né hier sans etre intellectuel ou cadre supérieur connait déjà la réponse à votre question. Vous les officiers congolais vous faites vraiment honte. Bon je sais que vous allez dire « nous n’avons pas des armes… » Dans ce que cas ne vous plaignez pas, laissez faire alors les choses jusqu’à votre tour. Il ne suffit pas de dire des mots, faire de long courrier, apporter des témoignages; c’est vrai que c’est pas mauvais pour la culture du savoir; mais à quelle visée? juste savoir et on s’arrête là? C’est mieux pour vous d’écrire un ouvrage à publier et les curieux iront lire pour savoir. Pourquoi avoir longtemps attendu sa mort pour nous dévoiler tout ceci? Technique de persuasion afin de regrouper la masse à la cause? Mais montrer d’abord l’exemple et le peuple vous suivra. Le peuple a fait sa preuve déjà lors du refus du référendum et aux présidentielles, il a même laissé les siens (paix à leurs âmes). A quand alors votre tour, officiers et sous-officiers?Attendez vous la mort de Mokoko pour nous sortir encore qui a tué Mokoko?
JE VALIDE ! 10/10
En passant, il faut savoir faire la différence entre AVC=Accident Vasculo-Cérébral qui peut constituer un diagnostic et Arrêt Cardio-Respiratoire qui n’est pas un diagnostic mais une finalité de toute personne morte comme l’erreur grave commise par cet incompétent médecin général en papier ne proposant même pas une autopsie et l’autre incompétent procureur général en feuille morte répétant les mêmes erreurs comme un perroquet.
Si un officier vous dit que lui et ses camarades n’ont pas d’armes, comme excuse, alors vous avez affaire à des imposteurs, des civils en tenue militaire. Le Cancre d’Edou évincé, est revenu et allé chercher les armes nécessaires à la caserne même, pendant que nos soldats romanciers prenaient la clé des champs. Et penser que Takou par dessus le marché n’est pourtant qu’un pied nickelé. C’est autant dire qu’il a longtemps compris qu’en face, il n’y a que des trouillards tintins qui se considèrent tout de même, soldats. Alors que l’on voit bien qu’ils se sont trompés de fonction. Pas de cumul de profession virtuelle, s’il vous plait.
Choisissez!
SASSOU DÉGAGE: L’INSURRECTION SOUVERAINE EST ANNONCÉE PENDANT LES PRÉSIDENTIELLES FRANÇAISES.
Le dictatueur en série congolais, Denis Sassou Nguesso a toujours su subtilisé les congolais comme du bétail mortuaire humain. C’est ce que d’ailleurs aucune bête animale sauvage n’a pas pu le faire à l’humain depuis presque deux millions d’années.Ceci est donc un cas d’interface nouvelle entre animalité (sauvagerie) et humanité (barbarie) à l’échelle d’un écosystème humain africain. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/02/sassou-degage-l-insurrection-souveraine-est-annoncee-pendant-les-presidentielles-francaises.html
Bonsoir chèrs frères et soeursJe m’apelle CELINE LOPEZ
Je fais ses témoignages pour témoigner la compétence d’un vieux vraiment formidale.
Je vous assure que j’ai eu à contacter plusieurs marabouts qui sont rien que des faux , des menteurs, des escros je ne sais plus quoi les qualifiés mais suite aux plusieurs recherches je suis tomber sur ce vieux qui m’a vraiment redonner le bonheur , le bonheur que je recherche depuis tant d’années il est vraiment formidable je souffrais d’une rupture avec mon mari il m’a quitté cela à fait 1 an 1 mois et mème au boulot j’ai perdu le travail mon père était gravement malade mais dans un interval de 3 jours je vous rassure que j’ai eu des miracles dans ma vie grace à ce vieux aujourd’hui je vis bien avec mon mari , mon père est guérit, on m’a rapellé au boulot et j’ai mème reffuser mais actuellement je suis dans un autre service qui est mieux que l’autre vraiment je ne sais pas comment remercié ce vieux il m’a travailler sans me prendre un euro j’ai d’abord eu la satisfaction avant de le récompenser vraiment il est très bon ce vieux . Alors vous qui souffrez de n’importe que problème , vous qui avez n’importe des soucis ne vous faites plus de souci contacté directement ce vieux voici son adresse mail retourbonheur@yahoo.fr ou vous pouvez l’apellez directement sur son numéro portable 00229 98 78 86 81
Pendant la dictature Lissoubiste Okombi Shalisha, Ntshuru et d’autres étaient libres de leurs mouvements s’employant à comploter contre la dictature d’alors et le peuple congolais. Aujourd’hui, comme par ironie sous ladémocratie shashuiste, Ntshuru a bien fini ses jours dans les geôles du pouvoir démocratique pendant qu’Okombi Shalisha lui, y croupit encore. N’est ce pas paradoxal ?
Je suis sûre qu’aujourd’hui, il y’a fort à parier que Ntshuru qui a une fois reconnu devoir sa promotion au grade de colonel à Pascal Lissouba aurait mieux préféré la liberté dans la dictature lissoubiste à la prison dans la démocratie shashuiste.
Que Dieu bénisse le Congo-Brazzaville et son peuple !