Première rencontre du conseil des Présidents des partis de l’opposition congolaise

Il s’est tenu ce vendredi 5 mai 2018 au siège provisoire de l’opposition congolaise (siège de l’Upads), une réunion de contact du conseil des présidents des partis politiques de l’opposition congolaise.

Ci-dessous le communiqué sanctionnant les travaux.

6 thoughts on “Première rencontre du conseil des Présidents des partis de l’opposition congolaise

  1. CHRONIQUE D’UN PEUPLE PRÉDISPOSÉ A LA LIBERTÉ-ATTITUDE ET AU BUT DE LA CONDITION HUMAINE.
    L’article 12 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 précise que: «La garantie des droits de l’Homme et du citoyen justifie l’existence et l’entretien d’une force publique, mais cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.» Explications: https://www.youtube.com/watch?v=PNW-rCPQZkc

  2. Maintenant que TSATY- MABIALA va être entretenu par le système, IL DOIT DECLARER SON PATRIMOINE conformément à la constitution…Pour montrer l’exemple. Tout le monde attend ce geste. S’il ne le fait pas, alors il est comme les autres.

  3. Chè(e)r(e)s compatriote(s),

    Le repli tactique pour rejoindre en urgence le bastion de la Résistance dans la région du POOL tient de temps à autre éloigné bon nombre d’entre nous des débats sur la toile. Ce repli tactique n’avait pour but que d’aider nos combattants dans le POOL à augmenter leurs capacités logistiques au profit de l’assaut final planifié pour être déclenché à tout moment dans un contexte politico-social défavorable au putschiste. Ce qui a obligé ces derniers temps la Françafrique à monter ostensiblement sur tous les fronts pour tenter vainement d’empêcher l’entrée triomphale de nos Forces dans Brazzaville ; une entrée de nos Forces initialement prévue pour la fin de l’année écoulée (décembre 2017), ensuite reprogrammée au mois de mars idéalement pour venger le Président MARIEN NGOUABI (d’où la fuite du putschiste escorté par 2 hélicoptères de combat vers KIGALI), puis ajournée encore pour être déclenchée à tout moment au gré des données du contexte et des opportunités à venir. Persévérez dans la lutte, Chè(e)r(e)s compatriote(s), car tout vient à qui sait attendre. Même si c’est aussi dans la retraite que l’on perd des hommes comme ceux de la Diaspora parisienne qui ont cédé aux sirènes du traitre Guy-Brice Parfait KOLÉLAS, chacun pour aller chercher son mini-sac « nguiri » envoyé par le putschiste SASSOU II (grand corrupteur devant l’éternel).

    Toutefois, notre capacité opérationnelle à tenir la dragée haute à l’ennemi (soutenu par la Françafrique qui, elle-même, s’appuie sur les moyens de la 5e puissance au monde) est une réussite non négligeable pour notre peuple qui mérite de savourer cette relative avancée en attendant la victoire finale qui n’est que partie remise. Et, la victoire est si proche que le Militant de la Résistance revient momentanément sur la toile pour vous apporter son éclairage à la compréhension des accords décousus et incongrus de KINKALA.

    Dans le but de sortir de la polémique stérile, révélatrice de la politique de « diviser pour mieux régner », le Militant de la Résistance vous apporte son témoignage sur la réalité des manipulations qui courent l’espace politico-social du Congo-Brazzaville. Les déclarations ci-dessous suivent la chronologie de la petite histoire des « fake news » au sens de la rumeur alimentée par les officines du pouvoir putschiste. Et, chacun comprendra pourquoi les partisans de SASSOU ont festoyé à leur manière la fête du nouvel an sans craindre le ridicule qui les caractérise de façon anthropologique (ce n’est donc pas qu’une légende). Pendant ce temps, notre peuple est réduit à se nourrir de la merde du genre « matémbélé » (un légume pour cochon d’inde), « tapis rouge » (peau de porc brulée au charbon), « mbondikilage » (eau froide bourrée de sucre, en lieu et place du thé ou café au lait), etc.

    Confidence pour confidence, voilà le récit chronologique des événements passés :

    Premièrement, sachant que son sort était celé pour la fin de l’année 2017, l’unique ennemi du peuple connu sous le nom de Denis SASSOU NGUESSO a précipité sa fuite en avant vers Paris afin de proroger son contrat françafricain d’assassin par procuration. Grosse erreur, puisque ce dernier se souviendra toute sa vie du camouflet infligé par la Diaspora qui a su l’affronter avec bravoure. Le putschiste est retourné à Oyo plus essoufflé que jamais après son évasion sans tambour ni trompette vers Oyo orchestrée par la Françafrique qui avait au paravent tenter de déstabiliser nos relais médiatiques hexagonaux dont Médiapart, des hauts responsables politiques et d’autres amis du peuple congolais importunés par les banques Françafricaines (telles que la BNP et la Société générale) connues pour des montages financiers au profits des potentats africains.

    Deuxièmement, le pouvoir putschiste est toujours en quête d’une légitimité. Pour cela, ce pouvoir s’accroche en désespoir de cause à tout ce qu’il pourrait interpréter comme un quitus de la Communauté internationale. La Françafrique le sait et Matthieu PIGASSE (l’un des pontes de la Françafrique) a voulu engager la Banque LAZARD (dont il est le directeur général délégué en France) pour sauver cet ami de la Françafrique connu sous le nom de Denis SASSOU NGUESSO. Heureusement, la confiance de nombreux partenaires internationaux s’émousse. Les plus réalistes ou les moins diplomates l’affirment. Mais pour tromper ceux qui nous tiennent lieu de Communauté internationale, le putschiste SASSOU II (avec l’aide de la Françafrique rencontrée en décembre à Paris) n’avait pas d’autre choix que d’agiter le chiffon rouge d’un accord fictif de cessation des hostilités dits accords de KINKALA avec de faux Ninjas téléguidés à KINKALA. Une vaine entreprise comme chacun le sait aujourd’hui.

    Faut-il le rappeler ? Pour sa part le rebelle-putschiste SASSOU II s’est souvenu qu’il avait déjà volé l’argent du HCR versé en 98 pour la démobilisation des ex-résistants et de leur réinsertion sociale. Lesquelles démobilisations/réinsertions se font toujours attendre. Cependant, il n’est plus à démontrer que le putschiste a un cruel besoin d’argent pour sa propre survie et pour celle de ses mercenaires en déroute dans la région du Pool. Selon ce putschiste, on ne change pas une stratégie qui gagne. Afin de desserrer l’étau financier qui l’étrangle fatalement, la Françafrique lui a conseillé de multiplier des initiatives de paix avec une Résistance même hypothétique pour pouvoir obtenir l’aide du FMI. Telles sont les recommandations de la Françafrique qui s’agacent de ne plus pouvoir piller nos ressources naturelles en silence.

    Troisièmement et dans ce contexte de faillite économique, les arriérés de salaire touchent tous les secteurs, sauf les militaires qui peu à peu se rendent à l’évidence qu’ils seront bientôt rattrapés par des impayés salariaux. « Si tu avances nous avancerons, mais si tu recules nous t’abattrons » se souvient SASSOU qui avait ainsi menacé de mort le Président NGOUABI. Pour se rassurer, le putschiste SASSOU II avait besoin, comme un vieux gorille, de casser des branches mortes du genre Norbert DABIRA et NIANGA-MBOUALA prétendument convoqués à la DGST pour amuser la galerie. En dépit de cette vaine diversion, notre peuple reste cependant vigilant et déterminé à le chasser coûte que coûte.

    Le Militant de la Résistance ajoute que le séjour en décembre 2017 du putschiste à Paris, le récent séjour de sa femme ANTOINETTE à KINKALA, le marché de dupes entre SASSOU et faux « chargé de mission » de NTUMI, les fausses convocations de Norbert DABIRA et de NIANGA-MBOUALA à la DGST, les accords fictifs avec l’identité usurpée de Jean-Gustave NTONDO ne sont que des artifices d’un parachute destiné à ralentir la chute du putschiste SASSOU II. Seulement, le baptême du saut en parachute avec chute libre de ce putschiste en tandem avec la Françafrique s’annonce périlleux, sachant que ce tandem est dépourvu d’équipement adéquat. Béret rouge sans avoir passé le brevet du saut en parachute, le « mamadou » SASSOU II ignore surtout que la vitesse terminale d’un parachute ne doit pas excéder un certain seuil afin que la réception au sol soit efficace. En outre cet apprenti parachutiste (qui n’est pas « para-commando » comme NGOUABI) ignore la poussée d’Archimède selon laquelle l’altitude H trop basse par rapport au sol au moment où il ouvre son parachute lui sera fatal. Nous appelons donc notre peuple à se tenir prêt à ramasser sur la piste d’atterrissages ce criminel qui sera jeté aux fauves pour venger le Président MASSAMBA-DEBAT.

    Bref, pour revenir aux accords décousus et incongrus de KINKALA, le Militant de la Résistance rappelle à nos compatriotes que Jean-Gustave NTONDO est un otage de régime putschiste qui, dès qu’il est aux abois, ne cesse de le kidnapper et de le séquestrer pour faire pression et desserrer l’étau de la Résistance. Dans ces conditions, il est devenu si facile pour SASSOU de s’approprier l’identité de Jean-Gustave NTONDO pour lui coller n’importe quelle action. En agissant de la sorte, SASSOU espérait allumer une crise au sommet de la Résistance. SASSOU espérait qu’un désaveu de la part du Révérend Pasteur NTUMI mettrait un Jean-Gustave NTONDO frustré en colère au point de vouloir se venger et lui vendre une parcelle importante des secrets utiles à l’élimination physique des plus hauts responsables de la Résistance. Heureusement que le Militant de la Résistance (alerté par nos amis infiltrés au sein du régime) avait déjà rejoint le POOL pour subtilement inspirer la riposte du Révérend Pasteur NTUMI en lui évitant le piège de la division tendu par cet agent de la Françafrique connu sous le nom de SASSOU. D’où le discours du Révérend Pasteur NTUMI intelligemment favorable à un accord assorti de conditionnalités qui ne pouvaient qu’enfermer le putschiste dans son statut de criminel contre l’humanité. Ce qui a dérouté ce dernier, obligé de ranger définitivement son chiffon rouge dans les tiroirs des officines de la Françafrique. D’où son mutisme sur cet accord depuis ce temps jusqu’à lors. Tel est pris qui croyait prendre. Le véritable con n’est autre que SASSOU him-self.

    Le Militant de la Résistance rappelle aussi que l’usurpation d’identité qualifiée aussi de vol d’identité est une des techniques d’escroquerie préférées des arnaqueurs comme SASSOU qui ne cesse de s’exacerber pour retarder autant qu’il peut sa chute annoncée. L’enjeu actuel pour le régime putschiste de Brazzaville est de ralentir cette chute. Or le temps presse. Pour faire croire à la fin des hostilités dans la région du Pool et à un retour au système démocratique (conditions sine qua non pour l’obtention de l’aide alimentaire du FMI), le putschiste a choisi d’instrumentaliser certaines personnalités faibles d’esprit, qui se sont illustré à KINKALA avec ANTOINETTE la femme du génocidaire.

    Le Militant de la Résistance sait aussi, grâce à ses amis infiltrés au sein du régime, que le putschiste SASSOU envisage de noyer sa responsabilité individuelle dans une responsabilité collective factice en accusant de coresponsabilité dans la gabegie financière ses anciens ministres devenus opposants.

    Chè(e)r(e)s compatriote(s), la chute de SASSOU approche. Le Militant de la Résistance est convaincu que, bien avant sa chute fracassante, SASSOU l’apprenti parachutiste, en perdition, est déjà comme victime d’un phénomène physiologique apparaissant en particulier chez les pilotes d’avion dans des conditions de vol extrêmes sous un facteur de charge élevé lorsque, le cerveau n’étant plus suffisamment irrigué par le sang, il y a perte de la vision, ceci précédant une perte de connaissance. La déflagration imminente, dans le secret d’une chute fracassante, annonce la défaite la plus humiliante pour le putschiste SASSOU II.

    La Françafrique qui l’accompagne dans sa belle chute ne sait plus à quelle nouvelle marionnette se vouer. La mèche d’une grotesque conférence internationale agitée avec la main de Modeste BOUKADIA ne s’allume pas non plus comme l’espérait la Françafrique. Cette conférence internationale n’est qu’une diversion identique au fameux discours de LA BAULE pour empêcher les Forces du changement et les conférenciers de la Conférence nationale souveraine de 1991 de demander des comptes à l’Etat colonial qui n’apparaissait plus à leurs yeux que comme le sauveur de la démocratie naissante, voire comme l’Opposant n°1 à SASSOU I. Des manipulations qui ne fonctionnent plus auprès de la nouvelle génération. La Françafrique se heurte cette fois-ci à un obstacle de taille. Les infiltrés de la Françafrique au sein des plateformes tel Zenga-Mambu (pour censurer et propager l’intox) n’y voient que du feu. On peut tromper notre peuple une fois, mais pas tout le temps. Après sa défaite dans le POOL (identique à sa défaite lors de la bataille de Diên Biên Phu), la Françafrique doit renoncer à poursuivre un conflit ingagnable et reconnaitre l’indépendance totale de notre pays. Chè(e)r(e)s compatriote(s), la libération est proche et inévitable quels que soient les tentatives du putschiste pour sauver les meubles en précipitant une grotesque conférence internationale avec des opposants de façade. SASSOU NGUESSO est fini. Ses jours sont comptés. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

    La Sentence
    4 avril 2018

  4. quel est le poids politique de chacun de ces partis. soyons sérieux, avec ceux là le pct peut dormir tranquille et sassou avec

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