Au prochain départ de Sassou, le Congo doit réaliser un double miracle économique et social ou disparaître en tant qu’Etat

7 thoughts on “Au prochain départ de Sassou, le Congo doit réaliser un double miracle économique et social ou disparaître en tant qu’Etat

  1. JE RECUSE
    IL est puéril de parler du départ de SASSOU maintenant.mais il est sage de parler de la reconstruction du payspar tous les fils du congo car l’heure comme le disait le vieux BAKANGA a la conférence nationale.
    Le pays traverse l’une des plus grandes crises politico-économique de son histoire.
    Vous parlez à travers votre papier comme INDIGNE ELVIS OKOMBI qui croit que dialoguer avec NTOUMI c’est fouler aux pieds l’autorité de l’état.
    SASSOU doit savoir que la nouvelle république voulue par lui juste pour enfumer les congolais avec le changement de la constitution est le piège qui se referme aujourd’hui sur lui d’abord et sur son parti après.
    En ce temps de crise nous devons d’abord privilégier LE CONGO en dialoguant, en rassemblant toutes les énergies et à remettre la pays sur la rampe du developement.
    KOMBO disait il n’y a que des imbéciles qui ne changent pas et je crois que SASSOU n’en est pas un et qu’il doit laisser demain un congo apaisé , uni et solidaire.

  2. Le prochain départ du président SASSOU n’existe pas,rentrer dans les rangs, on se calme.j’ai fait un rêve le président SASSOU reste président à vie au pouvoir.

  3. Bien sûr qu’il faut mettre à profit cette fin de règne catastrophique pour préparer l’après Sassou. Et que proposez-vous? Pour ma part, je n’ai pas la naïveté de croire qu’il existe une majorité républicaine au Congo. Des « républicains » ? Vous voulez parler de cette élite aux abois qui continue à rêver de vivre de la politique alors que la République lui demande de se retrousser les manches.
    Non ! La première tâche aujourd’hui, c’est la construction de cette « majorité républicaine », faute de quoi seule une solution à la Kagamé nous évitera ce que vous appelez, avec beaucoup de justesse, la disparition de l’Etat congolais dont les signes précurseurs sont déjà nombreux.

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