Résultats du 1er tour des élections législatives 2017 [Vidéo]

28 thoughts on “Résultats du 1er tour des élections législatives 2017 [Vidéo]

  1. ça c’est vraiment une provocation , le PCT a gagné partout, c’est une honte pour notre pays, lui même Mboulou se tape 100% , il est à la fois organisateur et candidat , donc pendant toute cette période, il n’ y a eu aucun électeur qui s’est déplacé , qui est tombé malade, qui est mort où qui n’est pas allé voté pour d’autres raisons, c’est vraiment lamentable de voir des choses comme ça. On peut tricher mais pas de cette manière, il faut mettre la forme, même pas les miettes vous donnez aux autres; le Pct, c’est un parti trop gourmand, même aux partis qui sont affiliés à la majorité on ne donne rien, vous volez partout sans honte , finalement, les indépendants de Yuki ce sont bien tiré par rapport à L’upads, malgré la tricherie, non non trop c’est trop, ces gens là, il faut les chasser par la force ,il croit que le Pays c’est pour eux tout seul

    1. Chè(e)r(e)s compatriote(s),

      Raymond Zéphirin MBOULOU (le ministre PD chargé de l’intérieur du régime putschiste) a du trouvé le temps long en lisant ce verdict dicté par le putschiste SASSOU II. Son régime est plus qu’aux abois. Et, Raymond Zéphirin MBOULOU le sait. D’où la tristesse de MBOULOU (qui veut dire CHACAL) qui se lit à travers son incapacité à éprouver de la joie, à montrer de la gaieté, se traduisant notamment par les traits affaissés de son visage, par son regard douloureux et sans éclat, son abattement, son amertume, le chagrin, la dépression, la mélancolie, la morosité du décorum, la nostalgie du temps où il fut un digne serviteur de l’Etat (sans histoire), sa peine à annoncer des résultats truqués.

      La peur est du côté du génocidaire depuis qu’il assiste impuissamment à la déroute de son armée de cobras dans la région du Pool. Le désaveu électoral (y compris dans ses fiefs traditionnels) et la faillite financière du régime aggravent sa situation. Le plus dur concerne ses courtisans qui ne savent plus à quel saint se vouer. Il en est ainsi de Raymond Zéphirin MBOULOU qui a importé à Brazzaville des prostituées kinoises de 13 ans pour assouvir les bas instincts sexuels des dignitaires du régime. On sait que le putschiste SASSOU II le tient par la queue. Il a manifestement peur comme un chat qui est poursuivi par un chien.

      Le Militant de la Résistance rappelle à MBOULOU que tout témoin gênant des crimes de SASSOU est appelé à disparaître. Thomas BAKALA MAHINDA est une de ses victimes récentes. A qui donc le tour ? Pour sa gloire personnelle, SASSOU est prêt à liquider ses propres collabos. C’est un criminel, sans foi ni loi, qu’il faut chasser du pouvoir. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

      La Sentence

  2. CONGO BRAZZAVILLE COMATEUX: DYNASTIE ANNONCÉE AU SASSOULAND ET APPROPRIATION FAMILIALE DU PAYS !!!

    Historiquement, des peuples et des États ont par le passé disparus à cause de ceux qui, à un moment où l’autre ont été politiquement et militairement en charge même de l’intérêt général et du destin commun.

    Et pour cause, la confiscation et l’appropriation annoncée du Congo Brazzaville par la secte néo-templière sassouland entre tout justement dans la signification de cette responsabilité politique et militaire historique sur différentes échelles: individuelles, locales, régionales et nationales congolaises.

    Quoique, « Ne doutez jamais qu’un petit groupe d’individus conscients et engagés puisse changer le monde. Historiquement, c’est toujours de cette façon que le changement s’est produit » Margaret Mead – Anthropologue. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/07/congo-brazzaville-comateux-dynastie-annoncee-au-sassouland-et-appropriation-familiale-du-pays.html

  3. Les législatives version MBOU LA avec en fond d’écran SATOUVI
    Mr MBOU.LA vous etes un ignare un cancre de la MERDE votre république PUE votre publication c’est du molare purulant que vous vouler nous faire avaler NON MERCI

  4. Non! du jamais vu! ça ne sert pas d »organiser les élections. C’est clair! le PCT est un parti des tricheurs, ce n’est même pas la tricherie, c’est plutôt le banditisme. A la place des admis, on met les échoués, c’est inédit, c’est ce qu’on appelle  » TOKO NOMME BA DEPUTE NA KO ».

  5. Le problème avec les MBOCHIS en particulier et les NORDISTES en général c’est qu’ils ont l’habitude de dire que c’est pas tous les MBOCHIS ou tous les NORDISTES qui sont pro SASSOU. Mais voyons ! Comment expliquent-ils alors que tout le nord du pays, à commencer par les Plateaux jusqu’à l’extrême nord ce soit le PCT qui « gagne » toujours ? Il y’a même des candidats du PCT qui y font 100% des voix ! Mon cul oui !!!

    Messieurs les NORDISTES, sachez que chez nous au SUD, il y a des candidats du PCT qui peuvent gagner une élection. Savez-vous pourquoi ? Eh bien, je vais vous le dire : CONTRAIREMENT A VOUS, NOUS AU SUD, NOUS NE SOMMES PAS DES REGIONALISTES. Mais alors, regardez-vous bien dans une glace et répondez à cette question : CELA NE VOUS GENE PAS QUE TOUT LE NORD DU PAYS NE VOTE QUE PÖUR LE PCT, LE PARTI DES NORDISTES ? C’est qui les tribalistes ? C’est qui les régionalistes ? Et vous dites que tous les nordistes n’aiment pas SASSOU ? BANDE DE MENTEURS !!!

    Sachez, messieurs les NORDISTES que vous n’aurez pas d’excuses quand SASSOU sera rattrapé par l’histoire. Vous subirez le même sort que lui. Vous votez toujours pour lui et pour son parti, le parti où tout nordiste se retrouve. OK, au SUD nous l’avons compris. C’est pour cela que vous irez en enfer avec lui. Après tout, les pharaons, on les enterrait avec leurs esclaves. Nous ne serons donc pas les premiers à le faire.

    RENDEZ-VOUS EST PRIS AVEC ET POUR L’HISTOIRE.

  6. Je l’ai dit que sa sera une nomination a Kolelas et Ntsaty mabiala de me contredire. KOLELAS ET NTSATY ONT JOUE LEUR RÔLE, ILS SONT TRÈS CONTENT, A CEUX QUI LES SUIVENT COMME DES MOUTON DE SE METTRE A PLEURÉ QUI EST SURPRIS ICI PERSONNE ABSOLUMENT PERSONNE CAR LE PCT NOTAMMENT LA France A DÉJÀ TOUT VALIDÉE PAR LA PARTICIPATION DES DEUX TRAITRES KOLELAS ET NTSATY COMME QUOI L’OPPOSITION ÉTAIT PRÉSENTE.
    KOLELAS JOUE AU COMÉDIEN JE METS LE PCT EN GARDE POUR LE TRICHERIE MAINTENANT ON ATTEND TA RÉACTION, SI NON QUE TU ES LE PREMIER DE TOUT APPROUVÉ « JE RECONNAIT LA VICTOIRE DU CRIMINEL ET TRICHEUR LE PLUS REDOUTABLE DE L’AFRIQUE ET POUR VOUS LES MOUTONS QUI ME SUIVE J’IRAIS ME PLAINDRE A L’UNION AFRICAINE MERCI POUR VOTRE AIDE CAR AVEC VOUS DES IGNORANTS JE RÉUSSIT MON RÔLE COMME UN PION DE LA France » . KOLELAS TU NE TROMPES QUE TES MOUTONS QUI TE SUIVENT AVEUGLEMENT, CAR LA RÉALITÉ EST QUE TU TRAVAILLE LE PCT (LA France).
    PAUVRE CONGO, IL Y A QUE LES CONGOLAIS QUI PEUVENT ACCEPTER CE QUI SE PASSE ACTUELLEMENT. COMMENT DEUX INDIVIDUS PEUVENT ILS RÉUSSIR DE TROMPER TOUT LE MONDE?

    1. Trouve autre chose TROUBADOUR eternel, tu vas mourir avant Kolelas, debout et les yeux grandement ouverts. Va au mieux t’attaquer au petit boiteux imposteur Takou, que de te masturber febrilement mais sans impact aucun la minuscule bite tres etriquee et recroquevillee nuit et jour a cause de la haine de fou tordu grincheux et LACHE a jamais, comme un sale oiseau froussard, mange coton. DUMMY !

  7. – 14 février 1976 : le Congo dénonce les conventions pétrolières
    C’est le ministre des Mines et de l’énergie qui en informe, par courrier, les directions générales des sociétés Elf Congo et Agiprecherches de la décision prise par le gouvernement congolais. La lettre est aussi une invitation à ouvrir de nouvelles négociations, à partir du 19 février, pour déterminer les nouvelles bases de coopération.

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    – 28 février 1976 : réconciliation entre les présidents Mobutu Sese Seko et Agostinho Néto
    À l’initiative du président Marien Ngouabi, une délégation de la République du Zaïre, conduite par le président fondateur du Mouvement populaire de la révolution, président du Zaïre, le général de corps d’armée, Mobutu Sese Seko, et celle de
    la République Populaire d’Angola, conduite par le Dr Agostinho Néto, se réunissent à Brazzaville. – 6 mars 1976 : le budget d’austérité et de radicalisation

    L’Assemblée nationale populaire adopte le budget de l’État, exercice 1976. Il est équilibré en recettes et en dépenses à la somme de 52.440.800.000 francs Cfa. Le président de l’Assemblée nationale, M. Mouissou-Pouati, le qualifie de budget de crise, d’austérité et de radicalisation.

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    -12 mars 1976 : signature de l’accord de l’avant-projet de construction de l’école du parti
    Le document de cet accord est paraphé par M. Likhanov, chef de la délégation soviétique, et Pierre Nzé, responsable de l’équipe dirigeante du parti.

    – 19 mars 1976 : le président Marien Ngouabi victime d’un accident d’hélicoptère
    En tournée dans la région de la Cuvette, le président Marien Ngouabi est victime d’un accident d’hélicoptère dans le secteur de Makoua-Owando. Le chef de l’État en est sorti sain et sauf mais on a déploré la mort de deux personnes. Il y a eu également plusieurs blessés. Prenant ses responsabilités, le président Marien Ngouabi est allé pieds nus et à marche forcée, donner l’alerte dans un village voisin situé à près de 25 km du lieu de l’accident.

    – 24 mars 1976 : grève de protestation dela CSC
    Cinquante syndicalistes se déversent dans les rues, allant de magasins en magasins, pour demander la fermeture des entreprises et des magasins d’alimentation. La raison évoquée: un coup d’État. La nouvelle est répandue dans les marchés de Poto- Poto, de Moungali et Bacongo. Dans un communiqué, Jean- Pierre Thystère-Tchicaya lance un appel en direction des militants et des membres du parti, de se ressaisir et d’organiser des séances d’explication.

    – 5 au 7 avril 1976 : conférence des recteurs des universités africaines. Un document dit déclaration de Brazzaville a été adopté à l’issue des travaux.

    – 16 avril 1976 : selon un acte du président Ngouabi, les membres du PCT de l’ancienne direction de la Confédération syndicale congolaise (CSC), responsables de la grève du 24 mars 1976, sont définitivement exclus du parti et déchus de leurs fonctions.

    – 24 avril 1976 : raid de l’armée zaïroise à l’île Mbamou
    Ce raid opéré par les éléments de l’armée zaïroise fait deux morts et des dégâts matériels très importants.

    – 25 avril 1976 : match international amical entre Le stade de Reims (France) et les Diables rouges, à Brazzaville, au Stade de
    la révolution. Les Congolais l’emportent par deux buts à un.

    – 3 juin 1976 : visite du commandant Raoul Castro à Brazzaville
    Le deuxième secrétaire du Comité central du Parti communiste cubain, premier vice-Premier ministre du gouvernement révolutionnaire et ministre des Forces armées révolutionnaires de Cuba, Raoul Castro, effectue, du 3 au 4 juin, une visite officielle d’amitié en République Populaire du Congo, où il est accueilli, à l’aéroport Maya-Maya, par le membre de l’état-major révolutionnaire, ministre de la Défense et de la sécurité, le commandant Denis Sassou N’Guesso.

    – 8 juin 1976 : le comité central du PCT prend des sanctions à l’endroit des responsables impliqués dans la grève du 24 juin 1976.Il s’agit, entre autres, d’Anatole Kondho, Nicodème Ekamba-Elombé, Jean-Jules Okabando, Pascal Lissouba, Auxence Ickonga, Pierre Nzé, Abba-Gandzion.

    – 31 juillet 1976 : inauguration du centre médico-social de Moungali, sur l’avenue Lénine, par le président Marien Ngouabi.

    – 2 novembre 1976 : ouverture de la session budgétaire de l’Assemblée nationale populaire, sous le patronage du chef de l’État, le commandant Marien Ngouabi.

    – 20 novembre 1976 : ouverture de la conférence nationale du PCT, sous les auspices du commandant Marien Ngouabi.

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  8. Année 1977

    – 18 mars 1977 : assassinat du président Marien Ngouabi, à 14h30, dans sa résidence de l’état-major, à Brazzaville.
    L’état-major spécial révolutionnaire, instance suprême créée par le président Marien Ngouabi, en 1975, se réunit la nuit et s’autodissout, en créant le CMP (Comité militaire du parti), chargé de gérer
    la crise. Le Comité central du PCT entérine la décision.

    – 19 mars 1977 : Le CMP annonce officiellement la nouvelle de l’assassinat du président Marien Ngouabi: «L’impérialisme aux abois, dans un dernier sursaut, vient, par l’entremise d’un commando-suicide, d’attenter à la vie du dynamique chef de la révolution congolaise, le camarade Marien Ngouabi, qui a trouvé la mort au combat, l’arme à la main, le vendredi 18 mars 1977, à 14h30». Un deuil national est décrété. Une commission d’enquête et une cour martiale sont mises en place.

    – 22 mars 1977 : assassinat du cardinal Émile Biayenda
    L’archevêque de Brazzaville, le cardinal Émile Biayenda, enlevé à sa résidence de l’archevêché, est assassiné. Le CMP annonce, également, son assassinat: «Peuple congolais, dans la soirée du 22 mars 1977, son éminence le cardinal Émile Biayenda a été enlevé et sommairement exécuté par un groupe de trois personnes…».

    – 25 mars 1977 : exécution de l’ancien président, Alphonse Massamba-Débat
    C’est le CMP qui annonce la nouvelle: «La Cour martiale siège depuis cette nuit, dans l’enceinte de l’état-major, en présence d’avocats commis d’office. Les sentences sont exécutoires, au fur et à mesure qu’elles sont prononcées.C’est ainsi que le premier accusé, M. Alphonse Massamba-Débat, condamné à la peine de mort, a été passé par les armes, ce 25 mars au matin, (…)». Il est à noter que les recours en grâce sollicités par les avocats ont été rejetés.

    – 27 mars 1977 : funérailles du cardinal Émile Biayenda, à
    la cathédrale Sacré- Coeur de Brazzaville.

    – 2 avril 1977 : funérailles à Brazzaville du commandant Marien Ngouabi, après un deuil national
    L’oraison funèbre est lue par le commandant Sassou Nguesso. Le président assassiné est inhumé dans l’enceinte même de l’état-major, devant sa résidence, et le monument est baptisé «Musée Marien Ngouabi», avant de devenir, plus tard «Mausolée Marien Ngouabi».

    – 3 avril 1977 : nouveaux dirigeants congolais
    Depuis le 3 avril 1977, le colonel Joachim Yhombi-Opango est devenu président du CMP, chef de l’État, président du Conseil des ministres. Le commandant Denis Sassou Nguesso assume les fonctions de premier vice-président, chargé de la coordination des activités du parti, et de ministre de
    la Défense. La deuxième vice-présidence est revenue au Premier ministre, ministre du Plan, le commandant Louis Sylvain Goma. Martin Mbia et Pascal Bima; les capitaines Nicolas Okongo, François Xavier Katali et Florent Ntsiba, le lieutenant Pierre Anga sont membres du CMP.

    – 3 septembre 1977 : expulsion des étrangers en situation irrégulière
    Le CMP prend la décision d’expulser les étrangers en situation irrégulière au Congo. La déclaration annonce que sur tout le territoire national, du 3 au 22 septembre 1977, des opérations qui consistent à rapatrier, dans leurs pays d’origine, tous les non Congolais y compris les ressortissants des pays amis et frères d’Afrique de l’ouest, en situation irrégulière vis-à-vis des lois et règlements en vigueur, en matière d’entrée au Congo et d’exercice de la profession commerciale, sont organisées. Près de cinq mille personnes sont touchées par ces mesures.

    – 8 novembre 1977 : mesures contre les étudiants et stagiaires à vie
    Le CMP exige aux étudiants et stagiaires congolais en fin d’études ou en fin de stages mais qui continuent de demeurer à l’étrangers de regagner le pays. Une liste des intéressés est publiée et elle est longue. Beaucoup de ces stagiaires totalisent jusqu’à onze ans de prolongation de séjour, d’autres -les plus nombreux- atteignent deux à cinq ans. Ils sont invités à regagner le pays, dans un délai d’un an, faute de quoi, ils seront sanctionnés et pour les fonctionnaires rayés de la Fonction publique.

    – 16 novembre 1977 : reprise des relations diplomatiques entre le Congo et les États-Unis d’Amérique
    La rupture a duré douze ans. Et la cérémonie de levée des couleurs a eu lieu le 16 novembre 1977. M. Kenneth Katzen, l’ambassadeur américain, a, dans son discours, évoqué «les changements socio-politiques, économiques, scientifiques et technologiques intervenus au Congo et dans le monde, au cours des douze dernières années, temps durant lequel
    la République Populaire du Congo et les États-Unis d’Amérique sont restés sans relations diplomatiques ».

    – 23 novembre 1977 : condamnation de douze personnes ayant détourné des fonds publics
    La Cour révolutionnaire de justice condamne douze personnes accusées de détournement des deniers publics. Les sanctions prononcées vont d’un an d’emprisonnement ferme aux travaux forcés à perpétuité. La Cour a ordonné la révocation de la Fonction publique, avec perte de droit à pension, la déchéance de tous les droits de tous les condamnés. Il leur est interdit d’exercer toute activité commerciale. Leurs biens meubles et immeubles sont confisqués, jusqu’à concurrence de la somme détournée.

    – 29 novembre 1977 : «Arrestation immédiate» des détourneurs de fonds à Sia-Congo
    Le CMP ordonne l’arrestation immédiate des auteurs de détournement d’importantes sommes d’argent, au préjudice de la Sia-Congo (Société agro-industrielle du Congo) dans une affaire de farine avariée, importée au nom de Sia-Congo par un commerçant ouest-africain.

    – 17 décembre 1977 : mesures contre les auteurs des malversations financières
    Le CMP prend des mesures contre plus d’une vingtaine de cadres et employés de la Société nationale d’électricité, de la Banque nationale de développement du Congo, de l’Office congolais de l’habitat et un ancien ambassadeur. Ils sont reconnus coupables de nombreuses malversations financières. Les mesures prises vont de la suspension de salaires à l’emprisonnement ferme.

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  9. Année 1978

    – 4 janvier 1978 : le Congo se retire des jeux africains d’Alger
    C’est Jean-Baptiste Tati Loutard, ministre de la Culture, des arts et sports qui fait l’annonce du retrait du Congo des 3es Jeux africains d’Alger. Le Congo a décidé de ne plus participer aux jeux organisés dans le cadre dela zone V.

    – 23 janvier 1978 : ouverture du procès sur l’assassinat du président Marien Ngouabi
    L’audience est consacrée à la prestation de serment des juges de la Cour révolutionnaire d’exception, présidée par Charles Assemekang, à la lecture des actes d’inculpation des accusés et à la vérification des identités des trente-six accusés présents.

    – 6 février 1978 : verdict de la Cour révolutionnaire d’exception
    Après un long réquisitoire et des plaidoiries serrées, le verdict final de la Cour révolutionnaire d’exception sur l’assassinat du président Marien Ngouabi donne onze peines capitales, des travaux forcés à perpétuité et à temps, des peines de prison avec sursis et des acquittements. Quelques heures après la lecture de ce verdict, le chef de l’État refuse la grâce aux condamnés, précisant que toutes les sentences doivent être intégralement appliquées.

    – 7 février 1978 : dix condamnés à mort sont passés par les armes.

    – 8 février 1978 : inauguration de l’école normale des instituteurs à Loubomo,
    après l’accord signé le 24 mai 1971 entre le Congo et l’Association internationale de développement, filiale de la Banque mondiale.

    – 13 février 1978 : présenté comme le chef du commando ayant assassiné le président Marien Ngouabi, l’ex-capitaine Barthélemy Kikadidi est tué, par l’armée, à 3h30 du matin, au domicile d’un chauffeur de taxi qui l’abritait, à Makélékélé.

    – 7 avril 1978 : le CMP examine et adopte le budget de l’État, exercice 1978, qui s’équilibre en recettes et en dépenses à la somme de 60.294.027.089 francs Cfa.

    -14 août 1978 : complot déjoué et interdiction de toutes manifestations publiques
    À la veille du 15e anniversaire des «Trois glorieuses», le chef de l’État, le général Jacques Joachim Yhombi Opango, révèle qu’un complot a été ourdi par la «réaction extérieure et intérieure». Toutes les manifestations publiques prévues pour cet anniversaire sont supprimées. Le chef de l’État demande aux militants d’exercer une vigilance vraiment accrue à tous les niveaux, sur l’ensemble du territoire national, et un contrôle rigoureux aux frontières du pays et aux autres endroits habituels de fouille.

    – 20 août 1978 : leader du Mouvement socialiste africain et ancien vice-président de la République du Congo, de 1961 à 1962, Jacques Opangault meurt à Brazzaville, des suites d’une longue maladie. Il était né en 1907, à Boundji, dans la Cuvette.

    – 28 septembre 1978 : inauguration du port de Mossaka par le chef de l’État, le général Jacques Joachim Yhombi Opango. Son coût global est estimé à deux cent soixante-dix millions de francs Cfa.

    – 23 novembre 1978 : Mgr Barthélemy Bantantu, nouvel archevêque de Brazzaville

    Après un an et demi d’attente, l’archidiocèse de Brazzaville, endeuillé par la mort du cardinal Émile Biayenda, se voit enfin pourvu d’un pasteur. C’est Monsieur l’abbé Barthélemy Batantu, curé de
    la paroisse Notre-Dame de Bacongo, qui est nommé par le pape au siège de Brazzaville.

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    Année 1979

    – 5 janvier 1979 : création de Congo-Publicité, par ordonnance n°001/79, du 5 janvier 1979, signée par le chef de l’État, Jacques Joachim Yhombi-Opango.

    – 5 février 1979 : le PCT met un terme au régime dirigé par le CMP
    Devant la crise politique qui secoue les institutions et sous la pression du parti, le chef de l’État, Jacques Joachim Yhombi-Opango, convoque le comité central du PCT en session extraordinaire, du 5 au 8 février. Dès l’ouverture de la session, les membres du Comité central déposent le chef de l’État et mettent un terme au pouvoir du CMP. De nouvelles institutions provisoires du pays sont mises en place et le colonel Denis Sassou Nguesso est porté à la tête de l’État.
    Un acte déterminant le fondement et l’organisation des pouvoirs publics est adopté.

    – 17 mars 1979 : création de la Sonaco et de la Soprogi
    Le Conseil des ministres du samedi 17 mars 1979 met en place deux sociétés: Sonaco (Société nationale de construction) et Soprogi (Société de promotion et de gestion immobilière).

    – 30 mars 1979 : congrès extraordinaire du PCT
    Le colonel Denis Sassou Nguesso est élu président du comité central du PCT et, de droit, président de la République, pour un mandat de cinq ans.

    – 24 avril 1979 : limitation d’attribution des véhicules de l’État
    Le Conseil des ministres du 24 avril 1979 adopte un projet de décret limitant l’attribution des véhicules de fonctions à des personnalités politiques et administratives du pays.

    – Création de l’Office de café et de cacao
    Par ordonnance n°011/79, le chef de l’État crée l’Office de café et de cacao (OCC), dont l’objet est la réalisation de toutes les opérations de production, de collecte et de commercialisation, dans les domaines du café et du cacao

    – 13 juin 1979 : création de la Socorem et libre circulation des personnes et des biens entre l’Angola et le Congo
    Le Conseil des ministres adopte le projet de création de la société Socorem et le projet d’ordonnance portant ratification des engagements conventionnels, signés à Brazzaville, le 16 février 1977, entre les gouvernements de la République Populaire du Congo et de l’Angola, relatifs à la circulation des personnes et des biens aux frontières des deux pays.

    – 30 juin 1979 : fin des pourparlers congolo-angolais
    Le chef de l’État angolais, Antonio Agostinho Neto, regagne son pays, le 30 juin, après un séjour de trois jours au Congo.

    – 8 juillet 1979 : élections législatives et régionales et référendum constitutionnel
    Les électeurs congolais élisent, sur liste unique, leurs représentants à l’Assemblée nationale populaire, aux Conseils populaires des régions, districts et communes. Ils adoptent, aussi, la nouvelle Constitution.

    – 14 août 1979 : prestation de serment et libération des détenus
    Le colonel Denis Sassou Nguesso prête serment en tant que président de la République, devant les membres de la Cour suprême, de l’Assemblée nationale, du Comité central du PCT. Dans le discours qu’il prononce, à cette occasion, il parle de l’unité nationale à réaliser. Avant sa prestation de serment, le nouveau chef de l’État a pris l’ordonnance 29/79 du 8 août 1979 portant amnistie des affaires Kikadidi, du complot du 14 août 1978, des tracts d’offense au chef de l’État et d’atteinte à la sécurité d’État. L’ordonnance 79/44 du 8 août 1979 porte remise des peines à de nombreux condamnés. L’ordonnance n°79/459 du 14 août 1979 porte levée de déchéance des droits civiques et politiques et abrogation de l’assignation à résidence. Enfin, l’arrêté n°3848 du ministre de l’Intérieur porte abrogation des dispositions de l’arrêté n°1977/MDS, du 28 mars 1977, portant interdiction de séjour dans les centres urbains et assignation à résidence de quatre personnes.

    – 23 septembre 1979 : sonorisation de trois marchés à Brazzaville
    Ministre de l’Information, le capitaine Florent Ntsiba préside, le 23 septembre 1979, au marché Total de Bacongo, la cérémonie d’inauguration des installations de sonorisation. Trois marchés sont concernés: Total, Moungali et Ouenzé. L’action se poursuivra avec d’autres marchés.

    – 5 novembre 1979 : le point sur les fonds de solidarité
    Institué en 1978, le fonds de solidarité a récolté la somme de 4 milliards 554 millions 686 mille 418 francs. De cette somme, 2 milliards 928 millions de francs ont pu être utilisés de la manière suivante: élevage: 623.345.485 francs; agriculture: 902.055.600 francs; construction de logements: 447.000.000 francs; redressement Suco, Sicape, Soverco: 954.000.000 francs. La différence sera affectée aux opérations retenues.

    – 25 novembre 1979 : trois chefs d’État réunis à Brazzaville, pour rechercher une solution au drame tchadien. Il s’agit des présidents Sekou Touré (Guinée-Conakry), Mathieu Kerekou (Benin) et Denis Sassou Nguesso (Congo).

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  10. Année 1980

    – 10 janvier 1980 : conférence sur les entreprises d’État
    Le président Denis Sassou Nguesso préside la séance d’ouverture de la conférence sur les entreprises d’État, en présence de Louis Sylvain Goma et Justin Lékoundzou Itihi Ossetoumba, et devant plus de sept cents délégués représentant les cadres politiques et administratifs des entreprises d’État, des ministères et départements du parti, les organisations des masses et les experts des organismes internationaux.

    – 29 janvier 1980 : Amadou Mathar Mbow, directeur général de l’Unesco, séjourne à Brazzaville, du 29 janvier au 2 février, sur invitation du gouvernement congolais.

    – 12 février 1980 : établissement des relations diplomatiques entre le Congo et l’Équateur.

    – 15 mars 1980 : Le Premier ministre, Louis Sylvain Goma, donne le coup d’envoi, au nom du chef de l’État, du tricontinental de handball féminin, prélude aux olympiades de Moscou. Y participent: le Congo représentant l’Afrique, la Corée du Sud représentant l’Asie et les États-Unis d’Amérique représentant l’Amérique.

    – 31 mars 1980 : retrait du contingent congolais envoyé au Tchad, dans le cadre de la force neutre de l’Organisation de l’unité africaine. Cette force agissait dans le cadre de la réconciliation des Tchadiens.

    – 12 avril 1980 : inauguration de l’immeuble de l’ARC. Les travaux de cet immeuble ont commencé le 3 novembre 1978.

    – 21 avril 1980 : le président de la République, Denis Sassou Nguesso, inaugure l’exploitation du gisement de pétrole Likouala, découvert en 1972, au large de Pointe-Noire.

    – 5 mai 1980 : visite du pape Jean-Paul II à Brazzaville
    La capitale congolaise accueille, dans la liesse populaire, le souverain pontife, Sa Sainteté le pape Jean-Paul II. Il est reçu au débarcadère fluvial ATC, par le président de la République, le colonel Denis Sassou Nguesso, en présence de l’archevêque de Brazzaville, Mgr Barthélemy Bantantu, et de tous les officiels congolais, de l’Église et du conseil oecuménique. Les populations se sont massées tout au long du parcours emprunté par le cortège officiel, jusqu’à
    la cathédrale Sacré-Coeur où le pape se recueille sur la tombe du cardinal Émile Biayenda. Il célèbre une messe au boulevard des armées.

    – 15 août 1980 : célébration du 20e anniversaire de l’indépendance du Congo et du 17 anniversaire de la «révolution» des 13, 14 et 15 août 1963.

    -11 septembre 1980 : promulgation de la loi n°20-80 du 11 septembre 1980 portant réorganisation du système éducatif en République Populaire du Congo.

    – 17 septembre 1980 : inauguration de l’aéroport Agostinho Neto de Pointe-Noire.

    – 3 octobre 1980 : centenaire de la ville de Brazzaville
    Créée le 3 octobre 1880, la ville de Brazzaville célèbre le centenaire de sa fondation. Des manifestations populaires, échelonnées sur trois jours consécutifs, marquent l’évènement. Le pont du centenaire, au Plateau de 15 ans, long de 725 m, est inauguré par le chef de l’État. Ce pont est le fruit de l’aide française à la coopération et les travaux ont coûté cinq cent soixante millions de francs Cfa pour la partie civile et cinquante millions pour l’éclairage.

    – 17-21 octobre 1980 : visite du président Jean-Baptiste Bagaza en République populaire du Congo.

    – 29 novembre 1980 : le président zaïrois, le général Mobutu, en visite à Brazzaville où il est accueilli par son homologue, le colonel Sassou Nguesso.

    – 8 décembre 1980 : visite d’une délégation vietnamienne à Brazzaville

    Une délégation vietnamienne, conduite par le général Vo Nguyen Giap, vice-président et ministre de la République socialiste du Vietnam, séjourne en République Populaire du Congo, du 8 au 11 décembre. La délégation est reçue par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso.

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    Année 1981

    – 10 janvier 1981 : pas de championnats sportifs jusqu’à nouvel ordre Ministre de la jeunesse et des sports, Gabriel Oba-Apounou demande aux fédérations et aux ligues de ne plus organiser les championnats sportifs, jusqu’à nouvel ordre, parce que «la pratique du sport au Congo est mauvaise… Une pratique basée sur des considérations tribalistes, égoïstes et réactionnaires… La pratique actuelle désunit le peuple congolais».

    – 25 février 1981 : fin du premier conseil de la culture physique et des sports
    Pendant cinq jours, cinq cent trente-quatre conseillers, venus de différentes instances du sport du Congo, ont débattu de la nouvelle forme à donner au sport. Les conclusions dudit conseil «ont réaffirmé la dissolution du système actuel d’organisation du sport et marqué le départ vers une nouvelle forme qui sera expurgée de toute passion malveillante».

    -10 mars 1981 : levée de la suspension frappant les clubs sportifs
    Réuni du 7 au 10 mars 1981, le bureau politique du PCT autorise la reprise des activités des clubs sportifs. Les dispositions suivantes sont, cependant, prises: les clubs traditionnels recevront une affectation d’office, dans les arrondissements. La composition de leurs comités-directeurs ne sera plus jamais laissée à l’initiative des groupes de pression.

    – 24 mars 1981 : le Conseil des ministres suspend les salaires des stagiaires qui refusent de regagner le pays. La mesure frappe plus d’une trentaine de stagiaires.

    – 17 avril 1981 : décès, à Brazzaville, de Mgr Benoît Gassongo
    Évêque émérite d’Owando, Mgr Benoît Gassongo est retrouvé mort, dans la villa «Les lianes», à Brazzaville, propriété du diocèse d’Owando, à côté de l’école Jean Kimbangui (ex-Chaminade primaire). Il avait 71 ans.

    – 23 avril 1981 : Obsèques de Mgr Benoît Gassongo, en l’église Sainte-Marie de Ouenzé, à Brazzaville.

    – 24-31 juillet 1981 : tenue, à Brazzaville, du festival national de la culture, en hommage au président Marien Ngouabi. Un millier de festivaliers, venus de toutes les régions du pays, y prennent part.

    – 31 juillet 1981 : inauguration de la place du sacrifice suprême et du mausolée Marien Ngouabi par le président Denis Sassou Nguesso.

    – 13 août 1981 : le président Denis Sassou Nguesso pose la première pierre du Palais des congrès, un imposant édifice de construction chinoise, sur le boulevard des armées, à Brazzaville.

    – 30 novembre au 4 décembre 1981 : soutenance des premières thèses de doctorat en médecine, sous le haut patronage du chef de l’État, à l’Institut supérieur des sciences de la santé (Inssa).

    – 4 décembre 1981 : l’Inssa livre son premier produit fini

    Ouvert le 1er octobre 1975, l’Inssa, établissement de l’université Marien Ngouabi, sort la première promotion de médecins formés au Congo. Il s’agit de vingt-deux médecins dont cinq femmes.

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  11. Année 1982

    Première année du plan quinquennal. Comme dans l’ex-URSS (Union des Républiques socialistes soviétiques), suivant le concept de l’économie planifiée, le Congo lance son premier plan quinquennal de développement socio-économique, doté d’un important budget de mille cent dix milliards de francs Cfa, basé essentiellement sur la manne pétrolière. Plusieurs projets de construction d’infrastructures sont lancés dans le cadre de ce plan (routes, ponts, édifices publics dans les principales villes du pays, etc.). Les entreprises publiques reçoivent d’importantes subventions de l’État pour assurer leur développement. Avec un budget de soixante-dix milliards de francs Cfa, l’agriculture occupe une place éminente dans ce plan quinquennal, suivant la stratégie du développement économique autocentré et autodynamique. L’industrie n’est pas oubliée avec la restructuration de toutes les filières industrielles. Le plan quinquennal traduit l’ambition des pouvoirs publics d’assurer le décollage économique du pays.

    – 20 mars 1982 : Un attentat à l’explosif contre le cinéma Star, à Poto-Poto (Brazzaville), fait cinq morts et plusieurs blessés et crée la psychose dans la capitale.

    – 10 mai 1982 : décès, à Paris (France), des suites d’une longue maladie, de Mme Émilienne Mouébara, la mère du chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso. Sa dépouille est accueillie à l’aéroport de Maya-Maya, mercredi 12 mai, par une foule envahie de tristesse. Elle sera inhumée à Oyo.

    – 3 juillet 1982 : décès de Mgr Auguste Roch Nkounkou
    Doyen du clergé congolais, Mgr Auguste Roch Nkounkou, prélat de Sa Sainteté, s’est éteint à l’hôpital général de Brazzaville, des suites d’une longue et pénible maladie, à l’âge de 73 ans. Après l’exposition à
    la cathédrale Sacré-Coeur de Brazzaville, le 29 mai, sa dépouille mortelle est conduite à Goma Tsé-Tsé pour l’inhumation, le 6 juillet, à l’issue d’une messe à
    la paroisse Saint-Michel.

    – 17 juillet 1982 : attentat à l’explosif à l’aérogare de l’aéroport international Maya-Maya, à Brazzaville, faisant quatre morts et des blessés. Au total, les deux attentats aux explosifs (celui du cinéma Star et celui de l’aéroport) font neuf morts et quatre-vingt-douze blessés.

    – 29 août 1982 : ouverture de l’année du centenaire de l’évangélisation du Congo par une messe célébrée à la place mariale de
    la cathédrale Sacré-Coeur de Brazzaville, par Mgr Barthélemy Bantantu.

    – 1 septembre 1982 : premier festival national de musique à Brazzaville
    Parrainée par le bureau politique du PCT, cette manifestation qui s’est tenue, du 1er au 5 septembre, est ouverte au cinéma Vog, par Jean-Pierre Thystère-Tchicaya, membre du bureau politique, chef du département de l’idéologie et de l’éducation du PCT.

    – 10 octobre 1982 : visite du président François Mitterrand
    Le président français, François Mitterrand, effectue, sur invitation de son homologue congolais, une visite de travail au Congo. Il arrive à Brazzaville, en provenance de Kinshasa, où il a pris part aux travaux de la 9e conférence des États d’Afrique et de France. «J’ai eu l’occasion et le plaisir de recevoir, à Paris, le président Denis Sassou Nguesso, et à notre première rencontre, il m’a invité au Congo et j’ai saisi cette occasion avec joie», déclare-t-il à son arrivée à Brazzaville.

    – 16 octobre 1982 : inauguration de l’agence UCB de Ouenzé
    La nouvelle agence de l’UCB (Union congolaise de banques), située au rond-point Koulounda, à Ouenzé, est inaugurée en présence de Paul Andely, directeur général de l’UCB.

    – 11 décembre 1982 : le président de la République inaugure
    la ligne Très haute tension Loudima/Pointe-Noire, longue de 170 km.

    – 12 décembre 1982 : inauguration de la raffinerie nationale de pétrole
    La Congolaise des raffineries est inaugurée par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso.

    – 30 décembre 1982 : inauguration du faisceau hertzien sudsuest par le président Denis Sassou Nguesso.

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  12. Année 1983

    – 26 février 1983 : inauguration du champ pétrolier Yanga-Marine, par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso, en présence d’Albin Chalandon et Cimino Bruno, respectivement président directeur généra d’Elf-Aquitaine (France) et d’Agip S.p.a (Italie).

    – 2 avril 1983 : visite officielle de trois jours, du président centrafricain, le général André Kolingba, à Brazzaville, où il est accueilli par son homologue, le colonel Denis Sassou Nguesso. – 25 mars 1983 : la réunion régionale des biologistes africains, organisée par l’Association des universités africaines, et qui a regroupé quarante et un délégués, venus de dix-sept pays d’Afrique, débouche sur la création de l’Union africaine des biologistes.

    – 29 juin 1983 : Mgr Firmin Georges Singha, évêque d’Owando, président de la Conférence épiscopale du Congo, annonce l’élévation de l’abbé Hervé Itoua au rang d’évêque du nouveau diocèse, Ouesso.

    – 1er juillet 1983 : début, à Loango (Kouilou) de la célébration du centenaire de la 3e évangélisation du Congo.

    – 31 juillet 1983 : troisième victoire consécutive de l’équipe nationale de handball féminin au Caire (Égypte) qui remporte définitivement la coupe challenge Marien Ngouabi.

    – 22 septembre 1983 : création de la Semico, société d’économie mixte. La part de l’État congolais est de 51% et celle d’une société française privée de 49%. L’objet de Semico est d’intervenir sur tous les marchés de construction d’immeubles à usage tant d’habitation, de commerce que d’industrie.

    – 25 octobre 1983 : le secrétaire général du Parti communiste français, Georges Marchais, séjourne, jusqu’au 27 octobre, en République Populaire du Congo. Il se rend, aussi, à Pointe-Noire.

    – 22 novembre 1983 : visite officielle, jusqu’au 23 novembre, du couple royal espagnol à Brazzaville. Résultats de cette visite officielle: le renforcement des relations commerciales entre l’Espagne et le Congo et on envisage la collaboration espagnole dans l’exploitation du fer de Mayoko.

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    Année 1984

    – 15 mars 1984 : visite du président Antonio Ramalha Eanes à Brazzaville
    Le président portugais, le général Antonio Ramalha Eanes, effectue, du 15 au 17 mars, une visite officielle en République Populaire du Congo. Il est accueilli à l’aéroport Maya-Maya par le colonel Denis Sassou Nguesso, président de la République. À l’issue de ce voyage, les deux chefs d’État réaffirment leur volonté de promouvoir et d’approfondir leurs relations et ils conviennent d’établir un cadre juridique permettant d’examiner, dans la mesure du possible et des obligations internationales respectives, des relations économiques et techniques à tous les niveaux d’intérêt commun entre les deux pays.

    – 25 mars 1984 : intronisation de Mgr Ernest Kombo, évêque de Nkayi

    – 9 avril 1984 : visite officielle, du 9 au 12 avril, du président mozambicain, le maréchal Samora Moises Machel, au Congo, où il est reçu par son homologue, le colonel Denis Sassou Nguesso. Un traité d’amitié et de coopération est signé par les deux présidents. Il engage les deux pays à développer leurs relations politiques, commerciales, scientifiques et culturelles. L’un des temps forts de la visite du président mozambicain a été sa causerie avec les militants du PCT.

    – 21 juin 1984 : adoption du nouveau code dela famille
    L’Assemblée nationale populaire adopte le nouveau code de la famille qui reconnaît deux régimes de lien matrimonial: la monogamie qui devient une règle et la polygamie une exception. Le code fixe l’âge du mariage à dix-huit ans pour la fille et vingt et un ans pour le garçon.

    – 28 juin 1984 : visite du maréchal Mobutu à Brazzaville
    Le président de la République du Zaïre, le maréchal Mobutu Sese Seko, effectue une visite officielle à Brazzaville. Reçu par le président Denis Sassou Nguesso, les deux chefs d’État abordent la crise tchadienne, la relance de l’organisation panafricaine et les relations bilatérales entre le Congo et le Zaïre.

    – 29 juin 1984 : visite officielle, à Pointe-Noire, du président Thomas Sankara
    Le chef de l’État voltaïque, le capitaine Thomas Sankara, effectue, du 29 au 30 juin, une visite officielle à Pointe-Noire. En compagnie du président Denis Sassou Nguesso, il visite quelques réalisations économiques. Cette visite du président voltaïque s’inscrit dans le processus révolutionnaire engagé en Haute-Volta depuis le 4 août 1983.

    – 4 juillet 1984 : le Premier ministre bulgare, Gricha Philipov, à Brazzaville
    Le Premier ministre bulgare, Gricha Philipov, a séjourné en République Populaire du Congo, du 4 au 6 juillet, sur invitation de son homologue congolais, le colonel Louis Sylvain Goma. Il a été reçu en audience par le colonel Denis Sassou Nguesso, président de
    la République. M. Gricha Philipov a également séjourné à Loubomo et Pointe-Noire où il a visité les différentes réalisations économiques.

    – 13 juillet 1984 : ouverture du super marché de Mpila
    Le Premier ministre, le colonel Louis Sylvain Goma, inaugure le supermarché de l’Ofnacom (Office national du commerce) à Mpila. Cette cérémonie, animée par l’orchestre Bantous de la capitale, coïncide avec le 20e anniversaire de la création de l’Ofnacom, l’une des grandes entreprises commerciales congolaises dont le rôle est d’importer les produits et marchandises de grande consommation en général et de première nécessité en particulier, et de les redistribuer à travers tout le territoire national.

    -20 juillet 1984 : pose de la première pierre, par le président Denis Sassou Nguesso, sur les ponts des rivières Djoué et Djiri
    Le pont sur le Djoué, long de 92 m et large de 7,60 m, a coûté 1.293.000.700 F Cfa. Celui sur la Djiri (une vingtaine de km), à 51 m de long sur 7,5m de large, a coûté 661.600.000 F Cfa. Ces deux ouvrages seront réalisés par l’entreprise Dragages-Congo.

    – 21 juillet 1984 : pose de la première pierre du siège social dela BCC Il sera érigé à l’angle de l’avenue Foch et Lumumba, au centre-ville. Il comprendra neuf niveaux pour le siège social proprement dit, un bâtiment de quatre niveaux pour une autre agence et un autre bâtiment à l’usage locatif comme les magasins et les appartements. Le coût total est estimé à cinq milliards environ, autofinancés pour les deux tiers. C’est le président Denis Sassou Nguesso qui a procédé à la pose de cette première pierre, en présence d’Ange-Édouard Poungui, directeur général de la BCC.

    – 22 juillet 1984 : inauguration du Palais des congrès
    Le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso, a procédé a l’inauguration du Palais des congrès, fruit de la coopération sino-congolaise, en présence de Zhao Zhouyi, membre du Parti communiste chinois, ministre du Travail et du personnel. La première pierre de ce palais avait été posée le 13 août 1981. Le financement a été assuré par la Chine et le Congo. Son coût est estimé à dix milliards de francs Cfa.

    – 23 et 24 juillet 1984 : inauguration de
    la route Loutété-Mfouati et cinq ponts sur la route nationale n°1.

    – 27 juillet 1984 : 3e congrès ordinaire du PCT
    Ce congrès ordinaire s’est tenu, du 27 au 31 juillet, au Palais des congrès, à Brazzaville. Patronnée par Denis Sassou Nguesso, président du Comité central du PCT, chef de l’État, président du Conseil des ministres, la cérémonie d’ouverture du congrès connaît la présence du président zambien, David Kenneth Kaunda, et de plus de cent quarante délégués étrangers des partis amis et frères d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. À l’issue de ce congrès, Denis Sassou Nguesso est réélu à la tête du Comité central du PCT.

    -13 août 1984 : Ange-Édouard Poungui nommé Premier ministre.

    – 23 septembre 1984 : publication des résultats des élections législatives, des conseils populaires des régions, des communes et des arrondissements
    Le colonel Raymand Damase Ngollo, membre du bureau politique du PCT, ministre de l’Administration du territoire et du pouvoir populaire, rend publics, au cours d’une émission télévisée, les résultats officiels du scrutin, organisé sur listes uniques.

    – 2 octobre 1984 : le président de la Swapo (Organisation populaire du sud-ouest africain), Sam Nujoma, effectue une visite privée à Brazzaville. Il a été reçu en audience par le chef de l’État, Denis Sassou Nguesso.

    – 12 octobre 1984 : visite du président Mohamed Abdelaziz à Brazzaville
    Secrétaire général du Front polisario et président de
    la République Arabe Sahraouie Démocratique, Mohamed Abdelaziz séjourne à Brazzaville, du 12 au 13 octobre, pour une visite d’amitié.

    – 25 octobre 1984 : décès de Stéphane Tchichelle
    Ministre des Affaires étrangères et vice-président de la République du Congo de 1960 à 1963, Stéphane Tchichelle est mort à Brazzaville, à l’âge de 69 ans. Il fut parmi les premiers cadres politiques bénéficiaires de la loi-cadre. Premier maire autochtone de Pointe-Noire (1956-1963), député du Kouilou (1957-1963). Après la révolution d’août 1963, il devient directeur général du CFCO de 1969 à 1973.

    – 10 novembre 1984 : reconduit dans ses fonctions par le 3e congrès ordinaire du PCT, le colonel Denis Sassou Nguesso, président du comité central du PCT, président de la République, chef du gouvernement, chef de l’État, prête serment, pour un nouveau mandat de cinq ans. Dans le gouvernement qu’il forme, il garde le portefeuille de la Défense.

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  13. Année 1985

    – 9-13 avril 1985 : Théophile Obenga, directeur général
    Le Conseil des ministres de la Culture des dix pays membres du Ciciba, réuni du 9 au 13 avril 1985, nomme Théophile Obenga, directeur général du Ciciba (Centre international de civilisation bantu) dont le siège est à Libreville.

    – 10-15 juin1985 : vers un pont aérien Congo-Burundi
    Entre Pointe-Noire et Bujumbura sera établi un pont aérien. Réunis à Bujumbura (Burundi), du 10 au 15 juin 1985, les hommes d’affaires burundais et congolais décident d’établir un pont aérien entre Brazzaville et Bujumbura, pour faciliter les échanges commerciaux entre les deux pays. Grâce à ce pont, indique-t-on, l’Office congolais d’importation et de vente en gros (Oniveg) pourra acheter douze à quinze tonnes de viande, par semaine, à la société agricole du Burundi.

    – 1er août 1985 : mort du doyen des écrivains congolais
    Doyen des écrivains congolais, auteur de deux romans célèbres, «Coeur d’Aryenne» et «La légende de Mfoumou Ma Mazono», Jean Malonga s’est éteint à Brazzaville. Il est inhumé au cimetière du centre-ville, le 6 août 1985. Il fut conseiller représentatif et membre du grand conseil de l’Afrique équatoriale française, en 1947. Il représente le Moyen-Congo, au Conseil de
    la République Française.

    – 14 août 1985 : le Prix Mercure d’or décerné au président Denis Sassou Nguesso
    La distinction lui est remise par M. Lorenzo, secrétaire général du Prix créé en 1961, à Rome (Italie), par une association des journalistes autonomes, dénommée «Centro-Giornalistico Annali». Après avoir reçu le Prix, le chef de l’État congolais décore, à son tour, de cette même médaille, les membres du bureau politique du PCT.

    – 8-13 août 1985 : conférence des jeunes écrivains afroasiatiques, à Brazzaville
    La 8e conférence des jeunes écrivains africains et asiatiques se tient, à Brazzaville, du 8 au 13 août 1985. Cent quatre délégués, venus d’Amérique latine, d’Europe, du Moyen-Orient et d’Afrique, y participent. Le communiqué final publié à l’issue des travaux indique que «les participants ont exprimé la nécessité de créer des maisons d’éditions aux dimensions régionales et de promouvoir les langues nationales, facteur décisif pour l’affirmation de leurs identités culturelles».

    – 31 août 1985 : dissolution de la STB (Société de transports brazzavillois)
    Par décret présidentiel rendu public le samedi 31 août 1985, la STB est dissoute, pour cessation de paiement. La municipalité de Brazzaville est chargée d’assurer le transport à Brazzaville, pendant la période de liquidation de la STB.

    – 18 septembre 1985 : pour une politique sociale de l’habitat
    Le Conseil des ministres du 18 septembre 1985 a examiné le problème du logement en République Populaire du Congo. «La politique du logement, depuis l’accession du pays à l’indépendance, jusqu’en 1979, a consisté en la mise en place d’un parc immobilier de deux cent quatre-vingt-un logements.Mais, depuis 1980, le gouvernement a construit trois cent quatre-vingt-dix-huit logements. Cet effort est insignifiant, au regard du nombre de plus en plus croissant de demandes de logements», a révélé le ministre de l’information, Christian Gilbert Bembet. Le ministre des Travaux publics, de l’urbanisme et de l’habitat, a fait état de douze mille demandes de logement. «Cette année, cent dix-sept nouveaux logements, construits à Brazzaville, dans le quartier Moukondo, ont été mis à la disposition du gouvernement par la Soprogi», indique-t-il. «Devant le coût élevé, le Conseil a décidé de fixer le prix de vente à trente mille francs Cfa par mois, pour le type F3 et à quarante mille francs Cfa, par mois, pour le type F4… La durée de la location est de vingt ans».

    – 11 octobre 1985 : procès de l’apartheid au palais de justice de Brazzaville

    La République Populaire du Congo célèbre, le 11 octobre 1985, la Journée internationale de solidarité avec les prisonniers politiques sud-africains. Organisée par le comité spécial anti-apartheid, la manifestation se déroule dans la salle d’audiences de la Cour suprême, à Brazzaville.

    – 16 octobre 1985 : réglementation des stages des fonctionnaires
    Un projet de décret est adopté par le Conseil des ministres, pour réglementer les stages de formation et de perfectionnement des fonctionnaires et agents contractuels de l’État. Ces stages ne devront plus excéder trois ans, sauf pour certaines branches spécifiques comme
    la médecine. Le Conseil des ministres a, également, décidé que les stages de recyclage ne pourront plus durer plus de huit mois et ne donneront pas lieu à un reclassement dans la hiérarchie de la fonction publique. Ce décret relève que le stagiaires ne pourra plus se rendre en stage à l’étranger, en compagnie de sa famille, quelle que soit la durée du stage, sinon à ses propres frais.

    – Octobre 1985 : le Congo élu membre non permanent du Conseil de sécurité de l’Onu
    Lors de la session commémorative de l’assemblée générale marquant le 40e anniversaire des Nations unies, la République du Congo est élue membre non permanent du Conseil de sécurité. À cette occasion, le ministre congolais des Affaires étrangères, Antoine Ndinga Oba, déclare que «cette admission est la manifestation de la politique extérieure du Congo, qui va dans le sens des idéaux des Nations unies: le maintien de la paix et le développement de la coopération entre les États».

    – Novembre 1985 : Mpassi-Muba, directeur général dela Pana
    Réunis au Caire, en novembre 1985, les ministres africains de l’Information portent Auguste Mpassi Muba à la tête de la Pana (Agence panafricaine d’information). Mpassi-Muba succède au Nigérien Cheikh Ousmane Diallo.

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  14. Année 1986

    – 5 janvier 1986 : décès du pasteur Daniel Ndoundou
    Évacué à Paris, en France, le pasteur évangéliste Daniel Ndoundou décède des suites d’une longue maladie, à l’âge de 75 ans. Sa dépouille mortelle est rapatriée à Brazzaville, samedi 11 janvier. Le pasteur Ndoundou sera enterré à Ngouédi (Loutété)

    – 1er février 1986 : pose de la pierre de la construction de l’immeuble des coopérants, près du boulevard des armées, par Benoît Moundelé-Ngollo, ministre des Travaux publics, de la construction, de l’urbanisme, de l’habitat et de l’environnement.

    – 3 février 1986 : pose de la première pierre de l’immeuble administratif de l’Arc (Société d’assurance et réassurance du Congo) qui sera érigé en face du nouvel immeuble de la CNPS, à Brazzaville, et inauguration officielle de l’usine d’adduction d’eau de Djiri, par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso.

    – 4 février 1986 : pose de la première pierre de la tour d’Elf-Congo, par le colonel Denis Sassou Nguesso. L’immeuble de trente niveaux, sous la forme d’un tam-tam, sera baptisé tour Nabemba, du nom du sommet le plus élevé du Congo.

    – 5 février 1986 : coup d’envoi des travaux de construction du Centre hospitalier universitaire, dans l’enceinte de l’hôpital général de Brazzaville.

    – 4 mai 1986 : jubilé de François M’pelé
    Le footballeur international congolais, François M’pelé, célèbre les 4 et 6 mai, son jubilé. Le premier de l’histoire du sport congolais. À cette occasion, l’équipe de Paris Saint-Germain, champion de France, joue contre les Diables rouges, au stade de la révolution, à Brazzaville, et au stade Casimir M’voulalea, à Pointe-Noire, avec la sélection régionale du Kouilou. Les deux matches sont remportés par l’équipe française par un large score de quatre buts à un.

    – mai 1986 : Visite de Yaser Arafat, président du comité exécutif de l’OLP (Organisation de libération de la Palestine)
    Dans le cadre de sa tournée de redynamisation des liens entre les pays qui continuent de proclamer leur soutien à la cause palestinienne et l’OLP, Yaser Arafat a entamé un périple dans près de cinq pays africains. Au Congo, il est accueilli par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso. À cette occasion, le Congo a réaffirmé son soutien indéfectible à la lutte palestinienne.

    – 30 juillet 1986 : le président Denis Sassou Nguesso est porté à la tête de l’OUA (Organisation de l’unité africaine) par ses pairs, lors du 22e sommet tenu à Addis-Abeba (Éthiopie), devenant ainsi le 23e président en exercice de cette institution panafricaine.

    – 3 août 1986 : ouverture du procès des attentats aux explosifs, au cinéma Star et à l’aéroport de Maya-Maya de 1982, devant la Cour révolutionnaire présidée par Charles Madzou. Sept personnes, accusées «d’adhésion à une secte ou groupement interdit, complot, complicité d’attentats, de tentatives d’attentats, d’assassinats, de destruction d’édifices et fabrication, acquisition, port, transport, cession et détention des matériels, armes et munitions de guerre», sont présentes. Il s’agit de Claude Ernest Ndalla-Graille, Jean-Pierre Thystère-Tchicaya, Jean-Gustave Bouissou, Blaise Nzalakanda, Daniel Biampandou, Gaspard Kivouna et Claude Kembissila.

    – 7 août 1986 : visite de Sam Nujoma, à Brazzaville
    Au cours de son séjour, le chef de l’Organisation de libération du peuple du sud-ouest africain, Sam Nujoma, a émis à Brazzaville, l’espoir que la Namibie accède à l’indépendance sous le mandat du colonel Denis Sasou Nguesso à la tête de l’OUA. – 29 août 1986 : séjour à Brazzaville du président Daniel Ortéga
    Le président nicaraguayen, Daniel Ortéga Saavedra, effectue, du 29 au 30 août, une visite de travail et d’amitié en République Populaire du Congo, sur invitation du colonel Denis Sassou Nguesso, chef de l’État, président en exercice de l’OUA. – 13 novembre 1986 : brève visite de Jacques Chirac, à Brazzaville
    En route pour Lomé, au Togo, le Premier ministre français, Jacques Chirac, fait une escale de six heures à Brazzaville. Pendant cette brève visite, il s’entretient avec le président de la République, Denis Sassou Nguesso.

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    Année 1987

    – 25-31 mars 1987 : symposium littéraire anti-apartheid
    Le premier symposium littéraire anti-apartheid, dans l’histoire de la lutte contre le pouvoir afrikaner en Afrique du Sud, se tient à Brazzaville, du 25 au 31 mai 1987. Il regroupe plusieurs personnalités du monde des lettres venues d’Asie, d’Amérique et d’Afrique ainsi que des représentants des mouvements de libération d’Afrique australe.

    – 12 mai 1987 : bilan du premier plan quinquennal
    À l’ouverture de la 6e session ordinaire administrative de l’Assemblée nationale populaire, le 12 mai 1987, le chef de l’État fait l’évaluation du premier plan quinquennal (1982-1986). Il indique que «plus de trois cent dix projets, de toutes natures, ont été menés à bien et sont, aujourd’hui, terminés». Selon le chef de l’État, «l’effort financier assumé par l’État s’élève, au terme du plan, à 666,4 milliards de francs Cfa, dont 283,6 milliards en ressources propres et 382,8 milliards en emprunts». Le secteur économique d’État «a nécessité un redressement assez important. L’État a injecté 316,8 milliards aussi bien pour des opérations de redressement, de développement que de création d’unités économiques. Sur cette somme, cent trois milliards représentent la contribution du Trésor public et deux cent treize milliards proviennent des emprunts à la charge de l’État».
    Le chef de l’État fait, ensuite, un constat amer: «Au lieu d’enrichir le pays, le secteur économique d’État contribue à son appauvrissement, à l’aggravation des difficultés du peuple et de l’État, affaiblit le secteur bancaire, assombrit les perspectives de notre jeunesse. Il ne donne rien à l’État mais lui demande tout». La dernière année du plan, a poursuivi le chef de l’État, «a été marquée par l’effondrement du cours du pétrole… Ce qui a occasionné un manque à gagner de plus de cent milliards de francs Cfa, au budget de l’État».

    – 5-10 juin 1987 : journées de réflexion sur l’hôpital général de Brazzaville
    Comment réaliser l’objectif de l’OMS: santé pour tous d’ici à l’an 2000? Et comment remédier à la décadence du niveau de prestations du plus grand établissement sanitaire congolais, à la dégradation et au manque de conscience de son personnel? Le ministre de la Santé et des affaires sociales ainsi que les autres responsables du secteur sanitaire ont convoqué des journées de réflexion.

    – 25-30 juin 1987 : premier congrès des hommes de science africains
    Organisé sous l’égide de l’OUA, avec le concours de plusieurs organisations internationales (Pnud, Unesco, Communauté scientifique africaine, etc.), le premier congrès des hommes de science regroupe quatre cents participants à Brazzaville, sur le thème «La mobilisation de la communauté scientifique africaine pour le développement de l’Afrique». À l’issue de ce congrès, un hommage particulier est rendu au président Denis Sassou Nguesso, en récompense de ses efforts pour la promotion de la science et de la culture en Afrique. Après avoir reçu le Prix Albert Einstein, la prestigieuse distinction de l’Unesco, le chef de l’État congolais est fait docteur Honoris Causa de l’Université des sciences et de technologie Houari Boumedienne d’Alger. Il reçoit, également, la médaille d’or de l’Association des universités africaines. Le congrès des hommes de science de Brazzaville, qui se termine par une «Déclaration de Brazzaville sur la science et la technologie en Afrique» donne naissance à l’Union panafricaine de la science et de la technologie.

    – 1er juillet 1987 : intervention de Me Jean Martin Mbemba au procès Klaus Barbie
    Consulté par la famille de Klaus Barbie, accusé d’avoir contribué à l’élimination des Juifs, Me Martin Mbemba se rend à Lyon, où se déroule le procès, du 11 mai au 3 juillet 1987. Il défend, avec d’autres avocats français, son client, Klaus Barbie, chef de la Gestapo lyonnaise. Me Mbemba prend la parole «devant une salle bondée où avaient pris place près de mille personnes. Il s’est attelé à dénoncer et à démontrer l’ambiguité de la notion de crime contre l’humanité ». Réaction de la presse française: «Me Mbemba plaide avec talent» (Libération); «En tout cas, sa plaidoirie captive. Pas un bruit dans la salle comble, pas un murmure» (Sud-Ouest); «Me Bouaita, l’Algérien, n’atteindra pas, et de loin, le niveau de son compère congolais » (Sud-Ouest).

    – Juillet 1987 : libérés trois ans plus tôt et placés en résidence surveillée, l’ancien président Jacques Joachim Yhombi-Opango et d’autres personnalités militaires et civiles, originaires de la Cuvette, accusés d’atteinte à la sûreté de l’État, sont arrêtés. Depuis Owando où il est relegué, le capitaine Pierre Anga, qui refuse de se laisser arrêter, se réfugie dans la forêt proche d’Ikongono, dans
    la Cuvette. L’armée engage une violente traque contre lui. Il est tué un an plus tard.

    – 13-16 novembre 1987 : premier conseil national de l’agriculture
    Le 1er conseil national de l’agriculture se tient, à Brazzaville. Il a été préparé par les assemblées régionales, du 1er au 5 novembre 1987. Ce conseil a regroupé trois cent soixante-cinq délégués, représentant les structures du parti, de l’État, des organisations internationales, des institutions financières congolaises et des individualités.

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  15. Année 1988

    – 9 janvier 1988 : jumelage entre les villes de Brazzaville et Kinshasa
    Les deux capitales les plus proches du monde, Brazzaville et Kinshasa, scellent un acte historique consacrant leur jumelage. C’est Kondé Vila Kikanda, gouverneur de
    la ville Kinshasa, et Jean Jules Ockabando, député-maire de Brazzaville, qui signent l’acte officiel de ce jumelage des deux villes. La première partie de ce jumelage s’est déroulée à Kinshasa et la deuxième à Brazzaville, le 7 mai. C’était en présence du représentant de la fédération mondiale des villes jumelées, Guy Marti.

    – 3 février 1988 : inauguration, par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso, du siège social de l’ARC et de l’hôpital central des armées et pose de la première pierre du siège de la direction nationale de la Banque des États de l’Afrique centrale. Pour l’hôpital central des armées, il s’agit d’une extension de l’ancien établissement.

    – 16 février 1988 : visite de Javier Perez De Cuellar, secrétaire général de l’Onu
    Le secrétaire général de l’Onu, Javier Perez De Cuellar, effectue une visite de travail, du 14 au 16 février, en République Populaire du Congo. Accueilli à l’aéroport de Maya-Maya par le ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Antoine Ndinga-Oba, M. Javier Perez De Cuellar a eu des entretiens avec le Premier ministre, Ange Édouard Pongui, et a été reçu par le chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso.

    – 22 avril 1988 : décès de l’écrivain et poète congolais, Tchicaya U Tam’si, des suites d’une crise cardiaque, dans sa résidence secondaire de campagne, en France.

    -29 avril 1988 : inhumation, à Loango (Kouilou), de l’écrivain et poète congolais, Tchicaya U Tam’si.

    – 17 octobre 1988 : nomination de Mgr Georges Singha comme évêque de Pointe-Noire.

    – 27 novembre 1988 : Mgr Georges Singha, 63 ans, doyen des évêques congolais, est installé dans son siège diocésain à Pointe-Noire, au cours d’une messe à
    la paroisse Saint-Pierre Apôtre.

    – 23 novembre 1988 : Denis Sassou Nguesso réélu à la tête du comité central du PCT, au cours de la 9e session ordinaire du Comité central.

    – 21 décembre 1988 : Double jubilé au Congo: Paul Moukila «Sayal» et Bahambula Mbemba «Tostao».

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    Année 1989

    – 12-14 janvier 1989 : constitution du comité africain anti-apartheid
    L’assemblée constitutive du Comité africain anti-apartheid se tient à Brazzaville et regroupe des représentants de vingt-quatre pays africains, de vingt pays d’Europe, d’Asie et d’Amérique.

    – 31 janvier 1989 : président du Comité central du PCT, président de la République, chef de l’État, le colonel Denis Sassou Nguesso est promu directement au grade de général d’armée, devenant ainsi l’officier général le plus haut gradé de l’APN (Armée populaire nationale). C’était à l’occasion du 10e anniversaire du mouvement du 5 février 1979 qui l’amena au pouvoir.

    – 30 juillet 1989 : sommet Congo-Gabon-Angola, à Pointe-Noire
    Les chefs d’État du Congo, du Gabon et de l’Angola se retrouvent à Pointe-Noire, pour discuter des questions d’intérêt commun. Mais, surtout, des conséquences de l’accord du 22 juin 1989 qui a marqué le début du processus de réconciliation entre les «frères ennemis» de l’Angola. C’est la 3e rencontre des chefs d’État, après celles de Libreville (octobre 1988) et de Brazzaville (mai 1989).

    – 7 juillet 1989 :la République Populaire du Congo reconnaît la compétence du comité des droits de l’homme, du pacte international de l’Onu sur les droits civils et politiques.

    – 26 au 31 juillet 1989 : 4e congrès ordinaire du PCT
    Le 4e congrès ordinaire du PCT (Parti congolais du travail) se tient, à Brazzaville, au Palais des congrès. Le colonel Denis Sassou Nguesso est reconduit à la tête du parti et de l’État, pour cinq ans.

    – Août 1989 : Alphonse Souchlaty-Poaty est nommé Premier ministre.

    – 19 septembre 1989 : attentat contre un D C10 d’UTA
    Parti de Brazzaville, mardi 19 septembre 1989, le DC 10 d’UTA s’est écrasé, à 650 Km de N’Djamena (Tchad), vingt minutes après le décollage de la capitale tchadienne. Aucun des cent soixante et onze passagers n’a survécu à cette catastrophe. Ce vol desservait
    la ligne Brazzaville-N’Djamena-Marseille- Paris. Ils étaient soixante-dix-sept passagers au départ de Brazzaville, dont quarante-neuf Congolais.

    – 28 octobre 1989 : mesures de libéralisation économique, fin du mythe de l’État providence

    Le président de la République Populaire du Congo annonce des mesures de libéralisation économique devant être appliquées au cours du «Plan d’action économique et sociale, pour la période de 1990-1994».
    Le même jour, le chef de l’État congolais annonce la fin du mythe de l’État providence. Le peuple, en général, et chaque citoyen, en particulier, est appelé à se libérer de certaines illusions comme de la tutelle étatique.

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  16. Année 1990

    – Janvier 1990 : le président de la République, le général d’armée Denis Sassou Nguesso, met en place, au niveau du PCT, une commission ad hoc chargée de réfléchir aux changements en cours dans les pays d’Europe de l’est et leurs implications au niveau national.

    – 27 janvier 1990 : vingt-trois militaires et civils périssent dans une catastrophe aérienne près de Kinkala, dans la région du Pool. L’accident serait dû à de mauvaises conditions météorologiques. L’avion qui reliait Pointe-Noire à Brazzaville s’est écrasé à 17h24 après avoir été pris dans un vent violent soufflant à 80 km à l’heure au sol.

    – 3 février 1990 : inauguration de l’immeuble d’Elf-Congo, baptisé «Tour Nabemba»
    Érigée en plein centre-ville de Brazzaville, d’une hauteur de 103 m pour vingt-sept étages, sur une surface de 11.085 mètres carrés,
    la tour Nabemba est inaugurée par le président Denis Sassou Nguesso. Son coût global est de vingt milliards de francs Cfa. Les travaux ont été réalisés pendant quatre ans par la société pétrolière Elf-Aquitaine (France) et les sociétés «Générale d’entreprises» (Congo) et Immobilière de la tour.

    – 4 février 1990 : inauguration des maternités des centres hospitaliers de Talangaï et Makélékélé, par l’épouse du chef de l’État et présidente de
    la fondation Congo-Assistante, Mme Antoinette Sassou Nguesso.

    – 4 avril 1990 : confrontée à une sévère crise, la Suco (Sucrière du Congo) licencie sept cent soixante-dix-sept travailleurs dont sept agents de maîtrise, quarante-huit ouvriers spécialisés, cinq cent six manoeuvres et deux cent seize ouvriers professionnels.

    – 19 mai 1990 : inhumation, en présence du chef de l’État, le général d’armée Denis Sassou Nguesso, au cimetière du centre-ville, à Brazzaville, des quarante-neuf Congolais tués le 19 septembre 1989 dans l’attentat contre le DC 10 d’UTA au-dessus du désert de Ténéré.

    – 30 juin 1990 : publication du décret n°90-420 relatif aux effets financiers des reclassements, des révisions des situations administratives et de titularisation de certains agents de la fonction publique.

    – 7 juillet 1990 : Mgr Bernard Nsayi est nommé évêque de Nkayi.

    – 28 août 1990 : ancien directeur et éditorialiste de «
    La Semaine Africaine», ancien vicaire général de l’archidiocèse de Brazzaville, l’abbé Louis Badila décède à l’hôpital central des armées, à l’âge de 60 ans. Il avait appelé les chrétiens à la paix, à la prière et à la réconciliation, après l’assassinat du cardinal Émile Biayenda, en 1977, évitant ainsi au pays une guerre civile qui menaçait d’éclater, dans un climat de tension et de psychose marqué par l’assassinat du président Marien Ngouabi.

    – 28 au 30 septembre 1990 : devant l’aspiration à la démocratie favorisée par la chute du mur de Berlin (Allemagne) en 1989 et le discours du président français, François Mitterrand, au sommet France-Afrique de La Baule (juin 1990), le Comité central du PCT, réuni en session ordinaire à Brazzaville, recommande au président de la République, le général d’armée Denis Sassou Nguesso, la convocation, en mai – juin 1991, d’une conférence regroupant les partis, les organisations de masses et sociales, les confessions religieuses, les associations et les personnalités. Il fixe au 1er janvier 1991, la reconnaissance des partis politiques. Le PCT renonce ainsi à la primauté du parti sur l’État et abandonne le marxisme-leninisme comme idéologie. Mais, les évènements vers la démocratie vont se précipiter.

    – 29 octobre 1990 : le gouvernement décide de fermer la télévision nationale, à la suite d’une grève générale des agents.

    – 8 novembre 1990 : le gouvernement décide de réouvrir la télévision nationale.

    – 7 décembre 1990 : bras armé du parti, l’Armée populaire nationale fait ses adieux au PCT, au cours d’une cérémonie au boulevard des armées de Brazzaville. Désormais, l’armée est apolitique.

    – 4 au 10 décembre 1990 : 4e congrès extraordinaire du PCT et réélection du général d’armée Denis Sassou Nguesso à la tête du Comité central. Mais, une série de démissions d’éminentes personnalités, comme celle du Premier ministre, Alphonse Souchlaty-Poaty, va suivre ce congrès dans un climat marqué par la création de nouveaux partis avec l’établissement du multipartisme.

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    1991: conférence nationale souveraine

    1991/1992: Période de transition politique et élection Présidentielle libre et transparente et Sassou Nguesso battu par les urnes.

    1992-1997: Mélange entre démocratie et démocrature

    1997: Coup d’état sanglant et l’arrivé de Sassou Nguesso II ( 1997-2016) et Sassou Nguesso III ( 2017 et puis) ! : http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/07/les-saoudiens-chez-sassou-nguesso-a-oyo-au-congo-brazzaville-et-pourquoi-faire.html

  17. et quand on est elu president de la republique en 1992 on organise les elections en fin de mandat ou on chie sur elles? dit :

    faux historiens on perd la memoire au sujet des aubevillois cocoyes ninjas cobras on perd la memoire au sujet de la dissolution premier parlement congolais post conf nationale on perd la memoire au sujet de la conosela on perd la memoire au sujet de la guerre du 03 novembre 1993 on perd la memoire au sujt de l’enlevement de deux directeurs de cabinet de p lissouba par bernard kolelas on oublie tout ca on oublie l’erection des barricades dans bacongo et makeleklee qui furent des graves violations des libertes publiques on oublie l’expulsion des nibolkes de bacongo et de makelekele ce qui etait une grave violation de la constitution du 15 mars 1992 ……NOUS VOULONS POUR CE PAYS DE BONS HISTORIENS DIXIT ANTOINE LETHEMBET AMBILY EX N 2 DU MCDDI on ne dit sur la guerre du 05 juin 1997 les nombreuses attaques contre le barrage de moukoukoulou on ne dit rien sur les declarations malades des niboleks NA 97 BET KE KOUNDEN’ DEMOCRATIE… NIOUS VOULONS POUR CE PAYS DES BONS HISTORIENS sassou ng est il nibolek

    et quand on est elu president de la rep on organise les elections en fin de mandat ou on chie sur elles? coup d’etat sanglant ca va pas non…

  18. C’est dur d’appartenir au clan sassou et nguesso. C’est très dur d’être un parent d’un soi-disant président qu’on aime pas. On est obligé de répondre à tout en même temps tenté de falsifier l’histoire. Nous savons tous que sassou n’a pour amis que les français, sans eux il n’est rien. Depuis le départ de LISSOUBA du pouvoir, jamais sassou n’a réussi à renégocier la part du pétrole que revient au Congo. L’histoire nous a toujours apprit que tous les empires du monde se sont écroulés comme des châteaux de carte. Un jour viendra l’Empire sassou et nguesso s’écroulera alors vous, fils et filles soutiens de cet empire irez loin très loin comme l’ont été ceux qui soutenaient les NAZIS. Au fait j’ai appris qu’ils sont toujours recherchés par les JUIFS. Les sassou et nguesso seront à leur tour rechercher partout dans le monde. Nous sommes patients très patients.

  19. ÉVEIL DE CONSCIENCE AFRICAINE: BRAVO A JM LEPEN JACQUES CHIRAC NICOLAS SARKOSY ET A EMMANUEL MACRON ET POUR CAUSE?
    Ces Présidents Français ont toujours cherché à éveiller en vain la conscience africaine francophone tout en les exploitant d’ailleurs.
    L’africain est-il humain, a-t-il une âme et une conscience?

    Sinon, comment cela se fait-il que 3000 ans après c’est à dire depuis l’époque des Phéniciens et des byzantins en passant par les arabes puis les européens et enfin les Indiens et asiatiques aujourd’hui – les africains ont toujours été les derniers et se sont fait toujours avoir par les autres qui ont toujours servi d’eux?…. Allez comprendre !!! http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/07/eveil-de-conscience-africaine-bravo-a-jm-lepen-jacques-chirac-nicolas-sarkosy-et-a-emmanuel-macron-et-pour-cause.html

  20. AFRICAIN ECOUTE LA VIDEO CI-JOINTE SINON LA FAUTE A TON STADE D’EVOLUTION HUMAINE ET RESTE LA A JOUER AUX EMOTIONS ET C’EST BIEN COMME CA…
    ÉVEIL DE CONSCIENCE AFRICAINE: BRAVO A JM LEPEN JACQUES CHIRAC NICOLAS SARKOSY ET A EMMANUEL MACRON ET POUR CAUSE?
    Ces Présidents Français ont toujours cherché à éveiller en vain la conscience africaine francophone tout en les exploitant d’ailleurs.
    L’africain est-il humain, a-t-il une âme et une conscience?

    Sinon, comment cela se fait-il que 3000 ans après c’est à dire depuis l’époque des Phéniciens et des byzantins en passant par les arabes puis les européens et enfin les Indiens et asiatiques aujourd’hui – les africains ont toujours été les derniers et se sont fait toujours avoir par les autres qui ont toujours servi d’eux?…. Allez comprendre !!! https://www.youtube.com/watch?v=VG2MO3WEdP8

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