Violences Politiques au Congo : Disparations Forcées

La société civile congolaise a tenu une conférence de presse pour dénoncer l’instauration d’un pouvoir ultra-répressif au Congo où les disparitions sont devenues un des instruments clés de la politique des Nguesso après le hold up électoral de mars 2016.

La preuve  de cette cruauté affreuse a été brandie par les familles des nommés NIMI NGOMAS Gueje et AKONGA Hosni qui sont portés disparus le 07 février 2017.

Ces organisations ont été saisies par un collectif des Parents, le 03 Mars 2017 au sujet de la Disparation inquiétante de (leurs) enfants.

Il s’agit de :

1) NIMI – NGOMA – GUEDJ : âge de 20ans

2) AKONGA – HOSNY – Normand : âge de 23ans

3) AWAMBI – ELMICH : âge de 23ans

Arrêtés  Courant mois de Février 2017 et détenus dans les geôles du Poste de Police Avancé de CONTRES – RAILS de Poto – Poto 2, relevant du Commissariat de la Coupole, cette opération serait effectuée par les éléments de la Police Nationale. Le Poste de Police Avancé de Contres – Rails est dirigé par l’Adjudant – chef MANOUNOU – ROMUALD – MORGAN.

Ces enfants jusqu’à ce jour, malgré la recherche effrénée des Parents dans tous les lieux de détention appropriés et officiels, aucune trace de leur existence, présence et vie.

  1. Témoignage des parents par leur représentant :

En date du 07/02/2017, quinze (15) jeunes garçons auraient été interpellés par la police et placés en garde à vue au poste de police avancé de contre-rails Poto-poto II, pour délit de droit commun, ce poste dépend du Commissariat de Police de la Coupole et placé sous le commandement de L’Adjudant-Chef MANOUNOU Romuald Morgan.

A on croire, quatre (04) des quinze (15) jeunes garçons, élargis par la police successivement en dates du 20, 22 et 24 Février 2017, huit (08) de leurs amis, avaient été retirés des geôles le20 Février 2017, aux environs de 22 heures, embarqués dans le véhicule de type BJ dudit poste de Police et conduit vers un lieu inconnu sous les ordres de l’Adjudant-chef MANOUNOU Romuald Morgan, actuellement admis au franchissement de l’Ecole Supérieure de Police.

Les recherches effectuées par les parents des huit (08) jeunes disparus, sont restées infructueuses après notre passage dans les différents Commissariats, postes de police, brigades de gendarmerie à la morgue municipale du CHU et à la maison d’arrêt Centrale de Brazzaville.

2. Arrestations – Tortures – Emprisonnements – Disparitions forcées – Décès ?

Un adage qui dit : « Ils refusent  les yeux ouverts ce que d’autres acceptent les yeux fermés »
Les droits de l’Homme sont le fondement d’une société garantissant l’égalité, la liberté et la dignité de chaque être humain.

Les Organisations de la société civile  œuvrant dans le domaine de la promotion et la protection des droits de l’homme et de la démocratie sont très préoccupées de la situation des droits en République du Congo. Dans les postes de police et dans des prisons, dans les grandes villes comme dans les villages isolés, les tortionnaires continuent d’infliger à leurs victimes, à l’abri de tout le monde, des souffrances physiques et mentales insoutenables pour punir ou les extorquer des aveux. La torture commence depuis l’interpellation par la force publique à la détention sans que les auteurs de ces actes ne soient inquiétés.

On constate qu’au Congo la présomption d’innocence n’existe plus. Ce qui existe c’est le « permis de tuer » des miliciens de ce régime.

Le Congo gît de plus en plus dans les ténèbres.

 

13 thoughts on “Violences Politiques au Congo : Disparations Forcées

  1. L’unité des forces progressistes est un préalable au sursaut national et au changement du système politique. Peut-on aujourd’hui mettre les congolais ensemble sur un même projet ? Si les congolais ne sont pas capables de se rassembler au delà de leur appartenance ethnique ou tribale, alors il n’y aura plus de Congo.

    Il faut tracer une ligne de démarcation nette, entre les progressistes convaincus, et les francafricains. L’équation aujourd’hui est non seulement de faire partir la dictature mais surtout de mettre fin à un système de domination et d’aliénation le plus injuste qu’est connu le pays.

    Connaitre les résistants civils et militaires congolais sur la place de Paris pour mieux comprendre à cette échelle, le statut quo politique et la tragédie congolaise – un pays sous occupation – un peuple aux arrêts – une nation outragée, souillée, surendettée, en faillite et désormais en mort clinique… A qui la faute ? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/03/la-guerre-silence-entre-nationalistes-francafricains-et-reformateurs-congolais.html

  2. Sassou Nguesso a désormais pris le chemin de Jean Bedel bokassa, le defunt empereur centrafricain et ami de Valery Giscarad D’estaing ancien président français entre 1974 1981. En effet en 1972, le dictateur de Bokassa sétait proclamé Président  » vitalicio » c’est à dire Président à vie. Une expression espagnol qui revele d’un titre que les dictateurs s’octroie pour eliminer les limites de leur mandat avec l’espoir que leur autorité et leur legitimité ne seront jamais mise en cause. La Constitution imposée aux congolais avec 5 % de suffrage en faveur est l’expression de cette volonté de Sassou Nguesso de marcher sur la ligne de Bokassa.Les centaines de milliers de morts qui garnissent le curriculum vitae de ce dictateur et criminel multi récidiviste et surtout les bombardement indiscriminées d’une partie de la population du congo ( ici le département du Pool) depuis bientôt une année, nous permet de mettre sans difficulté sassou nguesso et Jean Bedel Bokassa.

  3. Vous savez, quand une administration comme le Département d’Etat Américain décrit sur des dizaines de pages, le comportement éhonté des autorités d’un pays (le Congo) vis à vis des droits de l’Homme, c’est qu’il y a réellement un problème.

    Ils vont, une fois de plus, soit par le menteur de service MOUNGALLA, soit par le ministre de la justice le plus CON que le Congo n’ait jamais porté Pierre MABIALA, chercher à démentir la vérité. Le mot HONTE ne suffit plus pour exprimer ce qui se passe dans ce pays devenu un GROS TAS DE MERDE.

  4. LA MAIRE DE PARIS A-T-ELLE UN MAL FOU DU DICTATEUR SASSOU ET SON CLAN ?
    L’ignorance est-elle la pire des souffrances? – Oui, c’est à peu près cela. Mais tout dépend de la durée pendant laquelle le cerveau a été abimé l’ignorance ou l’obscurantisme.

    Alors, le cerveau de la Maire de Paris est-il abimé par le dictateur Sassou Nguesso et son gendre, maire de Brazzaville la poubelle? Sinon, pourquoi s’acharner contre le peuple congolais et contre les brazzavillois (Brazzaville, la capitale la plus sale existante au monde, la ville poubelle et pathogène). http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/03/la-maire-de-paris-a-t-elle-un-mal-fou-du-dictateur-sassou-et-son-clan.html

  5. Décidément, Laurent Dzaba ne dort plus, suite à nos révélations à propos de sa collusion avec le pouvoir de Brazzaville. Ce week-end, il a fait défiler une bande passante dans laquelle Laurent Dzaba écrit ceci : « Depuis un certain temps, quelques personnes malveillantes proches des Amis d’André Okombi Salissa s’acharnent contre Laurent Dzaba et le site Zenga-Mambu sur des soi-disant contrats publicitaires avec des sociétés de la place de Brazzaville et la déstabilisation de l’opposition congolaise en France au profit du pouvoir de Brazzaville »
    Comme on le constate, Laurent Dzaba n’explique pas comment les publicités de MTN Congo et de Crédit du Congo se sont retrouvées sur Zenga-Mambu. Il n’explique pas non plus pourquoi il les avait précipitamment enlevées à la suite de nos accusations. La vérité qu’il ne peut plus contredire est que le pouvoir de Brazzaville lui avait permis d’avoir ces deux publicités qui lui permettaient d’empocher annuellement 10 millions de FCFA par publicité.
    En plus, Laurent Dzaba émarge aujourd’hui auprès de Guy Brice Parfait Kolélas qui lui verse 2000 euros par mois en contrepartie de la promotion qu’il lui assure sur Zenga-Mambu. En le faisant, Laurent Dzaba est allé au plus offrant puisque, avant cela, André Okombi Salissa lui donnait 1000 euros par mois.
    Pire, Laurent Dzaba a permis au pouvoir de Brazzaville de mettre la main sur André Okombi Salissa. Comment ? En remettant à la DGST le numéro secret par lequel André Okombi Salissa l’appelait régulièrement. Pour cette traitrise, Laurent Dzaba avait demandé 100 millions de FCFA. Mais, à ce jour, seule la somme de 50 millions de FCFA lui a été versée, soit la moitié.
    D’après nos informations, Mpila avait tout décaissé, mais les personnes qui avaient été au cœur de cette transaction avec Laurent Dzaba ont gardé la moitié. Suite aux multiples protestations de Laurent Dzaba (à qui on avait promis la totalité de cette somme une fois l’opération réussie), les complices du patron du site Zenga-Mambu (qui ont pris leur part), ont décidé de tout dévoiler, de tout mettre sur la place publique.
    Aujourd’hui, Laurent Dzaba, qui se rend compte que sa traitrise a été découverte, s’en prend maladroitement aux « personnes proches des Amis d’André Okombi Salissa ». Laurent Dzaba a peur, très peur. Il sent que l’heure de payer sa traitrise est arrivée.
    D’autres révélations vont suivre…
    Congo Mambou

    1. Sassou alias Takou, la bite fourche, a baisé par derrière hier tard dans la nuit, madame Munari Mabondzo. Deux coups, trois sucettes s’il vous plait. Voulez-vous une preuve?

      Allez, Dreyfus Zoba Ondongo Madongo, ou sont les récépissés de vos racontars? Montrez-en quelques uns, on attend; sinon vous aussi, allez cartonner votre vieille mère par le postérieur froissé, et fichez le camp pour toujours.

      André Okombi Salissa, TUEUR et VOLEUR, n’est PAS non plus un exemple pour le Congo.

  6. Sassou alias Takou, la bite fourche, a baisé par derrière hier tard dans la nuit, madame Munari Mabondzo. Deux coups, trois sucettes s’il vous plait. Voulez-vous une preuve?

    Allez, Dreyfus Zoba Ondongo Madongo, ou sont les récépissés de vos racontars? Montrez-en quelques uns, on attend; sinon vous aussi, allez cartonner votre vieille mère par le postérieur froissé, et fichez le camp pour toujours.

    André Okombi Salissa, TUEUR et VOLEUR, n’est PAS non plus un exemple pour le Congo.

  7. Sassou alias Takou, la bite fourche, a baisé par derrière hier tard dans la nuit, madame Munari Mabondzo. Deux coups, trois sucettes s’il vous plait. Voulez-vous une preuve?

    Allez, Dreyfus Zoba Ondongo Madongo, ou sont les récépissés de vos racontars? Montrez-en quelques uns, on attend; sinon vous aussi, allez cartonner votre vieille mère par le postérieur froissé, et fichez le camp pour toujours.

    André Okombi Salissa, TUEUR et VOLEUR, n’est PAS non plus un exemple pour le Congo.

  8. Sassou alias Takou, la bite fourche, a baisé par derrière hier tard dans la nuit, madame Munari Mabondzo. Deux coups, trois sucettes s’il vous plait. Voulez-vous une preuve?

    Allez, Dreyfus Zoba Ondongo Madongo, ou sont les récépissés de vos racontars? Montrez-en quelques uns, on attend; sinon vous aussi, allez cartonner votre vieille mère par le postérieur froissé, et fichez le camp pour toujours.

    André Okombi Salissa, TUEUR et VOLEUR, n’est PAS non plus un exemple pour le Congo.

  9. La liberté, ça se mérite – Ceux qui sont libres l’ont certainement mérité. Il faut alors la mettre en pratique et avancer.
    Si tu est libre et ne mets pas en pratique ta liberté acquise – cela signifie qu’à l’intérieur de ton être, tu ne sera jamais libre. Sinon, à quoi ça sert d’être libre?

    La liberté « Être libre, c’est faire ce que je veux » ?
    Si la liberté est l’absence de toute règle et de toute contrainte, alors l’animal est libre. Mais ce raisonnement n’a qu’une apparence de vérité: le comportement d’un animal est en fait dicté par son instinct, de sorte que l’animal ne peut pas s’empêcher d’agir comme il agit.

    L’instinct commande, l’animal obéit : loin d’être le modèle de la liberté, l’animal est l’incarnation d’une totale servitude à la nature. On ne peut parler de liberté que pour un être qui s’est affranchi du déterminisme naturel.
    Pour être libre, il faut pouvoir choisir de faire ou de ne pas faire. Seul donc un être qui s’est débarrassé de la tyrannie des instincts peut remplir les conditions minimales de l’accès à la liberté.

    Emmanuel Kant soutient que c’est précisément là le rôle de l’éducation : elle a pour but premier de discipliner les instincts, c’est-à-dire de les réduire au silence pour que l’homme ne se contente pas d’obéir à ce que sa nature commande.

    S’il suffisait d’obéir aux lois injustices et illégitimes pour être libre, alors les sujets d’une tyrannie connaîtraient la liberté?
    Pour Jean Jacques Rousseau, la seule solution à ce problème à la fois politique et morale,c’est que je sois aussi l’auteur de la loi à laquelle je me soumets. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/03/la-liberte-ca-se-merite-ceux-qui-sont-libres-l-ont-certainement-merite.html

  10. Merci Claudia SASSOU ton article est une bonne chose,maintenant ce traite a été démasqué.c’est comme çà que l’on bosse.tu es géniale ma sœur ClAUDIA SASSOU.
    tu l’as eu ce traitre,oh! or que tu étais comme çà?.
    Moi je connais,car je doutais beaucoup de ce monsieur…

    MOI, je connais…(rire)

  11. Parlez aussi du génocide de 1993 dans la guerre entre les NIBOLEKet LE POOL,mais à diata il ya eu un génocide sur le peuple du pool.les laris furent brûlés vifs,des femmes enceintes éventrées,des maisons brûlées,des bébés pilés dans des mortiers à sakasaka
    il ya eu des milliers des morts,il faut en parler,ces gens n’avaient pas des amis?
    A bacongo la main bleue,des familles entières du grand Niari furent balancées dans le fleuve.Alors c’est normal tout çà.

    Moi,Je connais…

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