Mensonges et violations de la Constitution : Mr Sassou pris la main dans le sac

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«Le fait que les hommes tirent peu de profit des leçons de l’Histoire est la leçon la plus importante que l’histoire nous enseigne», disait Aldous Huxley, grand écrivain anglais, auteur de l’ouvrage «Le meilleur des mondes».

Comme pour dire que les premiers signes de malédiction, dont le Congo n’est plus capable de  se débarrasser, ont fait leur apparition pendant les   néfastes «3 journées glorieuses des 13, 14 et 15 août 1963». Ces tristement célèbres «journées glorieuses» ont consacré le début de l’instauration des milices et assassinats politiques, des violations des droits individuels et des libertés fondamentales des citoyens. Ce n’est un secret pour personne.

Il n’est pas rare de constater que les autorités font, encore aujourd’hui, tout à leur guise, pour ignorer certaines dispositions de la nouvelle Constitution du 6 novembre 2015. Et cela ne peut étonner personne. Car, elles en ont la sale habitude. En témoignent les violations répétées de l’ancienne Constitution du 20 janvier 2002, qui a été constamment foulée au pied, avant d’être définitivement enterrée par le référendum constitutionnel du 25 octobre 2015.

Les machinations politiques mises en œuvre actuellement, telles que l’usage de la force par le pouvoir, avec le soutien de la force publique, les arrestations arbitraires, le non-respect du sacro-saint principe de la présomption  d’innonce en justice, l’instrumentalisation de la justice et des médias, les intimidations faites à l’encontre des opposants, comme c’était le cas pour les contre-révolutionnaires à l’époque du mono, ne sont-elles pas inspirées par les méthodes brutales, pratiquées, sans pitié, par la police politique, avec l’appui des milices révolutionnaires, bras armés de la Révolution, à l’époque ?

C’est un secret de polichinelle, le retour en force de l’OBUMUTRI des années 1980 et 1990 n’est plus une vue de l’esprit. Cette oligarchie, nouvelle forme, use de la force pour se maintenir au pouvoir. Qui, alors, peut croire au «Vivre ensemble» devenu un véritable refrain pour le régime de Sassou? Du coup, les vaines et vieilles promesses distillées à travers le discours prononcé par le président de la République le dimanche 14 août 2016 sont loin des préoccupations du commun des Congolais, qui se battent, bec et ongles, aujourd’hui, pour survivre. Ils en ont, d’ailleurs, marre, d’un pouvoir qui ne donne pas de l’emploi aux jeunes diplômés, contraints aujourd’hui au chômage. Ils en ont aussi ras-le-bol d’un pouvoir qui a confisqué les libertés individuelles, instrumentalisé les médias… Un pouvoir qui arrête et menace les opposants, et frustre plus d’un Congolais, etc.

Premièrement

Le commun des Congolais se posent de nombreuses questions sur le type de discours prononcé par le président de la République  le 15 août dernier. Est-ce un discours sur l’état de la nation devant le Parlement réuni en Congrès, comme l’indique la nouvelle Constitution du 6  novembre 2015, ou un simple message au peuple congolais à l’occasion de la commémoration de la fête du 15 août ?

En effet, à la veille de la commémoration de la fête de l’indépendance, tous les chefs d’Etat qui se sont succédé depuis la réstauration de la démocratie, prononcent un message sur l’état de la nation devant le parlement réuni en congrès. L’article 94 de la nouvelle Constitution congolaise votée le 25 octobre puis promulgée le 6 novembre 2015 dispose que «Le président de la République adresse, une fois par an, un message su l’état de la nation au Parlement réuni en congrès. Il peut, à tout moment, adresser des messages à l’une ou l’autre chambre du Parlement. Ces messages ne donnent lieu à  aucun débat».

Rappelons-nous les déclarations de M. Sassou, lors de son message sur l’état de la Nation du 12 août 2015 devant le parlement réuni en congrès. Il disait : «L’année prochaine, à la même date, ce n’est  plus moi qui me tiendrai devant vous pour vous dresser l’état de la Nation. Mais, celui qui sera élu à l’élection présidentielle de juillet 2016». Un autre rappel des faits: les déclarations du Premier secrétaire de l’Assemblée nationale de l’époque, Pierre Ngolo : «Je sollicite l’indulgence des parlementaires réunis en congrès de permettre que le chef de l’Etat donne sa communication sur l’état de la Nation en étant assis». C’était avant son intervention chirurgicale  en Espagne, quand il trâinait son  pied et se tordait de douleur.  M. Sassou en a-t-il déjà ras-le-bol de se conformer à la nouvelle Constitution que lui-même a voulu tailler sur mesure ? C’est de cette manière que les polémiques débutent. La violation de la Constitution du 20 janvier 2002, comme tout le monde le sait, n’avait-elle pas débuté par la nomination de M. Isidore Mvouba, comme Premier ministre ? Alors que cette Constitution ne prévoyait pas cette fonction.

Deuxièmement

Ce discours est différemment interprété par les acteurs politiques. De la part des dinosaures et des griots, les différentes interventions recueillies dans ce sens s’inscrivent dans le cadre de l’apologie du pouvoir et du culte de la personnalité. Ce qui contraste avec les réactions des leaders des partis politiques de l’Opposition, qui pensent que le président de la République a, pour la énième fois, repris de nombreuses vieilles et vaines promesses, comme d’habitude.

Ces vieilles et vaines promesses, qualifiées comme du déjà-entendu, les pères de l’indépendance du Congo  n’avaient-ils pas, de cesse, rappelé que «la notion de droit ou d’Etat de droit n’est possible ou réalisable que, si les organes de gestion politique et économique favorisent toutes les conditions sociales, politiques, morales et spirituelles»? Est-ce que ces conditions sociales, politiques, morales et spirituelles sont-elles mises en œuvre aujourd’hui par le pouvoir de Brazzaville, soutenu par des faucons qui incitent M.Sassou à s’arc-bouter sur ses positions jusqu’au boutistes pour mieux manipuler les opposants et faire monter les enchères ? N’est-il donc pas contradictoire,  le président Sassou ? Tout ce que nous vivons aujourd’hui sur le terrain en inadéquation avec ce qu’il a évoqué dans le paragraphe suivant : «La devise du Congo, qui est un véritable mot d’ordre, et un programme en soi, nous appelle à l’unité. Unité d’hommes et de femmes qui se reconnaissent comme étant les filles et les fils d’un même peuple, les ressortissants d’un même pays, les citoyens d’une même nation. Unité, synonyme de concorde, de cohésion, de paix, et de confiance, à l’opposé de la haine, de la discorde, de la division, des violences et de la méfiance.   Unité de destin sans laquelle ne peut se manifester ni se réaliser aucun projet d’ensemble, aucune ambition générale».

De quelle «unité d’hommes et de femmes qui se reconnaissent comme étant les filles et les fils d’un même peuple, des ressortissants d’un même pays, des citoyens d’une même nation», parle-t-il?

Quand tout est mis en œuvre pour mieux diaboliser et museler les opposants, qui sont assimilés à des contre-révolutionnaires, puisque le Congo est en train d’être gouverné comme au temps du mono ? Est-ce l’unité du plus fort ? Le président Sassou sait que le pays est divisé. Entre les Congolais du nord et ceux du sud, il existe aujourd’hui un grand fossé, engendré par plusieurs contentieux politiques. Même au niveau de la partie septentrionale du pays, la volonté de «diviser pour régner», de mettre à genoux certains hauts cadres, avant de les arrêter, de les emprisonner ou de les contraindre à l’exil, a fissuré l’unité et la cohésion des gens dans cette partie du pays.

Et puis, à quel «travail qui consolide la liberté individuelle et collective», fait-il allusion, lorsque l’on sait que, pendant 32 ans de pouvoir, rien n’a été fait pour promouvoir les emplois, alors que les différents gouvernements qui se sont succédé ont eu suffisamment de milliards de francs CFA pour le faire? Même le «fameux» Fonds destiné aux générations futures a été allégrement dilapidé!  Comme l’affirment beaucoup d’opposants, le nouveau projet du président de la République, «La marche vers le développement»,  est voué à l’échec. Les précédents, à savoir  : «La nouvelle espérance» et «Le chemin d’avenir» n’ont jamais jugulé, tant soit peu, la pauvreté, la misère et la précarité, auxquelles le peuple congolais est, depuis belle lurette, confronté. Comme pour dire que «La marche vers le  développement», n’est-il donc pas qu’«une eau chaude qui ne brûle jamais un pagne»? A l’exemple des précédents projets, il n’apportera rien du tout aux épineux et récurrents problèmes, dont ceux liés à l’accès de populations congolaises à l’eau potable, à l’électricité, aux soins de santé de qualité et accessibles, aux logements décents… A cela s’ajoutent les difficultés financières qui cisaillent, de plus belle, les fonctionnaires et les retraités, sans oublier les travailleurs relevant des entreprises privées.

Le président de la République connaît mieux que quiconque, que le travail libère l’homme

Mais, quand un pays est dans un Etat de guerre, comme  le Congo l’est déjà aujourd’hui, il est difficile pour les hommes d’affaires de venir investir là où les conflits sociopolitiques sont récurrents et latents. En outre, le pouvoir ne devrait pas faire semblant d’ignorer la gravité de la crise qui sévit actuellement au Congo pour justifier son incapacité à faire face aux nombreuses attentes des populations congolaises. Comme «gouverner, c’est prévenir», le président de la République était, pendant longtemps, averti sur de possibles baisses du prix du baril de pétrole.

Ce qui est parfois évoqué dans le discours du 14 août 2016, peut ressembler à «un aveu d’impuissance» ouà «des slogan» en vogue au temps du mono, comme: «vivre durement aujourd’hui pour mieux vivre demain». Voici, ce qui est dit dans ce passage : «J’entends beaucoup, ces temps-ci, nombre de nos compatriotes parler de morosité et de crise, et même de faillite. Il est vrai que notre pays traverse des difficultés conjoncturelles aiguës  dues, principalement, à l’effondrement des cours du pétrole. Et il n’est pas le seul… Le chemin est souvent parsemé d’embûches, de récifs, et d’obstacles divers. Il n’y a pas  de fatalité où nous devrions nous laisser emporter. Bien au contraire ! Les difficultés, aussi aiguës soient-elles, ne doivent, en aucun cas, être la fin de l’espoir, encore moins du progrès».

Au Congo, quand les prix du baril de pétrole s’effondrent, le pouvoir crie à hue et à dia. Mais quand ces mêmes prix sont en hausse, on arrête de jaser. C’est un silence de carpe, à tous les niveaux. Jusqu’à quand le peuple va-t-il attendre des jours meilleurs pour vivre comme «la minorité au pouvoir qui exhibe ses fortunes, à qui veut la voir dans les différents quartiers de Brazzaville, sans oublier ses villas somptueuses et ses dépenses ostentatoires faites  pendant les fêtes organisées en faveur de ses familles biologiques, etc.

Ghys Fortuné Bemba Dombe

9 thoughts on “Mensonges et violations de la Constitution : Mr Sassou pris la main dans le sac

  1. LES NÉGOCIATIONS AU CONGO BRAZZAVILLE SONT IMPÉRATIVES.
    TOUTE PERSONNE QUI REFUSE LA NÉGOCIATION VEUT LÉGALISER LE TERRORISTE SASSOU.
    RAPPELEZ-VOUS DES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES, SI L’OPPOSITION AVAIT BOYCOTTÉE LES ÉLECTIONS AUJOURD’HUI CE TERRORISTE SERAIT ÉLU A 100%.
    LA QUESTION EST LA SUIVANTE POURQUOI, LES DIALOGUES PRÉCÉDENTES SONT DES CHÈQUES?
    PAR CE QUE TOUTES SES DIALOGUES SE SONT DÉROULÉES, EN PRÉSENTANT LE CRIMINEL SASSOU AU DESSUS DE TOUTES LOIS, CE QUI VEUT DIRE QUE LES DÉCISIONS SORTANT DE CES NÉGOCIATIONS NE CHANGEAIENT EN RIEN LA POSITION DE TERRORISTE CAR, TOUTES CES NÉGOCIATIONS LUI DONNAIENT LA CONSERVATION DE TOUTES LES POUVOIR DE LA NATION.
    LA DIFFÉRENCE DES NÉGOCIATIONS QUE NOUS PARLONS AUJOURD’HUI, N’EST SEULEMENT LA PRÉSENCE DES AUTORITÉS INTERNATIONALES.
    MAIS DURANT CES NÉGOCIATIONS TOUT LE MONDE L’OPPOSITION OU DU COTE DU TERRORISTE AU MÊME PIEDS D’EGALITE, LE TERRORISTE SASSOU DOIT ÊTRE PRÉSENT DANS SALLE POUR DÉFENDRE SA POSITION.

    Quelque soit la nature du crime une personne a le droit être jugé

    1. Chè(e)r(e)s compatriote(s),
      Le putschiste SASSOU II n’est pas une personne avec qui dialoguer. Et pour cause ?

      Un accord de cessez-le-feu a été signé en 1999 à Pointe-Noire, mais qui n’était pour le pouvoir putschiste qu’une reddition.

      La Résistance prendra alors contact avec Libreville pour une médiation internationale. Mais le rebelle au pouvoir SASSOU, le feu aux fesses, n’acceptera cette médiation que sous la contrainte imposée grâce à la conquête imminente de Pointe-Noire annoncée par nos combattants et aux opérations commandos réussies par les FADR dont celle de l’académie militaire, ayant permis de détruire les hélicoptères de combat du régime.

      D’où les accords de cessez-le-feu du 29 décembre 1999 à Libreville. Le Militant de la Résistance n’a jamais n’a jamais été favorable à ces accords, mais la vieille classe politique habituée à être niquée par SASSOU, y est allée tête baissée soi-disant pour ne pas désavouer nos combattants sur le terrain. L’occasion était ratée de renverser enfin ce régime au moment où les rapports de force étaient en notre faveur. Le Militant de la Résistance est convaincu que le régime putschiste tombait dans les deux mois qui suivaient.

      Cependant, le putschiste n’a cessé d’esquiver les accords de Libreville, notamment l’application des articles 5 et 13. SASSOU a bouffé l’argent de l’ONU sans jamais prononcer l’amnistie générale ni intégrer les anciens combattants dans la force publique (article 5 des accords de Libreville…). Le « dialogue national sans exclusive » (article 13) s’est transformé en un monologue. Car Bernard KOLELAS et Pascal LISSOUBA ont été empêchés d’y prendre part. Tandis qu’Augustin POIGNET et André MILONGO étaient en revanche autorisés à y participer, pour diviser l’Opposition et brouiller les pistes vis-à-vis de la Communauté internationale. Mais lorsque André MILONGO, croyant que la paix véritable était revenue, décide d’être candidat à la présidentielle de 2002, le putschiste lui cherchera des poux sur la tête. MILONGO est malheureusement contraint de jeter l’éponge la veille du scrutin. Son procès pour soi-disant malversation financière n’a jamais eu lieu comme chacun le sait. Le tour étant joué.

      Chè(e)r(e)s compatriote(s), SASSOU est toujours dans sa fuite en avant. Les monologues d’EWO, de DOLISIE et de SIBITI ne lui ont permis que de gagner du temps, aux dépens de la bonne gouvernance électorale réclamées par l’Opposition interne. Le Militant de la Résistance est convaincu que la crise actuelle (que d’aucuns appellent post-électorale) n’est que la conséquence du « dialogue national sans exclusive » qui n’a jamais eu lieu. Aujourd’hui encore, de nombreuses générations sont en exil forcé. La quasi-totalité de la diaspora n’est composée que d’exilés. Du jamais vu au monde pour un pays soi-disant en paix. Il est inacceptable qu’un pouvoir clanique et familiale puisse s’accaparer seul les richesses du pays.

      C’est pour vous dire, chè(e)r(e)s compatriote(s), qu’il n’y aura jamais de dialogue digne de ce nom dans notre pays tant que le putschiste SASSOU II sera toujours au pouvoir. Son départ sans condition est donc un préalable à tout dialogue.

      Les rencontres au sein de la diaspora et de l’Opposition interne ne doivent que portées sur les stratégies de reconquête du pouvoir ainsi que sur les moyens à mobiliser à cet effet. Et non sur un faux dialogue avec le putschiste. Le Militant de la Résistance invite la nouvelle classe politique à la vigilance et à ne pas se laisser impressionner par l’ancienne génération habituée à être « sodomisée » par le putschiste lors des monologues successifs. Le Militant de la Résistance met par conséquent en garde la vieille classe politique contre la tentation de la facilité qui consiste à vouloir une fois de plus à se faire niquer par SASSOU au monologue dit-on inclusif. Le catastrophisme de la déflagration avancée pour justifier une nouvelle séance de lavement des mains est une absurdité qui nous ramènera à un éternel recommencement.

      Bien au contraire, c’est la nouvelle classe politique qui a la clé de la victoire. C’est à elle qu’appartient l’alternance. Elle doit avoir confiance en ses capacités à balayer ce régime. Car elle est intègre, propre, unie et incorruptible ; elle n’a jamais pris l’argent sale du putschiste et n’a jamais travaillé sous ses ordres.

      Quant à l’ancienne classe, elle doit accepter de passer la main si elle se sent essoufflée par le combat et de faire amende honorable en se taisant (rester chez soi n’est quand même pas un crime de lèse-majesté) ou en aidant franchement la nouvelle classe politique qu’elle a longtemps sacrifiée. Certains leaders qui se sentent individuellement faibles pour assumer leurs opinions ont toujours la possibilité de décliner les avances du pouvoir en s’abritant collectivement derrière les positions des Organisations qui représentent les alliances politiques. Le Militant de la Résistance les invite à faire preuve de responsabilité, tant en résistant aux pressions du pouvoir putschiste qu’en évitant le piège de la division. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

  2. Alerte info: Face à la crise qui vient, un défi: comment rompre avec le cycle élection-contestation-manifestations-répression-retour à l’ordre antérieur? Le Gabon se dirige tout droit vers la situation soit à l’Ivoirienne (2010/2011) ou à la Congolaise (2016). Ah l’afrique, l’ennemi de l’afrique c’est l’africain… Quelle sale race de merde…?

  3. DES PRÉSIDENTIELLES FRAUDULEUSES A RÉPÉTITION EN AFRIQUE: LES AFRICAINS VONT-T-ILS ENFIN FRANCHIR LA BARRIÈRE DE LA RAISON?

    ALI BONGO EST-IL LE FUTUR MALHEUREUX VAINQUEUR DES PRÉSIDENTIELLES GABONAISES A LA SASSOU NGUESSO DU CONGO BRAZZAVILLE? ET JEAN PING SERAIT-IL LE FUTUR JEAN MARIE MICHEL MOKOKO A LA SAUCE TYRANNIQUE GABONAISE? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/des-presidentielles-frauduleuses-en-afrique-l-africain-a-t-il-franchi-la-barriere-de-la-raison.html

  4. Le Congo n’a pas du tout besoin d’un dialogue inclusif avec Sassou Nguesso, PCT et clan. Plus de 92% de Congolais considérent Sassou Nguesso qui s’est toujours auto proclamé président , n’est plus du tout président de la République. Monsieur 8%, reste illégal, illégitime au sommet de l’état. Que cette partie de l’opposition, tous ces gens qui ne représentent qu’une très fine minorité et qui veulent, par peur, naiveté, opportumisme, clientalisme dialoguer avec sassou, arrêtent à faire le tapage et se rendent à l’évidence qu’ ils ne peuvent plus tromper le monde et se font complices de très nimbreux crimes contre l’humanité commis par Sassou Nguesso et clique. Combien de dialogues ne sont ‘ils jusqu’à lors pas déroulés, sans Sassou Nguesso changent. Au contraire dès qu’une fois ils ont roulé les autres, il se sont lancé de plus en plus belle à continuer de commettre tous les forfaits les plus abominables que l’on connait. Il faut reconnaitre la vérité qui se dégage à la lueur des faits réels. Sassou Nguesso n’a pas de vertues politiques comme les membres de son clan et gouvernement. Il est auteur de d’épuration ethnique dans le sud du pays après la guerre de 1997 et encore maintenant. Sassou Nguesso auteur de crimes contre l’humanité est longtemps plus tolérable comme président d’une république que la France officielle, Françafrique le veule ou pas .
    http://brazzanews.fr/2016/01/crimes-contre-lhumanite-de-sassou-nguesso-video-operation-mouebara/
    https://www.youtube.com/watch?v=snTiQwgCl3g
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_disparus_du_Beach
    Venons aux faits: Tout d’abord Sassou Nguesso et clique ont bel et bien perdu les élections de mars passé. Ensuite Sassou Nguesso est un assassin, criminel, génocidaire qui continue à aller faire bombarder les paisibles habitations du Pool, emprisonner les opposants crédibles, voler les richesses du pays avec sa famille, ses enfants, tout en semant la terreur. Il comprendre que la majorité ne veut plus de ce Sassou Nguesso, depuis plus de 40 ans est le mal du Congo. Aucun esprit conscient ne peut vouloir le dialogue et garder, un homme auteur des disparus de Beach et d’autres crimes odieux, crimes contre l’humanité comme président d’une république.La seule chose pour laquelle, il faut se battre est d’ appeller à l’unité de l’opposition, motiver le peuple une fois de plus pour la désobeissance civile pour combattre la dictature sauvage, sanguinaire de Sassou-NGuesso, digne de la dictature d’Hitler et remettre le pays sur le chemin de la démocratie, sur le chemin du progrès.http://congo-liberty.com/?p=16351
    https://www.opinion-internationale.com/2015/07/29/exclu-lourds-soupcons-sur-des-crimes-contre-lhumanite-du-president-sassou-nguesso-au-congo-brazzaville_36379.html
    http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/economie/3272-2016-08-25-12-10-30.html

  5. Le Congo n’a pas du tout besoin d’un dialogue inclusif avec Sassou Nguesso, PCT et clan. Plus de 92% de Congolais considérent Sassou Nguesso qui s’est toujours auto proclamé président , n’est plus du tout président de la République. Monsieur 8%, reste illégal, illégitime au sommet de l’état. Que cette partie de l’opposition, tous ces gens qui ne représentent qu’une très fine minorité et qui veulent, par peur, naiveté, opportumisme, clientalisme dialoguer avec sassou, arrêtent à faire le tapage et se rendent à l’évidence qu’ ils ne peuvent plus tromper le monde et se font complices de très nimbreux crimes contre l’humanité commis par Sassou Nguesso et clique. Combien de dialogues ne sont ‘ils jusqu’à lors pas déroulés, sans Sassou Nguesso changent. Au contraire dès qu’une fois ils ont roulé les autres, il se sont lancé de plus en plus belle à continuer de commettre tous les forfaits les plus abominables que l’on connait. Il faut reconnaitre la vérité qui se dégage à la lueur des faits réels. Sassou Nguesso n’a pas de vertues politiques comme les membres de son clan et gouvernement. Il est auteur de d’épuration ethnique dans le sud du pays après la guerre de 1997 et encore maintenant. Sassou Nguesso auteur de crimes contre l’humanité est longtemps plus tolérable comme président d’une république que la France officielle, Françafrique le veule ou pas .
    http://brazzanews.fr/2016/01/crimes-contre-lhumanite-de-sassou-nguesso-video-operation-mouebara/
    https://www.youtube.com/watch?v=snTiQwgCl3g
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_disparus_du_Beach
    Venons aux faits: Tout d’abord Sassou Nguesso et clique ont bel et bien perdu les élections de mars passé. Ensuite Sassou Nguesso est un assassin, criminel, génocidaire qui continue à aller faire bombarder les paisibles habitations du Pool, emprisonner les opposants crédibles, voler les richesses du pays avec sa famille, ses enfants, tout en semant la terreur. Il comprendre que la majorité ne veut plus de ce Sassou Nguesso, depuis plus de 40 ans est le mal du Congo. Aucun esprit conscient ne peut vouloir le dialogue et garder, un homme auteur des disparus de Beach et d’autres crimes odieux, crimes contre l’humanité comme président d’une république.La seule chose pour laquelle, il faut se battre est d’ appeller à l’unité de l’opposition, motiver le peuple une fois de plus pour la désobeissance civile pour combattre la dictature sauvage, sanguinaire de Sassou-NGuesso, digne de la dictature d’Hitler et remettre le pays sur le chemin de la démocratie, sur le chemin du progrès.http://congo-liberty.com/?p=16351
    https://www.opinion-internationale.com/2015/07/29/exclu-lourds-soupcons-sur-des-crimes-contre-lhumanite-du-president-sassou-nguesso-au-congo-brazzaville_36379.html
    http://www.dac-presse.com/actualites/a-la-une/economie/3272-2016-08-25-12-10-30.html

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