L’hypocrisie du vivre ensemble

cbeistes

Les limites de la cohésion nationale
Le tribalisme détruit la cohésion sociale et l’identité nationale qui sont des ferments du progrès d’une société et du développement d’un pays. Il est facile d’observer dans le contexte social et politique actuel du Congo Brazzaville des relents de tribalisme, les odeurs fétides de ce fléau qui rend sourds, muets et aveugles même l’élite politique et universitaire censée montrer l’exemple de la correction et du civisme.

Le Révérend Pasteur Moukala Édouard aurait été élu président de l’Église évangélique du Congo. Si cela se confirme, tout en le félicitant, on peut relancer le débat qui est dans tous les esprits mais que personne ne veut traiter, à savoir : Pourquoi jamais un nordiste n’a dirigé la plus puissante des Églises protestantes du Congo, l’EEC ? Les bakongo seraient-ils le peuple élu ?

 Ce débat a commencé il y a une trentaine d’années déjà et ne concerne pas que les protestants mais bien toutes les grandes confessions religieuses institutionnalisées du pays. Les salutistes, les kimbanguistes ainsi que les catholiques, tous des dominions bakongo.

Excédé de la volonté manifeste des autorités religieuses de ne faire aucun effort en cela, le régime du mono avec le PCT (dominion nordiste, appelons un chat un chat) avait alors financé les premières églises de réveil pour créer une sorte de rapport de force ou de contrepouvoir religieux. C’est ainsi qu’apparait la Mission du cèdre par exemple de William Yoka Nguedit etc…, et dans ce contexte aussi que mama Olangi est appelée en renfort à coup de centaines de millions. Les nordistes sont détachés des églises traditionnelles ou classiques pour animer ces « nouveaux dieux ».

 Aujourd’hui encore les églises de réveil se sont répandues comme une traînée de poudre en zone nord du pays et de Brazzaville la capitale, tandis que leur présence dans la zone sud ou auprès des sudistes tout court reste anecdotique.

Au moment de l’élection du Pasteur Patrice N’souami à la tête de L’EEC il y a une dizaine d’année, le pouvoir avait mené des complots extraordinaires pour que ce soit un homme du Nord qui soit élu. Échec total et L’Eglise Evangélique du Congo était au bord de l’implosion.

Au fond personne ne voulait du Pasteur Patrice N’souami qui fut élu de manière transitoire dans l’esprit de beaucoup et par compromis. On entendait les grands pontes du consistoire sortir de leur siège du marché Total en soufflant avec des gémissements à peine étouffés que « l’essentiel est que c’est resté au sud ». Pauvres fidèles.

Les problèmes du Congo Brazzaville sont profonds. Les autorités religieuses et morales sont profondément politisées et tribalisées je crains que ne continue cette hypocrisie généralisée d’une unité nationale chantée à tue tête comme un slogan ou une simple tournure de style.
Du côté de l’Église catholique (lari de chef en chef) ce n’est apparemment pas le Vatican qui leur fera la leçon, lui même qui depuis Adrien IV n’eut que des papes italiens durant 400 ans, jusqu’à Jean Paul Il.

 C’est à nous de voir si nous continuons dans cette hypocrisie ou bien si nous acceptons un jour de prendre le taureau par les cornes et de régler les vraies mésententes sociologiques qui ruinent nos efforts de cohésion et de prospérité.

Les générations passent et ce pourrissement ethnique, ce tribalisme fétide ne change pas, les intellectuels ne veulent pas aborder le sujet par peur d’être incompris sans doute, les hommes politiques qui souhaitent ratisser large sans jamais y parvenir tombent dans des formules éculées sans convaincre qui que ce soit.

Aucun pays africain n’y arrive, excepté peut être l’Afrique du sud où dans une certaine mesure macro ethnique blancs, noirs, métis, indien) des équilibres juridiques ont été trouvés, mais à l’intérieur de chaque groupe c’est encore la guerre larvée.

Le Président Nelson Mandela fut obligé de laisser le pouvoir à un xhosa comme lui, écartant les zulus majoritaires. Il y a aussi le Sénégal qui n’a jamais connu le tribalisme. Si non pour le reste du continent, c’est la même hypocrisie. Et je ne crois pas que la démocratie réglera cette question car le pouvoir de la majorité fera qu’un groupe nombreux fixé par la nature risque de continuer çe qu’on reproche à une minorité aujourd’hui. C’est le problème au Rwanda avec les hutus élu. C’est un complexe psychologue grave que nous portons.

Le tribalisme, comme sentiment d’appartenance à une tribu, c’est à dire à un groupement humain ayant en partage une même culture fondée essentiellement sur la langue, est un phénomène culturel régulier, tout à fait normal. Il traduit en chaque homme la conscience de l’identité qu’il porte et des devoirs culturels et moraux liés à cette identité. Du strict point de vue où il concourt à l’affirmation d’une identité culturelle, le tribalisme n’est en rien un vice, une tare.

Le tribalisme devient un danger quand on valorise son identité propre, sa tribu ou son ethnie au détriment de celles des autres. Ces cultures font de chacun de nous ce que nous sommes dans notre singularité au-delà de l’humaine condition. Se célébrer ou célébrer sa culture ne doit pas conduire nécessairement à décrédibiliser la culture de l’autre. Bien souvent, c’est en valorisant la culture de l’autre qu’on met en valeur sa propre culture.

Dans la plupart des cas, on assiste à des situations où l’affirmation de soi passe, chez de très nombreuses personnes, par la négation de l’autre. La volonté de puissance pousse à la domination de l’autre ou, pire encore, à son mépris. Alors, on tombe dans le piège du tribalisme fétide.

Sur un plan politique la répartition des principaux postes et des richesses du pays alterne entre les gens issus du même clan que le chef. On maquille la pratique en bouchant quelques trous avec des noms empruntés à d’autres tribus pour se donner bonne conscience et donner l’impression d’un semblant d’unité nationale.

Institué dans les mœurs, le tribalisme débouche sur des situations où ces mêmes postes quasiment kidnappés ne reviennent qu’aux mêmes. Pire, ils peuvent être gelés dans l’attente des seules personnes autorisées à y exercer. Cette forme de tribalisme sévit en Afrique et le Congo Brazzaville y figure en très bonne place. Il prime sur l’intérêt national et freine le développement du pays bien  plus que le Doing Business.

Lorsque les ralliements politiques se font sur la base de la commune appartenance linguistique, par-delà les programmes et les principes idéologiques (s’il en existe vraiment) cela ne peut avoir d’autre nom que le tribalisme.

Lorsque l’adhésion à un parti politique se fait par référence au seul critère de l’origine socioculturelle ou provinciale, cela ne peut avoir d’autre nom que le tribalisme.

Lorsque l’on dénie une compétence avérée à un compatriote d’une ethnie autre que celle à laquelle on appartient (c’est le cas pour Alain Mabanckou), cela ne peut avoir d’autre nom que le tribalisme.

Lorsqu’on prête à l’auteur d’un article des intentions qu’il n’a pas, ou des propos qui ne sont pas les siens simplement parce qu’on le soupçonne (sans preuve de surcroit) d’être d’une autre tribu ou ethnie, cela ne peut avoir d’autre nom que le tribalisme…

 

Patrick Eric Mampouya

24 thoughts on “L’hypocrisie du vivre ensemble

  1. Je partage l’analyse de Monsieur MAMPOUYA. Juste une petite remarque: Dans la langue Kongo, le préfixe « bas » signifie le pluriel; il faut simplement écrire les Kongos et non les baskongos.

    1. Au cas où ton petit cervelet d’oiseau ne le saurait pas, une langue s’impose par la quantité de gens qui la parlent. Quant on a des responsables politiques conséquents, ils proclament cette langue nationale.

      Cela ne sert à rien d’aller en guerre contre la langue lari. Les prêtres catholiques français l’ont imposée comme langue d’église. C’est une langue qui est écrite. Pourquoi aller contre une des langues les plus parlées?

      Combien de gens parlent lingala à Brazzaville et quel pourcentage? Le lingala aurait pu disparaître s’il n’y avait pas Kinshasa à coté. Le lingala doit sa survie aussi à la chanson populaire.

      Arrête d’être idiot, tu peux valoir mieux que ça. Arrête d’avoir un voile devant tes yeux. Regarde devant toi ; le monde n’est pas aussi restreint que tu le crois

  2. Comment voulez vous éviter le tribalisme en voulant construire un état sans nation.
    il est clair qu’il y a de profondes divergences entre nos peuples dans la conception même de la vie en société.
    Il faut reconnaitre par exemple que les peuples du nord sans moin sensibles que ceux du sud aux règles sociales et au respect du droit des autres. Ils ont beaucoup de difficultés à user d’autre chose que la violence pour exister dans la société. Ceux qui m’a toujours étonné c’est comment ces peuples se sont reconnus dans un pouvoir incarné par une personne d’origine étrangère qui ne s’est illustré que par le vol et les assassinats dont même des nordistes sont victimes.

    Pourtant pendant plusieurs décénies et même encore aujourd’hui beaucoup d’entre eux ne peuvent s’empêcher de justifier l’injustifiable simplement parce que pour eux il n’est pas grave de tuer une personne pourvu que cela ne les empêche pas de voler les autres pour survivre. Aujourd’hui encore ils sont disposés à sacrifier MOKOKO pour que leur pouvoir criminel continue à faire du mal essentiellement au SUD du pays qui, une fois de plus a manifesté sa bonne foi envers le nord en votant massivement pour MOKO aux élections organisées par le Gangstere qui sert de Dieu aux peuples du nord.

    Vous parlez des religieux essentiellement sudistes, de vous à moi, avec leur penchant pour le fétichisme pensez vous que les nordistes se sentent plus proches de Dieu ou d’OTWERE?

    Sachez que ce faux procès fait au sudistes sur leur prétendu tribalisme vis à vis des peuples du nord ne sera plus accepté par notre génération.

    Alors que les nordistes ont massivement emigré vers le sud, y ont été bien intégrés, ont vecu et ont élevé leur enfants au Sud, sans que les sudiste n’aient manifesté de l’hostilité à l’égard des nordistes.

    Les nordistes de leur côté n’ont eu de cesse depuis plus de 40 ans aujourd’hui de comploter contre les sudistes pour pouvoir ad vitam eternam se comporter en parasites en s’enrichissant au détriment des peuples du sud d’où provient pourtant toutes les richesses du Congo.

    Donc non et définitivement non, les sudistes n’ont pas de leçon de morale à recevoir concernant le tribalisme vis à vis des ressortissants du nord qui ne savent pas vivre avec les autres.

  3. Mon très frère Eric,

    Ce constat fait, peut-on continuer à faire semblant ?

    N’est t-il pas temps de traiter définitivement ce problème comme la Yougoslavie et la Tchécoslovaquie l’ont fait ?

    NB : La Démocratie, c’est le Nombre.

    Donc il ne faut pas que tu t’étonne Eric.

    Quand je parle de la Création de l’Etat du SUD CONGO. C’est pour toute cette réalité.

    Pourquoi veux-tu aller à l’encontre de la réalité sociologique ?

    Alors c’est finalement toi qui ne veux pas suivre le chemin que le réalité t’indique.

    Prends le temps le temps de faire un examen de conscience pour que tu puisses comprendre ce que tu vois.

    Cette fausse Unité est la véritable source de notre malheur.

    C’est en se cachant derrière cette fausse Unité, que Denis SASSOU NGUESSO se permet d’aller bombarder dans le Pool.

    Ton frère Robert POATY PANGOU

  4. Un Nordiste au commandes de l’Eglise catholique ou protestante au Congo? Ce sera la catastrophe. Regardez comment ils dirigent le pays. Regardez leurs moeurs, la dépravation des moeurs. Meutres, crimes tous azimuts, viols, vols, détournements de fonds, etc. Ils ont fait leurs preuves, ils ont montré leur véritable nature. Ils aiment assassiner et ce sont de tres gros menteurs. Exemple : ils assassinent Marien Ngouabi, et apres « BA KONGO BA BOMI MARIEN ». Lâches, ils n’assument jamais leurs actes. C’est toujours la faute des autres. Ils assassinent le Cardinal Emile Biayenda, le president Massamba-Debat, etc. Le regne des nordistes sous Sassou nguesso voici 45 ans n’est que semé de tombes, de fosses communes, de charniers. Est-ce que cela ne suffit pas ?

  5. JE DIS TOUT SIMPLEMENT QUE TOUT LEADER EST ADOUBE , CAR RECONNU COMME PORTEUR DES QUALITES ET DES VALEURS QUI LE SINGULARISENT . LE LEADER EST LE CHEF CHOISI DE FACON COLLEGIALE , DANS UN MILIEU SOCIOCULTUREL DONNE. CE QUE JE DIS EST VALABLE AUSSI BIEN DANS LE CAS D’UNE FAMILLE , D’UN PAYS DEMOCRATIQUE , ET BIEN SUR , D’UNE EGLISE .

    LE MAUVAIS CHOIX D’UN LEADER CONDUIT SOUVENT A LA CATASTROPHE . LE CAS DE Mr SASSOU ARRIVE AU POUVOIR PAR UN COUP D’ETAT EST TRES ELOQUENT POUR NE PAS DIRE PATHETIQUE . AINSI DONC JE DIRAI QU’IL FAUT UN HOMME QU’IL FAUT , A LA PLACE QU’IL FAUT .

  6. nous ne devron pas compter sur la France si nous voulon que la France nous aide il faux le FN de MARINE LE PEN au pouvir pour change’ toute chose mais avec la gauche et la droite kima keleve

  7. A ceux qui ont la mémoire courte, disons sélective, faites l’effort de relire l’histoire de la république du Congo née un 28 novembre 1958. Vous constaterez que les mauvaises habitudes ( assassinats crapuleux, détournements des fonds, gabegie, népotisme …) n’ont pas apparu sur la scène congolaise avec l’arrivée des nordistes au pouvoir. Non, au contraire… Reconnaissons,honnêtement que depuis les indépendances, nous n’avons pas encore eu les dirigeants qui répondent à nos attentes. Et cela à tous les niveaux : politique, religieux, etc.

    L’exercice auquel s’est livré E. Mampouya devrait donner l’occasion au peuple congolais de commencer à chercher à comprendre pourquoi tant de méchancetés en son sein. Quelle explication à cette volonté de puissance ( de nuisance ?) ambiante ? Une chose est sure: quand on commence à haïr ses voisins, on finit tôt ou tard par  » empoisonner  » la vie de sa propre progéniture. Ce qui se passe chez nous depuis les 90 devrait donner matière à réflexion à nos intellectuels; le silence de ces derniers inquiète.

  8. NDOKO NGE YA YINGI YE NA KU KWA WIDI !

    peux tu comparer l’abbé Fulbert YOULOU à ton idiot de président dont le tribalisme chez et la nature criminelle sont viscérales. Dès l’âge de 12 ans, il avait tué son frère de 8 ans pour une partie de pêche seulement. Son tribalisme entraîne le Congo dans des divisions qui vont faire perdre ce pays. Ton idiot de président qui, au nord rassemble les siens en leur parlant en mbochi pour la conservation ethnique du pouvoir ne manifeste t’il pas son tribalisme idiot, épidermique.

    S.T.P Monsieur NGOMA abandonne ce pseudonyme pour que tu prennes celui d’ONDONGO

  9. Chè(e)r(e)s compatriote(s),
    Tout d’abord, il n’y a pas à priori de sujet tabou. Et tous les débats sont légitimes en principe dans un système démocratique. Or le Congo actuel, sous le joug des NGUESSO, est tout sauf un Etat démocratique.

    Ensuite, il n’y a qu’une cause de blocage du Congo et de la sous-région. Ce problème s’appelle Denis SASSOU NGUESSO. Le mal devant être traité à sa racine, il nous suffit de chasser ce putschiste pour que tous les autres problèmes qui minent notre beau pays puissent se décanter progressivement. C’est pourquoi, le Militant de la Résistance vous invite à vous concentrer avant tout sur cet objectif primordial et vous encourage à éviter le piège de la division, à ne pas vous dispersez dans des débats secondaires pour notre peuple ou initiés depuis les officines du régime putschiste seulement afin de « diviser pour mieux régner ».

    Enfin, le Militant de la Résistance rappelle à tous l’adage selon lequel « qui trop embrasse, mal étreint ». Ce que quiconque peut d’ailleurs vérifier à travers les passions qui se sont déchainées en réaction à cet article. « Chaque chose en son temps » dit un autre adage. Chassons d’abord le putschiste. C’est la priorité des priorités. Le Militant de la Résistance attire également l’attention des lanceurs de débats pour faire preuve de responsabilité et de maturité politique. Ce qu’il nous faut, ce sont les infos venant du terrain pour motiver et galvaniser les troupes, ainsi que des propositions d’actions visant à rendre ce pays davantage ingouvernable. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

  10. Voilà tout de même le même esprit qui opère en tous. je veux dire par là qu il n y a pas eu préalablement une concertation avec l’ auteur de cet article sur le point suivant. Le peuple kongos est un peuple élu au Congo-Brazzaville. C’est pourquoi tous ceux qui se sont battus pour délivrer notre pays des mains de l’ oppresseur. – blanc, s’appellent Mabiala Manganga, André Matsoua, Simon Kibangou,,,ce ne sont pas là les Ô les A. Je ne suis pas du pool mais il faut avoir la lucidité. Cependant, je ne pense pas que ce peuple soit la propriété des Kolélas, je dis non. Un autre leader autre que Kolélas peut conduire ce peuple a poursuivre la mission divine. Si vous n’avez pas cette révélation, c’est normal que vous ne compreniez pas la profondeur de la révélation.

  11. Quand Sassou-Nguesso et Jean-Louis Borloo reçoivent les présidents Kaboré et Talon à Oyo, la ville officine de la pensée barbare, des assassinats politiques, de crimes de masse et de génocide au Congo Brazzaville !

    UN CAS DE CONSCIENCE POLITIQUE ET MILITAIRE: APRES LA CHUTE DE SASSOU, FAUDRA T-IL BOMBARDER OU DÉTRUIRE OYO, EDOU ET LES CIMETIÈRES DE SASSOU ET DES NGUESSO? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/quand-sassou-nguesso-et-jean-louis-borloo-recoivent-les-presidents-kabore-et-talon-a-oyo-la-ville-officine-de-crime-de-masse-et-de-g

  12. Mon cher frère « le vantard »,

    Les Assassinats crapuleux de 1965, c’est dans la Land-Rover d’Ambroise Edouard NOUMAZALAYE, qu’on retrouve le sang des disparus.

    Il est secrétaire général du MNR c’est-à-dire du Parti Unique.

  13. Enjeux éducatifs sur un réseau global: Oui, l’inégalité entre couches sociales, traditions, cultures, sociétés et civilisations n’est pas fondée sur la nature – elle réside dans l’éducation ou l’information qu’on donne à l’individu ou plutôt dans celle qu’on lui refuse (Isidore aya tonga).

    L’AVENIR DE L’INDIVIDU QUEL QU’IL SOIT OU D’UN PEUPLE ET D’UNE SOCIÉTÉ DONNÉE EST DANS L’HISTOIRE, LE PASSÉ, LA MÉMOIRE ET LE PRÉSENT QU’ON IGNORENT(ISIDORE AYA TONGA) !

    http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/la-vraie-rumba-congolaise-entre-culture-et-societe-le-dr-nico-african-fiesta.html

  14. ISIDORE AYA TONGA EST NÉ A BRAZZAVILLE A L’HÔPITAL GÉNÉRAL, LE 1ER JUIN 1963 A 5H30, ETAT CIVIL OU CITOYEN: DÉCLARATION DU 8 JUIN 1963 A LA MAIRIE DE OUENZE A 10H PAR SON PÈRE ET SA MÈRE ORIGINAIRE DE MAKOUA, VIVANT A LA RUE MAKOKO…
    NOUS N’AVONS PAS BESOIN DE VISA POUR ENTRER CHEZ NOUS AU CONGO MFOA OU BRAZZAVILLE, DANS LE POOL MALEBO, LE ROYAUME TEKE ET PUIS AU CONGO BRAZZAVILLE…
    La France-afrique est-elle du passé et ou nouvelle dans un monde plus que jamais augmenté? https://www.youtube.com/watch?v=eHMyoSkcpSg

  15. PHILOSOPHIE
    L’AVENIR DE L’INDIVIDU QUEL QU’IL SOIT OU D’UN PEUPLE ET D’UNE SOCIÉTÉ DONNÉE EST-IL DANS L’HISTOIRE, LE PASSÉ, LA MÉMOIRE ET LE PRÉSENT QU’ON IGNORENT?(ISIDORE AYA TONGA) !

    Chers amis,ce 13 aout 2016, Mr Clement Mierassa a organise un point de presse avec la permission du Général Jean Marie Michel Mokoko.
    La communication porte sur les conditions carcérales de nos compagnons de lutte ,l’ état physique de J3M ,les conditions du rejet de sa demande de mise en liberté,et enfin son point de vue sur les modalités de sortie de crise.
    Voici donc,clairement exprimé, le point de vue de notre Président ,véritablement élu
    Nul besoin de supputations sur son éventuel soutien à de manoeuvres qui trahissent les aspirations de la majorité du peuple.
    ——————————————————————————-
    L’INTÉGRALITÉ DU POINT DE PRESSE http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/message-du-general-jean-marie-michel-mokoko-via-clement-mierassa.html

Laisser un commentaire