Cambriolage : voici la technique la plus utilisée désormais par les voleurs, qui fait des ravages au Congo-Brazzaville

Au Congo-Brazzaville, les actes de cambriolage – comme la délinquance et la criminalité plus généralement – sont en hausse depuis quelque temps. Brazzaville et Pointe-Noire affichent des augmentations record. Il n’en reste pas moins que les cambriolages peuvent arriver, que ce soit dans une maison ou un appartement. Alors, comment s’en protéger ? Quels moyens les cambrioleurs utilisent-ils désormais pour parvenir à leurs fins ?

Dans l’imaginaire populaire, les voleurs ont tendance à rentrer par la force dans un logement qu’ils ont préalablement choisi, après s’être assurés que personne ne s’y trouvait.

Or, il existe une multitude de techniques de cambriolage. Les connaître permettrait de mieux anticiper ces vols et de mieux se protéger.

Ces derniers temps, la technique la plus utilisée dans les cambriolages à Brazzaville et à Pointe-Noire est le cric.

Tout le monde est familier du cric mécanique ou cric losange, outil indispensable pour soulever la voiture en cas de crevaison et pouvoir mettre en place la roue de secours ou pour pouvoir réaliser plus facilement des opérations d’entretien ou de réparation sur votre voiture.

L’objectif est de le placer en verticale avant de tourner la manivelle pour bien ouvrir les grilles et avoir accès à un logement.

Tous les moyens sont bons. C’est une fois qu’ils ont pu rentrer qu’ils peuvent procéder au vol, de manière plus ou moins subtile.

Du côté du cambrioleur, l’avantage de recourir à cette pratique réside dans sa subtilité.

ll n’est toutefois pas impossible de prévenir ces cambriolages. Seulement, la prévention passe par une plus grande vigilance vis-à-vis des personnes qui cherchent à s’introduire dans un logement.

Les maisons verrouillées, les volets fermés et les lumières éteintes, les cambrioleurs connaissent bien. Une maison totalement plongée dans le noir trahit votre absence.

La solution ? Simuler une présence même quand il n’y a personne !

Jean-Jacques Jarele SIKA / Echos du Congo-Brazza

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