L’armée angolaise rechercherait-elle un activiste du Flec dans le district de Louvakou ?

Les populations du village Malolo2 dans le district de Louvakou évoquent des faits se rapportant à une descente militaire conjointe congolo-angolaise en date du 10 septembre 2020. Cette information corroborée par des sources dignes de foi serait en rapport avec un certain Taty Alexandre, un activiste du Front de libération de l’enclave du Cabinda, qui serait en possession d’un imposant arsenal de guerre.

Le village Malolo dans le district de Louvakou abrite depuis les années 1975, de nombreux réfugiés angolais, naguère activistes du Flec. C’est donc ici qu’une délégation de l’Armée angolaise conduite par le général Estevao Komba est descendue, pour rencontrer celle des Forces armées congolaises, conduite par le colonel Alphonse Nzamba, pour officiellement, une ‘’visite de courtoisie.

En fait de ‘’visite de courtoisie’’, les villageois qui ne sont pas nés de la dernière pluie, ont lié cette descente qui à leurs yeux est plutôt une inspection des lieux, à la recherche d’un dénommé Alexandre Taty, un ancien commando guerrier de l’Armée angolaise, devenu activiste du Flec qui se serait fondu dans la nature, avec d’importantes quantités d’armes et de munitions qu’il détiendrait depuis la fin des évènements de 1997 au Congo-Brazzaville.
Face aux deux délégations, les populations de Malolo qui ont refusé les présents et autres vivres à eux apportés, ont dénoncé ‘’l’hypocrisie’’ de l’Armée angolaise qui selon eux, sait où trouver ledit Taty Alexandre et ses hommes, ainsi que les armes qu’ils détiennent.

Pour les populations de Malolo, cette prétendue recherche d’un rebelle angolais qui aurait pour base le territoire congolais serait pour l’Armée angolaise, un prétexte pour mener en ‘’fausse légitimité’’, des incursions en terre congolaise. Des actes régulièrement dénoncés par les populations des districts de Kimongo, du village Ilou-Panga et aussi du district de Louvakou qui en subissent les méfaits.D’aucuns pensent que cette descente conjointe des délégations des armées angolaises et congolaises à Malolo, lève un coin de voile sur le déploiement militaire noté ces jours derniers, entre Pointe-Noire et Dolisie.

Il y a de quoi dire : affaire à suivre.

Bertrand BOUKAKA

5 thoughts on “L’armée angolaise rechercherait-elle un activiste du Flec dans le district de Louvakou ?

  1. L`Angola c`est pas un probleme.

    Nous sommes pour la transition pour une nouvelle gouvernance.
    Notre but c`est d`etablir la production monetaire au Congo Brazzaville pour combattre la pauvretè èconomique pour le bien de chacun(e) de nous tous, independant de n`importe quelle ethnicitè dans notre nation.

    Nous sommes pret à diriger le Congo Brazzaville après la chute du dictateur Denis Sassou Nguesso. Nous allons construire notre pays de zèro pour bien structurè notre tèrritoire commun de la maniere laquelle les anciens presidents n`ont jamais compris concernant comment mieux servir le peuple pour mieux les rendre genial comme des êtres humains d`une valeur digne de la nation.

    Nous allons etablir notre nation de zèro jusqu`a un niveau très stable qui rend la vie des habitants sa facilitè de bien vivre pour avoir l`accès au reflexions sur le plan international parmis les humains qui sont engager dans le travail du developpement des humains en ce qui concerne un futur meilleur pour le bien de toute l`humanitè. L`harmonie pour faire du bien a son prochain, indèpendant de la couleur de sa peau.

    https://www.youtube.com/watch?v=5-HXEjRdoUY

  2. L’ARMÉE ANGOLAISE AURA DU MAL POUR RETROUVER L’AIGUILLE QU’ELLE CHERCHE.
    ELLE N’EST PAS TOMBÉE A CET ENDROIT. JE LA VOIS PLUTÔT DU CÔTÉ DE oyo.
    L’IDIOT sassou EST ASSIS DESSUS. C’EST POUR CETTE RAISON QU’IL GESTICULE AVEC SES ARMES.

  3. Y EN A MARRE DES INCURSIONS DE L’ARMEE ANGOLAISE AU CONGO !!!
    Comment peut-on permettre à une armée étrangère de pénétrer chez nous jusqu’à Louvakou ? Ces SAUVAGES d’Angolais se sont toujours sentis en terre conquise au Niari et au Kouilou. Un jour, il va falloir leur casser la gueule pour leur faire comprendre qu’ils ne sont pas les bienvenus dans nos contrées. Qu’ils aillent régler leurs comptes chez eux en Angola. S’il y a des étrangers qui circulent avec des armes au Congo, c’est à l’armée congolaise de régler le problème pas l’armée angolaise !

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