Le Président Macron victime de harcèlement de la part de Sassou Nguesso

Dans l’histoire du monde, jamais on a vu un Président s’engager de façon aussi active et avec insistance à la recherche de reconnaissance comme l’a été le Président congolais Denis Sassou Nguesso aussi bien lors de la réception des chefs d’État au palais de l’Elysée que pendant le sommet sur le climat du 12 décembre à Paris.

Ayant raté son selfie avec le Président américain Donald Trump lors de son dernier voyage au États Unis, Sassou Nguesso avait juré ne pas rentrer bredouille à Brazzaville cette fois-ci.

C’est pour cela qu’on le voit et vous pourriez le constater sur les photos ci-dessous, pincer le bras du jeune président français, faire durer l’accolade et même vouloir discuter à la tribune sur des sujets sans intérêts.

Quand on a choisi dictateur comme métier, il faut bien avoir le courage d’en assumer les conséquences.

Meraf Maraka

20 thoughts on “Le Président Macron victime de harcèlement de la part de Sassou Nguesso

  1. Voici la réaction d’un préfet, président non élu, putschiste , cherchant toujours le soutien de son maître parce que manquant d’arguments, à part la violence qui caractérise le peuple inférieur , subalterne mbochi .Durant ses 33 ans de règne aucune élection gagnée .

  2. Emmanuel Macron (40 ans, au 8e mois de son quinquennat) et le dictatueur Sassou Nguesso ( 79 ans, 33 ans de dictature liberticide, antisociale et criminogène).

    Le Président Macron victime de harcèlement de la part de son grand-père dictatueur Sassou Nguesso. Le Président Macron devrait-il porter plainte pour harcèlement?

    La plainte est recevable par la résistance congolaise à la dictature de Sassou Nguesso.

    LOURDEUR OU TROUBLE DE COMPORTEMENT DU DICTATUEUR SASSOU NGUESSO ENVERS LE PRESIDENT MACRON? Le dictatueur Sassou Nguesso souffre t-il des troubles du comportement? EXPLICATION http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/12/lourdeur-ou-trouble-de-comportement-du-dictatueur-sassou-nguesso-envers-le-president-macron.html

    1. Il fait pitié ce pauvre bougre.
      Vouloir à tout prix s’afficher à côté du président Français, quelle honte,.Ca se voit il est complexé et confus devant un gamin qui pourrait être son fils.

      Il n’a aucun mérite, tous les participants au sommet ont été reçu à l’Elysée pour un déjeuner, il n a pas obtenu le tête à tête et le séjour de macron au Congo derrière lesquels il court.

      il faut qu’il assume son statut de dictateur tueur infatigable.

    2. Mafouta, tu penses que ton gars Sassou a toutes ses facultes en place ? ok, il a ete recu par Macron,alors tu penses que ca blanchit ton gars pour les crimes qu il est entrain de commettre jusqu a present au Congo? resonnons un peu; comment est ce que nous sommes arrives a perdre la raison comme ca ? on ne peut pas faire couler le sang des innoncents et rester la meme personne

  3. Voilà un article démagogique totalement inutile. Il a été inspiré par le désespoir d’une diaspora d’indignes qui croient valoir quelque chose, alors que tout le monde s’en balance complètement.

      1. Tu dois surement avoir plus de 60 ans toi, Emmanuel Macron lui n’a que 39 ans, à son age tu devais être éboueur. La nuit tombée tu racontes ta vie sur le Net, pour qu’on s’intéresse au malheureux que tu es. Regardez le, dépassé par le temps et les événements, il croit incarné l’avenir du Congo. Qu’est ce qu’on se marre, avec ces grabataires du claviers, un inutile bouffon de plus sur le Net.

  4. Le texte introduisant ma nouvelleLa « France, ni marâtre ni mère patrie ! »
    En 1885, Ponel, un administrateur colonial en possession du poste de Pombo dans le Bas Alima au Congo-Brazzaville, publie une étude sur l’ethnie mbochi.
    L’ethnie mbochi, c’est cette petite ethnie qui occupe une partie de l’actuel département de la Cuvette. Cette ethnie dans laquelle Denis Sassou Nguesso fait partie, est au pouvoir depuis plus de trente ans. Alors qu’elle est une minorité.
    Cependant dans son rapport d’étude, l’administrateur colonial écrit entre autres que « Ce peuple est le plus sauvage que j’ai rencontré. La ruse et le mensonge sont insignifiants, ils en usent…».
    Une appréciation qui, comme on peut le constater dans la réalité, cadre bien avec le comportement des dirigeants politiques actuels du pays, notamment les membres du clan Sassou qui sont effectivement mbochi et qui seraient, à en croire une certaine opinion, descendants des populations issues de la colonisation.
    Pourtant, la rue n’adhère pas totalement à cette thèse. Parce que chez les Mbochi comme chez tous les autres peuples du Congo, en particulier, et du monde en général, on trouve des personnes qui sont bonnes et d’autres qui se comportent comme des sauvages.
    Chez les Mbochi, le cas de Jacques Napoléon Opangault, devenu un symbole de l’unité nationale, suffit pour remettre en cause cette affirmation.
    Mais, la rue qui relit, avec les yeux d’aujourd’hui, l’histoire de la rencontre du Congo avec la France, et qui analyse très minutieusement les filigranes des propos tenus par Ponel et ceux de la politique africaine de la France, trouve des similitudes dans le comportement des Mbochi et celui de la France, à son haut niveau.
    Pour la rue, le rapport de Ponel sur les Mbochi n’est qu’une injure entre deux cochons.
    Pour argumenter sa thèse, elle ressort une grande incohérence entre l’affirmation des principes républicains « liberté, égalité, fraternité » de la France et la politique qu’elle mène en Afrique.
    Mais, la rue parle aussi de la politique française qui a toujours fait, à la fois, une chose et son contraire.
    La France n’a-t-elle pas comme principes républicains « liberté, égalité, fraternité », et ne publie-t-elle pas, en 1865, un code de l’indigénat qui octroie un statut légal inférieur aux populations de ses colonies, et du travail forcé? Ne commence-t-elle pas au même moment la colonisation et l’évangélisation en Afrique, alors que les deux activités ont des valeurs qui sont totalement contraires? La France n’a-t-elle pas voulu l’indépendance des pays africains et au même moment les a encore enchainés avec le Franc Cfa et l’impôt colonial?
    Et, le 25 octobre 2015, alors que toute la communauté internationale attend que la France, ancienne puissance colonisatrice du Congo, départage les Congolais sur le débat concernant le référendum constitutionnel qui déchire le tissu social, et donne à Denis Sassou Nguesso le droit de briguer un troisième mandat, la France, à son plus haut niveau, ne sème-t-elle pas la confusion? François Hollande, son président, ne met-il pas ses pieds dans le plat congolais? Comme Jacques Chirac, alors président de la France, qui, en 1997, fait entrer l’Angola dans une guerre congolo-congolaise et apporte ouvertement son soutien au putschiste Denis Sassou Nguesso pour chasser au pouvoir un président élu, Pascal Lissouba? Le bilan de cette guerre 400.000 morts. Jacques Chirac ne reste-t-il pas indifférent, pour ne pas dire fier devant les massacres qui ont eu lieu au Congo, pendant la guerre de la reconquête du pouvoir par Denis Sassou Nguesso?
    En effet, François Hollande en déclarant que « Le président Sassou peut consulter son peuple, çà fait partie de son droit, et le peuple doit répondre», ne se met-il pas en totale contradiction avec la constitution congolaise et sa première déclaration au XVe Sommet de la francophonie qui a eu lieu à Dakar, au Sénégal, le 29 et 30 novembre 2014, lorsqu’il disait, entre autres, que « L’Afrique, elle a besoin aussi que l’on promeuve partout les valeurs démocratiques. La population du Burkina Faso qui a fait une belle démonstration qui doit, à mon avis, faire réfléchir ceux qui voudraient se maintenir au-delà du temps nécessaire à la tête de leur pays en violant l’ordre constitutionnel. Parce que ce qu’a fait la population du Burkina Faso, c’est tout simplement de faire respecter le droit et de permettre que l’on empêche de réviser une Constitution, une loi fondamentale pour une convenance personnelle.»
    Cependant, la rue découvre dans les propos de François Hollande le soutien de la France au président Denis Sassou Nguesso, alors qu’il est à la fin de son dernier mandat, selon la constitution de 2002 sur laquelle il a prêté sermon.
    Aussi, la rue ne croit-elle pas que ce soit un fait de hasard que le général Jean Marie Michel Mokoko, arrivé au deuxième tour avec Guy Brice Parfait Kolelas à l’élection présidentielle anticipée du 20 mars 2016, et qui a refusé de reconnaître la réélection de Denis Sassou Nguesso devant l’ambassadeur de la France au Congo qui lui a rendu visite, soit dès le lendemain matin, victime des poursuites judiciaires. .
    La rue s’en mêle. Elle pense et en est d’ailleurs convaincue que le France n’est ni une marâtre ni une mère-patrie ; mais une pétasse qui parcourt toute la planète pour troquer sa nudité contre les épices, les minerais, le bois, le fer, l’or, le pétrole…
    Et, n’ayant pas trouvé l’homme qui devait lui donner gratuitement tous ces produits, elle a élu domicile en Afrique où elle croit y trouver des lesbiennes. Malheureusement, c’est l’Afrique qui l’a nourrit et doit continuer à la nourrir tout le temps!
    La France est la dernière ancienne puissance coloniale qui continue à se comporter comme si les indépendances n’ont pas eu lieu.
    Pourtant, il lui faut humaniser ses relations avec ses anciennes colonies pour qu’elle devienne une puissance économique.
    Mais, l’autorisation de François Hollande au président congolais, Denis Sassou Nguesso, de consulter son peuple donc d’organiser un référendum constitutionnel qui va lui permettre de briquer un troisième mandat, provoque une grande inquiétude et une vive émotion ainsi qu’un grand trouble au Congo.
    Car pour le pouvoir de Brazzaville, cette autorisation ne s’arrête pas au référendum constitutionnel. Elle est aussi un chèque en blanc qui donne à Sassou Nguesso le droit de décider, tout seul, sur le destin du Congo et sur la vie des Congolais.
    Et, Sassou Nguesso trouve dans le soutien de la France l’occasion en or tant attendue pour réaliser son plan. Celui qui consiste à dépeupler, à travers des guerres politiques, les régions australes du pays.
    Ainsi, le référendum constitutionnel, organisé en octobre 2015 et l’élection présidentielle anticipée du 20 mars 2016 se passent dans un bain de sang, une atmosphère de terreur marquée par des arrestations arbitraires des opposants politiques, et des enlèvements qui sont suivis des assassinats crapuleux. Mais, il y a aussi la guerre du Pool que d’aucuns prennent déjà pour un génocide contre la grande tribu des Bakongo. La rue s’en mêle et dénonce la survie de la Françafrique.

    1. Simple rectificatif pour rétablir la vérité. Jacques OPANGAULT n’était pas Mbosi ou Mbochi, il était Téké de l’Alima, il n’ y a pas de Mbochis à Boundji, le nom lui-même est d’origine téké: LEKONDZOU, ADADA et autres sont tous Téké alima

  5. Des efforts inutiles ,quand on sait qu’il a plongé le pays dans les abysses de division , de porcherie mentale , en ayant injecté au sein de la société congolaise le virus de la haine entre fils et filles de ce même pays .

  6. ces belles photos viennent fermer le caquet aux indigenes 242 2643 2844 3245… cest comme vous voulez. vous etes braiment bete. il y a une semaine carole claudia sassou ng avait pris une photo(selfie) avec emmanuel macron a abidjan .vous pensez qu elle n’avait pas arrache des engagements de la reception de sassou ng par emmanuel macron? et vous avez crut que qu emmanuel macron ne recevrait pas denis sassou ng? vous etes assez bete quand meme.

    VOUS NE VALEZ RIEN VOUS ETES DES GROS BETA VOUS ETES DES INDIGENES ET TAISEZ VOUS A JAMAIS ISIDORE MVOUBA ETAIT A PARIS NON, QUAVEZ VOUS FAIT CONTRE LUI RIEN ET BEN NE FAITES RIEN CONTRE DENIS SASSOU NG ET VRAIMENT TAISEZ VOUS A JAMAIS

  7. carole claudia je me demande si tu est humains en tant que fils du nord t test deja pose la question le jour ou nos freres du sud prendront le pouvoir au est ce au ont va devenir avec tdes gens comme vous l histoire de l humanite a demontre que les grands sont toujours tombe nimrod a defie dieu mais il est tombe jule cesar se croyais immortel mais il etais tombe alexandre le grand la civilisation romaine sassou n est rien il finira comme les precedent le miaux c est de lutter pour le congo tous unis moi je suis de talas mais frangin tu est dingue le pays se detruit man avec des idiots comme vous qui accepte de regarder la verite en face

  8. je presume pour toi mieux vaut detruire le congo ou le vendre a des etrangers que de laisser un lari un teke ou un sangha dirige le pays tu est une racaille tu est le genre de personne qui prefera voir un koyo teke ou un lari se faire buter par un rwandais car tu est ronge par la haine tu raconte des conneries tu n est pas une creature de dieu car celui qui a la haine pour son frere il viens de satan et toi mon frere tu a un probleme avec les laris mais en tant que mbochi je prierais dieu de delivrer le congo des nordiste genocitribasataniste comme toi yo oza normal te

  9. apres le depart de sassou les autorites doivent mettre en place un logiciel capable de reperer des internautes qui se cachent sous des faux noms du genre CLAUDIA SASOU NG MIKE EKABAKANDA LETTRE OUVERT A TOUS LARIS DU POOL afin de savoir si ces gens sont humains et ensuite publier leurs commentaires afin de les lapidee moi meme je travaille sur ce logiciel les tribasatanistegenocidaire sous des faux profis seront devoile a la lumiere de tous les congolais

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