Parole de Prêtre : Combattre la dictature au Congo-Brazza par une contribution autre que politico-juridique et militaire ! C’est possible

11 thoughts on “Parole de Prêtre : Combattre la dictature au Congo-Brazza par une contribution autre que politico-juridique et militaire ! C’est possible

  1. je suis de passage au Congo des hommes privés de liberté, de foi, d'amour, où les Hommes de Dieu qui ne prêchent plus la bonne nouvelle. dit :

    Le Congo est malade bien sûr mais ne baissons pas les bras nous sommes tous d’accord que le programme à signer avec le FMI annoncé par Sassou-Nguesso ne sera pas effectif avant février 2018. Nous allons passer des mois de misère à compter de novembre car les salaires seront payés, pour ceux qui en perçoivent encore, à partir du 20 décembre pour le mois de Novembre et vers le 15 février 2018 pour le mois de décembre 2017. Il n’y a l’argent que pour organiser des sommets bidons et des rencontre de lobbying avec des politiciens Français en crise comme Villepin qui n’avait jamais pensé venir à Brazzaville en tant que Premier Ministre bientôt VALLS sera aussi à Brazzaville de même que Michel SAPIN ou bien d’autres encore.
    Sassou va t-il encore nguiriser les responsables des syndicats à qui personne n’accorde encore du crédit ? La grogne sociale à venir partira des agents évoluant au sassouland (ses miliciens recrutés après son référendum).

  2. Vous êtes prêtre et vous demandez à vos collègues prêtres de dire des messes… Je pense que jusque-là les pasteurs de églises chrétiennes et nous autres membres de ces églises ignorons une chose. Dieu est juste et bon. Il nous a donné le pouvoir de régler certains problèmes. Lorsque Jésus remet les clés a Pierre que lui dit il? Il lui donne le pouvoir de lier et délier. Mais que faisons nous de ce pouvoir? Je voudrais parler de l excommunion de Sassou Nguesso. La suite dans un article déposé sur la table de rédaction de Zenga-mambu. J’espère qu’il va être publié pour nourrir le débat. Lorsque Sassou Nguesso continue de communier avec les chrétiens du Congo et du monde. Il va ou continue à se faire inviter aux cérémonies eucharistiques. Dans ce cas Dieu ne peut pas agir. Son pouvoir reste reconnu par Dieu et doit être dans ce cas respecté par les hommes.Toute autorité vient de Dieu.En attendant la publication de mon article

    1. Merci Armand Serge que je salue cordialement au passage, puisqu’on se connaît (Cf Grand séminaire). Tu fais allusion au « pouvoir des clefs » que Jésus accorde à l’Eglise. En, les exégètes s’accordent à reconnaitre que ce pouvoir est à toute l’Eglise. Mais, comme le veut l’organisation de l’Eglise, il est exercé par les successeurs des apôtres, à savoir les évêques. Moi prêtre, je n’ai pas ce pouvoir. Quant à ton argument, tiré de Romains 13,1: Toute autorité vient de Dieu, pour justifier le devoir de respecter le pouvoir de Sassou, il est exorbitant. Il faut comprendre que 1- Saint Paul ne pose pas ce principe pour justifier (rendre/reconnaître juste) un quelconque pouvoir, mais pour établir que tout pouvoir est à exercer au nom de Dieu. Conséquence : un pouvoir qui ne se conçoit pas comme tel est dangéreux. 2- Saint Paul utilise le mot grec « exousia » (autorité) et non « iskus » (pouvoir). Le choix de Paul peut se comprendre à partir de la nature des deux termes : pouvoir est un terme neutre, tandis que autorité est un terme absolument positif. Je passe les détails pour dire qu’on peut définir l’autorité comme le pouvoir de faire le bien ou de chercher le bien. 3- Parlant de Sassou, est-ce qu’on peut franchement reconnaître qu’il exerce le pouvoir au nom de Dieu, c’est-à-dire dans le sens de l’autorité? En conclusion : d’où tire t-il sa légitimité ? La réponse est dans cet adage latin : VOX POPULI VOX DEI.

  3. Salut le prêtre congolais, puisque vous voulez qu’on vous appelle ainsi!
    Et, comment comprendre cette exhortation : « soyez soumis aux autorités » (cf. Rm 13,1) ?
    Cependant, je voudrais vous faire goutter un extrait de cet article : Dans mon dernier livre «L’Inforoman suivi de Quand la rue s’en mêle… », notamment dans la nouvelle « On se verra à Roma », je demande au Pape François d’excommunier le chrétien Denis Sassou Nguesso c’est-à-dire de lui interdire de célébrer ses anniversaires ou tout autre événement, de participer à une quelconque cérémonie religieuse dans une paroisse catholique dans tous les pays du monde, bénéficier des honneurs des funérailles ou des messes d’action de grâce. Aussi, l’Etat du Vatican devrait-il rompre immédiatement ses relations diplomatiques avec le Congo. Car, les Ecritures disent aux chrétiens: « Tu ne tueras point, tu ne voleras point, tu ne mentiras point».
    Denis Sassou Nguesso a tué plus de 400.000 personnes. Il est aussi l’auteur d’un génocide qui a lieu dans le département du Pool. Il a volé. Il est responsable de nombreux détournements des biens publics et biens mal acquis. Il a commis ou commet des crimes de démocratie (violations des constitutions, non respect des droits humains…). Pour toutes ces raisons, Denis Sassou Nguesso devrait être excommunié. Cependant, en invitant Denis Sassou Nguesso ou en le laissant venir pavaner ou prendre les bains de foules lors des cérémonies religieuses à l’instar de celles qui ont eu lieu récemment en la Basilique Sainte Anne du Congo, lors des cérémonies eucharistiques présidées respectivement par le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’Etat où Premier ministre du gouvernement du Vatican, qui a effectué une visite de travail à Brazzaville, du 1er au 4 février 2017 ; et le cardinal Dieudonné Nzapalayinga, archevêque de Bangui qui, lui, a effectué une visite canonique et pastorale, du 9 au 17 octobre 2017, Denis Sassou Nguesso continue à communier avec Dieu et avec tous les autres chrétiens du monde. Et, rien ne peut lui arriver. Il reste sous la protection de Dieu. Et, son autorité est encore reconnue par Dieu. Comme aussi elle doit être reconnue par ce fait par les hommes. Que me dites-vous cher prêtre congolais ?

  4. LE DICTATEUR FRANCAFRIQUE SASSOU NGUESSO EST-IL A DEUX PAS D’ASSASINER TOUS LES AFRICAINS DU CONGO?
    Comment sauver nos libertés, notre dignité, nos vies et notre pays face au rouleau compresseur psychanalytique politico-criminel tel qu’il est incarné et industrialisé par le dictatueur Sassou Nguesso déni ; les libertés fondamentales, le but même de la vie et de la condition humaine et sociale et voire sociétale congolaise et dans le bassin du Congo ?
    https://www.youtube.com/watch?v=Brr5jN3X42w

  5. L’AMBASSADEUR RODOLPHE ADADA ET SES 800 MILLIONS DE $ US PLANQUÉS DANS LES PARADIS FISCAUX

    Si l’actuel ambassadeur de la république du Congo Brazzaville en France, Rodolphe Adada dispose des placements de plus de 800 millions de dollars dans les îles caïmans et Belize, combien aura-il planqué ailleurs ?

    Paradis Papers : Rodolphe Adada, le voleur silencieux et efficace : Compagnon de voyage de Denis Sassou Nguesso depuis près de 40 ans, l’actuel ambassadeur du Congo en France Rodolphe Adada s’est toujours arrangé de passer inaperçu.

    Une discrétion que lui a permis d’agir en toute efficacité contrairement au matalana stupide de Bouya et autres. Selon les paradis papers, il détiendrait une fortune évaluée à 800 millions de dollars aux îles caïmans et Belize. https://www.youtube.com/watch?v=DMiPy432Imc

  6. « Soyez soumis aux autorités »? Mon cher Zanzala, je t’ai expliqué que le concept de l’autorité s’articulait nécessairement autour de la notion de Dieu, du bien, j’ajoute, et de l’ordre, c’est-à-dire du droit et de la justice. D’ailleurs, Paul dans le même chapitre au verset 4, justifie en quelque sorte cette exhortation en déclarant par deux fois « … elle (l’autorité) est au service de Dieu… ». Peut-on se dire au service de Dieu si l’on ne respecte pas le droit et la justice? Non. Et les prophètes de l’A.T. sont intarissables là-dessus. De point de vue, Sassou n’est pas une autorité, cela va de soi, du moins au regard de sa gouvernance, en commençant par son élection. Et c’est peu de dire que le peuple ne doit pas se soumettre à lui. Pour reprendre les mots de Saint Jean, il est, pour le peuple congolais, non pas un « bon » pasteur, mais un VOLEUR. Comme il semble être chrétien catho, faut-il l’excommunier? Je suis de ton avis, mais pas pour les mêmes raisons. Car des voleurs, des menteurs et des tueurs, il y en a beaucoup dans le peuple de Dieu. Souviens-toi que le Pape avait exhorté les mafieux italiens de se repentir. Pour moi, la raison fondamental de son excommunication serait sa participation à la Franc-maçonnerie. Je veux dire, et les évêques et les prêtres qui l’accueillent dans leur célébration doivent le savoir : on ne peut pas être chrétien et franc-maçon à la fois. Il n’est plus un secret que le dictateur du Congo est le grand maître de la loge du Congo. Hélas, je ne comprends pas la position de nos pasteurs. Faute de lui infliger l’excommunication, nos pasteurs auraient au moins le rappeler à chaque fois que ce type est présent. Je pense que c’est à nos pasteurs de prendre leur responsabilité, et non à l’Emissaire du Vatican (dont la mission était plus politique que religieux), encore moins au Cardinal Nzapa, ton promotionnaire à BROTTIER cher Zanzala, qui est venue juste en visite. D’autre part, tu prétends que Dieu reconnaît le pouvoir de Sassou. J’ai envie de savoir, sur quoi fondes-tu un tel jugement? Nos pasteurs ne représentent pas Dieu/Jésus, ils sont juste ses serviteurs. Il ne faut jamais confondre le Maître à ses serviteurs. Avec mes salutations mon cher Zanzala Serge Armand.

  7. Le prêtre congolais, je reviens à vous !
    J’ai quelques indices pouvant me permettre de vous identifier. Ce n’est qu’une affaire de temps. Je voudrais vous soumettre un autre extrait de mon recueil dans lequel je montre que l’accession de Sassou Nguesso à la magistrature suprême n’est pas un fait de hasard. Je pense que notre débat éclaire beaucoup de lecteurs de Zenga-Mambu. Mais avant cela, je voudrais vous demander comment nous les chrétiens pouvons nous faire comprendre aux évêques et à tout le clergé du Congo, particulièrement à ces nombreux prêtres (abbés) que je n’ose pas citer mais que vous connaissez certainement, et qui ont des entrées faciles à la présidence de la république où ils sont devenus des conseillers spirituels. Devons-nous organiser une marche de protestation, afficher des banderoles devant nos paroisses avec des écriteaux « Sassou Nguesso Persona non grata » ? Devons-nous manifester contre la présence de Sassou Nguesso au cours d’une cérémonie religieuse à laquelle il participe? Voici ce que j’écris dans mon livre. Je signale tout de même que mois, je suis dans la littérature, notamment l’inforoman. Et, non dans la théologie ou l’exégèse bien qu’étant un élève de Père Pierre Buis, l’un des participants à la Traduction Oeucumenique de la Bible (TOB) . Mon cher prêtre qu’en dites-vous ?
    C’est dans nos deux livres : «Congo-Brazza, une nation et un peuple tués par ses politiciens », chronique, publiée, en France, aux éditions des écrivains en 2003, et « 50 cheveux sur une tête nue », recueil de nouvelles sur le cinquantenaire de l’indépendance du Congo, publié aux Editions de la Fondation littéraire Fleur de lys au canada, en 2012, notamment dans les pages où nous peignons le portrait de Denis Sassou Nguesso que nous abordons ce sujet.
    Dans un sous-chapitre du premier livre, titré « Sassou Nguesso, un symbole raté de la politique congolaise ? », nous écrivons ceci : «Pour avoir été dans le rayonnement de deux personnages de l’histoire politique récente du Congo, à savoir l’Abbé Fulbert Youlou (Président du Congo) et Jacques Napoléon Opangault (vice-président de la République) à un moment aussi très historique, Denis Sassou-Nguesso était entré, par le fait, dans la sphère des «hommes-missions ».
    En effet, le 15 août 1963, au moment de la chute de Fulbert Youlou, Sassou-Nguesso était ce jeune cadre militaire (aspirant) qui ouvrit le portail du palais et qui conduisit Jacques Napoléon Opangault auprès du président Youlou, quelques instants seulement avant la fin du pouvoir de l’Abbé Fulbert Youlou. ».
    Dans le deuxième livre, notamment à travers une histoire romancée, Sassou Nguesso quitte la guérite et accompagne Jacques Napoléon Opangault jusqu’au salon où Youlou est seul. Il assiste à l’entretien de ces deux personnages jusqu’au moment où Youlou signe la démission, quelques instants seulement avant que ces deux personnalités soient arrêtées et jetées en prison.
    Dans ce tableau lu avec les yeux de la tradition, Denis Sassou Nguesso devient comme cet adolescent qui reste seul au village, alors que tous les autres habitants sont partis dans la brousse, et qui voit mourir le vieillard dans ses bras.
    Dans les traditions africaines, c’est un signe de bénédiction, c’est une bénédiction, voudrais-je dire ! Nous sommes-là bien sûr dans la métaphysique.
    Sur le plan physique, cela peut se démontrer par les richesses que le pays amasse tout le temps que Sassou Nguesso est au pouvoir.

  8. Merci père pour cette contribution ô combien fondamentale et importante et qui rejoint un message à nous confié par notre sainte Mère Marie la Théotokos = la mère de Dieu à la veille de la Toussaint le 30 /10/2017 vers 22h alors que nous prions en un groupe restreint pour nos intentions personnelles. Voici en substance ce message.
    C’est notre mère du ciel qui parle « Prier pour la restauration et la libération des familles c’est par elle qu’interviendra celle du Congo. Mes enfants vous avez abandonné le chapelet vous m’avez abandonné souvenez vous du miracle des noces de Cana c’est grâce à mon intervention que mon fils Jésus Christ fût ce premier miracle. Qu ‘en ait il aujourd’hui? Pensez vous qu’il est impossible à Dieu de toucher les cœurs des hommes ( hommes et femmes) qui sont tous mes fils afin qu’ils se repentent ? surement Non. Vous passez la majorité du temps à vous geindre de vos malheurs sans que vous les confiez à votre mère. Dans les familles on ne prie plus le chapelet comme autrefois. Où les papas et surtout les mamans extirpant leurs chapelets à l’angle du pagne invitaient toute la maisonnée à la prière du chapelet. Cette exercice spirituel a disparu dans les familles. Et les prêtres mes enfants m’ont également abandonné. Dites moi quelle grands rassemblements pour la restauration et la libération des familles et du Congo en associant les familles et la mère de Dieu a été organisé ou célébré au Congo? NON je n’en voit pas. Au contraire les prêtres courent vers le matériel abandonnons les familles à leur triste sort. De la restauration et la libération des familles découlera la restauration et la libération du Congo par le CHAPELET; QUE TOUTES LES FAMILLES SE REMETTENT A LA PRIÈRE DU CHAPELET CAR C’EST UNE ARME UNE ARME SPIRITUELLE et regarder comment Pointe Noire est plongé dans une grande obscurité spirituelle…  » fin du message
    Bien évidemment nous avons remercié notre mère du ciel sur la limpidité du message très émouvant et maternel d’autant plus que notre mère du ciel comme pour justifier son propos sur l’abandon du chapelet nous demandâmes à cet instant précis si nous avions nos chapelet aucun de nous. J’insiste sur LE FAIT MATERNEL de la mère de Dieu pour qui TOUS les CONGOLAIS BONS OU MAUVAIS SONT SES ENFANTS; Il nous revient sur cette invite de Marie de reprendre la prière du chapelet en famille en groupe ou seul dans les maisons à l’Église dans la rue au marché au travail au champs … à temps et à contre temps pour la restauration et la libération des familles et donc du Congo… Que les enfants de prédilection de Marie ..j’entends les prêtres conduisent ce combat spirituelle que des messes ou en récite le chapelet communautaire avant ou après pour la restauration et la libération des familles et du Congo deviennent la règle dans toutes les paroisses du Congo. Remettons Marie au centre de ce combat par le biais du Chapelet.

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