Congo-Brazzaville : L’insoutenable dette publique et ses complexités

Alors que le Congo-Brazzaville n’a plus d’avenir, aucun congolais ne peut espérer en avoir après quatre décennies cumulées de pouvoir de monsieur Denis Sassou Nguesso.

Bon an, mal an, le Congo-Brazzaville s’enfonce inexorablement dans une spirale du défaitisme tant aucune lueur d’espoir n’est visible à l’horizon après 64 ans de supposée indépendance.

La jeunesse congolaise en mal de repère n’a plus d’autres choix que de s’adonner au banditisme et à la prostitution, ce qui montre le degré de déliquescence de notre pays.

Le mal qui mine le Congo-Brazzaville, un pays aussi riche de ressources naturelles, c’est la répartition inégale de cette richesse et sa gestion calamiteuse par un imposteur qui a usurpé le titre de Président de la République. Son incapacité à gérer la chose publique en terrorisant le peuple fait de ce dernier le dénominateur commun des antivaleurs au Congo-Brazzaville.

Le Congo-Brazzaville, après des « périodes d’embellies économiques » grâce aux programmes d’allégement  de la dette au titre de l’initiative en faveur des Pays pauvres très endettés (PPTE) en 2010, a ramené une dette de 9,2 milliards de dollars américains à 2,4 milliards de dollars. Par ailleurs, il convient de noter entre autres que 28 milliards de dollars américains (soit 14 milles milliards de Francs CFA) des fonds des générations futures découlant d’excédents budgétaires ont été volés par les dirigeants actuels. Le Congo-Brazzaville se retrouve actuellement dans la mouise avec une dette de 14, 2 milliards de dollars américains (8.497,28 milliards de  Francs CFA) soit 98,96 % du PIB au 31 décembre 2023. Cet état de fait est dû à un amateurisme du gouvernement congolais qui gaspille nos ressources par des voyages présidentiels inutiles, par un gouvernement pléthore incompétent, par le vol des deniers publics de la part des membres de la famille présidentielle et leurs alliés, par l’embourgeoisement des caciques du pouvoir, et par la corruption érigée en mode de gouvernance. Quel triste sort pour le peuple congolais qui croupit dans une misère indescriptible !

L’origine de cette catastrophe économique de notre pays en quasi-cessation de paiement, est le poids de sa dette qui plombe son développement. Les éléphants blancs parsemés à des points stratégiques de notre pays ne révèlent qu’un développement appauvrissant croulant sous le poids de la dette.

Le dernier rapport de Moody’s Investors Service de 2023 a maintenu la note du Congo-Brazzaville à « Caa2 » (risque de crédit très élevé) avec une « perspective stable ». Notre pays, mal noté pour sa gestion des finances publiques, lève souvent des fonds sur des marchés obligataires non-cotés, où les investisseurs exigent des taux d’intérêt élevés, augmentant ainsi le coût de la dette. Pour opérer sur les marchés réglementés, un agrément de l’autorité des marchés financiers est nécessaire. Le Congo-Brazzaville ne dispose pas de banques ayant une expertise avérée sur les marchés financiers les plus connus. De ce fait, il fait appel à des sociétés de gestion intermédiaires ou des banques d’affaires qui facturent leurs services à des prix élevés, souvent entre 8 % et 12 % voire plus.

Le Congo émet davantage de titres pour attirer les investisseurs malgré sa mauvaise notation et sa gestion publique désastreuse, y compris de ses finances. Cela augmente son niveau d’endettement et entraîne des difficultés récurrentes à refinancer sa dette à échéance, conduisant parfois à des défauts de paiement. Les investisseurs demandent souvent un remboursement à court terme en devises étrangères, ce qui exerce une pression sur la monnaie locale, le Franc CFA, et sur la gestion des devises étrangères dans le pays. Cela contribue également à l’augmentation du coût de la dette externe, poussant le gouvernement congolais à privilégier le règlement partiel de la dette extérieure.

Le Congo lève des fonds sur des marchés principalement non-cotés, ce qui attirera plus tard des fonds vautours contrairement à des investisseurs spécifiques tels que les fonds de capital-investissement (Private equity) et les fonds de capital-risque (Venture capital). Les fonds vautours qui sont généralement des cabinets d’avocats rachètent des dettes auprès des créanciers des États qui ne peuvent plus payer leurs dettes. Ces marchés des fonds vautours, caractérisés par un manque total de transparence, sont très risqués. Ceux qui rachètent les dettes ne se soucient pas de la santé économique du pays et de l’utilisation qui a été fait de cet argent emprunté. Par ailleurs les « Private Equity » et « Venture Capital » sont deux formes d’investissement en capital qui jouent des rôles distincts mais complémentaires dans le développement économique d’un pays, notamment dans les économies en développement en investissant sur des projets novateurs.

Les fonds vautours quant à eux sont un type spécifique de fonds d’investissement qui se spécialisent dans l’achat de dettes des pays en difficultés, souvent à des prix très réduits, avec l’intention de réaliser un profit en recouvrant ces dettes, souvent par des moyens agressifs. Le terme « vautour » fait référence à la manière dont ces fonds capitalisent sur des situations financières désespérées, en particulier dans le contexte des pays en développement.

Le Private Equity consiste en l’investissement de fonds directement dans des entreprises privées (non-cotées en bourse), souvent pour financer l’expansion, les restructurations ou même des rachats complets. Les investisseurs en Private Equity (fonds de capital-investissement) achètent généralement des parts significatives dans des entreprises existantes et établies, avec l’objectif de les rendre plus rentables avant de vendre leurs participations à profit.

Le Venture Capital est une forme de financement par actions dans des entreprises en phase de démarrage ou de très jeunes entreprises à fort potentiel de croissance, mais qui présentent aussi un niveau de risque élevé dû à la forte incertitude du projet. Les fonds de Venture Capital investissent dans des start-ups innovantes, généralement dans des secteurs comme la technologie, les sciences de la vie, et d’autres industries à forte croissance.

Les créanciers de la République du Congo englobent plusieurs types d’entités, incluant des gouvernements étrangers, des institutions financières internationales, des banques commerciales, et parfois des investisseurs privés.

Contrairement aux quatre types de marchés financiers cotés (marché de taux ou marché de la dette ou obligations, marché des devises, marché de matières premières, marché actions), régulés par plusieurs organismes de contrôle à travers le monde, les marchés non-cotés manquent de transparence et brillent par leur opacité. Ainsi, il n’est pas surprenant que le Congo n’ait été autorisé en 2024 à ne lever que 150 millions d’euros (100 milliards de Franc CFA) sur les marchés cotés des titres.

La dette d’État du Congo-Brazzaville est une dette très variée et complexe, contenant des produits financiers à risque et des devises volatiles quant à leur coût sur le marché financier tel que le Yen japonais. Ainsi notre pays se retrouve avec une dette sale dont les taux de remboursement augmentent d’année en année ce qui l’asphyxie et empêche son développement effectif.

Les dirigeants congolais ont fait le choix de l’endettement pour avoir du cash notamment en devises étrangères afin d’assouvir leurs besoins primaires au détriment du développement notre pays. Il y a lieu de savoir que le franc CFA est une fausse monnaie en ce sens qu’elle ne sert qu’à l’économie locale n’étant convertible nulle part dans le monde, donc ne permettant pas l’achat des biens dont le Congo-Brazzaville a besoin. Son adossement à l’Euro à travers la banque de France, fait de cette monnaie un instrument d’asservissement pour les 15 pays africains qui l’utilisent. La souveraineté d’un pays c’est son indépendance monétaire.

Nul ne sait de quoi se compose réellement la dette du Congo-Brazzaville. Le franc CFA n’est qu’un leurre, cette monnaie étant soumise à un fort risque de change de dépréciation sur le marché financier entre les sommes émises au départ et celles subissant le change en devise étrangère du fait de la pratique des commissions des intermédiaires à chaque étape.

Le ministère de l’Économie et des Finances du Congo-Brazzaville, bien qu’avec un organigramme alléchant sur le papier sur la conformité et la lutte contre la corruption, brille par son manque d’expertise d’où son inefficacité au niveau de la gestion de la dette du Congo-Brazzaville. Après la vente de ses actifs notamment le pétrole, le bois, le gaz naturel liquéfié (GNL) et certains minerais, l’argent rentre au Congo-Brazzaville en devise étrangère. C’est là qu’intervient la banque centrale d’Oyo pour le stockage de ses devises étrangères afin d’assurer le train de vie de la famille présidentielle congolaise pour ses agapes. Celles- ci sont acheminées à Oyo via l’aéroport d’Ollombo en provenance des banques BGFI (Banque Gabonaise et Française Internationale) et de la Raw Bank basées à Kinshasa (République démocratique du Congo) qui ne font pas partie de la zone CEMAC (Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale), donc hors de contrôle de la banque de France en termes de surveillance des flux financiers engrangés par le Congo-Brazzaville.

La Banque centrale d’Oyo est la seule institution à recevoir les devises au Congo-Brazzaville. Le cartel qui contrôle les principales richesses du pays a créé une succursale BGFI en République démocratique du Congo, en plus de celle déjà présente au Congo-Brazzaville. L’objectif est de contrôler la devise du dollar américain (dollar US) à travers les ventes opaques de pétrole à partir de Dubaï par la SNPC (Société Nationale des Pétroles du Congo) et de gaz naturel liquéfié (GNL), dont les prix sur les marchés sont cotés uniquement en dollar américain.

Nous comprenons mieux pourquoi la bourgade d’Oyo avec sa banque centrale qui ne sert que de coffre-fort, le trésor financier du clan Sassou Nguesso, a pris une telle importance en termes de lessiveuse d’argent sale, au point de devenir la capitale politique et mafieuse du Congo-Brazzaville avec son célèbre maire monsieur Denis Sassou Nguesso. La fuite de capitaux se fait en devises, car le Franc CFA n’est pas convertible et n’est qu’une monnaie fantôme, principalement destinée au marché local du Congo et des pays de la zone CEMAC.

La BGFI Bank Congo dont le président du conseil d’administration à Brazzaville n’est autre que le Vice-Amiral sans vaisseau Jean Dominique OKEMBA, Secrétaire général du conseil national de sécurité, est détenu à 15 % par Omar Denis Junior Bongo Ondimba et Yacine Bongo Ondimba à travers la holding Delta Synergie et Yao Corp, à 25 % par monsieur Denis Sassou Nguesso et le reste par les acteurs de la Françafrique. La BGFI Bank Congo est le réceptacle des fonds gris, ces fonds aux origines douteuses provenant de la corruption qui est endémique au Congo-Brazzaville.

Le manque de devises étrangères au Congo-Brazzaville plombe l’action du gouvernement qui ne peut plus faire face à ses charges. Les gesticulations du gouvernement congolais à vouloir lever 2 milliards de dollars américains non pas sur les marchés financiers mais à travers la SNPC (Société Nationale des Pétroles du Congo), un établissement public à caractère industriel et commercial doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, vise à contourner les restrictions financières d’emprunter sur le marché financier international sur lequel le Congo-Brazzaville n’a aucun crédit. Les récents accords de partenariat entre la SNPC et les sociétés pétrolières de l’Azerbaïdjan et du Kazakhstan ne visent qu’à alourdir la dette que nous léguerons à nos enfants et petits-enfants afin de soutenir le train de vie de monsieur Sassou Nguesso et ses affidés.

Après avoir bradé nos terres au Rwanda pour 200 millions de dollars américains, monsieur Denis Sassou Nguesso brade de plus belle notre pétrole à l’Azerbaïdjan et au Kazakhstan pour avoir du cash en devises étrangères.

 Il faut savoir que la SNPC bien qu’opérateur pétrolier qui détient des participations dans plusieurs permis de recherches et de production, est une coquille vide qui ne joue pas son rôle dans la vente réelle du pétrole congolais. Cette dernière vend ses cargos de pétrole depuis Dubaï en connivence avec madame Françoise Joly, la Vice-présidente du Congo-Brazzaville, entremetteuse de l’émirati Masono. Les devises ainsi amassées sont transférées aux banques BGFI et la Raw Bank de Kinshasa échappant ainsi au contrôle de la CEMAC, donc de la banque de France. Les prélèvements des commissions des intermédiaires réduisent considérablement les gains du Congo-Brazzaville qui ne se contente que de peu par rapport à ses espérances de départ.

Les ressources engrangées par la SNPC ne sont plus reversées en totalité au budget de l’État congolais mais utilisées à d’autres fins notamment les achats d’armes, ce qui représente un manque à gagner important pour le trésor public. L’emprise du terminal pétrolier de Djéno par TotalEnergies et Eni contribue davantage à l’évaporation des recettes dues au Congo-Brazzaville.

Le Franc CFA pose un réel problème dans le développement du Congo-Brazzaville dont 50 % de nos valeurs sont détenus par la banque de France après avoir été dépréciées des risques de taux de change, ainsi que des frais supplémentaires des intermédiaires. Ceci fait du Franc CFA une monnaie coloniale ne permettant pas notre souveraineté économique, ni notre développement, les échanges financiers au niveau international se faisant en devises étrangères qui plombent le Franc CFA avec un risque de change élevé. Les États-Unis d’Amérique et l’Union européenne impriment de la monnaie pour lutter contre l’inflation, ce que le Congo-Brazzaville ne peut pas faire avec le Franc CFA.

La situation économique et politique du Congo-Brazzaville sous la gouvernance de monsieur Denis Sassou Nguesso au pouvoir depuis plusieurs décennies est catastrophiques. Le pays riche en ressources naturelles est plongé dans une crise profonde en raison d’une mauvaise gestion, d’une corruption généralisée et d’une répartition inégale des richesses. La dette publique est écrasante, et les pratiques financières douteuses aggravent la situation économique, notamment via la banque centrale d’Oyo, la BGFI Bank Congo, BGFI Bank RDC et la Raw Bank de Kinshasa.

L’usage du franc CFA, est néfaste pour la souveraineté économique du Congo-Brazzaville, ce qui constitue le supplice du collier pour le peuple congolais.

La gestion de cette dette et les négociations pour sa restructuration sont cruciales pour l’avenir économique du Congo-Brazzaville, la survie de notre pays.

Le peuple congolais, accablé par cette situation, doit faire face à une crise multidimensionnelle qui menace de s’aggraver si des mesures correctives ne sont pas rapidement prises.

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

9 thoughts on “Congo-Brazzaville : L’insoutenable dette publique et ses complexités

  1. Mr Miakassissa
    Normalement ce pays n’a pas besoin des investissements etrangers avec tout le pognon qu’il engrange chaque annee de la douane et de la vente de matieres premieres le Congo peut financer avec fonds propres 99% de projets pour ne pas dire presque tous les projets du pays.
    La fripouille et sa caste mafieuse ont construit les bricoles qu’ils appellent par infrastructures de base avec 1300 milliards cfa de prets Chinois.
    Alors on se demande ou va tout le pognon du pays?
    Il y a un groupe de criminels,mafieux et voleurs a la tete du pays que le peuple Congolais doit chasser par tous les moyens ensuite faire de reformes approfondies de tous les secteurs de la vie du pays.

  2. A Gnoka alias Noko alias DSD alias R alias bec jaune alias Petit David alias Marie Blanche alias Ortega Daniel alias Marie Charlotte Opimbat alias Marie Gilbert Accrombessi alias Marie Francoise Valerie alias Luis Fonseca alias Paul bremer alias Ray Taylor alias Seraphin Matata Ponyo Mapon alias grandpretrerabittan alias judicael derlin zinsou alias paolo ramos.Tous les bricoles que la fripouille et sa direction de petits travaux appellent par infrastructures de base ont ete realises avec 1300 milliards de cfa de prets Chinois.Peux -tu nous dire ou va l’argent du Congo de la vente du petrole,du bois,des mines,de la douane et d’autres.
    Tu es devenu tres muet ces derniers jours.On comprend bien que tu n’as pas recu ta part des 100 millions de cfa de l’achat de conscience.
    Les zenganautes attendent ta reponse sur la question de savoir ou part le pognon du pays.

  3. Les souffrances et la pauvrete au Congo ne sont pas a cause de l’action de dieu.
    C’est a cause des actes des humains.
    C’est la volonte et creation de la fripouille ivoiro beninoise,son Pct,sa caste mafieuse et les puissances etrangeres.
    Comment expliquer le Congo avec beaucoup de pognon manque de tout.
    Et sa population vit dans l’extreme pauvrete il n’y a pas de sens.
    Ou va l’argent du Congo?
    Massamba Debat et ses collaborateurs avec des moyens financiers et humains limites ont fait du plein emplois dans ce pays et il n’y avait pas de la pauvrete telle que nous la voyant depuis l’arrivee de Ngouabi Marien au pouvoir et ses comparses cuvettois qui ont fini par l’assassiner pour leurs propres interets mesquins et ceux des puissances etrangeres.Les Congolais doivent chasser du Congo tous ces mercenaires qui sont a la tete du pays.

  4. a zenga mambu

    pourquoi avez vous mis a la une(article principal dun certain fils du pays sans en preciser lequel) des ecrits completement denues de tout fondements ridicules et stupides.il sest dit ing civil des constructions…..? deja un tel poste nexiste pas dans la nouvelle cartographie des ressources humaines de la fonction publique congolaise.

    de quelles constructions s’agit il?

    quant au contenu de l’article finalement la lecture de ce genre de niaiseries vous font du bien.vous vous regalez on dirait…yaka noki noki….de tels ecrits vous encensent on dirait…

  5. a mr p aime cesaire miakassissa

    vous netes pas un expert en economie monetaire.

    bgfi bank est un acronyme qui signifie: BANQUE GABON FRANCE INTERNATIONALE….le siege est au gabon et a plusieurs filiales en zone cemac

    le fcfa etant arrime a l’euro a parite fixe est BEL ET BIEN CONVERTIBLE. attention a vos ecrits vous faites honte aux gens.

    Après avoir bradé nos terres au Rwanda pour 200 millions de dollars américains, monsieur Denis Sassou Nguesso brade de plus belle notre pétrole à l’Azerbaïdjan et au Kazakhstan pour avoir du cash en devises étrangères.

    question

    avez vous une pleine maitrise de vos facultes mentales? 20 millions dites vous de dollars americains loges dans quel banque?

    comment se fait il qu une transaction effectuee entre deux etats qui n’a pas ete valide comme telle par les deux parlements congolais et rwandais?

    ARRETEZ D’ECRIRE DU NIMPORTE QUOI

  6. A safi saied safi alias Ortega Daniel alias Gnoka alias Noko alias DSD alias Petit David alias Marie Blanche alias Marie Charlotte Opimbat alias Bec jaune alias Marie Gilbert Accrombessi alias Luis Fonseca alias Paul bremer alias Paolo Ramos.Enfin,tu es de retour apres quelques jours de silence.Tu as resolu ton probleme d’argent d’achat de ta conscience de la fripouille ivoiro beninoise de verse par les intermediaires pour venir raconter les bobards et les contre verites.Tu reprends ton service.Je suis l’unique le fils du pays qui intervient sur zenga mambu,congopage,Congo liberty,sacerinfos
    Tu deja lu plusieurs de mes articles et commentaires.
    Je suis natif de Poto poto a Mavula.
    Je ne suis pas imposteur ni usurpateur comme le mercenaire ivoiro beninois et ses Ingenieurs en herbe made in Tsambitso dont seul lui connait leurs competences et diplomes avec lesquels il fait les bricoles, construit les elephants blancs et detourne les deniers publics.
    Gnoka,je suis bel et bien Ingenieur Civil comme nombreux Ingenieurs Congolais.Ils me lisent et comprennent ce que je dis.Tu es un fanatique et griot de la fripouille et sa mafia d’Oyo.Tu ne comprends rien de tout cela.
    Oui, c’est mon article qui est poste sur zenga mambu et tu le liras dans d’autres sites de la presse Congolaise en ligne.
    La pauvrete au Congo n’est pas l’acte de dieu comme vos agents pasteurs des eglises de sommeil veulent le faire croire a leurs fideles alienes pour detourner leur attention les vrais causes de leus souffrances.La fripouille ivoiro beninoise et sa caste mafieuse sont les createurs de la pauvrete au Congo.Comment expliquer un pays aussi riche comme le Congo peut manquer de tout et ses populations vivent dans l’extreme pauvrete.Il n’y a pas de sens.
    Dites nous ou va tout le pognon du Congo?
    Que faites vous de tout l’argent de ce pays?
    Gnoka alias safi saied safi les zenganautes attendent ta reponse.

  7. A Gnoka alias Noko alias DSD alias R alias bec jaune alias Petit David alias Marie Blanche alias Ortega Daniel alias Marie Charlotte Opimbat alias Marie Gilbert Accrombessi alias Marie Francoise Valerie alias Luis Fonseca alias Paul bremer alias Ray Taylor alias Seraphin Matata Ponyo Mapon alias grandpretrerabittan alias judicael derlin zinsou alias paolo ramos alias safi saied safi.La fripouille ivoiro beninoise n’a pas eu les couilles pour envoyer une reaction officielle aux medias francais quand jean francais probst l’ami de jacques chirac de trente ans parlait sur ses crimes et le designait formellement etre l’assassin de vore bienfaiteur Ngouabi Marien.Non plus contre Alphonse Poaty qui denoncait ses crimes et actes diaboliques.Maintenant il eu le courage d’envoyer un vers zenga mambu.
    Bande de criminels et idiots

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