Le Congo-Brazzaville est en état de mort cérébrale

La guerre entre la Fédération de Russie et l’Ukraine est du pain béni pour la famille Sassou-Nguesso qui régente le Congo-Brazzaville.

Avec un prix du baril de pétrole ayant fleurté à 120 dollars US, au lieu d’améliorer le mauvais sort du peuple congolais figé dans du marbre, qui trime depuis des lustres, rame à la main, depuis qu’ils ont pris par la force le pouvoir lors de la guerre civile du 05 juin 1997, ces derniers organisent des fêtes somptueuses, des anniversaires (ce qui bien sûr relève du domaine privé), mais avec les sous du contribuable congolaise.

Ces derniers festoient, fêtent des anniversaires tous les jours de l’année. Cela peut paraître absurde, stupide, mais il faut savoir que dans cette colonie de vacances, il y a plus de 365 personnes. Alors, il ne faut pas s’étonner que tout soit prétexte à sortir l’argent des contribuables congolais du Trésor public. Tout le monde sait qu’il y a une Banque Centrale à Oyo qui regorge toutes les devises du monde dont la clé est à table à disposition de la famille de l’Empereur. C’est la foire et la croisière s’amuse.

Ce ne sont pas tant les anniversaires qui relève du domaine privé qui nous embêtent, mais que cela se fassent avec l’argent du contribuable congolais, un bien commun. Les salaires des fonctionnaires sont perçus comme une récompense, les retraités sont maltraités, les bourses des étudiants sont renvoyées au calendres grecques et les pensions de réversion inexistantes.

Officiellement, le Congo-Brazzaville a une production journalière de 336 000 barils et des réserves d’environ 3 milliards de barils, ce qui en fait le quatrième producteur de pétrole au sud du Sahara, loin derrière le Nigeria, l’Angola et la Guinée équatoriale.

Le Congo-Brazzaville est le quatrième producteur d’or noir (pétrole) au sud du Sahara) théoriquement.

Les Congolaises et les Congolais ne savent pas ce qui sort du terminal pétrolier de Djéno à Pointe-Noire, terminal gardé par des militaires à la solde de monsieur Denis Sassou-Nguesso. Que cherchent à cacher monsieur Denis Sassou-Nguesso, Total et Eni surtout en ces temps difficiles dans le monde dans lequel nous vivons ?

La gestion du terminal pétrolier de Djéno a été encore confié sans tambour ni trompette car l’argent n’aime pas le bruit à Total, Eni avec l’introduction de Perenco qui sert aussi de façade au groupe AOGC (GROUPE AFRICA OIL & GAS CORPORATION) de Denis Gokana pour le compte du clan présidentiel. Celui qui contrôle le terminal pétrolier de Djéno, contrôle l’économie congolaise.

Après le pétrole c’est le gaz congolais qui est à l’honneur pour les Occidentaux. » Le Président du Conseil des ministres d’Italie, Mario Draghi, s’est entretenu le 10 mars 2022 avec monsieur Denis Sassou-Nguesso, pour discuter du renforcement des liens énergétiques. Le groupe énergétique italien Eni, dont le principal actionnaire est l’État italien, possède des actifs gaziers au Congo-Brazzaville. Eni démarrera la production d’un projet de gaz naturel liquéfié en 2023. » Quel est le Congolais, le dindon de la farce, qui le savait ? Où est passé cet argent des actifs gaziers d’Eni au Congo-Brazzaville ?

Au passage n’ayant pas obtenu le limogeage de monsieur Maixent Raoul Ominga, le bailleur de fonds de monsieur Denis Sassou-Nguesso, reconduit  directeur général de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), monsieur Bruno Jean-Richard Itoua, ministre des Hydrocarbures, et son compère Lucien Ébata, Conseiller spécial du Chef de l’Etat, (l’homme qui se balade avec 182 000 euros dans les poches à l’Aéroport de Roissy-Charles-De-Gaulle en 2021) veulent introduire une autre compagnie dans le domaine pétrolier au Congo-Brazzaville la société Index Pétrolium afin de concurrencer monsieur Maixent Raoul Ominga. Il faut comprendre que le pétrole des Vilis, des Congolaises et des Congolais appartient aux seuls Mbochis qui décident. Même les parlementaires (députés et sénateurs nommés), les élus du peuple d’Oyo n’ont aucun droit de regard sur ce qui est une chasse gardée des Mbochis de l’axe Ollombo-Oyo-Boundji.

« Le négociant pétrolier Lucien Ébata a été appréhendé par les douanes françaises dans la matinée du 6 octobre 2021, à l’Aéroport du Bourget, en possession d’une importante somme d’argent, et placé en garde-à-vue ». Le lendemain, on apprenait qu’il s’agirait d’une somme de 500 mille euros en liquidité qu’il n’aurait pas déclaré en douane. Et ce n’est pas la première fois que le conseiller spécial homme d’affaires s’est fait prendre en possession d’argent liquide dépassant le seuil autorisé. » Voilà les hommes qui conseillent monsieur Denis Sassou-Nguesso. Peuple congolais vous comprenez mieux pourquoi nous sommes dans la mouise.

Tous les comptes de la SNPC sont dorénavant gérés à Dubaï de peur que l’argent congolais ne soit saisi en Europe. Ils y sont tous installés dans des luxueuses villas de milliardaires avec l’argent du contribuable congolais.  ​

Alors que nous regardons avec inquiétude le sort subit par les Ukrainiens, la famille royale du Congo et les affidés dansent, chantent et festoient à tout va, les yeux rivés sur le cours du prix du baril de pétrole. Les 48 mesures de l’Accord imposées par le FMI (Fonds Monétaire International) et les préconisations de la Banque mondiale (BM) aux oubliettes et reléguées au second plan.

Pour certains Congolaises et Congolais ce qui se passent en Ukraine c’est du déjà vu avec l’invasion à huit clos du département du Pool par la milice de monsieur Denis Sassou-Nguesso qui avait même refusé l’accès aux ONG (organisation non gouvernementale) sur les lieux d’hostilités tant que sa boucherie n’était pas terminée. L’attaque des populations civiles relèvent des crimes de guerrre.

La ville de Marioupol en Ukraine nous fait penser à Brazzaville privée d’eau, d’électricité est assiégée par les milices de la famille Sassou-Nguesso qui vous affublent à la moindre incartade du motif de condamnation « d’atteinte à la sureté de l’État » pour vous clouer au pilori.

Et dans tout ça que fait le jadis vaillant peuple congolais ? Après avoir accepté qu’avec le CMP (Comité Militaire du Parti) des Congolais tuent des Congolais pour le pouvoir, le peuple congolais infantilisé qui craint la barbarie de ces gens, regarde, ébahi, tétanisé, sans voix car la cruauté du régime congolais actuel n’a d’égal que la cruauté des milices Tchétchènes, la force Wagner et de l’armée russe qui tirent sur tout ce qui bouge. N’y a-t-il pas un dénommé Tchétchène dans la famille royale congolaise ? La vie humaine au Congo-Brazzaville n’a aucune importance aucune. Nous sommes devenus un peuple sauvage comme certains sortis de la forêt qui dirigent le Congo-Brazzaville avec les mêmes méthodes barbares. Un loup restera un loup car il est toujours un prédateur mais le loup le fait pour se nourrir, mais au Congo-Brazzaville l’on tue pour préserver le pouvoir et pour le plaisir. C’est la toute puissance maléfique qui découle de certaines coteries galvaudées de leurs idéaux humanistes.

Peuple congolais, il est temps de dire que nous devons nous comporter en femmes et hommes civilisés. Tout devient irrationnel dans notre pays. Il n’y a rien d’excitant à mettre tout un peuple à genou pour implorer ce qui lui revient de droit.

Ce qui prévaut au Congo-Brazzaville c’est la loi du plus fort en dehors de tout cadre juridique. De toute les façons dans une dictature comme le Congo-Brazzaville, il n’y a pas de justice. Que personne ne se trompe, derrière les fameux costumes cravates à des milliers d’euros ou de dollars se cachent des tenues militaires.

La démocratie, le système de gouvernance le moins mauvais parmi tant d’autres est une culture. Ce n’est pas en un claquement de doigt que l’on devient démocrate. Avoir des prisonniers politiques, changez les Constitutions à votre guise, coupez les réseaux sociaux pendant les élections présidentielles, désarmez l’armée congolaise au profit de la garde républicaine en charge de la protection du Président de la République, la gabegie, terrorisez son peuple, la malgouvernance, le culte de la personnalité sont aux antipodes de la démocratie. Alors pourquoi s’égosiller à dire matin, midi et soir que le Congo-Brazzaville est un État démocratique ? Nous savons tous qu’au Congo-Brazzaville le ridicule ne tue pas et c’est une blague de mauvais goût.

Le langage corporel (Body language ou Kinésique) de monsieur Denis Sassou-Nguesso est difficile à lire tant le monsieur sourit tout le temps ne laissant transparaitre aucune émotion que le pays aille mal comme toujours et même pendant ses fastueuses fêtes. Il aime dominer les autres, les asservir, les rabaisser pour mieux les contrôler. Le Général de Brigade Florent Tsiba, son actuel Directeur de cabinet en sait quelque chose, lui qui a vécu une traversée du désert sous Denis Sassou-Nguesso.

Toutes les intellectuelles et tous les intellectuels congolais tenaillés par la faim ont baissé pavillon et craignent de perdre leur vie dans un pays sans foi ni loi. Les seules analyses se résument à la gloire de monsieur Denis Sassou-Nguesso leur bienfaiteur pour espérer survivre.

La direction que prend notre pays est mauvaise. Quand une famille à l’instar des Duvalier d’Haïti domine tout un pays et brade les richesses et les ressources communes, c’est le début de la fin et c’est là que nous avons besoin de la voix de nos intellectuelles et intellectuels. Vous devez avoir honte de vivre comme des nababs quand votre voisin n’a rien à manger et ne peut pas envoyer ses enfants à l’école. En plus avec de l’argent volé l’on déstructure des familles en poussant à la prostitution nos filles et nos garçons. Quelle infamie !

D’ailleurs nous aurions du mal à reconstruire le Congo-Brazzaville tant la haine est devenue viscérale de part et d’autre, et exacerbée par des comportements avilissants. Les Congolaises et les Congolais se regardent en chien de faïence. Le Congo-Brazzaville est une poudrière qui va exploser telle une bombe atomique et personne ne survivra à ce cataclysme. Les 50.000 morts du 04 mars 2012 à Mpila, Brazzaville, (au lieu des 282 morts officiels) seront très vite dépassés. Nous sommes dans un pays qui manipule les chiffres à sa guise et ment même à ses partenaires pour ses dettes.

Leur credo « C’est que le pouvoir vient de Dieu. », afin d’embobiner les esprits faibles. Lequel ? Celui qui prône l’amour ou le diable qui prône la haine. Ce sont ces raccourcis qui réconfortent certains dans leurs bêtises, leur méchanceté sans se rendre compte que le monde change avec des crimes qui sont imprescriptibles.

Le Congo-Brazzaville s’est abstenu de voter les sanctions contre la Fédération de la Russie, un autre parapluie nucléaire avec la France. Alors que devrez craindre monsieur Denis Sassou-Nguesso qui bazarde nos richesses et notre souveraineté pour rester au pouvoir ad vitam aeternam au pouvoir en préparant son fils Denis Christel Sassou-Nguesso à sa succession.

La croisière congolaise s’amuse dans des eaux boueuses, mais il faut qu’elle sache que toutes les Congolaises et tous les Congolais ne sont pas d’accord avec cette façon de conduire notre pays.

Au Congo-Brazzaville la cellule familiale a éclaté, les mœurs dépravées, les gens sont réduits à la mendicité, la dignité a disparu, le déshonneur a fait place à l’honneur. La société congolaise est pervertie, l’échelle de valeurs n’existe plus, seul l’argent compte pour acheter les consciences.

Que doivent penser nos compatriotes et non des moindres tels que Charles Zacharie Bowao qui a démissionné du PCT (Parti congolais du travail) et de son bureau politique, l’homme qui parlait à l’oreille de monsieur Denis Sassou Nguesso ; Marion Michel Madzimba Ehouango professeur de droit et de science politique (ancien directeur de cabinet de feu Lekoundzou, ministre de la Défense ; Son excellence monsieur Rodolphe Adada théoricien du PCT pour la conquête et la sauvegarde du pouvoir, actuel Ambassadeur du Congo-Brazzaville en France ; Son excellence monsieur Henri Lopes cet écrivain perdu dans la politique mais qui a su en profiter en étant même Premier ministre qui profite de sa généreuse retraite à Paris après avoir été Ambassadeur. Pour l’avoir observé, monsieur Henri Lopes était plus à l’aise au salon du livre qu’à la chancellerie. Tout un paradoxe.

L’ancien ministre des Affaires étrangères Théophile Obenga, Egyptologue, qui ne comprend même pas la sociologie de son pays pour se mettre au service de la tribu. Quant au ministre Clément Mierassa, il se bat comme un beau diable en interpellant une cour constitutionnelle à la botte de monsieur Denis Sassou Nguesso. Sait-il seulement que le Congo-Brazzaville est une dictature ? Le ministre Mathias Dzon sait-il qu’il a été le ministre des Finances après la guerre civile du 05 juin 1997 qui fit 400 000 morts. Dort-il bien ?

Madame Emilienne Raoul, ancienne ministre des Affaires Sociales, et actuellement la Présidente du Conseil économique social et environnemental du Congo-Brazzaville. En quoi conseille-t-elle le gouvernement ?  Peut-être qu’elle n’est pas écoutée et elle est là pour le décor.

Jean-Luc Malekat est un ancien ministre de l’Economie et des Finances du Congo-Brazzaville (1991-1992), invisible, inaudible, mais toujours actif dans les coulisses pour cueillir les fruits de la révolte sans aucun effort. C’est la politique des partisans du moindre effort qui mène au Roi fainéant.

Jean Félix Demba Telo, Ancien ministre de l’Urbanisme sous André Milongo, Coordonnateur de la composante J3M, devrait plus parler de la libération de toutes les Congolaises et de tous les Congolais injustement emprisonnés car l’heure de la politique politicienne arrivera après la libération de notre pays des mains des gangsters qui le tiennent. Ce n’est pas le combat d’un seul homme fût-il le Général Jean-Marie Michel Mokoko que nous menons, mais celui de toutes les Congolaises et tous les Congolais épris de liberté. Mais par ailleurs certaines de ses réflexions sont pertinentes.

Claudine Munari Mabondzo, ancienne directrice de cabinet de feu Professeur Pascal Lissouba, ancienne présidente de la Fédération de l’Opposition Congolaise est aux abonnés absents car probablement repue. Elle avait eu l’audace en tant que Présidente de la Fédération de l’Opposition Congolaise de se rendre à la concertation de Madingou sous la bannière de son parti le MUST qui est devenu le WORST. C’était une faute politique. Alors pourquoi auparavant avoir demandé au ministre Joseph Ouabari Mariotti de choisir entre son adhésion à l’UPADS (L’Union panafricaine pour la démocratie sociale) et son titre de représentant de la Fédération de l’Opposition Congolaise en Europe ? C’est du sadisme.

Quant à notre Professeur Louis Bakabadio, l’éternel conseiller spécial du président de la République, chef du département de l’Éducation, de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, il brille par un silence de cathédrale devant ce marasme. Hélas pour un esprit brillant de rester cantonner dans la connivence !

En dehors des 14 000 milliards de francs CFA des générations futures siphonnés par monsieur Denis Sassou Nguesso et son clan présidentiel, notre compatriote Maître Blaise Élenga pourrait nous édifier sur la destination des Fonds vautours le moment venu afin que nous puissions aller les récupérer pour reconstruire le Congo-Brazzaville. Nous irons aux Steppes de la Toundra jusqu’au fin fond de la Mongolie pour les prendre, car cet argent appartient au peuple congolais. Les malversations de la COTRADE (Congolaise de Trading) n’échapperont pas à la justice congolaise et internationale.

Arlette Soudan-Nonault, ministre de l’Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, notre taupe nationale peut faire changer un gouvernement démocratiquement élu par sa main noire. De 1992 à 1997, fille du sénateur et ancien diplomate (Ambassadeur du Congo à Moscou) Jean-Pierre Nonault « ami » de feu Président Pascal Lissouba, elle avait occupé le poste d’attachée de presse à la présidence de la République de feu Pascal Lissouba. Elle était de fait l’assistante de la directrice de cabinet madame Claudine Munari Mabondzo. En fait, elle était en service commandé du PCT dans lequel elle est maintenant ministre au gouvernement et membre du Bureau politique du PCT. Elle restera dans l’histoire du Congo-Brazzaville comme celle qui a participé à la mort de la démocratie au Congo-Brazzaville. Elle est tellement machiavélique qu’elle peut faire censurer votre article sur Médiapart en France un pays donneur de leçon qui prône la liberté d’expression. Nous n’avons jamais insulté madame la ministre qui a ruiné l’avenir radieux de notre pays. Qui a trahi trahira et ses nouveaux amis devraient se méfier d’elle.

Un autre fait d’armes de notre ministre Arlette Soudan-Nonault c’est d’avoir exhumé la cassette du prétendu coup d’État qu’aurait voulu préparer le Général Jean-Marie Michel Mokoko ; Une affaire réglée en famille selon le terme consacré. Apparemment madame la ministre vous êtes dans tous les mauvais coups tordus, ce qui n’est en rien une qualité mais de la mesquinerie.

L’opposition congolaise compte sur madame la ministre Arlette Soudan-Nonault afin qu’elle nous transmette les documents nécessaires pour mettre fin à cette dictature qui nous broie. Ainsi, nous écrirons à son endroit : « Aux héroïnes, la patrie reconnaissante. », car tout le monde a droit à la rédemption. Ce serait le retour d’ascenseur.

La république du Congo-Brazzaville est morte pour laisser la place à un enclos sous le contrôle de l’Empereur Denis Sassou-Nguesso.

Peuple congolais vous devez craindre le déroulement des événements qui se passent sous vos yeux, et avoir un sursaut d’orgueil et de dignité afin de mettre fin à cette mascarade qui fait de nous des sous hommes.

Plus aucune Congolaise ni aucun Congolais ne peut rêver d’un avenir meilleur, radieux dans notre pays, à moins de rejoindre les fossoyeurs de la république qu’ils quitteront après avois mis le pays plus bas que terre.

Les valeurs de la république du Congo ont été piétinées. Point d’Unité, la scission entre le Nord et le Sud étant toujours d’actualité au quotidien. Le clivage Nord-Sud est plus que prégnant dans notre pays laissant le champ libre aux sécessionnistes que nous ne sommes pas. Le Congo est et doit rester uni. Pas de Travail, car c’est le pétrole et le bois qui sont à l’origine de plus de 75% du PIB (produit intérieur brut) du Congo-Brazzaville ; Pas de Progrès, car après plus de 60 ans d’indépendance, il n’y a pas d’eau potable, d’électricité, ni d’infrastructure de qualité avec une corniche brinquebalante, l’éducation par terre, la santé au petit bonheur la chance, l’insécurité galopante et au sommet de l’État la MAFIA CONGOLAISE.

Est-ce pays que nous voulons léguer à nos enfants ? Nous avons honte de ce qu’est devenu le Congo-Brazzaville.

Peuple congolais réveillez-vous et n’ayez pas peur !

Tout système a une fin : Mobutu, Adolf Hitler, Pinochet, Idi Amin Dada, Duvalier, Robert Mugabe, Zine el-Abidine Ben Ali, etc.

C’est Machiavel qui disait : « La meilleure forteresse des tyrans c’est l’inertie des peuples. »

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA    

3 thoughts on “Le Congo-Brazzaville est en état de mort cérébrale

  1. il n ya pas de banque centrale a oyo mais une plutot une agence ou succursale de la beac.le congo brazzaville en compte quatre contre 8 ou plus pour le cameroun . cest une question de maillage.il est prevu en construire dautres .une a kinkala une autre a dolisie et une derniere a impfondo. tu es un jeune maudit mon gars

    ce fonds dedie aux « generations futures » n’a jamais existe et contraire aux procedures de la banque mondiale en matiere d’orthodoxie financiere. comment definissez vous une generation future?

    la banque mondiale ne peut pas consentir une appui budgetaire a letat congolais pour faire des epargnes publiques.cest absent des regles budgetaires de la banque mondiale.attention a vos ecrits ca sent l’idiotie

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