Manifeste pour le Pool

Manifeste pour le Pool

 

Et, s’il se formait une chaine humaine au Congo, que chacune des régions du Congo se mettait à dire : « Nous sommes tous le Pool » ; tel  Charlie en France !

Ne serions-nous pas dans une manifestation de solidarité nationale? N’y aurait pas une manifestation de l’amour du prochain et une solidarité certaine !

Ne sommes-nous pas capables de voir le drame se jouer sous nos yeux !

Etre une nation, c’est avoir une histoire commune et un même destin. L’histoire du Congo ne saurait se lire en dehors de celle du pool. Auquel cas, nous sommes dans du révisionnisme.

La Vendée est connue pour être une région énergique voire  revendicative, insurrectionnelle  parfois  elle est pourtant un territoire de la France .Elle est subséquente à l’histoire de  France.

Peut-on alors  se réjouir et donc  restés indifférents face à une tragédie et à une persécution. Il y va de la morale.

il est ,peut-être temps que les autres régions s’impliquent dans ce que j’appelle ‘j’accuse’ en référence au «  J’accuse d’ Emile Zola »

  1. I) – Données du problème et approche argumentative:

Le Pool est, depuis quelques années, le lieu de cristallisation des tensions politiques permanentes et objet d’accusation dans son rapport au politique et aux institutions de la République en général.

Ce rapport conflictuel l’a défini comme barycentre des frictions  voire comme exutoire. L’effet négatif de cette projection l’a enfermé dans une marginalité, celle de ses structures, de ses hommes condamnés à vivre en reclus au milieu d’un désastre humanitaire.

De ces tourments et appréciations, le Pool en recueille un lourd préjudice. De façon imagée, le Pool paraît donc comme une plaie, quelque chose de nauséabond, un neuvropathe dont nul ne veut sauf à le soigner à coups de boutoir.

Tout participe de ce sentiment de rejet. Aussi, ses rapports avec les pouvoirs deviennent-ils, par définition, des rapports d’aversion, de suspicion réciproque ; de conspiration contre les institutions pour l’un, d’hégémonie régressive pour l’autre.

Par une bien étrange hystérie laquelle a précipité le pays dans la géhenne de la guerre où intrigues politiques et haines tribales n’ont cessé de s’enchevêtrer, le Pool s’est mis à subir durement les contre-coups de l’épreuve. Et chacun s’est mis à décoder le sens de la persistance de cette guerre dans cette région où elle s’est trouvée brutalement parquée,  donnant un sentiment d’abandon sinon d’injustice.

De ce rapport pernicieux et par la force de ce sentiment de culpabilité  qui résume à son endroit l’expression « toujours les mêmes », le citoyen / individuel du Pool s’est donné à paraître comme bouc émissaire et la région comme source expiatoire, desservant grossièrement l’image de cette dernière réduite à  la seule dimension de région « rebelle » sinon « barbare ». Autrement dit le département s’est livrée à paraître comme souffre – douleur de la République.

Cette adversité politique, le Pool l’appréhende, la récuse de cette République laquelle le considère ex nihilo  et le ravale au rang « d’incorrigible ».

Il s’en suit une récrimination tous azimut laquelle stigmatise une communauté  entière, contrastant avec de nombreux symboles d’ouverture et d’héroïsme dont il a fait montre.

Ce lynchage idéologique a pour déconvenue de classifier ainsi les bons et mauvais citoyens, jetant l’anathème sur des populations ciblées et identifiées comme telles.

Or cette stratification catégorielle ravive les tensions tant qu’elle ramène aux situations répréhensibles de la violence et donc nécessairement à l’opposé de l’esprit de la République laquelle a vocation à plutôt être l’institution qui divise le moins ses citoyens.

De facto, se crée un jugement de valeur lequel répertorie les communautés ethniques selon une propension à cultiver la violence. L’on tente de les assimiler ethnologiquement à des « barbares » suivant, en cela, des normes improprement établies de manière conventionnelle.

Ces jugements biaisés présentent le lourd handicap de s’enfermer dans un manichéisme où le citoyen / individuel n’est valorisé et identifié que sur la seule appartenance tribale. D’où naissent des antipathies de toute nature et du type : les Kongo, Sundis, Laris sont difficiles à vivre en bon voisinage, parce que belliqueux et au tempérament pervers.

Cette instrumentalisation des communautés a ceci de nocif qu’elle légitime des prises de position lesquelles entretiennent des divisions intra – communautaires, répercutant à l’intérieur des groupes ethniques les faits flagrants et d’une totale incongruité.

On appréhende mieux dans cette perspective la désolidarisation déclarée de la région du Pool et donc  la création de la région de Mbanza-Kongo laquelle devait regrouper les districts de Boko, Mindouli, Loumo, Louingui et Mbanza-Ndounga.

Cette partition de la région s’inscrit dans le sillage de nombreux préjugés lesquels rebondissent à l’intérieur de la Communauté. Elle est le fait d’une intention politique inavouée, répondant au mécanisme séculier du « diviser pour régner ». Ainsi les Laris seraient-ils au Kongo-Boko et Sundis, ce que sont les Bémbés aux Dondos dans la Bouénza, incommodants car intrigants et intrépides, voire ceux par lesquels  arrive le malheur.

Ces modes de pensée, outre qu’ils tuent la République en la morcelant, tourne en dérision les solidarités traditionnelles communautaires dès lors qu’elles peuvent enclencher des complexes de supériorités sur un mode d’auto-satisfecit, sous tendant une quelconque infériorité. Ce qui est fâcheux parce que provocateur et méprisant. Pis, il est tout à fait incommodant et pénible d’entendre résonner ce type d’ineptie dans les plus hautes sphères de la République !

Ainsi, ceux qui jugent le Pool et le condamnent, disent-ils sa peine et son carma nécessaires, car il importe de porter une représailles à une communauté qui nuit à la république et qui pourrait lui nuire encore. Châtier ; donc faire des exemples ! Châtier pour épouvanter celles des régions qui seraient tentées par l’aventure. La république se devant de se débarrasser des dégénérés, de ces depradés aux mœurs byzantines, aux attitudes abjectes par trop revendicatives ; recourir à la punition exemplaire.

Toutes les réquisitions sur le Pool semblent désormais relever de cette éternelle phrase, à contrario demeurent des variations plus ou moins sonores de cette rengaine. Les Laris Sundis et Kongo ne seraient en définitive qu’une calamité laquelle tiendrait leur méchanceté de l’atavisme lié à leur culture et leur état d’origine. D’où la nécessaire et indispensable chape de plomb pour les contraindre à l’ordre, les remettre  dans la rectitude, dans le droit chemin de la république.

Qu’il nous soit permis de dire, clairement, que nous nous inscrivons en faux contre pareilles affirmations. Celles-ci relèvent de la violence, de l’escroquerie morale. Loin d’édifier les peuples, elles les fragilisent, les démobilisent, ruinant en eux toute sensibilité et donc toute vertu.

Ces a priori qui ignorent tout de l’histoire du peuple Kongo, de sa genèse, de son anthropologie culturelle et sociale ruine toute mise en perspective favorable de la région tant il le réduit à l’invective.

  1. II) – Plaidoyer pour une mise en perspective favorable de la région:

On ne peut saisir la psychologie et la mise en perspective d’un peuple sans en référer à son histoire. Le mouvement de l’histoire d’un peuple constitue son trait caractéristique essentiel tant le passé marque le présent. Le passé demeure inscrit sur le visage des peuples dont il façonne les mentalités et rythme l’existence. L’histoire est donc une clé, clé de lecture essentielle. Tout ignorer d’elle, c’est écarter le poids de l’héritage dans les cultures. La région du Pool a un passé culturel et politique dont on ne peut donc s’exonérer au risque d’occulter ses angoisses, ses inquiétudes, ses nobles ambitions et son interprétation du monde. Son héritage culturel et politique plutôt glorieux ne sauraient souffrir de nombreux préjugés qu’on lui prête et d’épithètes qu’on l’affûble. Faut-il pour les besoins de la cause, re-évoquer les traits essentiels de cette culture !

  A / – la pensée Kongo et son poids culturel :

On rappellera que l’essence de la pensée des Kongo relève du « kimuntu », concept philosophique, fondé autour de l’homme et de la place qu’il lui accorde.

Valeur transcendantale et espèce élue, l’homme est primat de toutes choses, figure pivot autour de laquelle se mesure toute chose et autour de laquelle gravitent tous objets et autres espèces de la nature.

Tout objet animé, végétal ou animal n’est donc que catégories inférieures remplissant des fonctions précises d’importance naturelle moindre et relative.

Etre transcendant, la personne humaine constitue de fait le point de départ d’une arborescence la source d’ordonnancement de la société ; source permettant d’interpréter les hiérarchies des organismes crées, de justifier et soutenir toutes les institutions sociales. Lesquelles permettront de créer et générer des lois et codes moraux adaptés à la mentalité Kongo.

Des normes sociales qui, si l’on en croit les sources historiques permirent l’édification des grands ensembles comme le royaume Kongo, à l’instar des autres grands peuples du continent ; d’asseoir des formes de gouvernement et de systèmes économiques notables.

Des principes ethniques, qui à défaut d’écriture sont demeurés implicitement intégrés dans le système de traditions orales opérant avec des images conventionnelles épiques et paraboles ; principes dont l’obéissance est non seulement exigée par la morale sociale du groupe de façon très stricte mais faisant l’objet de sanctions en cas de non observance.

Ainsi, la vie de l’individu chez les Kongos découle t-elle d’une chaîne et demeure en continuelle imitation de l’homme, héros des mythes.. D’où les rapports quasi révérencieux que tiennent les membres d’une société et d’une communauté : enfants-parents, jeunes et vieux, maris et femmes etc.…

L’influence marquante de cette vision établit, du coup, des rapports de courtoisie, d’honorabilité et d’humilité. De fait, l’intimité établie entre le type ethnique et l’individu dans la société est telle que ce dernier, durant son existence, fait corps indivis avec les normes sociales pré-citées. Et le comportement social normal se trouve désordonné par toute rupture éventuelle de celle-ci.

De cette conception idéalisée et quasi métaphysique de l’humain, ressort l’idée que la mort ouvre à ce dernier le passage à une autre sphère dans laquelle le défunt garde toute honorabilité, accédant à la qualité d’ancêtre actif, délégué précieux et indispensable dans l’au-delà.

  B / – L’emprise de la pensée Kongo dans les luttes de libérations :

On peut dès lors saisir le sens qu’épousent les luttes de libération chez les Kongo tant elles sont demeurées en étroite relation avec cette notion de  sur-représentation de l’homme. Et tous les combats qui se mèneront, y trouveront une référence culturelle indéniable.

Ils relèveront tous de cet ordre, du rejet de l’absolutisme, du désir des libertés et du devoir de rétablir l’homme dans ses droits car l’homme, créature suprême ne saurait être dépossédé, et sa nature altérée ni aliénée.

En tout état de cause, le système colonial demeure carcéral et très inégalitaire. Tirant essentiellement sa légitimité de la force et ou de la ruse, il se définissait dans l’affirmation échevelée de la supériorité d’une race et donc asservissement de l’autre. Il paraissait ainsi à l’opposé de la pensée profonde Kongo dont il devenait un contre-modèle. La colonisation, par le fait d’occuper un territoire et d’y exercer une souveraineté de manière permanente établissait des rapports de domination, de soumission totale ; substituant à l’ordre économique, politique et social autochtone fondé sur les libertés, un ordre fondé sur la cœrcision, la violence établie.

C’est pour retourner le fameux héritage et réhabiliter l’homme dans une image plus conforme à leur conviction, que les Kongo s’élevèrent contre le colonialisme.

Ce combat sera celui de la liberté visant à libérer l’homme du double sens de la servitude et de la désaliénation que de la reconquête de ses droits civiques perdus. Et ce combat, le Pool l’a prodigieusement mené.

On comprend dès lors l’engagement qui fut, celui des grands hommes comme André Grenard Matsoua. Homme, qui, par ses avancées sur la voie de l’anti-colonialisme occupera une place mémoriale dans nos subconscients.

Sa vie illustre une vision totalement opposée de la société coloniale. Luttant pour la dignité et donc marchant à contre-courant, il assura avec la véhémence de ses discours les droits et rendu à la postérité, sa liberté.

Ce dernier n’eût jamais la faveur des puissants mais celle des humbles. Et comme tout grand résistant, il connut plutôt l’opprobre, la calomnie, la prison, la bagne et la déportation.

Et si l’histoire a retenu son nom, elle le droit à sa générosité, sa détermination, sa foi d’homme, héritage de son creuset culturel Kongo.

C’est là des évidences naturellement sensibles au cœur et qu’il faille évoquer et restituer pour les rendre clairs à l’esprit afin de d’éviter des erreurs d’interprétations lesquelles écornent trop souvent les consciences.

Car si l’on concède à Albert Camus qu’il n’y a qu’un problème philosophique humain important : juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue. Pour cet homme et pour tant d’autres, la réponse à cette question fondamentale et philosophique demeurait dans la liberté.  Et c’est cette question fondamentale de liberté qui fondait leur combat et donc les indépendances.

                                                                                       *     *     *

Les indépendances survenues ne furent donc pas offertes comme il est souvent établi, elles furent le fruit des grandes conquêtes, et nombreuses batailles au cours desquelles des hommes sacrifièrent leur vie. Et auxquelles les Kongo contribuèrent fièrement de manière décisive.

Des combats durent naturellement s’organiser pour arracher des concessions en vue de ces indépendances même s’il eût fallu la seconde guerre mondiale et la matérialisation de la conscience des opprimés avec la conférence de Bandung, pour faire de celle-ci une réalité à portée de main.

Ces batailles ne furent jamais regardées par les peuples qui les ont mené comme une panacée, moins comme une routine. Ils y voyaient la preuve de leur ténacité et de leur foi dans ce qui paraissait essentiel. La soif d’indépendance, d’égalité porta ces hommes à décliner les avantages comparatifs et réels d’existence et des conditions matérielles que ce système bien avilissant, pourtant semblait leur offrir.

  C / – Les méfaits d’une déficience d’Etat/Nation comme héritage :

Notons que, ces indépendances nationales, ne furent jamais totales. Elles demeurent partielles car essentiellement politiques. Elles demeurèrent vides sans contenu économique pérennisant, de fait, la mainmise et la sauvegarde des intérêts des métropoles. C’est donc loin du cadre originel que se réalise l’Etat prétendûment moderne et que fonctionnèrent les institutions post coloniales.

Et si l’on admet que le processus de formation de ces Etats, loin de s’être achevé dans l’accomplissement d’Etats-Nations, se sont plutôt mués en monstres, trouvant dans les divisions ethniques opérées par l’administration coloniale  les moyens de garantir les positions oligarchiques et groupusculaires, valets des forces coloniales. Et lesquels reproduisent le réflexe du bon vieux maître.

L’Etat néocoloniale et donc post coloniale, infesté plutôt par la cupidité et l’avidité des tenants du pouvoir, a fait de celui-ci, l’instrument vectoriel de valorisation individuelle et ou des collectivités mafieuses. Le concept opératoire de redistribution de revenu national, éclaire de façon saisissante l’existence de ce mal gouvernance. Dès lors les combats d’autrefois trouvent leur réactualisation dans les batailles d’aujourd’hui. Car ni les démocraties déguisées, ni les autocraties d’hier n’ont assuré sa prospérité et sa citoyenneté à l’homme du Congo.

Du coup, les combats d’aujourd’hui se situent-ils dans l’héritage et dans la continuation de l’œuvre autrefois entamée par les aînés, en filiation directe avec ces forces qui nous ont libérés de la nuit des temps.

Dès lors les bataillent qui se mènent dans le Pool demeurent libres et prospères tant elles sont le mouvement des convulsions contre les égoïsmes velléitaires qui, sur fond d’opposition rangée entre groupes ethniques, marque de fond en comble l’échec des transformations sociales et de la cohésion nationale.

De facto, le Pool ne saurait rougir. Il ne lui faut aucunement démissionner de sa mission de région porteuse de lumière et ne saurait par conséquent prêter le dos au portage de l’adversité politique. Car les combats qui se mènent, demeurent inspirés par les exigences d’égalité, d’équité et de responsabilité que nourrit l’ensemble de la population, mais dont le Pool se réclame, par tradition, être à l’avant –garde.

Se reconnaitre ainsi dans les inégalités profondes que génère le système capitaliste, qui trouvent leur source dans la nuit des temps, c’est rendre indissociable le combat politique pour l’égalité de l ; homme quel que soit le temps et l’espace. Que l’on soit du Nord, d’Est, d’Ouest ou du Sud du Congo. Nous sommes tous  face à une oppression, souvent économique mais bien souvent meurtrière et tragique comme c’est le cas pour le pool.

C’est dans les moments tragiques que l’on mesure la profondeur de l’amitié voire de la fraternité. A contrario, on est dans de la pure fiction quant à l’unité nationale et à l’idée de Nation que l’on se fait. On donnerait pleinement raison alors à ceux qui pensent diviser le Congo.

Le Congo est à l’épreuve des faits, soit il en sortira grandi  et fier de l’etre sinon affaibli pour avoir sacrifié à la tradition séculaire bantoue, qui est que l’on assiste un frère quand il est dans le malheur et eprouvé !

Ciceron MASSAMBA

10 thoughts on “Manifeste pour le Pool

  1. LE PROBLÈME DU POOL EST SIMPLE :
    IL Y A UN AGRESSEUR, C’EST L’IDIOT sassou.
    POURQUOI LE FAIT-IL? ET COMMENT LE FAIT-IL?
    D’ABORD IL FAUT REMARQUER QUE C’EST LE MÊME IDIOT QUI AGRESSE LES AUTRES RÉGIONS.
    IL LE FAIT PARCE QUE CES COMMANDITAIRES OU SES SOUTIENS L’ONT MIS DANS UNE SITUATION INCONFORTABLE QU’IL A VOLONTAIREMENT CHOISI. IL EXÉCUTE SA MISSION PENDANT QUE LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS SÉCURISENT LEUR PILLAGE DES RESSOURCES.
    IL LE FAIT AVEC L’APPUI DES MIETTARDS DE TOUTES LES RÉGIONS, LES MERCENAIRES DU STATU QUO.
    C’EST UNE STRATÉGIE QUI MARCHE PARCE QUE L’onu A ÉTÉ CRÉÉE POUR ACCOMPAGNER CE DÉSORDRE MONDIAL.
    QU’EST-CE QU’IL FAUT FAIRE?
    SURTOUT NE PAS ISOER LE POOL. C’EST L’UNITÉ QUI POURRA FAIRE DOUTER L’IDIOT ET SES BLANCS MAL ÉDUQUÉS. CE SONT DES MONSTRES FROIDS PRETS À SE SERVIR DE L’ARGENT VOLÉ POUR DÉCOURAGER LES BONNES VOLONTÉS.
    ENSUITE FAIRE UN EFFORT INTELLECTUEL, CAR SES IDIOTS ET SES BLANCS MAL ÉDUQUÉS SONT EN PERMANENCE EN CONTRADICTION AVEC LEUR PROPRE LOGIQUE. (LE COVID EST UNE ILLUSTRATION ). IL S’AGIT POUR NOUS DE PENSER À DES MODES DE FONCTIONNEMENT QUI MINIMISENT LES INFLUENCES DE SES MONSTRES. IL Y A DES PISTES QUE NOUS N’ÉVOQUERONS PAS ICI. DES COMPATRIOTES ONT PROPOSÉ D’AUTRES PISTES INTÈRESSANTES.
    NOTRE RÉUSSITE DÉPEND DE NOS STRUCTURES FAMILIALES QUI DOIVENT ÊTRE PURIFIER DES COLLABOS QUI SONT COMME DES SARDINES SANS TÊTE.
    POUR MOI, LE PROBLÈME DU POOL EST UN PROBLÈME CONGOLAIS. CEUX QUI VEULENT LE  » CAPORALISER » NE SONT QUE DES OPPORTUNISTES.
    POUR LE RÉSOUDRE, IL FAUT ANÉANTIR LES IDIOTS DE LA RÉPUBLIQUE ET LES HOMMES MAL ÉDUQUÉS VENUS D’AILLEURS.

  2. il faut rendre sassou knock out car c’est l’antipool qui préfere acheter des hélicopteres pour bombarder les vieilles mamans et enfants du pool au lieu d’envoyer ces militaires poltrons et mercenaires au front de l’angola et le long du fleuve ou les militaires de la rdc font la loi.14000 MILLIARDS volés le génociaire sassou des voies ferrées aller retour brazza pointe noire,brazza betou et brazza boko.En developpant les voies ,c’est du boulot pour les congolais et la haine contre le pool va disparaitre ,sassou c’est l’obstacle du pays imposé par chirac pour les interets français.SASSOU DEHORS.

  3. lire;;;le génocidaire sassou est incapable de construire des voies ferrées aller retour brazza pointe noire,brazza betou,brazza boko.

  4. pure foutaises

    NOUS SOMMES LHEURE DES PARTENARIATS PUBLICS PRIVES DE LECONOMIE NUMERIQUE DE LA MONETIQUE DE LA RSE DU TELE TRAVAIL DU BULLETIN DE SALAIRE DIGITALISE DU DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT VOICI LIDENTITE ACTUELLE DE LA MARCHE DU MONDE

    SUR LE PLAN REGIONAL LE POOL ENERGETIQUE DE LAFRIQUE CENTRALE VA DEMARRER LES CONNEXIONS INTRE ETATS INGA CABINDA POINTE NOIRE ET GUINEE EQUATORAILE GABON MEME SI LES GABONAIS SUPPORTENT MAL CETTE IDEE DETRE ALIMENTES EN ELECTRICITE PAR LA GUINEE EQUATORAILE

    ON COMPREND TOUT DE SUITE POURQUOI COMILOG AVAIT QUITTE LE CFCO

    ALORS MR CICERON LE POOL EST UN GROS VILLAGE CEST TOUT CEST QU IL FAUT DIRE LE POOL NE COMPREND PAS LES THEMATIQUIES CITEES PLUS HAUT LES PPP LE PEAC LA DIGITALISATION DES SERVICES LES INFRASTRUCTURES LES CONNEXIONS INTER ETATS ….LE POOL EST UN VILLAGE LE LARI EST UN VILLAGEOIS

    1. Tu réagis de la même façon dès que l’on te rappelle ici et là-bas la perméabilité de tes masques et que les questions directes qui te sont posées te confondent; sans réponses… Mais, même les con-go-laids dubitatifs et naïfs finiront indubitablement par le savoir et comprendre.

      AI

  5. A RETENIR…

    Je confirme que Denis Sassou Nguesso fait partie des êtres reptiliens ou des humains à sang froid. Les êtres reptiliens c’est des êtres qui ne vivent que dans le mensonge parce qu’ils n’attachent aucune importance à la vérité.

    Cela veut dire qu’ils n’attachent non plus d’importance aux mensonges.
    C’est tout simplement parce que pour eux, mensonge ou vérité, c’est la même chose – ça n’aucune importance et c’est la raison pour laquelle, les reptiliens sont des acteurs incroyables – parce qu’ils sont capables de jouer la vérité comme le mensonge avec la même motivation ou avec la même force – contrairement aux êtres humains qui, eux, pour avoir cette force là, sont forcés d’user de la vérité.

    C’est dans la vérité que nous, être humain, sommes capables de donner de la force à nos propos.

    Or là, avec les reptiliens, nous avons des êtres qui usent du mensonge ou de la vérité en fonction du rôle qui leur a été attribué – parce que ce sont des êtres à qui, on leur attribué un rôle tout en haut de la pyramide Françafrique maçonnique.

    Il y a des décideurs qui attribuent des rôles et à partir du moment où vous tenez ce rôle – et que vous amenez avec vous, tous les êtres que vous pouvez – le maximum que vous pouvez, et à partir du moment où tenez ce rôle – vous avez le droit de continuer à poursuivre votre mission françafrique maçonnique.

    Les reptiliens sont donc des êtres qui parviennent à se convaincre de leurs mensonges comme de leurs vérités. Ce sont des parfaits acteurs, jouant leur propre vie, une vie qui leur a été attribué au sommet de la pyramide françafrique maçonnique. https://www.youtube.com/watch?v=iuVW_JeSMt8

  6. Salut mon grand,
    C’est un bon manifeste pour le Pool que je partage également. Un bon texte au français soutenu parfois inaccessible. En tout cas félicitations d’avoir écrit cette vérité la.

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