Retour sur le 5 Février 1979, un coup d’Etat et une imposture historique

Le 30 janvier 2019 en marge d’une descente au siège du ‘’député’’ PCT monsieur Ferréol Gassackys, le SG du PCT monsieur pierre Ngolo, deuxième personnalité du régime, annonçait la célébration en fanfare des 40 ans d’exercice du pouvoir de son chef monsieur Denis Sassou Nguesso.

Sacrilège, indécence et cynisme marquent cette célébration, ce, dans un pays en faillite, un peuple réduit à la mendicité et la misère ; une sphère étatique dans laquelle règne le népotisme, l’ethnocentrisme, le vol, la corruption et la médiocrité.

Les révolutionnaires marxistes-léninistes d’hier se sont reconvertis en pseudo sociaux démocrates de circonstances, cependant formatés au totalitarisme tropical, cette clientèle politique hétérogène s’est dotée d’une nouvelle spiritualité à savoir la Franc-maçonnerie tropicale devenue un instrument d’ascension sociale, de promotion, d’insalubrité éthique et d’intrigues.

Bref, ‘’l’homme des actions concrètes’’ est devenu ‘’le destructeur permanent’’, le ‘’tout pour le peuple rien que pour le peuple’’ rime avec ‘’tout pour le clan rien que pour les voleurs’’ dans une imposture ethnocentriste criarde.

Trois générations des congolais au minimum sont victimes de cette gouvernance primitive du PCT-éléphant.

En revenant chronologiquement sur les évènements ayant permis l’ascension de Denis Sassou Nguesso au Pouvoir, voici le décor ainsi planté par le Président Marien Ngouabi presque un an avant son assassinat.

Les commandes du régime sont aux mains de 5  »camarades » qui devraient préparer le troisième congrès du PCT, congrès de la  »Radicalisation ».

Le 12 décembre 1975, fin de la session du Comité Central. Le Bureau Politique du Comité Central démissionne. Un « État-major Spécial Révolutionnaire » composé de 5 membres, remplace provisoirement le Bureau Politique jusqu’au prochain Congrès Extraordinaire du Parti.

L’Etat-major Spécial Révolutionnaire se compose des Camarades : Marien NGOUABI : Président; Jean-Pierre THISTERE TCHICAYA : Chargé de la Permanence du Parti; Louis-Sylvain NGOMA : Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Chargé du Plan; Denis Sassou NGUESSO : Chargé de la Défense et de la Sécurité; Jean-Pierre NGOMBE : Chargé de l’Education, Propagande et Information.

Manifestement le vers était dans le fruit, le complot visant l’assassinat du président Marien Ngouabi était enclenché.

Le 19 mars 1976, quelques semaines seulement après ces changements, l’hélicoptère du Président s’écrase dans la forêt du Nord Congo, avec à son bord, outre le président Ngouabi lui-même, le pilote Kakou, le Professeur Diamond, et l’homme d’affaires Nicoloso. Durant 5 jours, la Nation est sans nouvelles du commandant Marien Ngouabi et de ses compagnons. Avant que le Président puisse courageusement refaire surface.

Début mars 1977, Marien Ngouabi reçoit une lettre de son prédécesseur Alphonse Massamba-Debat. Dans sa missive, celui-ci lui recommande de démissionner, car la gravité de la situation du pays l’impose.

Le 3 mars 1977, le Président Marien Ngouabi reçoit en audience l’ancien président et son épouse. Ils conclurent ensemble un pacte républicain pour une gestion commune de l’Etat, en vue de l’unité nationale et du redressement économique du Pays.

Quelques jours plus tard, lors d’un meeting populaire organisé par l’URFC, le président Marien Ngouabi s’en prend violemment à l’impérialisme français qu’il tient pour responsable des difficultés économiques du Congo. Il y prononce également cette phrase énigmatique : « Lorsque ton pays est sale et manque de paix durable, tu ne peux lui rendre sa propreté et son unité qu’en le lavant avec ton sang».

Lorsque survint cette journée fatidique du 18 mars 1977, à savoir l’assassinat du Président commandant Marien Ngouabi, ainsi que dans l’intervalle d’une semaine, l’ancien  Président Alphonse Massamba Débat et le Cardinal Emile Biayenda, l’innommable, l’irréparable, l’incommensurable, le « sacrilège absolu » venaient d’être commis au Congo.

Les membres de l’Etat Major Spécial Révolutionnaire et du futur Comité Militaire du PCT portent une entière responsabilité sur ces assassinats méthodiques, notamment le Commandant Denis Sassou Nguesso chargé de la défense et de la sécurité.

Voici résumé la première étape de la prise du pouvoir du commandant Denis Sassou Nguesso, acte inaugural de la création du PCT-Éléphant, premier contentieux historique entre le PCT et le Peuple Congolais.

PCT-Éléphant aux commandes du Congo-Brazzaville ou le début de l’escroquerie politique.

Après la mort du Président Marien NGOUABI survenue le 18 mars, le Comité Central du Parti Congolais du Travail met en place un « Comité Militaire du Parti » (CMP) par acte N°005/PCT du 19 mars 1977, entraînant la dissolution de l’Etat-major Spécial Révolutionnaire.

Le CMP a pour tâche jusqu’à nouvel ordre, de préparer les obsèques nationales, de gérer les affaires de l’Etat, d’assurer la défense du Peuple et de la Révolution afin de maintenir la Paix et la Concorde Nationales pour que tout soit pour le peuple, rien que pour le peuple.

Le 3 avril 1977, le Comité Militaire du Parti investi de pleins Pouvoirs. Ainsi vociféraient les propagandistes du PCT.

Sitôt à la tête du CMP donc de l’Etat, Yhomby Opango entrepris le travail de restructuration de l’appareil étatique pour conjurer la crise et relancer l’économie. Il s’attaqua à la sacro-sainte Trilogie déterminante : Cogestion, Coresponsabilité, Codécision.

La fameuse Trilogie déterminante, autrement dit le  »parti dirige l’Etat », véritable hérésie managériale, La trilogie déterminante associait le Parti, le Syndicat et la Direction dans la gestion des entreprises d’État. Par ce système, l’accession aux responsabilités dans le monde de l’entreprise était souvent déterminée par le militantisme plutôt que par les capacités professionnelles. Il en a souvent résulté une baisse de la productivité et l’inefficacité économique.

Sous Yhomby Opango, la méritocratie, la rigueur et l’Excellence prennent peu à peu le pas comme normes nouvelles de gouvernance. Erreur ! Les conspirateurs de l’assassinat du président Marien Ngouabi trouvent à travers cette orientation programmatique le prétexte pour se mobiliser afin d’éviter une perte de privilèges et avantages liés au parti et organisations de masses.

Les épurés, c’est-à-dire les victimes de la radicalisation, tentent de reprendre la main. La CSC, Syndicat unique affilié au PCT, appuyé par une partie de l’UJSC, déclenche une grève générale de l’ensemble des travailleurs pour réclamer la réhabilitation du Comité Central.

L’angle diplomatique sous Yhomby Opango a consisté à desserrer l’étau autour du Congo, tout en poursuivant la renégociation des contrats pétroliers. Il va plus loin en enclenchant des poursuites devant les juridictions internationales contre la France au sujet du sabotage des mines de potasse de Holle (Tchitondi), un crime de lèse-majesté pour les réseaux mafieux de la Françafrique de Jacques Foccart qui se rapprocheront de Denis Sassou Nguesso.

Autre orientation programmatique, pertinente dans le fond et discutable sur la forme, celle de la reprise du commerce en détail laissé dans les mains des étrangers, notamment ouest-africains (BCM).

Malgré ses bonnes volontés de redressement du Pays, le court mandat de Yhomby Opango a été fortement terni par son radicalisme sanglant dans les procès staliniens organisés suite à l’assassinat du président Marien Ngouabi, l’arrêt de renvoi rédigé sur un rapport d’enquête express et un dossier d’instructions dirigé par les assassins du président Marien Ngouabi ont condamné des pauvres innocents sur des bases subjectives, parce que  »Kongo ».

Le refus d’une grâce présidentielle venait s’ajouter au lourd passif de l’action du président Yhomby Opango.

Le PCT-Éléphant né des craintes sur la matérialisation des recommandations contenues dans la déclaration du 12/12/1975, consolidant leur première victoire par l’assassinat du Commandant Marien Ngouabi s’apprêtait à conquérir définitivement le pouvoir en cette année 1979.

5 février 1979, le coup d’Etat de palais ou le triomphe de la ruse, la conspiration, la médiocrité, l’ethnocentrisme et la gabegie.

Le 27 janvier 1979, le Comité Militaire du Parti se réunit à Brazzaville sous la présidence du Général Jacques Joachim Yhomby -Opango. A l’issue de cette réunion, le Comité Militaire du Parti (CMP) convoque le Comité Central du Parti Congolais du Travail à se réunir en Session Extraordinaire le « 5 février 1979 » en vue de préparer les Assises du prochain Congrès Ordinaire du Parti pour décembre 1979.

Le Commandant Denis Sassou Nguesso active les deux leviers qu’il contrôle, à savoir le parti et la sécurité pour prendre d’assaut la présidence. Une véritable campagne de propagande et d’intoxication est mise en place par les anciens élèves d’URSS, RDA, CUBA et ROUMANIE dans le but de discréditer Yhomby Opango.

L’armée ouvre le bal avec Nicolas Mvouenze comme permanent du PCT-Éléphant dans l’armée, Bokamba Yangouma prend le relais pour le syndicat CSC, les Oba Apounou, Pierre Ngolo, Isidore Mvoumba instrumentalisent les jeunes pour le compte de l’UJSC et Mountou Bayonne se charge des femmes.

Yhomby Opango et ses partisans sont qualifiés d’incarnation de la  »ligne droitière liquidationniste », c’est-à-dire une droite bourgeoise dont le but est de liquider le PCT. Le célèbre et non moins primitif journaliste Ibouloumoukoué est à la manœuvre sur les antennes de la radio.

Yhomby Opango est culpabilisé sur la base de simples commérages de  »champagnard »; l’herbivore Okapi, cadeau du Maréchal Mobutu est comme par enchantement devenu carnivore pour consommer 10 kg de viande par jour; un lit de Conforama, don du président Omar Bongo à madame Marie Noëlle Yhomby fait l’objet d’une présentation ordurière par des primitifs sortis droit des brousses de la Cuvette; les dizaines de chaussures du couple Yhomby Opango présentées comme trophée d’une supposée incurie.

Bref, un mode opératoire stalinien appris dans les écoles des pays de l’Est, 40 ans après nous y sommes toujours au plus grand malheur de notre Peuple.

Conscient et informé de cette conspiration, les lieutenants de la garde prétorienne ont sollicité le feu vert de Yhomby Opango pour  »étouffer le complot dans l’œuf » selon l’expression consacrée. Ils avaient, les hommes et les moyens.

Conscient du bain de sang et des violences qui allaient suivre, le Général Yhomby Opango s’inscrivit dans le registre des présidents Fulbert Youlou, Alphonse Massamba Débat qui ont cédé le pouvoir sans coup férir, parce que n’étant pas animée par une obsession pathologique du pouvoir.

A poto-poto, nous avons eu la vie sauve, la confrontation était imminente.

Il est inadmissible qu’aujourd’hui, après 40 ans de Sassou Nguesso, 40 ans de PCT-Éléphant, que moins de 3% de la population possède 80% des richesses nationales, en ne laissant aux autres que la misère en partage.

Il est tout autant inadmissible qu’aujourd’hui, tous les secteurs de l’enseignement public soient sinistrés ; qu’il soit impossible à des jeunes bacheliers de l’intérieur du pays d’accéder à l’université faute de moyens ; qu’il est devenu impossible à de jeunes diplômés, de construire et de nourrir une famille.

Des personnages comme Sassou Nguesso ont bénéficié dans leur jeunesse (années 1940, 50 et 60), de politiques sociales qu’ils ont sciemment détruits pour garantir la domination de leurs familles et clans.

Il est par ailleurs inadmissible que de très jeunes enfants errent dans nos villes, sans que cela ne préoccupe l’Etat et les adultes censés veiller à leur éducation, à leur bien-être ; d’où la problématique des bébés noirs.

Il est inadmissible d’entendre dire, de constater, de subir le dénuement dans lequel se trouvent nos services de santé.

Il est inadmissible de vivre à côté d’institutions militaires incapables d’assumer pleinement les missions républicaines qui sont les leurs, parce que transformées en levier répressif et tribal au service du pouvoir.

Il est inadmissible, voire criminel, de faire du Congo le pays le plus endetté par tête d’habitants, de faire payer aux futures générations le fardeau de la dette, de vouloir faire payer aux pauvres Congolais un impôt foncier alors que les barons du régime ne payent jamais leurs impôts/taxes, et ont détourné des milliers de milliards de FCFA vers les paradis fiscaux du monde.

Autant de choses inadmissibles qui font que le Congo est aujourd’hui dans un sinistre total, accentué par une administration corrompue, vivifiant et entretenant cet état de fait.

Tout cela, se faisant bien sûr au détriment de la majorité du Peuple, obligé de se réfugier dans la religion.

Cette religion les nourrit, les habite, rythme leur vie, leur désespoir, leur espoir, les obligeant à négocier en permanence avec les anges, et parfois d’autres…Bref, une ambiance de fin de règne.

Pour provoquer cette hécatombe, ils ont privatisé l’Etat.

D’aucuns disent que l’Etat est devenu « une épicerie familiale ». Nous, nous disons que c’est un casino géant, un casino où le jackpot est garanti à tous les coups ; où l’on peut faire gagner les copains, les cousins, les neveux, les enfants, les maîtresses…, tous ceux qui veulent bien se nourrir sur la bête et regarder le reste du Peuple crier famine.

C’est cela le bilan des 40 ans du 5 Février 1979, et rien d’autres.

Nous avons dit.

Front des Jeunes Nationalistes (FJN)

23 thoughts on “Retour sur le 5 Février 1979, un coup d’Etat et une imposture historique

  1. Suivez « le direct » de Télécongo sur la visite de TSHISEKEDI TSHILOMBO à Brazzaville. Un vrai désastre!
    Comment une télévision qui se dit « nationale » peut elle être aussi NULLE ? Y a t-il un seul technicien formé dans cette asile de fous ?

    Depuis Maya-maya jusqu’au Palais du peuple, cette télévision de merde est incapable d’assurer un direct digne de ce nom. Franchement, ils auraient dû faire venir des vrais pros de Kinshasa pour travailler à la place des incompétents de Brazzaville.
    Et puis, pourquoi cette image figée (avec des gardes habillés de rouge) à l’entrée du Palais qui du reste est très mal illuminée ?

    Doit on comprendre qu’à télécongo il n y a pas une seule camera mobile ?

    TELEVISION DE MERDE, PAYS DE MERDE !!!

  2. o la la texte dune longueur incroyable je vais devoir vous enseigner la redaction professionnelle et comment rediger des notes de synthese, faites chier mon vieux

    dabord on dit pseudo socio democrates et non sociaux…. le reste est truffe de mensonges et dincongruites. lhelicoptere de marien ng setait ecrase a 45km de brazzaville (actuel kintele) et non en pleine foret du nord.l’erreur dans cette affaire est que l’anac n’avait pas saisit le bea francais pour mener une enquete.en interne un doigt avait ete poingte sur l’inexperience du pilote il n’avait pas calcule le chargement de lhelico et la vitesse du vent.vs netes pas un expert et quand c’est comme ca on se tait

    ah bon yombhy devient bon il faut aller le dire a mgr batantou celui la meme qui avait exige de yombhy opango qu il lui sorte meme en le chiant la depouille du cardinal. attention a vos ecrits quel age aviez vous en 77?

    IL EST PLUTOT INADMISSIBLE QU IL Y AIT A BRAZZAVILLE DES QUARTIERS ETHNIQUES A BACONGO ET A MAKELEKELE PAR EXEMPLE MALGRE 28 ANS DE MULTIPARTISME LES GENS NE VOTENT QUE POUR B KOLELAS OU GUY B P KOLELAS

    « Autant de choses inadmissibles qui font que le Congo SOIT aujourd’hui dans un sinistre total, accentué par une administration corrompue »…….. sassou ng avait enseigne a la jeunesse congolaise le subjonctif present

    vous m’avez l’air d’aimer denis sassou ng. a sa mort il va vous manquer

    marie noelle yombhy est du pool officiel c’est une lari comme vous

    1. Mais c’est bien grave, ce que vous affirmez sur l’hélico accidenté du président Ngouabi, cher .jean pierre tron ! Comment pouvez vous étaler votre ignorance au yeux du monde entier en y affirmant que l’´helico de marien ngouabi a crashé à 45 km ou kintele? Dejà pour votre incohérence kintele et 45 km ( Ignié) c’est la même chose? J’affirme à très HAUTE VOIX. MARIEN NGOUABI AVAIT FAIT UN ACCIDENT DANS UNE FORET DU NORD, PRECISEMENT A EMBOLI, UN VILLAGE SITUÉ PRES DE MAKOUA, LE19 MARS 1976. LISEZ BIEN LA VIE DE MARIEN NGOUABI OU DEMANDEZ AUX PLUS ANCIENS, ILS VOUS LE DIRONT.

    2. Sacrilege!, mon cher Jean Pierre Tron, Il faut arreter de venir debiter des balivernes a ciel ouvert. Vous qui trouvez que l’autre a ecrit avec beaucoup de faute et n’a pas l’esprti de synthese, est ce que vous vous etes regardes. Vous voyez ce que vous ecrivez. C est tout sauf ce qui doit etre ecrit. FJN a au moins prit le courage de donner sa version des faits et quelle est la votre. Vous meritez une censure avec un discours teinte de tribalisme beat. Le silence aussi est un moyen d’expression. Espece de voyou!

  3. ns aimons denis sassou ng et par lui qu on a eu un plan quiquennal. si yombhy op vs manque docn le pool ne vaut rien.j’ai dit tout a l’heure a mr laurent que lon devrait attraire p lissuba en justice pour dissolution abusive du parlement.cetait un acte de mepris vis a vis des finances publiques. vs allez bientot me dire que lissouba etait bon.pascal lissouba avait bel et bien dissout le parlement congolais, le premeir en plus du congo post conf nat

  4. BA MBOCHI BA BOMI MBOKA !

    Takou est à PENDRE; là ou l’on se bat pour la loi et la loyauté.
    Tant pis pour les faux pacifistes éternels de merde, traitres complaisants à l’infini, plus dangereux que les vipères à tête triangulaire, que l’on voit fréquemment en France…

    21è siècle, Télé-Congo, TOUJOURS Télé-foufou. Mama munu é !!!
    Sokola makako ata mille fois, sabouni ekosila pamba-pamba.

    Le cul-magie avait l’étoile.
    Oh, cube magic avec l’étoile.

    { MONGOUNA NANI-HIIII, MOMBOCHI;
    MOBOMI NANI-HIII, TAKOU NGUE-SOT }

  5. BA MBOCHI BA BOMI MBOKA !

    Takou est à PENDRE; là où l’on se bat pour la loi et la loyauté.
    Tant pis pour les faux pacifistes éternels de merde, traitres complaisants à l’infini, plus dangereux que les vipères à tête triangulaire, que l’on voit fréquemment en France…

    21è siècle, Télé-Congo, TOUJOURS Télé-foufou. Mama munu é !!!
    Sokola makako ata mille fois, sabouni ekosila pamba-pamba.

    Le cul-magie avait l’étoile.
    Oh, cube magic avec l’étoile.

    { MONGOUNA NANI-HIIII, MOMBOCHI;
    MOBOMI NANI-HIII, TAKOU NGUE-SOT }

  6. BA MBOCHI BA BOMI MBOKA !

    Takou est à PENDRE; là où l’on se bat pour la loi et la loyauté.
    Tant pis pour les faux pacifistes éternels de merde, traitres complaisants à l’infini, plus dangereux que les vipères à tête triangulaire, que l’on voit fréquemment en France…

    21è siècle, Télé-Congo, TOUJOURS Télé-foufou. Mama munu é !!!
    Sokola makako ata mille fois, sabouni ekosila pamba-pamba, Loubaki.

    Le cul-magie avait l’étoile.
    Oh, cube magic avec l’étoile.

    { MONGOUNA NANI-HIIII, MOMBOCHI;
    MOBOMI NANI-HIII, TAKOU NGUE-SOT }

  7. AUTRES NULLITES INADMISSIBLES

    « Des personnages comme Sassou Nguesso ont bénéficié dans leur jeunesse (années 1940, 50 et 60), de politiques sociales qu’ils ont sciemment détruits pour garantir la domination de leurs familles et clans ».

    denis sassou ng est ne en 1943 a edou dans la cuvette avant son imputation par pascal lissouba par pure folie comme toujours.donc en aucun cas IL NE POUVAIT ETRE JEUNE EN 1940 un peu de bons sens chers fieffes imbeciles du pool. ensuite le congo nest pas detruit il est la. les viaducs du cfco detruits par les ninjas en 2017 ont tous ete rehabilites sur fonds du gouvernement italien. le congo nest pas detruit.

    « A poto-poto, nous avons eu la vie sauve, la confrontation était imminente » ENTRE QUI ET QUI? deja il n ya avait aucune menace a poto poto en 1977 jetais la aussi.

    L’angle diplomatique sous Yhomby Opango a consisté à desserrer l’étau autour du Congo, tout en poursuivant la renégociation des contrats pétroliers FAUX FAUX ET FAUX

    dabord c’est la maladie que nous avosn repche a un groupe imbecile. les faites relates remontent d’il ya 40ans et vous utilisez le passe compose. yombhy op n’avait aucune politique diplomatique. il n avait effectue qu un petit voyage aux usa a bord dun dc 8 dair afrique peint en rouge car complexe des dc 8 dair zairechers oiseaux vous ne connaissez pas lhistoire du congo et vous foutez le camp dici

    1. Que veut dire « les années 40…etc », eh toi petit Toto Trou Puant, hein?
      Penses-tu que 1943, 44, 45 -> 49 font partie des années 40 ?

      Pure ZOBA YEZA KIHOULOU !

      Repars piner ta vielle maman au trou faisandé qui sent le mayak-ma-cantu, COUILLON.
      Fous-toi et elle le doigt dans l’anus et suce gentiment avec ta langue fourchue.

      SALETÉ !

  8. Jean Pierre, je suis stupéfait par votre ignorance de l’histoire contemporaine de notre pays. Le texte est parfait par l’ongle de rappel des faits historiques. Votre soutien inconditionnel est votre malheur. Sassou et sa bande sont le malheur de notre pays. Le 5 février 1979 était la porte d’entrée du Congo vers la médiocrité et ça dure depuis des décennies. Continuez à soutenir l’indicible.

  9. au front des jeunes tribalistes dabord pourquoi au congo les gens sont regulierement  » jeunes »?

    jespere que vous ferez le meme travail sur les anniversaires de l’upads et du mcddi. au dela de tout vous vous exprimez en tres mauvais francais et vous etes des grands idiots. puisque vous dites etre jeunes il n’est donc pas encore trop tard pour vous inscrire dans une fac. cest grave ca vos ecrits vous faites meme honte au congo franchement

    jugez en vous meme relisez vous un peu, ici vous dites ceci « Pour provoquer cette hécatombe, ils ont privatisé l’Etat » je met un bic rouge sur toute la feuille en diagonale

    comment peut on privatiser un etat des l’instant ou l’etat est une personne morale de droit public sujet de droits et d’obligations.letat a un patrimoine compose de creances et de dettes(bon je sais le terme dette peut sembler vous exciter mais la je suis en comptablite. tout homme a un actif et un passif. il ,ya une typologie de dettes. dettes publique dettes commerciales dettes sociales….

    tous les travaux de l »etat nont qu une seule finalite : le service public. je suis desole cest penible denseigner les hommes du pool. la privatisation est un modele economique qui consiste a transferer la propriete(‘lactif soit ce qui vous appartient) au prive national ou international par contrat ca depend il ya les delegations de services publics les affermages …..l’etat peut accepter de perdre son monopole pour diverses raisons pour permettre au prive de jouer son role. cas des transports aeriens au congo il ya trans air congo a brazzaville il n ya plus que lina congo ou ecair cas des services hoteliers dont la gestion avait ete confiee a un operateur international mbamou palace ou radisson aujourdhui. on ne peut pas privatiser l’etat c’est de la pure idiotie ca.on va vous chasser dune faculte de science economique et de gestion.

    dans la privatisation l’etat reconnait que l’environnement economique a connu des bouleversements passant du regime du monopole a celui de la concurrence et que les methodes de travail doivent s’adapter. auj on parle de strategie digitale. ce nest pas le congo qui l’a invente.

    l’etat n’a pas pour objectif de faire du profit je suis desole donc rien que pour cela les entreprises publiques sont deficitaires or une entreprise a la base est cree pour degager du profit ou un cash flow. letat n’est pas dans une telle optique.letat a de la peine par ex a recourir aux outils du marketing.l’etat n’a pas une vocation commerciale.

    La demarche de letat et celle du prive sont divergentes l’etat recherche un service public accessible a tous le prive met sur le marche des biens et services marchands,recherche un profit maximal sans consideration a la personne de l’acheteur

    l’etat a des institutions presidence senat assemblee) des adminsitrations publiques (primature prefectures ministeres …) des entreprises publiques( snde sne …) des centres de formations(ecoles primaires lycees et colleges universites) l’etat a un patrimoine cependant le meme etat pêrmet aux prives d’etre un acteur de developpement ainsi vous avez donc des ecoles privees des colleges prives des lycees cabinets medicaux des ambulances privees il n ya plus que ceux du chu…. et le tout pour une question d’allegement budgetaire.

    on ne peut pas « privatiser un etat » qui avait signe vos diplomes? je suis desole,la presidence de la rep non on ne peut pas privatiser la police larmee la gendarmerie les douanes non il ya un service regalien letat a des juridictions des cours et tribunaux non mais attendez vous etes des idiots vous qu’avez vous fait comme etudes ? on ne va pas privatiser une cour des comptes quand meme entre nous un peu de bon sens

    entre vous la bas non mais ca ne va pas la tete non. l’etat a des representations diplomatiques.on ne peut pas privatiser un etat.cest l »actif qui est privatise et la il y a un partage de risques.letat a accepte de privatiser la production du ciment au congo avec le groupe nigerain dangotte. il ya des banques privees au congo agrees par la beac

    ô pool tu es idiot voici ta note 00/20 et arretez decrire.

    LETAT MWANA KIZOBA CEST LA COLLECTIVITE COMME DISAIT QUELQUN LETAT EZALI NGAI LETAT EZALI YO LETAT CEST LA COLLECTIVITE ET TOUS LES BIENS DE LETAT SONT DES BIENS PUBLICS DONC DES INDIVISIONS CEST POUR TOUT LE MONDE LA MAIRIE DE BRAZZAVILLE CE BATIMENT APPARTIENT A TOUT LE MONDE YOULOU Y AVAIT ETE OKABANDO Y AVAIT ETE B KOLELAS Y AVAIT ETE HUGUES Y A ETE ET AUJOURDHUI CEST ROGER OKEMBA CE BATIMENT APPARTIENT A TOUT LE MONDE ,A LA COLLECTIVITE ON NE PEUT PAS LE PRIVATISER

    evidemment bombarder a la roquette la mairie de brazzaville est un acte d’agression d’un bien public sanctionne comme tel par une peine demprisonnement d’au moins 20 ans. bon au congo on ne juge pas chaque fois cest la meme antienne « ce n’etait pas les ninjas » « ils nont pas assez darmes pour faire ca » bon on se connait desormais les masques sont tombes

    PRIVATISER LETAT ESPECE DIMBECILE ET DIGNARE CEST PRIVATISER LA NATION LA REPUBLIQUE.

    NON MAIS CA NE VA PAS LA TETE NON

  10. Que dire ?

    « Les révolutionnaires marxistes-léninistes d’hier se sont reconvertis en pseudo sociaux démocrates de circonstances, cependant formatés au totalitarisme tropical, cette clientèle politique hétérogène s’est dotée d’une nouvelle spiritualité à savoir la Franc-maçonnerie tropicale devenue un instrument d’ascension sociale, de promotion, d’insalubrité éthique et d’intrigues. »

     « formatés au totalitarisme tropical » : ce « TROPICAL » et autres qualificatifs « PRIMITIF » lus çà et là : en reprenant à votre compte ces termes qu’affectionnent les Racistes français pour dénigrer les Africains, vous avouez inconsciemment les accepter lorsque ces Racistes les dirigent contre tous les Africains, donc contre vous personnellement.

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    « En revenant chronologiquement sur les évènements… »
     D’accord, on s’attend alors à une énumération datée de chaque événement ! Mais !

    « Les commandes du régime sont aux mains de 5 »camarades » qui devraient préparer le troisième congrès du PCT, congrès de la »Radicalisation ». »
     Une date fut-elle arrêtée pour ce congrès ? Ce dernier eut-il lieu ?

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    « L’Etat-major Spécial Révolutionnaire se compose des Camarades : Marien NGOUABI : Président; Jean-Pierre THISTERE TCHICAYA : Chargé de la Permanence du Parti; Louis-Sylvain NGOMA : Premier Ministre, Chef du Gouvernement, Chargé du Plan; Denis Sassou NGUESSO : Chargé de la Défense et de la Sécurité; Jean-Pierre NGOMBE : Chargé de l’Education, Propagande et Information. »

     Merci. On a donc ici les 5 premières personnalités de l’Etat et du pays, mais qui ne représentent que 3 des 52 ethnies : le Congo et ses tribalismes !

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    « Manifestement le vers était dans le fruit, le complot visant l’assassinat du président Marien Ngouabi était enclenché. »

     Manifestement ? Le terme « Mais » ou « Cependant » aurait été mieux adapté. D’avoir utilisé MANIFESTEMENT à ce niveau, laisse croire que l’annonce ou la démonstration du complot a été faite précédemment.

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    « Le 3 mars 1977, le Président Marien Ngouabi reçoit en audience l’ancien président et son épouse. Ils conclurent ensemble un pacte républicain pour une gestion commune de l’Etat, en vue de l’unité nationale et du redressement économique du Pays. »

     « Ils conclurent ensemble un pacte républicain pour une gestion commune de l’Etat » ?
     Quel est le Congolais ou l‘Etranger, qui pourrait nous apporter la preuve qu’un tel accord a existé entre ces deux personnalités du pays ? Croire une chose, l’écrire et la chanter sur tous les forums, ne suffisent pas à en faire une réalité matérielle.

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    « Quelques jours plus tard, lors d’un meeting populaire organisé par l’URFC, le président Marien Ngouabi s’en prend violemment à l’impérialisme français qu’il tient pour responsable des difficultés économiques du Congo. »

     Oui ! Il aurait été très informatif pour les lecteurs surtout les jeunes, que vous développiez ce point. Je crois qu’il est capital ; c’est ce point qui ouvrit la voie à la cascade d’évènements sanglants qui le suivirent. La France est au cœur des assassinats de Mars 2018. Il y a sur Congo-liberty, un auteur, Rigobert OSSEBI, qui a exposé cette implication française de la façon la plus proche du vécu.

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    « Il y prononce également cette phrase énigmatique : « Lorsque ton pays est sale et manque de paix durable, tu ne peux lui rendre sa propreté et son unité qu’en le lavant avec ton sang». »

     Ceci approuve le précédent soulevé par Rigobert OSSEBI : Marien NGOUABI ne put tenir un tel discours que contre des ennemis qu’il savait hors de sa portée, Français et Italiens liés par le pétrole.

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    « Les membres de l’Etat Major Spécial Révolutionnaire et du futur Comité Militaire du PCT portent une entière responsabilité sur ces assassinats méthodiques, notamment le Commandant Denis Sassou Nguesso chargé de la défense et de la sécurité. »

     Oui, mais n’oubliez jamais l’ennemi qui est visible partout, mais que l’on oublie comme par magie ou par peur de l’offenser : la France.

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    « PCT-Éléphant aux commandes du Congo-Brazzaville ou le début de l’escroquerie politique. »

     L’escroquerie politique du PCT débute dès sa création en 68 ou 69 ! Ce qui entraina la révolte des Diawara, soit des années avant 1977.

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    “Sitôt à la tête du CMP donc de l’Etat, Yhomby Opango entrepris le travail de restructuration de l’appareil étatique pour conjurer la crise et relancer l’économie. Il s’attaqua à la sacro-sainte Trilogie déterminante : Cogestion, Coresponsabilité, Codécision.
    Sous Yhomby Opango, la méritocratie, la rigueur et l’Excellence prennent peu à peu le pas comme normes nouvelles de gouvernance Les épurés, c’est-à-dire les victimes de la radicalisation, tentent de reprendre la main. »

     Epurés ? Des victimes de la radicalisation ? M.Yhomby aurait donc effectué une certaine épuration ? Quand, Où, au sein de quelles administrations, combien de personnes furent concernées, etc ?

     Par ailleurs le terme RADICALISATION renvoie à son premier usage que vous avez fait : au 12 décembre 1975, Marien Ngouabi décida de préparer un congrès de la radicalisation du parti. Etes-vous donc entrain de dire que Yhomby réalisa la radicalisation souhaitée par Marien Ngouabi, puisque ce dernier visiblement, à vous lire, n’eut pas le temps de le matérialiser lui-même ?

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    « La CSC, Syndicat unique affilié au PCT, appuyé par une partie de l’UJSC, déclenche une grève générale de l’ensemble des travailleurs pour réclamer la réhabilitation du Comité Central. »

     La CSC : affilié au PCT ? C’est un peu faible. La CSC avait ou a toujours avec le PCT une relation de filiation naturelle et directe.
     Surtout : cette grève : ce fut quand ? Quel fut son impact sur la présidence de M.Yhomby ? Poussa-t-elle celui-ci à une réaction violente ou au contraire à des concessions ? En quoi fut-elle, éventuellement, à l’origine de la résignation/démission de M. Yhomby en Fevrier 1979 ?

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    « L’angle diplomatique sous Yhomby Opango a consisté à desserrer l’étau autour du Congo »

     Quel étau ? A quel niveau de votre exposé, aviez-vous décrit un supposé étau diplomatique qui aurait étouffé le Congo en ces années-là ?

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    « tout en poursuivant la renégociation des contrats pétroliers. »

     Elément fondamental de la vie de l’Etat congolais : il conviendrait de détailler ce point. DATE, LITIGE, GAISN OBTENUS ou NON, etc.

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    « Il va plus loin en enclenchant des poursuites devant les juridictions internationales contre la France au sujet du sabotage des mines de potasse de Holle (Tchitondi), un crime de lèse-majesté pour les réseaux mafieux de la Françafrique de Jacques Foccart qui se rapprocheront de Denis Sassou Nguesso. »

     Voilà, il ne faut jamais l’oublier celle-là : elle est omniprésente, marionnettiste silencieuse.
     Puis ces poursuites au sujet de la potasse : parlez-nous en en long et en large. Soyez factuels. Nommez les acteurs, les enjeux et précisez les dates. C’est cela le mal du Congo : un président va au feu contre des vandales impénitents ; et dans son dos, un autre Congolais négocie pour livrer aux mêmes pilleurs encore plus de biens congolais à s’accaparer.

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    « Autre orientation programmatique, pertinente dans le fond et discutable sur la forme, celle de la reprise du commerce en détail laissé dans les mains des étrangers, notamment ouest-africains (BCM). »

     N’oubliez pas que vous racontez, certes de votre point de vue, l’histoire de tout le pays. Tachez donc de ne pas omettre que des personnes qui vous lisent ne savent pas spécialement ce que fut « BCM ». De façon générale, lorsqu’on emploie un sigle (terme abrégé, acronyme), on se doit de l’expliciter.

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    « Yhomby Opango a été fortement terni par son radicalisme sanglant dans les procès staliniens organisés suite à l’assassinat du président Marien Ngouabi… des pauvres innocents sur des bases subjectives, parce que »Kongo ».

     Oui, beaucoup de ces innocents furent des Laris-Kongo-Sundi. Mais n’oubliez pas les ressortissants d’autres ethnies qui y périrent aussi. Parlez donc aux Congolais en tant que Congolais et non pas comme Kongo : oubliez que vous êtes d’une ethnie, ouvrez-vous aux autres ethnies du pays.

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    « Le Commandant Denis Sassou Nguesso active les deux leviers qu’il contrôle, à savoir le parti et la sécurité pour prendre d’assaut la présidence. »

     Oui, mais il est déjà Colonel en février 1979. Et ce petit détail a toute son importance. Puisque, M.Sassou et Yhomby se nommèrent eux-mêmes Colonel et Général à la suite de l’assassinat de M. Marien Ngouabi. Cela fut indécent, d’autant que M.Sassou était chargé, de par ses fonctions, de veiller sur la sécurité du Chef de l’Etat. Il aurait donc pu s’interdire de se donner du galon.

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    « Une véritable campagne de propagande et d’intoxication est mise en place par les anciens élèves d’URSS, RDA, CUBA et ROUMANIE dans le but de discréditer Yhomby Opango. »

     Bof ! Un occidentalisme pédant ! L’URSS n’a pas formé que ce que vous essayez de nous présenter comme des cancres ! Ils ont envoyé les premirs un humain dans l’espace ! Ailleurs, et malgré l’embargo américain et européen, CUBA est dans la science médicale aussi bien avancée que les USA ! Puis la France, à suivre les Gilets jaunes, on réalise ce que valent réellement les études dans ce pays !

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    « Conscient et informé de cette conspiration, les lieutenants de la garde prétorienne ont sollicité le feu vert de Yhomby Opango pour »étouffer le complot dans l’œuf » selon l’expression consacrée. Ils avaient, les hommes et les moyens. »

     Qu’entendez-vous par là ? Livrez donc des détails informatifs ; c’est l’histoire de notre pays. Parlez-en librement, au lieu de balancer des formules mystérieuses.

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    « le Général Yhomby Opango s’inscrivit dans le registre des présidents Fulbert Youlou, Alphonse Massamba Débat qui ont cédé le pouvoir sans coup férir, parce que n’étant pas animée par une obsession pathologique du pouvoir. »

     Parlez en tant que Congolais, et non en Ressortissant d’une ethnie ! Pour info, L’Abbé Youlou supplia le Général de Gaulle que, ce dernier autorisa l’officier français commandant des troupes françaises à Brazzaville, de réprimer par les armes les manifestants venus en grande majorité de Bacongo et Makélékélé.

    Sauf erreur, c’est à ce sujet que le Sergent Mamoye, dans son témoignage à la Conférence nationale de 1991, dira ceci à peu près : NOUS ETIONS EN FACE A FACE, LES FRANcAIS POINTAIENT LEURS ARMES SUR NOUS, NOUS POINTIONS NOS ARMES SUR EUX. NOUS ATTENDIONS.

     Quant au président Massamba Débat, le livre sur le Génocide des Laris, nous décrit un homme qui a commis des pires atrocités sur les Laris. D’ailleurs, il céda le pouvoir en 1968 non par pur pacifisme, mais parce que ses deux chefs d’armées, M. Ange Diawara (commandant la Garde Civile) et M. Moundzabakani (Chef d’Etat-major, sauf erreur) étaient déjà passés, avec armes et troupes, dans le camp Ngouabi.

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    « Il est inadmissible qu’aujourd’hui, après 40 ans de Sassou Nguesso, 40 ans de PCT-Éléphant, que moins de 3% de la population possède 80% des richesses nationales, en ne laissant aux autres que la misère en partage. »

     Je crois qu’ils ne sont pas plus de 1% de la population, soit avec familles 50.000 personnes au grand max ? Mais bon, passons !

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    « Il est inadmissible de vivre à côté d’institutions militaires incapables d’assumer pleinement les missions républicaines qui sont les leurs, parce que transformées en levier répressif et tribal au service du pouvoir. »

     L’armée a été tribalisée dès les débuts de la république. Elle est le reflet du Congo. Elle est surtout le reflet de la constitution du pays, un copier-coller de la française ; fondée sur un Etat qui accorde tous les pouvoirs du pays et toutes les immunités à une seule personne et donc au clan qu’il se choisit.

    ***
    « Il est inadmissible, voire criminel… de vouloir faire payer aux pauvres Congolais un impôt foncier alors que les barons du régime ne payent jamais leurs impôts/taxes, et ont détourné des milliers de milliards de FCFA vers les paradis fiscaux du monde. »

     Oui, d’autant que les recettes attendues ne sont que 3 à 5(maxi 10) milliards CFA à l’année. Ce n’est pas grand-chose pour un Etat, mais c’est du bon argent pour des personnes habituées à vivre au détriment de la Collectivité.

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    « Tout cela, se faisant bien sûr au détriment de la majorité du Peuple, obligé de se réfugier dans la religion. »

     Là, vous m’avez fait rire ! Du coup, je me demande si c’est par cynisme(il rit jaune et s’en fout) ou par volonté pensée d’annihiler une ethnie que M. Sassou a accordé au Qatar de faire de Linzolo(Pool), le plus grand centre musulman d’Afrique francophone !

    ***
    « Cette religion les nourrit, les habite, rythme leur vie, leur désespoir, leur espoir, les obligeant à négocier en permanence avec les anges, et parfois d’autres…Bref, une ambiance de fin de règne. »

     Non par contre la foi est espérance, elle est promesse de renouveau. Le soleil apparaitra forcément un jour. Gardons la foi.

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    « D’aucuns disent que l’Etat est devenu « une épicerie familiale ». Nous, nous disons que c’est un casino géant. »

     Un casino que M.Sassou a tout même réussi à mettre en faillite trois en 35 ans de pouvoir absolu : PAS(1987), PPTE(2010), puis de nouveau FMI(2018/19).

    « Pour provoquer cette hécatombe, ils ont privatisé l’Etat. »

     Oui, l’Etat congolais a été privatisé. Mais il a toujours été privatisé, ce dès les premiers jours de l’indépendance : l’Etat, ses privilèges, ses passe-droits, ses finances, ses droits de nommer aux emplois publics, comme celui de révoquer, ses droits de soigner ou d’éduquer, ses droit de vie et de mort, ont été, sont et seront toujours la propriété de celui qui est dit président, et avec lui l’oligarchie des 1 ou 3% qu’il draine derrière lui. Cette tare est inscrite dans ls structure de l’Etat, elle est amplifiée par la Constitution d’inspiration gaullienne. Oui, c’est vrai, M.Sassou a fait exploser tous les stats de l’appropriation de l’Etat.

     « L’Etat privatisé » renvoie ainsi, non pas à une conception juridique, mais à une matérialité sociale, un vécu, subi.

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    « Oui, c’est cela le bilan des 40 ans du 5 Février 1979 »
     MAIS C’EST AUSSI LE BILAN DE BIEN D’AUTRES FACTEURS PROPRES AU CONGO OU EXTERIEURS A LUI, AINSI QUE DE BIEN DE DIVERS ACTEURS, DONT UN PEUPLE QUI ACCEPTE TROP FACILEMENT SON SORT.

    L’Ami, je pense ceci :
    UN HOMME, FUT-IL LE MAL INCARNE(et je ne le crois pas), NE PEUT ETRE A LUI SEUL RESPONSABLE DU DESASTRE QUI FRAPPE DES MILLIONS D’AMES.

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    « Nous avons dit » : merci pour l’article.

    « Front des Jeunes Nationalistes (FJN) » : oui, au fait si vous étiez un témoin conscient des évènements de 1977, comment se fait-il alors que vous soyez resté jeune 40 ans plus tard ?
     C’est juste pour rire!

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    Le Papou, L’Iconoclaste
    Ancien de Facebook.

  11. pas mal comme reaction cher papou. il fallait au moins les blamer de facon formelle que l’on ne peut pas privatiser un etat cest une absurdite ca. l’unique nature de l’etat est juridique il nen a pas d’autres

    pour revenir au cmp

    s’ils ont vraiment ete jeunes nous savons qu a cette epoque le congo etait dote de cinq seuls supports media

    la voix de la revolution congolaise soit radio congo la television nationale etumba mweti et la semaine africaine donc l’information etait raffinee.quelles ont donc ete leurs sources dinformations?

    ils disent ce qui suit » Il est inadmissible qu’aujourd’hui, après 40 ans de Sassou Nguesso, 40 ans de PCT-Éléphant, que moins de 3% de la population possède 80% des richesses nationales, en ne laissant aux autres que la misère en partage »

    cette affirmation contredit celle de la bad qui estime que  » La croissance du PIB réel était estimée à 2,0 %, après deux années successives de contraction du PIB réel en 2016 (–2,8 %) et 2017 (–3,1 %), ce qui est encourageant mais insuffisant pour réduire le taux de pauvreté de 40 %. »

    donc selon la bad 40% de congolais sont pauvres. question personnelle a la bad? ou sont localises ces 40% de pauvres? je pense que ce bureau dispose des statistiques sectorielles et departementales

    mr papou

    le malaise au sein du cmp avait demarre suite aux constats faits par les membres du cmp a commencer par le capitaine pierre anga ancien chef de la garde presidentielle de marien ng une sorte de nianga mbouala de lepoque selon lesquels que DENIS SASSOU NG ETAIT GARDE PAR DES SOLDATS CUBAINS ET NON PAR DES CONGOLAIS ET IL ETAIT LE SEUL A ETRE DANS CETTE SITUATION

    ces oiseaux du pool au plumage noir ne le savent pas. cetait la le point de depart du malaise interne au sein du cmp

    denis sassou ng a l’epoque 1 er vice de la rep avait dessaisit ouesso du monopole de hub logistique dhydro congo au profit d’oyo. entretemps yombhy op affretait un quadrimoteur de type dc 4 de brazzaville vers owando pour les besoins de sa residence.il avait ete reproche a yombhy op l’abus des biens sociaux. ce dc 4 appartenait a la compagnie aerienne aero service il avait je pense ete demantele.le demantelement des avions est une pratique courante dans laviation civile. jai donne ce detail compte tenu du niveau eleve de lidiotie nationale. il existe des manuels de l’oaci (nations unies) en matiere de demantelement des aeronefs

    enfin la phrase que pierre anga avait lache en plein conseil des ministres debut de citation

    « chers camarades nous savons tous comment le commandant marien ng est mort quel est ce chien de la revolution qui continue a etre recherche? » fin de citation

    pierre anga sentait l’etau se resserer sur lui. quoique l’on dise il avait ete responsable de la securite de marien ng. il vivait donc des remords un deuil.pierre anga avait claque la porte du cmp

    1986 sa residence situee au quartier och moungali entre lasile et la residence de mr j p thystere tchicaya derreire le chu pour etre plus precis ou actuellement de l’autre cote du boulevard avec l’hotel du boulevard je pense il est tout rouge pierre anga donc vivait dans le sillage de l’ombre de l’asile…de nganga edouard on passait par la.cette residence avait ete saccagee par les militaires tous coiffes de berets rouges. c’est officiel.

    1987 il entre en rebellion contre sassou ng en compagnie de sa fille ainee une sorte de pionniere pour les edith nguesso claudia sassou ng les lydies kolelas cest pareil.ces filles defendent leur pere.

    1988 j m m mokoko leve la main droite devant sassou jurant qu il pouvait le tuer lui pierre anga. il fut donc promu chef d’etat major de larmee populaire nationale. sept 1988 appuye par francois mitterand pierre anga fut donc abattut dans le massif forestier dikonongo par le colonel jean marie michel mokoko. il avait meme lu par la suite a la tele un communique tres mechant ce jean marie michel mokoko

    en resume

    denis sassou ng etait garde par des cubains a la difference des membres du cmp
    yombhy opango utilisait des macons et ouvriers des facs pour des besoins prives
    denis sassou ng avait transfere le hub logistique d’hydro congo pour la zone nord de ouesso vers oyo
    pierre anga avait pose une fausse question sans reponse au conseil des ministres
    les statistiques sur le taux de pauvrete au congo annoncees par les « jeunes » sont inexactes.
    le colonel j m mokoko avait donne des garanties a sassou ng qu il [lui j m m mokoko] avait les aptitudes a assassiner pierre anga

    AU DELA DE TOUT CE TEXTE EST FOU TRUFFE DE MENSONGES ET DINCOHERENCES

  12. Cher Monsieur j p tron,
    Merci et dont acte.
    Pourquoi n’écririez-vous pas votre version de cette partie de l’histoire nationale ?
    Vous semblez avoir une excellente mémoire, ce qui n’est pas mauvais pour du travail d’historien.

  13. Les NORDISTES ont tué Marien NGOUABI et l’ont « immortalisé ». Dans le complot, la traitrise, le mensonge et la violence, le Mbochi en particulier et le nordiste en général, n’a pas d’égal au Congo.

    Bakongo ba bomaki Marien té. Par contre, BA MBOCHI BA BOMI MBOKA !!!

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