Congo-Brazzaville : Dialogue ou pas dialogue national inclusif ?

Telle est la question qui agite le landerneau politique congolais que ce soit la diaspora ou la classe politique locale.

Chacun y va de sa posture, tentant d’expliquer le bien fondé de sa démarche du pourquoi il faut dialoguer ou ne pas dialoguer avec le pouvoir illégitime en place. Pendant ce temps certains esprits malins essaient de soutirer des sous au dictateur Sassou en quête de respectabilité, afin que ce dernier apparaisse comme un homme politique fréquentable aux yeux de la communauté internationale.

Comment courir le monde entier en faisant partie de tous les forums de paix, au frais du contribuable congolais, alors que dans le même temps l’on est incapable soi-même de maintenir un semblant de paix et de sérénité dans son propre pays ? Là est l’équation épineuse qui turlupine le cerveau de notre VRP congolais.

Au-delà des attitudes des uns et des autres, de nos ego, de ceux qui ont une certaine aura dans le monde, il n’en demeure pas moins que c’est le peuple congolais qui, dans son entièreté, souffre de cette situation politique déplorable à tous égards. Jusqu’à quand allons-nous continuer à nous regarder en chiens de faïence ? Car pendant ce temps Sassou déroule son programme tribaliste non rassembleur au grand désarroi des Congolais.

Il n’y aura pas de développement de notre pays sans une paix durable et sans un État de droit qui garantit les libertés individuelles fondamentales.

Chacun de nous y va de ses revendications sans proposer de véritables solutions de sortie de crise. Sassou est certes infréquentable, il n’en demeure pas moins qu’il a la légitimité aux yeux de ses pairs et des occidentaux qui s’empressent tels des charognards de venir dépecer le peu qui reste du Congo. Nous n’allons pas lui laisser les mains libres pour continuer à saccager notre pays.

Le temps n’est-il pas venu de faire la paix des braves avec la libération de tous les prisonniers politiques, le rétablissement du processus démocratique amorcé en 1991 et enfin le départ du pouvoir de Sassou qui serait pour ce dernier une porte honorable de sortie nonobstant ses crimes économiques et humains. Ce dernier doit comprendre qu’il a échoué dans la gestion de notre pays dont il n’a jamais pu percevoir la quintessence. Se maintenir en dépit du bon sens au pouvoir depuis plus de 34 ans c’est insulter les 4 millions de citoyens congolais dans leur capacité à faire émerger un leader en mesure de mener le peuple vers l’espérance tant attendu d’une vie meilleure.

Il est temps de discuter non pas en catimini, mais devant la représentation nationale, afin que tous ensemble nous puissions évoquer des solutions viables politiquement. La politique n’est-elle pas l’art du compromis et non de la compromission ? Cette démarche devra se faire sans humilier les uns ou les autres. Mais quoi qu’il en soit la justice devra réparer ce qui a été détruit par des comportements délictueux.

De la discussion jaillit la lumière disait l’autre. Sommes-nous devenus deux peuples congolais irréconciliables ? Je ne puis me résoudre à cette solution car le Congo est un et indivisible.

L’accaparement du pouvoir par la force des armes, la répression a déjà montré ses limites dans le monde. Un peuple qui a soif de liberté est comme un volcan prêt à exploser. Tout le tissu social congolais est dégradé et l’on fait semblant de diriger un pays qui n’existe qu’à travers ses frontières. Le seul exploit que réussit à faire ce gouvernement bancal, c’est de payer les salaires des fonctionnaires, comme si cela était le seul projet de société que porte notre tyran de Président atteint par le syndrome de Peter.

Il est temps qu’émerge une nouvelle classe dirigeante issue des urnes car notre pays regorge de nombreux experts ou talents et ceci dans tous les domaines. Reconstruire, rebâtir le Congo est la tâche la plus ardue qui nous attend.

Le statut quo c’est la mort. Le changement c’est la vie et pour changer il faut changer l’image. Jusqu’à ce jour, les stratégies de rejet de l’autre n’ont pas porté de fruit car chacun prêchant pour sa chapelle afin d’être en pôle position au moment du partage du gâteau. Ainsi, ce sera la perpétuation du système actuel de prédation des richesses nationales. Les anciens pauvres voudront à leur tour devenir les nouveaux riches d’aujourd’hui, oubliant au passage avoir été mandatés par le peuple congolais pour assurer le développement du pays et le bien être de ses habitants. Ceci rejoignant hélas les propos de Georges Clemenceau : « En politique on succède à des imbéciles et on est remplacé par des incapables ».

A juste titre nous devrions craindre de nous faire rouler dans la farine comme a pour habitude de le faire notre timonier. Le Congo n’appartient pas plus à un clan qu’à un autre. La politique des coups de menton doit céder le pas devant la souffrance du peuple congolais dont les dirigeants préfèrent l’onction des occidentaux que celle de leur peuple.

L’heure de la réconciliation nationale a sonné. Le rassemblement de tous les Congolais est une nécessité pour la bonne gouvernance de notre pays. S’y dérober pour des convenances personnelles aux dépend de l’intérêt national serait une faute politique que conjointement nous assumerons.

En aucun, cas le dialogue national inclusif que nous appelons de tous nos vœux ne pourrait être perçu comme une marque de faiblesse devant un pouvoir en place qui n’use que de la force pour se maintenir. Ce dernier consistera à trouver des alternatives solides que même le diable ne pourrait défaire pour un avenir radieux du Congo, notre très cher et beau pays.

Les contours de ce dialogue national inclusif sont connus de tous. À nous de les faire avancer afin d’y parvenir dans notre sagesse bantou. Notre jeunesse nous regarde car nous sommes cette génération qui doit mettre fin à ce clivage Nord-Sud dans notre pays pour le bien de tous les Congolais. La diplomatie est la dernière solution avant la guerre. Nous sommes à présent au pied du mur.

Allons-nous abandonner la terre de nos ancêtres à ceux qui s’en sont accaparés par les armes ? Tel est notre dilemme en tant que démocrate. Notre responsabilité n’est pas de jouer les médecins après la mort car nous aurons échoué collectivement.

C’est Martin Luther King qui disait : « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots ».

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

13 thoughts on “Congo-Brazzaville : Dialogue ou pas dialogue national inclusif ?

  1. Un putschiste sait-il ce que veut dire un dialogue véritable? Lui qui est habitué à la violence et fraude? Sassou n’a pas suffisamment de culture pour dialoguer.

    Un putschiste a en permanence la corde au cou. Il tremble tout le temps de peur. Perdre le pouvoir illégitime qu’il occupe revient à finir au bout d’une corde. Il est moralement et intellectuellement un intrus. Il vit en exile intérieur.

    Un dialogue? Il est trop tard!

  2. QUATRE IDIOTS… AU BRISTOL

    LA DIASPOURRI MENDIANTE

    Quel n’a été mon désarroi de voir la photo de quatre « VIEUX CONS » de la diaspora Congolaise de Paris, tranquillement attablés au Bristol, dégustant quelques nectars divers en attendant d’être reçus par le VIEUX NDZOKO sanguinaire.
    Mon désarroi a atteint son comble en voyant que parmi les QUATRE CAFARDS se trouvait aussi un certain VIEUX LION fatigué et en manque d’inspiration après avoir usé sa plume, pourtant l’une des plus acerbes sur les réseaux sociaux contre SATAN NGUESSO sur son site : DEMAIN LE NOUVEAU CONGO.
    Tandis que des hommes intègres et de conviction comme Marc MAPINGOU et Alain MABANCKOU…. déclinaient toute idée même d’un dialogue avec le monstre de l’Alima, voila LES OPPOSANTS DU VENTRE, traduisez OPPOSANTS YA NDZALA, déjà étalés par terre comme des carpettes au Bristol, bave aux lèvres dans l’espoir de recevoir quelques miettes sanguinolentes des festins macabres de TAKOU NGUESSO depuis plus de 40 ans sur environ plus d’un million de morts Congolais à son actif.
    LE LION DE MATAKOU ou LE LION DE MAKATA devrait penser à débaptiser son site et l’appeler :
    – DEMAIN LE VEAU CONGO en sauce bourguignonne
    ou :
    – DEMAIN LE TOMBEAU CONGO
    Et le LION DE MATOUFFI devrait aussi changer sa ligne éditoriale et écrire des LOUANGES à Takou NGUESSO dont il n’attendait en fait que des occasions d’en recevoir quelques billets de banques même entachés des millions de litre de sang des Congolais.
    Conseil d’un nouveau slogan pour le site du LION DE MA CACA :
    – » BUVONS LA HONTE, POURVU QU’ON RECOIVE LES BILLETS DE BANQUE, MEME EN LES EXTIRPANT DES CADAVRES EN PUTREFACTION DES CHARNIERS DU DICTATUEUR TAKOU NGUESSO »
    Et si ce vieil écrivaillon se débaptisait plutôt
    MORPION DE MATAKOU ce serait plus approprié non ?

  3. Quand on veut un dialogue, on le prépare de part et d’autre
    Si on ne veut pas dialoguer, on fait clairement et franchement la guerre.
    S’il n’y a pas de vainqueurs le pouvoir démissionne ou l’opposition négocie.

    Il est temps d’arrêter ensemble cette intolérable et inutile souffrance imposée à un peuple qui n’a rien demandé que de vaquer librement à ses occupations pour gagner son pain à la sueur de son front.

    Les écritures disent : “Il y a un temps pour chaque chose et chaque chose en son temps”
    Pour un vrai dialogue, chaque partie doit faire son bout de chemin pour se rencontrer en terrain neutre. Quand deux personnes veulent sincèrement mettre fin à un conflit, la sagesse recommande de remplir un minimum de conditions :

    1. Désigner un ou des facilitateurs de chaque côté, chargés de préparer le terrain.
    2. Les facilitateurs tombent d’accord sur un médiateur suffisamment neutre et objectif, accepté de façon consensuelle par les deux parties.
    3. Facilitateurs et médiateur désignent un terrain neutre (Pas la maison de l’un des belligérants, ni un terrain où l’une des parties se sentirait en insécurité)
    4. Les facilitateurs recueillent auprès des belligérants un nombre fixé de points que chaque partie souhaite aborder.
    5. Facilitateurs et médiateur se retrouvent et dressent un plan de travail….
    6. Etc.

    On voit bien qu’il s’agit d’un vrai travail de fourmis qu’on ne peut bâcler dans un salon d’hôtel, fût-il l’un des plus prestigieux de Paris.

    Honnêtement, je n’arrive pas à croire que Sassou, un homme « rompu » à la négociation internationale (lui-même médiateur dans plusieurs conflits internationaux comme en Lybie) ait débarqué à Paris afin de débaucher quelques représentants de la diaspora afin d’aller les brandir à Brazza et au FMI comme trophée dans un dialogue pipé. En conflit avec Lissouba sur la tenue des élections de juillet 1997, Sassou avait bien obtenu l’arrivée d’un haut représentant de l’ONU en la personne de Frederico Sottomayor comme médiateur. Ce dernier avait travaillé selon les canevas onusiens et abouti à un accord. Même si l’accord vola en éclat le 5 juin, il y avait eu un véritable dialogue en amont. Si la démarche qui lui est prêtée est confirmée, ce serait soit mauvaise foi patente, soit naïveté inexcusable.

    Notre problème demeure anthropologique : une incapacité chronique de respecter les accords conclus, une tendance pathologique à violer le moindre arrangement, d’où le climat de suspicion permanente et généralisée. Le seul moment de grand consensus où tout le monde avait réussi à se dépasser, à commencer par Sassou, fut la Conférence Nationale Souveraine. Sommes-nous incapables de cet exploit aujourd’hui ?

    Le bilan de Sassou est public. Même un enfant de 5 ans peut se faire une idée sur les responsabilités des uns et des autres. Mais une fois qu’on a dit cela, que fait-on ? On attend sa mort prochaine pour transformer le Congo en Armageddon ou on profite de son vivant pour le confronter respectueusement à sa responsabilité sans brandir de décapitation, de perpétuité, de chasse aux mbochis-nordistes etc. Depuis que certains chantent ce refrain de la haine et de la vengeance totale, qu’est-ce qui a changé au Congo ?

    Nous avons ensemble le devoir d’essayer, de tout essayer. Si l’on échoue, ce ne sera au moins pas faute d’avoir remis mille fois le métier sur l’ouvrage.

    Sassou qui a refusé de sortir par la grande porte en 2016 malgré toutes les assurances qui lui avaient apparemment été données est un homme cerné de toutes parts. Il est entre le marteau du peuple et l’enclume de la crise. Ce n’est pas en roulant ses adversaires dans la farine qu’il s’en sortira. Un vrai général cerné par l’ennemi ne lance pas son armée au suicide. Même le grand général d’Hitler, Friedrich Paulus encerclé et battu à Stalingrad se rendit à la tête des 300 mille soldats qui lui restaient. Il ne fut pas exécuté par les Russes malgré la souffrance qu’il leur infligea. Dans un monde civilisé, on n’abat pas les prisonniers de guerre.

    Sassou a mené ce qu’on appelle la bataille de trop et son adversaire, la crise économico-financière est plus coriace qu’il ne le pensait. Je l’ai dit et redit, on peut corrompre toute la classe politique, mais on ne peut pas corrompre une crise de cette ampleur. A défaut de capituler comme les grands hommes, une vraie négociation peut encore sauver la face et épargner des souffrances inutiles au peuple. Mais ça, c’est une affaire de confiance entre un dirigeant et sans peuple et la confiance ne s’impose pas, elle se mérite.

  4. Franchement et entre nous que cherchons nous dans ce dialogue qui n’est pas une mauvaise chose en soi. Dans ce pays, en 1977, nous avions eu un Président qui a été assassiné en plein jour suivi d’autres assassinats crapuleux par une bande de voyous bien connus et qui n’ont jamais été inquiétés le moindre du monde et qui continuent à narquer les Congolais chaque jour.
    En 1990 il y a eu une Conférence Nationale Souveraine qui a fait après des longs débats et d’une manière consensuelle des recommandations jamais appliquées ou qui n’ont pu l’être parce que le premier Président élu démocratiquement dans ce pays a été non seulement caporalisé par les siens et anciens du PCT parce que c’était leur tours, mais aussi parce qu’il a dirigé debout comme promis par Sassou et Elf Congo devenu entretemps Total bras droit de la Françafrique dans les pays de la CEMAC producteur de l’or noir.
    En Juin 1997, la France a replacé par un coup d’état sanglant ceux qui étaient mieux indiqués pour gérer ses intérêts en l’occurrence Sassou et ses amis. S’en est suivi une dictature implacable depuis aidée en cela par les propagandistes du PCT. Entretemps il y a eu les monologues de Sibiti et de Diata dont les acteurs se retrouvent aujourd’hui à partager le pouvoir en dehors de ceux qui avaient vite compris qu’il y avait trop de fourbes parmi eux et les ont abandonnés pour continuer à se battre pour une vraie démocratie.

    Les élections non gagnées de 2016 et proclamées à coup de canons avec à l’appui l’extermination programmée des populations du Pool comme en 1998 avec le fameux plan MOUEBARA, plus précisément ceux de l’habitat Laris encore vivace ont conduit le vainqueur de celle ci en prison et condamné à 20 ans d’emprisonnement. Il s’agit du Général Jean Marie Michel Mokoko alias 3JM.

    Aussi les partisans du dialogue avec le diable qui a toujours su tirer l’épingle du jeu de son côté,je vous conseillerai de faire comme les Congolais de Léopoldville à l’époque où ils négociaient leur indépendance avec leurs noko le Belges.Ils avaient exigé qu’ils ne peuvent parler de cette négociation sans la présence de LUMUMBA qui était en prison et ils ont tenu bons jusqu’à ce que LUMUMBA soit libéré pour venir assister à la conférence. Notre combat aujourd’hui, c’est celui de l’indépendance de notre pays le Congo dirigé par un gouverneur non élu au service de la France.
    Jean Marie Michel Mokoko a été plébiscité du nord au sud et a gagné les élections. Beaucoup de ses lieutenants du nord au sud avec un seul Makoua comme lui dans le lot des prisonniers à peine libérés ont été jetés en prison pour délit d’avoir gagné les élections.
    JE DEMANDERAI DONC AUX PARTANTS DE LA NÉGOCIATION AVEC LE DIABLE D’ EXIGER COMME PREMIÈRE CONDITION LA LIBÉRALISATION DU VAINQUEUR DE L’ ÉLECTION DE 2016. ET POUR DEUXIÈME CONDITION LE RETOUR A LA CONSTITUTION DE 1992 AVEC ÉLECTION A DEUX TOURS.
    Si le diable accepte ces deux conditions c’est qu’il veut vraiment négocier pour le bien du Congo sinon ce serait une unième escroquerie à laquelle le diable nous a habitué.
    DANS CE CAS IL DOIT PARTIR.

  5. Monsieur Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA, votre article est plein de contradictions, d’hypocrisie.vous parlez du dialogue national inclusif , de l’heure de la réconciliation nationale qui a sonné.Sur quels critères vous vous basez pour parler  » de l’heure de la réconciliation nationale qui a sonné? « .
    Vous racontez de n’importe quoi et vous defendez la dictature Sassou Nguesso. « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots ». Bien que cela soit juste, il est important de dire cela avant tout à Sassou Nguesso et sa clique, et de le faire comprendre premièrement cela au pouvoir illégitime du Congo qui tient au clivage Nord-Sud au Congo. La division des Congolais incombe avant tout à Sassou Nguesso et sa bande qui continuent à narquer les Congolais jour pour jour et prendre les Mbochis en otage aprés avoir pris hier presque également tous les nordistes en otage. Il faut s’adresser d’abord à Sassou Nguesso et ses complices qui, en 1977 avait lancé après avoir assassinné le présiden Ngouabi, le fameux slogan « Bacongo Ba Bomi Ngouabi » qui avait accentué la haine des nordistes à l’égard des Sudistes, en un mot des Bacongo, Laris. Les leadeurs comme le général Mokoko , Okombi Salisa et autres l’ont assez bien compris et ont pris leurs distances contre la dérive tribaliste pronnée par Sassou Nguesso. Il faut parler avec Sassou et sa clique qui ne finissent pas avec les génocides, les massacres, les arresations arbirtraires au Congo. Vous écrivez: « Le seul exploit que réussit à faire ce gouvernement bancal, c’est de payer les salaires des fonctionnaires ».Attendons nous. Vous oubliez les arriérés de salaires? Avez vous compté le nombre de mois qu sont encore impayés? Et vous oubliez les retraites, les étudiants qui n’ont pas du tout droit aux payements depuis des mois entiers. En ce qui concerne le dialogue. Le Dialogue est en tout cas impossible avec le tyran et récidiviste Sassou-NGuesso.Combiens de Dialogues infructieux allons nous avoir encore au Congo avec Sassou Nguesso? Combien de génocides, de massacres, crimes contre l’humanité allons nous avoir au Congo pour comprendre que Sassou Nguesso et sa clique son le véritable obstacle pour la paix, l’unité nationale, le développement et la démocratie? Le peuple Congolais exige „le départ sans condition de Sassou Nguesso avec tout son système“ Ceux qui ne cessent de réclamer l’alternance dans le dialogue sans prendre en compte, les génocides,massacres,l’esclavage,la misère dont sont victimes de la part du tyran Sassou Nguesso et son clan sont des traitres à la nation“. Le Congo ne va plus continuer de se laisser gouverner par un des plus grand dictataeur, criminel, terroriste et sa bande comme si de rien n’était. On va de pardonner le génocidaire Sassou-Nguesso et sa clique, qui ne cessent de terroriser , de faire souffrir sans cesse le peuple congolais. Il n’ y aura plus de lavement de mains au Congo.Il est temps d’agir correctement comme cela se doit dans toute société humaine.Il faut poursuivre Sassou Nguesso et son clan et les juger Sassou Nguesso pour tous crimes de sang et économiques très nombreux commis. Le Congo ne doit plus se payer le luxe de continuer d’évoluer dans l’impunité, avec la politique tribaliste, discriminatoire, d’ épuration éthnique du dictateur Sassou Nguesso et sa bande qui ne peuvent en aucun cas permettre la politique « d’ apprendre à vivre ensemble comme des frères. »

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