Congo-Brazzaville : L’état sur l’unité de la nation congolaise

Une nation est un « groupe humain assez vaste, qui se caractérise par la conscience de son unité et la volonté de vivre en commun. »

Il est temps de sortir de cette posture victimaire qui consiste à attirer toute l’attention sur une seule ethnie.

Nous ne pouvons nier que l’ethnie Lari au Congo a payé un lourd tribut depuis l’indépendance tant sur l’ostracisme, les brimades, la discrimination professionnelle et la mort de ses ressortissants, résultant de la bêtise humaine que certains esprits malins qualifient d’aujourd’hui de « Génocide des Laris au Congo ». Cela ne peut plus durer et les Laris devraient arrêter de se victimiser pour penser un avenir meilleur tout en faisant une analyse objective du passé pour éviter que les mêmes erreurs se répètent.

Ainsi au lieu de continuer à discourir sur le passé néanmoins douloureux avec des plaies ayant du mal à se cicatriser, nous devrions proposer des solutions qui sortent le département du Pool de cette particularité de n’être que le prétendu fief des rebelles, des contestataires hostiles au développement du pays.

Les intellectuels, les cadres, les docteurs, les professeurs au Congo n’existent pas que dans le Pool. En cela toutes les élites congolaises devraient se pencher sur le devenir de notre pays qui pour l’instant, est une dictature dirigée de main de fer par Sassou.

Il est temps de tendre la main à Charles Zacharie Bowao, à Clément Miérassa, à Claudine Munari, à Jean-Marie Michel Mokoko, à Okombi-Salissa, à Paulin Makaya, à Mathias Dzon, à Joseph Ouabari Mariotti et autres, pour construire le Congo de demain, car ils ont compris qu’une nation ne se bâtit qu’avec l’apport de toutes ses filles et de tous ses fils, dans un contexte constitutionnel qu’ensemble nous aurions choisi. Le « Tout sauf le Sud » et « la conservation du pouvoir au Nord » n’ont pas leur place dans une société démocratique notamment le Congo de l’après Sassou.

Le Génocide des Laris au Congo » ce brûlot indigeste ne fait que fracturer notre société déjà divisée pour des raisons plus mercantiles que d’appartenance à une nation.

Je le répète et le clame haut et fort que je suis Lari, mais avant tout Congolais car c’est ce qui fait mon appartenance à ce pays. Je suis un républicain, progressiste par opposition aux conservateurs, un de ces hommes de gauche sans attaches partisanes, respectueux de l’ordre et de la justice, et convaincu qu’une bonne gestion de l’État est seule en mesure d’assurer la pérennité du lien social dans une démocratie, et favoriser le développement dans un esprit de justice sociale. Je fais de la rigueur morale ma boussole et du sens de l’État une doctrine. Ma certitude c’est que le droit constitue le plus sûr vecteur des valeurs fondamentales d’une société démocratique.

Le Pool ne sera et ne pourra jamais devenir le Québec du Congo-Brazzaville car nous n’avons pas la même histoire. Le peuple congolais est un, uni et indivisible. Pour ceux qui pensent que j’ai une plume anti-lari, que je ne suis pas Lari, que je suis mbochi, un collabo et un traître, je réponds simplement que je suis un Congolais qui n’accepte pas l’état dans lequel se trouve mon pays.

Ceux du Pool qui pensent que l’unité nationale est impossible du fait des traumatismes du passé, doivent comprendre qu’il est temps que nous nous retrouvons tous pour le bien-être de nos enfants et de nos petits-enfants. Il y a déjà eu tant de générations sacrifiées, laissées au bord de la route par la cupidité de ceux qui nous gouvernent actuellement. Nous ne pouvons croiser les bras et laisser faire dans un pays aussi riche que le nôtre, que le niveau et les conditions de vie de nos populations soient déplorables.

Une politique ne peut se résumer à des massacres suivis de ramassages d’armes avec nos partenaires étrangers au développement. Nous l’avons déjà expérimenté maintes fois mais pour quels résultats ? Contrairement aux esprits chagrins, dans notre pays l’ethnie Kongo en dépit de sa richesse ne peut avoir une suprématie sur d’autres ethnies. Les mêmes qui soutiennent aujourd’hui mordicus la thèse du « Génocide des Laris au Congo », sont ceux qui hier réclamaient une Conférence internationale pour le Congo. L’auraient-ils organisé entre les seuls ressortissants du Pool ? D’où le manque de cohérence de l’action politique.

Le dépassement de soi est une condition nécessaire pour un Congo nouveau. L’exemple de l’Afrique du Sud doit nous édifier car après 3 siècles de domination blanche, d’apartheid, un homme, Nelson Mandela a réussi à réunir tout son peuple avec le fameux slogan « one man, one vote ». D’aucuns estiment que la pensée de Mandela est une catastrophe pour l’Afrique du Sud en matière de réconciliation nationale. On pourrait en sourire. Mais en toute humilité ce Prix Nobel de la paix a su marquer de son empreinte notre histoire contemporaine.

L’humilité et le respect de l’autre nous permettrons de construire le Congo de demain. Les diplômes tant prisés par les Congolais résultent d’une instruction qui n’a rien à voir avec le bon sens qu’exige la politique, bien que l’on ne puisse se passer de l’un comme de l’autre. Nous avons déjà essayé avec les diplômés, mais avec quels résultats ? Sortons du carcan des élites qui se regardent le nombril au lieu de résoudre les problèmes difficiles qui se posent à nos concitoyens. Si nous y arrivons c’est de là que nous tirerons notre légitimité. La politique c’est donner de l’espoir, partager des valeurs, donner du sens à ses actions et agir conformément à ses convictions.

Nous ne nions pas la « mbochisation » de l’appareil étatique qui pose un sérieux problème au peuple congolais. C’est ce système que nous nous efforçons de combattre afin que le Congo, notre pays aille de l’avant. Le système actuel ne doit sa survie que dans sa fuite en avant. Mais comme tout système, il a des failles et celui-ci est voué à disparaître. C’est pour cela que nous avons besoin de toutes les Congolaises et de tous les Congolais pour y mettre fin, afin que nous soyons fiers du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest d’appartenir à un seul et même pays. Toute société connait dans son histoire des tragédies. Il est temps que les femmes et les hommes se lèvent pour dire STOP et proposer un modèle dans lequel tout congolais aura son mot à dire.

Si nous mettons en avant nos diplômes pour se faire une place au soleil et laisser de côté les plus démunis d’entre nous, alors nous aurons raté une part de notre humanité qui consiste à aider les autres.

Pour mémoire aucun soi-disant leader du Pool de Kolélas père ou fils, Boukadia, Makaya et autres n’ont jamais parlé de Génocide des Laris. Cette construction intellectuelle déviante qui consiste à occulter l’essentiel qui est la reprise en main du pays, n’a vocation qu’à singulariser ses auteurs pour qu’ils soient invités au buffet. Cette indignation tardive et sélective est malsaine pour la cohésion nationale.

Le peuple congolais a besoin de leader capable de prendre en charge leurs problèmes au quotidien et non ceux qui prônent la haine, la division du fait de leur appartenance ethnique. Le moment est propice à cette réconciliation nationale.

Nous n’oublions pas le temps de la réparation car notre État a failli dans de nombreux domaines notamment avec des morts inutiles pour asseoir sa domination. Ceux qui ont perdu la vie et leur condition sociale devront être reconnus comme des victimes et être indemnisées au nom de la solidarité nationale.

Le temps est venu de panser nos blessures, le moment est venu de réduire les abîmes qui nous séparent. Le temps de la construction approche.

Comme disait l’autre : « Pardonner c’est continuer à aimer malgré les blessures car la perfection n’est pas de ce monde. »

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

36 thoughts on “Congo-Brazzaville : L’état sur l’unité de la nation congolaise

  1. Non Monsieur!

    Ce génocide doit être examiné de plus près, en profondeur et traité comme tel! Il n’ y aura pas de pardon. La vérité doit jaillir dans un procès ! Les compatriotes doivent absolument savoir pourquoi un homme, Sassou, a t-il le droit d’assassiner librement au Congo.

    Sassou et tous ceux qui défendent sa politique d’assassinat doivent payer leurs crimes. Pas question de pardon ni oublier cette barbarie sur des populations qui demandent qu’à vivre de leurs champs. Elles ne doivent rien à un gouvernement de voyous et à un pouvoir illégitime, composés de kleptomanes professionnels.

  2. Bien dit les gars! Ne pas faire de quartier avec des assassins d’innocents. Des vies, beaucoup trop, chambardées, chamboulées et littéralement perdues rien que pour le champagne et la cupidité incommensurable des singes en « lingwanda » venus du haut de la hampe…
    Trop facile, ça ne passera PLUS.

    QUI sont-ils?

    …Danse makassi té

  3. Cher Mr. Miakassissa
    je ne viens pas ici pour douter de vos origines Lari et encore moins vous coller des etiquettes du genre « corrompu » ou « anti-lari », mais je voudrais vous dire toute mon indignation car vos ecrits me heurte comme ils attristent davantage les familles Laris qui pleurent encore les leurs. Sony Labou Tansi disait que quand vous parlez « ayez pitie de celui qui vous ecoute ». Vous n’avez donc aucune pitie, aucune compassion, aucun sentiment pour toutes ces familles massacrees sans raison et vous voulez accusez les Laris qui sont des victimes d’une folie meurtriere et programmee? Vous dites que le genocide est un brulot indigeste? Et les disparus du beach alors c’est aussi une vue de l’esprit? Est-ce que vous avez pris au moins le temps de lire le livre de Kounkou avant de le critiquer ou de rejeter ses assertions? L’unite nationale ne peut pas se faire au prix de la negation des pogroms dont nous sommes tous temoins. C’est la un marchandage inacceptable. Vous avez le droit d’etre naif et de croire en la sincerite de ceux qui semble-t-il vous tendent la main, mais pour autant n’accusez pas les Laris de « victimisation ». C’est une honte, cher Monsieur. On n a pas besoin que makaya ou kolelas vienne parler du genocide – vous et moi savons pourquoi ils n’en diront jamais mot officiellement et publiquement – pour qu’on y croit alors que le vide laisse par les tues hurle a nos oreilles. C’est a la fois irrespectueux et humiliant de nier des tueries perpetrees sur vos propres parents quelles que soient vos motivations, cher monsieur.

  4. Un flatteur de plus , pour se voir guiriser .Vous refusez de voir objectivement les dissenssions tribales nées de l’accaparement illicite du pouvoir de SASSOU avec tous les dégats humains et économiques qui en resultent :::
    Quelle signification intellectuelle ;donnez vous aux crimes humains commis par SASSOU AU NOM DE SON POUVOIR ,???
    Vous voulez construire une unité hypothétique uniité nationale ,en vous s’appuyant sur un simple pardon patriotique ,ne l’a t’on pas fait ,au sortir de la conférence nationale ,,,,???::
    Vos délires sont imbibés de corruption mentale et financiére , et vous lancez un appel diffus aux tenants du pouvoir pour un éventuel strapotin ;;;
    Etre lari , et avoir le courage indigeste de se critiquer face à un pouvoir malsain ,ne fait de vous , un patriote éclairé ;mais plutôt un pauvre individu avide de reconnaissance sociale .
    Le mbochi multi criminel n’avouerait jamais ses crimes ,car il estime avoir le droit de vie et de mort sur ces compatriotes hostiles à son pouvoir .
    Sachez que ,l’unité nationale ;au sens mbochi ,c’est , politiquement ; les laisser gouverner le pays de façon royale ;;
    Si vous ne portez pas des lunettes ,je vous en conseille
    PAUVRE FLATTEUR ///:

  5. Le « gouvernement » de SASSOU-NGUESSO en s’insurgeant et portant plainte contre l’auteur NKOUNKOU, savait qu’il allait diviser les ressortissants du Pool selon qu’ils soient pro ou contre la dictature Mbochie. Certains d’entre eux, comme Claude Alphonse NSILOU, Kongo de son ethnie et pas Lari, pour la défense de son bifteck, est monté aux créneaux avec un bla bla bla digne d’un bouffon du roi.

    De même, MVOUBA, téké de Kindamba et pas Lari, inconditionnel de SASSOU devant l’Eternel, ne pouvait faire mieux que nier en block les massacres des Laris dans le Pool.

    Mr MIAKASSISSA, si vous voulez suivre ces deux collabos là, vous faussez votre combat. Aujourd’hui, s’asseoir autour d’une table et attendre que les Mbochis vous demandent pardon, c’est comme disent les Laris : « Ntsombé za kéla mbaku ». Je voudrais vous dire que nous ne pouvons panser nos blessures avec des gens qui y ont planté des couteaux qu’ils remuent à chaque fois que l’envie leur prend.
    Ces barbares ont rasé des villages entiers depuis les airs avec des hélicos de combat, tué nos frères et nos soeurs, violé les survivantes, dévasté leurs champs, coupé des arbres fruitiers, brisé et brûlé les « bipaki » de nos mamans…Vous voulez vous asseoir autour d’une table avec eux ? POUR QUOI FAIRE ???

  6. Pauvre patrice, le lavement des mains c’est terminé.Les opérations mouebara1,2 et colombe 1,2 illustrent bien la volonté d’exterminer les populations du pool dont les laris sont majoritaires;sassou doit accepter la prison à la CPI car c’est un dangereux récidiviste pour 2020.IL reviendra à la charge en 2020 s’il n’est pas neutralisé,Sassou a éliminé tous ceux qui l’ont pardonné comme mgr kombo.Miakassissa sera éliminé en cas de pardon à sassou.

  7. N`abusez pas le concept PARDON. Car après avoir pardonner l`assassin en question, le tueur en sèrie refait les même crimes blamable contre ceux qui l`ont pardonner. Alors n`abusez pas le concept PARDON comme vous abusez le titre Prèsidentiel et le gouvernement. Le temps des consèquences pour la vèritable justice c`est maintenant.L`unitè de la nation c`est être fidèle et sincère à la loi nationale qui concerne chaque citoyen(ne) de la nation. Que tu sois Prèsident ou l`enfant du Prèsident. La loi nationale concerne tous le monde. Tu rèalise un dèveloppement national qui est positif pour cahcun de la nation, tu rècoltes le bien du peuple. Tu rèalise des assassinats, gènocides, meurtres, dètournement des fonds national, tu rècolte les consèquences de tes mauvaise conduite. LA PRISON.

  8. Les mbochis s’en prenant violemment à Sassou ,on en cherche ,mais ,des poolistes moquant les souffrances de leurs parents , on en ramasse à la pelle .Pourquoi ,le pool doit toujours demander le pardon ?.
    Imbécile .
    Lesquels ont mis le pays par terre .
    Boula mama kou.Patrice .

  9. Un texte limpide,bien écrit , s’appuyant sur une bonne analyse et offrant un espoir pour l’avenir. Bravo Patrice! Sassou n’est pas éternel , il partira bientôt , très bientôt même. ses crimes ne seront pas oubliés , j’en suis sûr ; mais nous devons reconstruire le Congo avec un nouvel état esprit.
    Un Congo nouveau où chaque ethnie sera réellement une richesse nationale !

  10. Être lari n’immunise pas de la critique acerbe, surtout lors qu’elle est adressée par d’autres ressortissants du Poolistan. Pas plus qu’etre un lari vociférateur ne signifie pas que les gens ont forcément torts, face à un quelconque lari vociférant des contre vérités zemmouriènnes. Je suis à 100% d’accord, avec l’auteur, j’ai rarement lu un texte aussi courageux, sur les réseaux sociaux. Je tiens à le souligner. Les laris ou les balââlis, les sudistes, les nordistes, les niboleks, les centristes, les kouyous, les poolistes et autres sont des congolais avant tout. Un point un trait, comme on dit dans les quartiers populaires, de Brazzaville à Pointe Noire. Bref, voilà un bon article. ari par ici, lari par là, lari a dit. C’est incroyable ça.

    1. C’est devenu très difficile de faire une analyse courageuse dans ce Congo où tous les extrémistes n’ont plus la tête froide; Faire une autre analyse que la leur vous expose aux injures à ne plus en finir.
      C’est toujours triste de limiter le Congo à sassou et son système qui ne sont pas éternels. Après leur départ, c’est aussi sûr que les patriotes qui se disent aimer le Congo auront toujours leur couteau aiguisé pour s’entretuer mais pas pour se mettrent ils d’accord en bons Congolais pour réparer les dégâts tant crés par Sassou et les siens.
      Rien qu’à voir les interventions des uns et des autres, je crains fort que la sérénité ne renaisse un jour dans ce pays même si l’on fait payer aux tueurs d’aujourd’hui leur forfait car le repli identitaire a trop pris le dessus sur le vivre ensemble.

  11. Bravo et courage cher frère Aimé

    Ton prénom te prédestine à l’amour fraternel.

    Tu dois te sentir bien seul au milieu de ce torrent d’injures. Mais je sais que tu as déjà pardonné à ceux qui déversent des tonnes de boue sur toi longtemps avant qu’ils ne le fassent. Pour mettre l’église au milieu du village, il faut avoir le courage d’encaisser les coups venant de gauche et de droite et oser ne pas hurler avec la meute de loups, juste pour avoir la paix.

    Le Congo est une terre imbibée de haine sur laquelle à chaque coin de rue pousse une église remplie de chrétiens demandant à Dieu de  » leur pardonner leurs offenses comme ils pardonnent eux-mêmes à ceux qui les ont offensés… » comme je l’ai écrit quelque part, ils sont surpris que Dieu soit sourd à leur pardon sélectif qui n’inclut pas Sassou. Ils ne savent pas la puissance du pardon enseigné par Jésus sur la croix.  » Père, pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font » C’est une des dernières paroles du crucifié intercédant en faveur de ses bourreaux.

    Si 80% des Congolais contrôlaient les vannes du ciel et les clefs du soleil, le palais de Sassou serait un désert infernal plongé dans les ténèbres totales et eternelles. Quel est donc ce Dieu qui fait briller le soleil et fait tomber la pluie sur la demeure des Nguesso? Un tel Dieu peut-il être juste?

    Le jour où 100 Congolais pardonneront du fond de leur coeur à Sassou tout le mal qu’il fait, son pouvoir s’effondrera. Sassou le sait mieux que vous, c’est pourquoi il peut dormir tranquille sachant que nous carburons à la haine totale et aveugle.

    Courage mon frère d’esprit. Soyons nombreux à intercéder pour un Congo réconcilié par le Grand PARDON CHRISTIQUE.

  12. l’église, on s’en tape. il existait déjà le mbongui, le baobab. l’arbre des palabres avant que ces petits malins arrivent avec leur bible.
    la sagesse est un sentiment humain et non biblique. oeil pour oeil, dent pour dent. un point , un trait.

  13. On a même pas besoin de verres de contacts pour démasquer ces zozos étourdis sans toupet eux-mêmes mais qui autrement estiment tout de même qu’un texte est « courageux » ici sur le net, ugh…
    Décidément les déboires de ces réduits rédacteurs, ces ignobles apprentis karatékas de poubelle et du pardon avec leur animosité maladive sont aussi bien amusants et dangereusement naïfs que leur éclatante hypocriise d’illuminés, fourbes et cyniques.

    Allons donc à la chasse des bêtes sauvaves avec de l’amour aux épaules et non pas des fusils de chasse pour consommer de la viande. Et faisant idem donc avec des terroristes en col blanc, jour après jours, décennie après décennie.

    Quel perd-temps avec ces vertueux morbides depuis la nuit des temps con-go-laids. TOUJOURS !
    Et oui: [Le CON ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres.]

    SICK ESPERANTOS

    POUAH !

        1. Hey le monde, PARDONNONS alors TOUS les criminels qui n’arrêtent pas de nous tuer et de toute nature comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés et, abolissons donc ipso-facto le système judiciaire. Dorénavant Le PARDON suffira, Seigneur.

          Devrions-nous sérieusement continuer à débattre avec ça?

  14. C’est toujours vous, votre analyse ne m’étonne pas.Vous avec votre jmnr, vous êtes les premiers génocidaires des Laris .
    Nous Laris, nous n’avons pas inventé les plans Mouebara, herode,ou colombe, surtout pas obumitri pour conserver le pouvoir au nord.
    Mabouaka ,Castro, ne sont pas non plus une création Laris, ils ont bien donné la mort à cette ethnie que vous jalousez sans raison.Rien ne sera dissimulé, tout sera étalé, trop c’est trop.Le génocide existe et il est bien là.Vous êtes des hommes, acceptez et assumez vos actes posés

  15. Monsieur Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA, votre prise de positition manque réellement de cohérence et de franchise. » le Génocide des Laris au Congo » n’est pas ce brûlot indigeste qui ne fait que fracturer notre société déjà divisée pour des raisons plus mercantiles que d’appartenance à une nation » pour reprendre ici votre expression.Un génocide reste un génocide. Un crime contre l’humanité qu’il faut dénoncer, sanctionner d’après la loi universaire de la juriprudence établie.Cacher le génocide des Laris, le sous estimer est aussi un crime,une erreur monumenale,une véritable dérive pour la construction d’une société congolaise juste, démocratique. Le Congo ne peut pas sans cesse continuer avec l’impunité, le lavement des mains, les dialogues bidons. On ne peut pas aucunémment continuer avec le pardon incessant et assurer ainsi la paix, la démocratie,le developpement de la république du Congo.
    Dénoncer le génocide des Laris au Congo survenue à près de deux reprises, ainsi que les autres massacres tels que celui des enfants au commissariat de Chacona, les vols, la terreur, les emprisonnements arbirtraires des opposants, sympathisisants est un devoir, un combat légitime pour la libération, la démocratie, la défence de l’ idéal politique, l’avenir de tous au Congo. Monsieur Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA, le fait d’appartenir à l’éthnie Lari ne vous donne pas le droit de t’insurger contre les gens qui dénoncent, font leur devoir de citoyens conscients de leurs responsabiliés.Si vous voulez défendre les pires crimes contre l’humanité, les agissement d’un président de la république autoproclamé, illégal qui ne cesse de planifier le génocide d’une partie de la population de son pays dans le but de conserver le pouvoir, les privilèges pour lui, pour sa famille, pour son clan, cela va de vous. Pour le reste, il est temps qu’on ai enfin ce courage, cet endurance de faire connaitre au monde entier le caractère hitlérien de ce pouvoir Sassou Nguesso et de conjuguer les efforts pour mettre une fin à cette violence, terreur,injustice, crimes éffroyables qui n’ont que trop duré. Seule notre détermination à mettre fin à la dictature, seule « la traduction devant les juridictions compétentes de l’ultra criminel,le manipuleur de tous les temps, Monsieur Sassou Nguesso et tous les «voleurs et les corrompus notoires, responsables des génocides, crimes contre l’humanité, de la crise» pourra permettre de reprendre le fonctionnement réel de la vie politique, sociale et le développement au Congo. Cet cela » le dépassement de soi qui est une condition nécessaire et réelle pour un Congo nouveau ». Avec l’injustice et avec l’impunité de tous les temps instaurées particulièrement par
    Sassou Nguesso et qui lui permettent avec sa clique de commettre tranquillement des génocides, des crimes contre l’humanité au Congo, il est impossible d’ arriver réellement à un Congo nouveau »dont vous aimez si bien parler. Monsieur Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA, il faut se rendre à l’évidence, que la quasi totalité de la population du Congo et aussi du nord a pu comprendre que Sassou Nguesso que la politique est très malsaine. Sassou Nguesso ne veut que garder le pouvoir pour lui, pour sa famille et sa clique et ne veut pas du tout de l’unité naionale. Pour cette raison Charles Zacharie Bowao, Clément Miérassa, Jean-Marie Michel Mokoko, à Okombi-Salissa, Mathias Dzon qui sont aussi du nord, mais qui savent qu’ils sont avant tout Congolais se sont depuis oppossés à Sassou Nguesso et à sa politique de division, à sa malgouvernance, à ses crimes, ses génocides des Laris. Raison pour laquelle,Jean-Marie Michel Mokoko a été massivement voté du sud au nord du Congo et est le vrai gagnant des élections de 2016 finalement truquées par le dictateur. Et à cela à comprendre,si « nous y arrivons pas à prendre courage et mettre hors d’état de nuire, Sassou Nguesso qui divise les Congolais, commet des génocides, des crimes contre l’humanité au Congo, la paix, la liberté, le développement , l’unité nationale seront au Congo impossibles. Cela est la vrai vérité. Dénoncer un génocide n’est pas fracturer la société.

  16. Comment pouvons nous rêver d’un renouveau dans notre pays si la haine et la rancœur
    ne cessent d’animer nos cœur…
    A part baigner dans l’invective, je n’ai relevé aucune proposition constructive
    nonobstant quelques uns qui se sont démarqués par leur grandeur d’esprit et
    leur élan patriotique.
    Il est difficile d’aller de l’avant si l’on a constamment le regard rivé derrière soit.

  17. @ WILL I AM

    Vous aimez l’impunité, n’est ce pas? Vous voulez allez de l’avant en oubliant ce que vous avez fait ou subi derrière ? Allez-y seul et fichez la paix aux Congolais qui crient justice avant d’aller justement de l’avant. On ne trimbale pa des casseroles nauséabondes quand on veut clean.
    Y en a marre de côtoyer des criminels impunis !

  18. LES CONGOLAIS QUI ONT TUE DES CONGOLAIS POUR LE COMPTE DU DICTATEUR SASSOU-NGUESSO, DEVRONT PAYER AU MEME TITRE QUE LUI. IL N Y A PAS DE PARDON A LEUR ENDROIT. C’EST SEULEMENT APRES LEUR CONDAMNATION QU’ON POURRA PARLER DE PAIX AVEC LEURS DESCEDANTS. N’EN DEPLAISE A TOUS LES COLLABOS VENTRIOTES GENRE NSILOU, MVOUBA, KOLELAS …ET LEURS « PETITS » (suivez mon regard).

  19. Allons-nous retrouver le Congo de notre enfance ?

    Le Congo d’avant la catastrophe des années 90,

    Ce Congo qui envoyait tous ses enfants à l’école,

    Ce Congo qui octroyait une allocation à chaque enfant,

    Ce Congo de l’insouciance et de l’anti-conscience-tribale,

    Ce Congo de nos savanes et nos forêts qui fournissaient du gibier en abondance,

    Ce Congo où nos rivières fournissaient du poisson à foison,

    Ce Congo où nos parents se réveillaient tôt le matin pour aller travailler,

    Notre dette est immense, Nous qui avons bénéficié de ce Congo,

    Aujourd’hui, l’Etat s’est désengagé de l’école,

    Condamnant nombre de nos compatriotes à l’errance et à l’analphabétisme,

    L’orphelin et la veuve ne sont plus protégés,

    Le pays est gouverné selon les acquis de la guerre de 1997,

    Cela va-t-il changé ?

    Retrouverons-nous le Congo de notre enfance ? Le Congo des années 80 ?

    Y a-t-il une volonté partagée de retrouver ce Congo perdu ?

    Comprenons-nous tous où le mal est entré ?

    La sagesse ancestrale nous apprend que quand on se trompe de chemin, on retourne au carrefour pour choisir le bon qu’on a loupé,

    A quoi nous pousse l’orgueil, l’exclusivisme du pouvoir ?

    Sommes-nous en train de bâtir sur du sable ou sur du roc ?

    Il est une chose de nier le génocide du Pool, ç’en est une autre de bâtir la nation sur des bases solides, consensuelles,

    Quelque chose est-il fait pour ne pas répéter les erreurs du passé ?

    Quelque chose est-il fait pour conjurer définitivement le spectre des guerres fratricides ?

    Nous venons de sociétés sages où l’on savait résoudre tout problème sans coup férir,

    Pourquoi l’école occidentale nous a rendus si bêtes, si sourds, au point d’oublier nos propres valeurs civilisationnelles ?

    Qu’est-ce qui est le plus important dans un pays, se faire la guerre en permanence ou construire une société plus juste ?

    La paix unilatérale imposée par un camp contre les « ennemis » d’hier perpétuent la belligérance et l’intolérance,

    Je me porte en faux contre tout extrémisme, contre tout suprématisme,

    Il n’existe pas une ethnie au dessus d’une autre,

    Il n’existe pas une région au dessus d’une autre,

    Le cerveau humain est le même, mais la différence entre les gens vient de leur éducation, des valeurs qu’ils choisissent de cultiver,

    De ces valeurs viennent leur perception du monde, relativement bonne ou mauvaise,

    Les uns s’offusqueront d’un vol, aussi minime soit-il, les autres trouverons une excuse pour le justifier,

    Mais s’il est une chose bien partagée entre tous, c’est le bon sens,

    De ce bon sens naît le Droit et le Droit n’est pas opposable aux perceptions individuelles,

    La première expression du Droit dans un pays c’est sa Constitution,

    En avons-nous une issue de notre volonté commune et discutée de longue durée par toutes les intelligences compétentes du pays ?

    Deux cycles de trente ans s’achèvent depuis l’indépendance nominale de 1960,

    Nous allons bientôt en commencer un troisième,

    Commencera-t-il comme le deuxième avec beaucoup d’espoir de changement ?

    Commencera-t-il comme s’achève le deuxième, c.-à-d. sans changement ni remise en cause de l’existant ?

    La Sagesse nous interpelle tous et nous interroge sur notre patriotisme,

    Aimons-nous notre pays et avec lui tous nos compatriotes ?

    Si oui, que devons-nous faire pour le rendre meilleur, pour le sortir de l’imbroglio et de tous les maux qui le minent ?

    Rendez-vous au Carrefour d’une Nouvelle Conférence Nationale Souveraine, avec pour seul but de bâtir un nouveau Congo sur les saines bases de la Justice et du Droit,

    Pour que les trente prochaines années soient meilleures et sans commune mesure avec le passé,

    Pour que le Congo des trente prochaines années soit meilleur que le Congo de notre enfance,

    Pour que nos enfants aient aussi à témoigner du Congo de leur enfance,

    Pour que dans la Paix et l’Harmonie retrouvées, nous puissions bâtir un pays aux standards élevés,

    Pour que le génie du peuple tout entier soit mis en mouvement et anéantisse toute difficulté,

    Pour que nous sortions de l’ornière et donnions une identité respectable à notre pays,

    Pour que plus jamais la barbarie et les choses honteuses ne soient commises dans notre pays,

    Pour qu’une nouvelle éducation soit forgée pour tous les citoyens,

    Pour que le Patriotisme soit le ciment de notre nation,

    Pour que les querelles interethniques finissent à jamais,

    Pour que le Congo de notre enfance soit éternelle et mille fois meilleure,

    Louis Yvon MBANZOULOU

    petite reponse a louis yvon mbanzoulou

    les querrelles interethniques sont animees par le pool car le pool a toujours crut avoir remporte l’election presidentielle cas des elections tenues en 1992 qui avait consacre la victoire de p lissouba sur b kolelas et celle tenue en 2016 consacrant la victoire de denis sassou ng ou du moins du general jean marie michel mokoko sur guy b p kolelas.aussi longtemps que le pool ne sera jamais deuxieme non le congo sera en paix cas des annees 2002 et 2009 avec kingoumbi kia mboungou.le probleme du congo c’est le pool!

    oui il faut eduquer la nation congolaise a commence par le pool qui na jamais vote pour quelqu un dautre et apres ca va ecrire du n’importe quoi comme ils sont victimes dun genocide

    DANS UN GENOCIDE ET LA JE M’ADRESSE AUX LARIS DANS UN GENOCIDE LES VICTIMES SONT POURCHASSEES DANS UN GENOCIDE LES VICTIMES PARCOURENT DES KILOMETRES ENTIERS POUR ECHAPPER A LEURS BOURREAUX cas des juifs sous hitler et des hutus avec paul kagame

    les laris n’ont parcouru aucun kilometre!

    a propos de dominique nkounkou il est demande aux tribunaux congolais de juger par contumace dominique et de le condamner a la prison a vie.

    entretemps il est demande aux memes laris qui disent vivre un genocide de nous dire comment comptent ils repare le prejudice cause par les ninjs suite aux assassinats de laurent bisset charles mvouama angele bandou des dix eveques assassines a mindouli des 70 soldats assassines en nov 2016 et jan 2017.

    « le congo de notre enfance  » desole pour vous nous ne le retrouverons plus car il y a desormais des laris des niboleks des mbochis vilis cobras ninjas zoulous cocoyes aubevillois des pasteurs ntumi des maitres daniels me kipepeler me elie ….cest fini! il ya desormais des kolelas des bernard des guy des lydie des euloge landry kolelas tous auroeles dans le pool il ya desormais des denis ch sassou ng claudia sassou ng tous aureoles a talangai mikalou …..les congolais ne parlent plus francais ils sont desormais attaches au lari ou au lingala au point que desormais c’est la floppee des fautes au congo.le niveau a vraiment baisse. trop de fautes en francais au congo, trop! le congo des annees 80 nous ne le retrouverons plus les quartiers sont divises les trains sont attaques par ceux la memes qui estiment que rien ne va au congo le congo des annees 80 mr c’est fini ca mr! vous auriez du en profiter pour vous developper

    mais dominique nkounkou doit etre juge par contumace et condamne a la prison a vie.

  20. Au regard du triste spectacle que nous offrons dans nos débat stériles, un observateur extérieur serait étonné par notre degré d’immaturité collective. Il comprendra surtout pourquoi notre pays est si en retard et sans espoir de s’en sortir

    Une nation est un édifice dont la construction doit être voulue et poursuivie avec passion, amour et abnégation. Au Congo, notre conscienmce collective est encore au niveau de celle de l’homme de Néandertal. Celui qui gouverne tient un gourdin et tape sur tout ce qui menace son pouvoir. Les autres, comme des macaques piaillent à bonne distance en espérant récupérer le gourdin, abattre le grand macaque et si installer a sa place pour faire exactement la même chose. Le Congo est un zoo, même nos hôtes ouest-africains ne se gênent pas de l’affirmer.

  21. le congo ne peut pas etre une nation des l’instant ou le pool presente tous les signes d’un mouvement independantiste.novembre 206 novembre 2018 bientot deux ans que le cfco est ampute de la desserte de brazzaville.la faute a qui? a celui la meme qui avait crut avoir remporte lelection presidentielle de mars 2016. en 1992 le meme homme avait deja sectionne dans sa rage le cfco contre p lissouba.a cette epoque il pensait avoir gagne la presidentielle de juillet 1992

    LE PROBLEME DE CE PAYS EST LE POOL OU BIEN ON LUI DONNE LA PRESIDENCE CAR TANT QU IL NE SERA PAS PRESIDENT OU QU IL NE REDEVIENDRA PAS PRESIDENT LE CONGO NAURA QUE DES PROBLEMES

  22. C’est bien vrai que le ridicule ne tue pas. On choisit alors de préférence la facilité la moins value dans la lâcheté et la soumission esclavagiste pour moisir dans l’imbécilité. Incroyable mais vrai.

    C’est quoi exactement la violence?
    Qui l’impose manifestement à qui?
    Depuis quand et comment et à quel prix?
    Pensez-vous que l’usage de la self-défense ou la considérer comme une barrière vitale font de vous un violent? C’est une question, simple!
    QUI donc, diable, est alors violent?

    Navré, mais quelle ignorance ou malhonnêteté intellectuelle, où se situe le rationnel?

    Ouais, bien sûr, prions TOUS pour le chef du gang 400 qu’il retrouve sa liberté; évitons pour cela « la violence » jusqu’à nouvel ordre. Ça risque de faire ‘ding’ pour les projets, soit ‘la sous-traitance’. Sans oublier Takou, bien entendu; Amen!

    Vous parlez de ‘discourir’ dans la merde des gorilles et couiner comme des chiots toutes les nuits, et bien, n’allez pas chercher loin, vous y êtes.

    Simplement pathétique.
    Le ridicule ne tue vraiment pas.

    Mirez-vous bien!

  23. Campez mordicus sur vos « pardons », votre libre choix. Autant d’aucuns défendront librement leurs opinions fondées sans compromission ni complaisance._

    Gee!

  24. La polémique croustillante qu’a suscitée le livre chiffon que des tribalistes aux yeux rouges cherchent à vendre aux congolais est une aubaine, pour les chercheurs de vérité. En ce sens qu’elle permet de battre en prêche leurs thèses fantasques, sur la place publique.

    Ils ont trop menti depuis des années, sans que personne ne remette en question leurs discours divisionnistes. Comment peut on être à ce point menteur? On est aller prendre une photo ghanéenne, pour distraire les congolais ignorants. Où est la rigueur scientifique dans une telle démarche fantaisiste?

    Nos chères frères et compatriotes du Pool ne doivent pas se laisser représenter par des malhonnêtes. Depuis quand il y a des laris au Ghana? Où se trouvent leurs villages? Eux viennent d’Angola, ils sont n’totiliens, pas ghanéens. Ça commence toujours de la sorte, bientôt diront ils que leur ancien royaume s’étendait jusqu’au Ghana. Vraiment béno.

  25. Tenez, j’allais oublier: et les soldats armés jusqu’aux dents qui protègent le Vatican et ‘Papa’ seraient-ils autrement violents pour les besoins de leur mission le cas échéant pour neutraliser les potentiels assaillants ou terroristes?
    Qu’en dire parallèlement lorqu’ils sauvèrent in extremis justement la vie de Karol Józef Wojtyła (Pape Jean Paul II), répondirent-ils alors par ce fait à la violence par la « violence »?

    Non, ne confondons pas la réalité à la fiction. Evitons très sincèrement le méli-mélo.

    A bon entendeur, salut!

    Portez-vous bien.

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