Nous sommes sur l’avenue Matsoua à Bacongo Brazzaville [Vidéo]

Entre colère et sentiment de pitié. Les œuvres de Jean Jacques Bouya.

Allons seulement. Allons plus loin ensemble !

 

10 thoughts on “Nous sommes sur l’avenue Matsoua à Bacongo Brazzaville [Vidéo]

  1. On avait jamais vu ça à Bacongo!
    Ce pays est vraiment entre les mains de vautours qui ne l’aiment pas. Ils n’ont plus rien à faire chez nous. Qu’ils dégagent !!!

    1. VENDONS LE , le constat est pathétique , si avec des milliards de CFA , on est capable de performer , et imaginer avec rien , actuellement , que pourrions nous faire ????;

    1. On a fait le pari au CONGO , de diriger le pays sans y mettre la moindre intelligence .Si vous avez été nul , à l’école ; il y a des fortes chances que vous le soyez toute sa vie ;;.SASSOU en est le parfait prototype .

  2. LE CONGO est entre les mains d’un groupe des voleurs de la république , qui le sucent jusqu’à la moelle épinière .Bâtir un pays implique un engagement patriotique , sont ils patriotes non ???.

  3. Oui, Bacongo a pris l’eau, espérons que les pluies passeront vite. Ce genre d’image, on peut les voir tous les ans aux USA, même en france et en Australie. La nature sera toujours plus forte que les hommes, elle imposera toujours sa loi aux congolais et aux poolois surtout. Tenez, allez y visiter la ville de Los Angeles, elle vient de connaître le pire incendie de forêt de son histoire, à cause de la canicule. Ce sont les aléas du climat, c’est le réchauffement climatique. L’ouragan Irma a complètement détruit l île St Barth, là où les français partent s’amuser en vacance. Cette année, ils n’iront pas passer les fêtes dans ce paradi dévasté.

  4. @ Cher frère Matéo.

    Dommage, Bacongo n’a pas pris de l’eau parce que le fleuve Congo ou la rivière Djoué sont sortis de leur lit. Si Los Angeles a connu le pire incendie de forêt de son histoire, ce n’est pas seulement à cause de la canicule, c’est tout simplement parce que cette ville est construite en respectant la nature. Si vous y êtes allé, vous verrez que les maisons sont construites en laissant tout autour le forêt. Vous verrez la même chose en Allemagne. Dans ces pays la nature est respectée et les forêts ne sont pas une source de bois de chauffe ou du charbon Elle est conservée pour les besoins de la biosphère.

    Beaucoup d’incendie dans ces pays sont dus à un mégot de cigarette jeté par imprudence par un fumeur ou encore allumé par un pyromane pour son plaisir ou son cynisme veut voir les pompiers aller au feu. La canicule seule ne peut allumer un feu et ne mettez pas tout sur le réchauffement climatique.
    Les inondations au Congo, c’est le travail mal fait. Des routes sans caniveaux d’évacuation, constructions sur les buses d’évacuation d’eau. En premier l’Etat qui construit la Préfecture de Brazzaville sur une buse. Résultat quand il pleut le boulevard Alfred Raoul devient une rivière infranchissable.
    Pour votre information, quand Batignolles construit l’aéroport Maya Maya, il avait construit un canal d’évacuation des eaux qui passait par l’actuel domicile de Bopaka, arrivait là où était Mazoka avant les rails passait là où est construit l’actuel Préfecture de Brazzaville, l’hôtel du Boulevard, et à côté de l’hôtel Bikoumou, s’enfonçait dans la poudrière pour sortir là où Odzali François a sa villa. Un peu plus bas on y avait construit la piscine caïman et toutes les eaux allaient au fleuve Congo en passant là où est construit le mémorial De Brazza. Le plan de Brazzaville de cette époque existe bel et bien. Dans un état sérieux, il n’aurait pas organisé et autorisé les constructions anarchiques. Quand je vois le Ministre Mabiala avec sa blouse orange faire du cinéma en parlant au nom de l’état j’en rigole. Heureusement que les hommes passent et l’état reste. On y mettre de l’ordre un jour et Mabiala, s’il est encore vivant verra bien la vraie puissance d’un état bien géré.

    Ngouolondélé, alors maire de Brazzaville n’a pas hésité de planter un immeuble à étage sur la même buse à un mètre des rails.
    Qui a autorisé qu’on bâtisse l’hôtel du boulevard, que François Odzali sa villa et aujourd’hui la Banque Sino Congolaise en Afrique où se trouvait la piscine caïman? Le mémorial De Brazza n’est il pas construit sur un endroit inapproprié rétrécissant fortement l’écoulement des eaux vers le fleuve Congo au point d’inonder la route qui y passe à moindre pluie ? Tous ces actes de la mauvaise gouvernance de la cité n’est pas le fait du réchauffement climatique mais le fait d’hommes incapables qui s’accrochent au pouvoir en nous demandant d’ Aller plus loin ensemble ».

  5. Dans le plan directeur de la construction de Brazzaville, il était strictement interdit de construire au delà de la rivière Tsièmé jusqu’au Km 45 car c’était le sable mouvant inapproprié à l’installation des hommes. Quelques villages pouvaient s’y installés mais pas à grande échelle selon les études de l’OROSTOM qui peuvent être consultées à la Bibliothèque d’Outre Mer à la rue de Rennes dans le 15 e arrondissement à Paris.
    Cette partie de la terre devait donc restée intact. Ce n’est pas pour rien que les colons avaient tout bâti du côté du sud Brazzaville au delà des rails: Hôpital Général, Palais du Gouverneur, Case De Gaulle, Maya Maya, Lycée Savorgnan De Brazza, Chaminade, Camp de la gendarmerie, les Ministères et j’en passe. Brazzaville devait s’étendre au delà du Djoué en allant vers Mayanga.

    Mais quand nos noki noki sont arrivés, sans y réfléchir et imbus de cette maladie qui s’appelle tribalisme, alors tout le peuple, rien que pour le peuple a ouvert l’installation anarchique défiant la nature. Résultat, presque toute la partie nord de Brazzaville est un calvaire perpétuel tant que les hommes n’auront pas compris qu’on ne défie pas la nature.
    Surtout ne dites pas à un nordiste, sauf cas rare qu’il y a de la place au sud de Brazzaville et même si vous lui donnez un terrain gratuitement, il ne s’y installera pas car il ne se sentira pas chez lui préférant son village du nord même s’il doit acheter une portion de terrain à coup des millions comme nous le voyons tous les jours.
    Gérant le pays comme une épicerie familiale, normal que ces extra terrestres aient autant d’argent à gaspiller pour s’acheter des terrains comme des petits pains. Le paradoxe dans tout cela c’est que nos frères du sud s’installent partout parce se sentant Congolais et chez eux. Après on cherche qui est plus tribaliste que l’autre. J’en ai honte rien qu’à savoir être du nord.

  6. Lu pour mon frère MATHEO,

    viaduc desservant Kintélé menacé à son tour
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    Publié le jeudi 21 décembre 2017 10:27
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    Si l’on n’y prend garde, la même érosion du quartier Ngamakosso (dans le sixième arrondissement Talangaï) risque d’attaquer également le viaduc qui dessert Kintélé. Le sable drainé par l’érosion et les eaux de ruissellement menace dangereusement cet ouvrage construit à la faveur des Jeux africains 2015 pour désengorger la zone nord de la ville-capitale. A certains endroits, les pieux sont déjà enfouis dans le sable qui va bientôt atteindre le niveau de la chaussée. Le viaduc court le péril d’être coupé en deux. Malgré les travaux engagés à Ngamakosso, on constate qu’ils n’arrivent pas à le vaincre, et il poursuit son avancée. La situation s’est nettement aggravée ces derniers jours avec les pluies qui se succèdent à Brazzaville. Ngamakosso

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    Publié le jeudi 21 décembre 2017 10:26
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    L’érosion qui frappe le quartier Ngamakosso et qui avance dangereusement vers le viaduc de 7,5 km qui dessert la zone de Kintélé engendre une certaine peur chez les riverains dont les maisons résistent encore. Ils s’imaginent qu’avec la fréquence actuelle des pluies, ce sera la catastrophe pour eux, car le sol ne résiste plus au ruissellement des eaux en furie. Certains ne cessent, depuis, de scruter l’érosion et le ciel toujours pas clément ces derniers temps, perdant ainsi quiétude et, parfois, sommeil la nuit.

    PS: Le viaduc n’est pas le fait de la nature, mais celui des hommes incapables de faire même une étude de terrains pour construire un viaduc de 7,5 km va ne tiendra peut être pas plus d’une décennie. Il n’a même pas plus de deux ans qu’il est interdit par une catégorie de voitures et son entrée est gardée par la GR.
    Quant à l’érosion de Ngamakosso, vous aurez compris que ce sont les hommes qui sont allés provoquer la nature qui ne demandait qu’à rester comme elle a été crée.
    N’argumentez donc pas en prenant des mauvais exemples pour chercher à défendre je na sais qui. Ils ne tiennent pas dans le débat.

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