Quand le pouvoir exhibe des Ninjas Nsilulu pour demander la cessation des hostilités [Vidéo]

11 thoughts on “Quand le pouvoir exhibe des Ninjas Nsilulu pour demander la cessation des hostilités [Vidéo]

  1. La meme securite qui avait ete assure pendant le sejour de Nsourou a la maison d’arret de Brazzaville. Nous savons tous ce que vaut la parole de ce gouvernement et de ses dirrigeants nes Assassins, vivent comme des Assassin et finiront un jour ……

    1. Chè(e)r(e)s compatriote(s),
      Recrutées par le putschiste SASSOU II (coupable de haute trahison), les troupes d’occupation subissent défaite sur défaite et reculent sur tous les fronts. Le putschiste est dépourvu de main-d’œuvre locale car confronté à d’innombrables refus d’aller au combat de la part des cobras depuis la débâcle subie successivement par les troupes du commandant BOYS et du capitaine NDJOMBO, écrasées dans des embuscades menées avec professionnalisme par les combattants de la liberté dans la région du Pool. La jonction des Forces de la Résistance est annoncée pour bientôt dans toutes les régions du Nord au Sud, d’Est à l’Ouest en passant par le Centre. D’où l’agitation actuelle à travers télé foufou.

      Les deux otages ninjas de SASSOU, terré dans son bunker d’Oyo avec son dernier carré de fidèles, sonne le glas de ses espoirs. Il revient à ses collabos, désespérés, de quémander la cessation des combats aux puissances alliées au Révérend PASTEUR NTUMI. Le putschiste SASSOU II envoie à cet effet le général Blanchard OKOÏ, son dernier chef d’état-major, au quartier général des forces de la Résistance dans la région du Pool pour négocier sa reddition.

      La Résistance congolaise exige que le général Blanchard OKOÏ signe la capitulation sans condition de ses troupes et veille à ce que des ordres d’exécution d’otages ou de prisonniers ne soient pas donnés par le putschiste déchu. A défaut de quoi, le Militant de la Résistance se réserve la possibilité d’user d’autres mesures pour le contraindre à capituler et le déloger de son bunker d’Oyo. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

      La Sentence

  2. #INFO : Les conditions #subjectives et #objectives se réunissent. #Chute_programmée du tyran #Sassou.

    #Témoignage d’un #Homme_de_main_de_Sassou (Large diffusion).

    « ……#Cet_homme_nous_met_tous_en_danger,
    Cet homme c’est Sassou Nguesso Denis, pour nous qui lui sont si proche, nous l’appelons « Mouènè » pour d’autres il est l’os « Lekoubè » ou encore la belle noix de palme « Otsouèmbè ». Malgré tous ces noms attirant, l’homme est une bombe ambulante et une machine répression machiavélique.

    Avec un recul, je me rends compte que « Mouènè » n’a jamais aimé personne. Nous sommes beaucoup à le penser. Mais, avec l’infiltration bien profonde du système nous ne nous faisons plus confiance. Nous nous espionnons entre frères, entre amis, entre parents.
    J’ai approché « Mouène » après avoir été viré de mes fonctions militaires, suite au fameux code 104. A cette époque je n’étais qu’Adjudant. J’ai été parmi de ceux qui ont aidé « Mouène » Nous avons commencé par la formation des jeunes pour la résistance. Ceux que nous appellerons par la suite « Condors et Cobras ». Nous avons fait des erreurs de jugement, aujourd’hui je le sais.
    Tout est parti de la création de cette résistance dite Cobra, malheureusement « Mouènè » avait son plan. Je parle aujourd’hui de Plan, je vois tout ce qui se passe. Rien ne va dans le plan qu’il nous avait présenté. Nous avons formé et détruit la jeunesse de ces jeunes congolais. Aujourd’hui, tout ne tourne qu’autour de sa famille et des amis. Nous les fidèles, nous qui avons pris des risques depuis 1993, nous ne sommes que pour la forme.
    Si cela continue, nous aussi allons devenir des victimes. Victimes, parce que : Yves Motando, Blaise Adoua, Emmanuel Avoukou, Fréddy Menga ….. Toutes ces personnes de valeurs, ayant donné jusqu’à la dernière énergie, ont péri pour avoir un jour soit donner conseils ou tenu tête à « Mouène ».
    Partant du grade d’adjudant, considérant la traversée du désert et aujourd’hui Lieutenant-Colonel, vous vous doutez que j’ai vécu des choses ? Oui j’en ai vécu, c’est pourquoi, je m’exprime. Pour l’instant, mon nom ne vous sera pas révélé. Pour des raisons de sécurité, je ne citerais pas d’autres personnes, pour ne pas mettre au péril des familles. Je vais donc commencer par relater les opérations et tout le cheminement des opérations depuis 1994 jusqu’à ce jour. Vous allez bien comprendre qui est « Mouène » ?

    La peur de perdre le pouvoir :
    Après les événements de Bacongo (Sarajevo) en 1993, nous avons reçu mandat d’empêcher à Lissouba de travailler. Le maintien de la pression par des braquages et des tueries, malgré la création des forces d’interposition ont dégradé la situation sécuritaire du pays. Voir les Aubévillois à Gamboma n’arrangeait nos déplacements. Entre Brazzaville et Oyo, il nous fallait maitriser les allées et venues des personnes. Une propagande anti Lissouba a vite été mise à pied d’œuvre. Tous nos jeunes, condors, cobras, recherchés étaient soit à Mpila, pour des opérations ou encore à Oyo pour formation. Beaucoup de Jeunes des quartiers nord de la capitale (Mpila, Ouénze, Talangaï, Texaco, Mikalou, Kombo, Petit-chose Mamboualé …) allaient à Oyo pendant les vacances scolaires pour ne pas éveiller les soupçons. Mpila était une bonne position, nous bénéficions des appuis des quartiers comme Poto-Poto (la porte d’entrée), Mpila (la porte de sortie), Ouénzé (Bretelle de dégagement), les autres quartiers venaient en support en cas d’attaque. Tous les quartiers acquis à notre cause étaient minés d’armes. Ces armes que nous sortirons en juin 1997, même dans certaines églises de réveil.
    Après le retour aux affaires, « Mouène », a commencé à nous montrer son vrai visage. Nous pensions qu’il s’agissait de la gestion d’après-guerre. Mais, nous n’avions rien compris. Seul Blaise Adoua à l’époque l’avait compris. Les personnes ayant fait un nom pour bravoure en pleine guerre ce sont vu pousser des ailes. Cela dérangeait « Mouène ». Le général Blaise Adoua, a aidé beaucoup de jeunes à sortir du pays, ce qui lui valut cette notoriété. Hélas, il est mort parce qu’il devenait populaire, de peur qu’il prenne le pouvoir un jour.
    Jean Marie Tassoua, aussi populaire a commencé lui aussi à avoir des soucis, il a été accusé de tout. « Mouène » a vite oublié le rôle qu’’il a joué pendant les hostilités. La proximité entre Tassoua et Motando un autre homme fort, a précipité Yves Motando dans la tombe. Car il était lui considéré comme le soutien armé de Tassoua. On a commencé à l’accuser d’infiltré. Le Saboter en habillant les ninjas acquis à notre cause en tenue « Mongouna a leka te » la tenue que nous portions pendant les événements de 1998. Il a même été accusé d’avoir voulu tuer « Mouène » pendant la guerre du 5 juin à Kombo, dans la maison de Jean Marie TASSOUA.
    Nous avons joué le meilleur des atouts qui se présentaient à nous. Il fallait commencer par émietter les partis forts du moment. Il y a eu beaucoup d’argent, pour bousculer l’UPADS, le MCDDI, UDR-MWINDA, le RDPC et le PCT. Avec les tensions internes, Mouènè était tranquille.
    Ensuite, nous sommes passés par l’épreuve des intimidations. Un budget a été mis en place pour faire venir les guerriers se trouvant hors du pays, pour intimider les hommes politiques, qui ne rentraient dans la boite. C’est lorsque nos propres petits ont commencé à mourir, par décision de Mouènè, ou du « maître moro a nzambé » JDO, que même nous sentons déjà en insécurité. Si eux sont traités comme ça, pourquoi pas nous ?, entre eux et nous ya pas de différences. Gaulois « Freddy Menga », Seigneur « Willy Matsanga » et bien d’autres …..

    Simulacre d’une opposition :
    Il fallait, créer une opposition pour rendre crédible un changement de textes de lois, la constitution. Tout avait été orchestré, pour arriver au plan de Mouènè. Mais, il y a des gens qui ne pouvaient être manipulés ou nguirisés. Il s’agit de certaines personnalités de l’IDC-FROCAD, de madame Aimé Mambou-Gnali, et bien d’autres jeunes que nous ne contrôlons pas. Ceux même qui sont fatigué de la politique de Mouènè.
    La technique adoptée était de préparer une élection avec un deuxième tour entre Mouène et Pako « Parfait Kolélas », puisque « Okombi Salissa » échappait à tout contrôle. Même la proposition d’un deuxième tour entre lui Mouènè ne l’ébranlait pas. Dans le milieu, on disait qu’il était « un petit incontrôlable ». On ne peut pas faire de lui « un enfant prodige ». Il risque de s’allier avec l’aille du PCT des amis de Marien Ngouabi. Si c’est le cas, Le projet de la Nouvelle Espérance, celle qui a but d’être remplacé par ces propres enfants, tombera à l’eau. C’est comme ça qu’un pacte secret a été mis en place : Il fallait infiltrer l’opposition. Préparer un second tour entre Sassou – Kolelas.

    Un opposant inattendu :
    L’arrivé de Mokoko dans la course au pouvoir a tout changé. Tous les plans et projets ont été révisés. Il a bien été infiltré à Bangui, comment avant nous laissé échapper de telles informations ? Comment Léonard Essongo, avec tout le budget pour le surveiller a failli ? à toutes ces questions, nous ne pouvions répondre. Mokoko a toujours fait l’objet d’une surveillance particulière et accrue. Avec son arrivé dans la course, le projet du 2è tour à la présidentielle devait disparaître. C’est comme ça qu’est né le « Coup KO ». Il fallait commencer par l’intimider. La mission a été confiée à « Barack Obama » Philippe Obara qui chargea Jean François Ndenguet, ordres donnés par JDO. Grosse erreur, il ne fallait pas l’attaquer. Après cette attaque, tout ce que nous avons ventilé comme informations, que Mokoko était avec nous, qu’il jouait un double jeu, n’avait plus d’échos. Nous avons-nous même tué notre stratégie. Mouènè été très en colère.

    Changement de stratégie et perte de contrôle :
    Avec l’arrivée de Mokoko, C’est là que j’ai compris que Même Mouène avait peur de Mokoko. La machine a été mise en marche. Une machine aujourd’hui contrôlée par des personnes qui ne maîtrisent. Ils ont commencé par les problèmes de coup d’état et de guerres. Tout portait sur la sécurité nationale. Quelle sécurité ? Nous sommes jeté dans le jeu d’accuser tous nos voisins, RCA, RDC, Angola, Gabon et même les sud-africains, dans de prétendu préparation de guerre. Même nos propres frères d’armes sont devenus des suspects. L’armée c’est vu le retrait de son matériel de travail ; son armement. Le vrai problème c’est que Mouènè a perdu toute crédibilité chez les congolais, du nord au sud. Il fallait revoir les stratégies : Infiltration des opposants, surveillance, espionnage, intimidation, incarcération, soudoyez la population …

    Mon récit ne s’arrête pas là, vous aurez la suite si je vous juge digne de confiance. Le comment et les procédures vous seront révélés ….

    Pour l’instant je suis BRDiem, pour vous… »

    #Tic_Tac_Tic_Tac
    #Sassoufit
    #Insurrection_Citoyenne
    #Démocrates_Résistants

  3. Tant que NTUMI restera introuvable, les soudards de SASSOU-NGUESSO déployés dans le Pool pourront nourrir leurs familles en s’approvisionnant dans les champs des déplacés et en écumant tous les arbres fruitiers. En vérité cette traque de NTUMI n’en est pas une, bien au contraire.

    Tant que les populations resteront éloignées de leurs domiciles, les soudards de SASSOU seront les maîtres des lieux. A moins de les y déloger. Voilà pourquoi NTUMI doit les chasser du Pool s’il ne veut pas être tenu pour complice de SASSOU-NGUESSO.
    Alors, AUX ARMES LES NSILULUS !!!

  4. DIASPORA/PRÉSIDENTIELLES FRANÇAISES: MARC MAPINGOU CHEZ EMMANUEL MACRON ET POURQUOI FAIRE?
    Marc MAPINGOU, proche de la droite française et des réseaux francafriques gaullistes serait-il prêt à accompagner Emmanuel Macron? Qu’est ce que les deux hommes se sont dits après la rencontre ? Marc MAPINGOU a-t-il été introduit par ses amis et quels amis, du peuple congolais ou non?

    La maxime « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » attribuée à Antoine Laurent Lavoisier, est simplement la reformulation d’une phrase du philosophe grec Anaxagore : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ». Explications: http://congo-objectif2050.over-blog.com/2017/04/diaspora/presidentielles-francaises-marc-mapingou-chez-emmanuel-macron-et-pourquoi-faire.html

  5. Mon cher BRDième

    Vous faites malheureusement le médecin après la mort. C’est parce que nous sommes dans notre « République Bananière du Congo », sinon vous serez accusés de très haute trahison pour tout ce que vous avez fait. Tout ce que vous dites est pour moi une façon de montrer à l’opinion que les congolais sont bêtes, car il vous a été très facile de les embobiner, puisque personne, mais alors personne ne savait plus qu’il y a eu une Conférence Nationale Souveraine où ont été prises de très grandes décisions. Tout portait à croire que tout ce qui s’en est suivi était l’œuvre personnel du Président LISSOUBA… Enfin, tout ce que vous dites de toutes vos méthodes utilisées pour berner les congolais, en gros les tromper, l’opinion était bel et bien au courant. Mais vous vous étiez mués en véritables monstres dépourvus de toute âme et conscience. La vie n’avait plus pour vous aucun sens; le Congo n’existait plus pour vous; vous avez balkanisés le territoire du Congo; tout ceux qui était différents de vous n’étaient plus vos compatriotes, ils méritaient de disparaître, de mourir. Vous avez semé la graine de la déchéance du Congo en tant qu’État moderne sous l’inspiration de votre mentor dont le nom m’est une horreur, je n’aime pas citer son nom, car il me donne froid au dos; vous et lui vous êtes bonnet blanc – blanc bonnet; je veut dire tabac de la même pipe; de vulgaires assassins malgré tous vos apparats; la nature saura bien s’en charger de vous. Vous n’imaginiez pas un seul jour que vous serez amenés à faire de telles révélations quoi que revêtues du sceau de l’anonymat; c’est la nature qui régule toutes nos attitudes: actions, réactions… c’est comme certains organes de notre corps, Il y’ en a qui réagissent sous notre impulsion, mais d’autres fonctionnent naturellement; je sais que vous n’avez pas besoin d’être un génie pour comprendre cela. Un jour, lorsque vous atteindrez malheureusement votre état d’inconscience totale que vous croyiez impossible de survenir dans votre vie, le Maître de cet Univers vous confondra car vous serez amené à débité tout le mal que vous avez causé aux pauvres innocents. le tribunal de Dieu est imparable. Pavanez tant que vous pourrez, des comptes vous seront demandés.

    Quelque soit tout ce que vous direz pour vous justifier, vous avez fait du tord aux milliers des congolais pour un but inavoué pour lequel vous vous sentez avoir été mêlé par ignorance! Non mon cher, même mille ans ne sauront suffire aux congolais pour qu’ils oublient le tord que vous leur avez fait. Allez, continuez à débiter vos méchancetés et vos monstruosités pour divertir les gens, le peuple congolais, tout au moins ce qui en reste vous lira candidement, sans étonnement car il sait déjà tout de vos mesquineries: Vous n’êtes pas digne d’être un Soldat du Peuple, car vous n’en êtes pas Un. Vous méritez la potence.!

  6. ah bon president par interim du congo brazzaville ? que dit la constitution francaise sur les mouvements stupides genre yasser arafat mouvement palestinien...... dit :

    ce mouvement des ninjas doit s’arreter.nul nen a besoin. deja qu il avait commencer en 1993 et dure depuis.en 1993 ils avaient colnel aniciert duit willy massanga commandant camille en 1997 ils avaient pour chef ninjas herbert massamba aujourdhui c’est me daniel.entre nous.arretez ce mouvement. en 2021 que se passera t il?

  7. Les ex ninjas n’siloulous repentis ont fait le bon choix, celui de l’unité nationale et des valeurs républicaines. Vivre en clandestinité dans la forêt équatoriale pour déranger les animaux protégés, à l’instar du célèbre couple de pachydermes, est une attitude hautement irresponsable. Etre ninjas n’est pas iné mais on le devient, un ninja reste un citoyen congolais. A eux de tourner le dos au terrorisme et au tribalisme.

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