L’Afrique centrale, les deux Congo en l’occurrence, n’en finit pas avec ses luttes de pouvoir. Alors que dans les deux pays, les plaies d’hier sont loin d’être cicatrisées, Sassou Nguesso, trente-cinq au pouvoir qui semble en bout de course et Tshisekedi, qui y a accédé de manière insolite il y a moins de deux ans mais semble déjà saturé, se sont retrouvés pour la recherche de la potion du bonheur
À la recherche du bonheur, ou plutôt du bonheur de ses compatriotes pourrait-il préciser, informe le journal Africa Intelligence (ex La lettre du Continent), du mardi 10 novembre, le président Félix Tshisekedi de la RDC s’est déplacé au Congo-Brazzaville, sous le prétexte des obsèques de l’ancien président Yhombi, à la « recherche du soutien de Sassou », dans le bras de fer désormais ouvertement engagé depuis le 23 octobre dernier, contre son allié d’hier, Joseph Kabila. Un bras de fer attendu en fait, puisqu’inévitable, en raison d’une alternance simulée née fin 2018 (notre réflexion : « RDC : la rançon d’une alternance simulée », in Mediapart, 26 octobre 2020).
Une recherche du bonheur dont il n’a pas le monopole dans la sous-région car, autant après bientôt deux ans d’une présidence de blocage, de peaux de bananes, d’humiliation et de frustration, Tshisekedi, clairement réduit à l’inauguration des chrysanthèmes, en a ras-le-bol de cette symbolique présidence, autant Sassou Nguesso, sans perspectives positives (c’est un euphémisme), quasi non grata au sein de la Communauté internationale et traqué autant par une crise économique sans précédent, une lourde et anesthésiante dette, les institutions de Bretton Wood et la pandémie du Covid-19, s’ennuie lui également dans une tristesse infinie, presque une prison qui ne dit pas son nom.
Ainsi, et s’en doutant plus ou moins, Tshisekedi, en allant chercher une partie de son bonheur auprès de l’encombrant isolé qu’est Sassou Nguesso, indirectement, lui rapporte un peu de bonheur et, pour ainsi dire, comme le rappelle le journal, celui-ci « jubile à l’idée d’être une nouvelle fois au centre du jeu des conflits régionaux ». Le seul dossier Libyen dont il s’occupait au plan continental ayant clairement évolué en faveur de sa marginalisation, de la désuétude de ses services réellement symboliques jusque-là.
C’est donc, de façon évidente mais discrète, à la recherche d’une authentique « Danse de Zorba » que se sont lancés, se sont invités les deux protagonistes, danse caractéristique de ceux qui en ont marre de broyer du noir, de sombrer dans le blues, de tourner en rond, pour espérer retrouver un rebondissement ou tout au moins s’insuffler le bonheur d’un moment, comme le rappellent les extraits de ladite et célèbre chanson de Dalida : « …Si tu veux couvrir de rose tout ce que tu vois en gris, si tu es vraiment morose, vient danser le Sirtaki, si tu veux que disparaissent tes soucis et les tracas…, vient danser avec Zorba, vient danser pour qu’on oublie que le jour se lèvera... ». On l’aura compris, « La danse de Zorba » a tout l’air d’un placebo, au mieux d’un ‘énergisant’, d’une artificielle euphorie dont la technique en plus, parce qu’elle n’est pas tout à fait la rumba habituelle, n’augure rien de bon.
Et, en vérité, l’un et l’autre, Kabila comme Tshisekedi, savent que l’homme d’Oyo, la ville natale de Sassou devenue capitale de fait du pays, et où il les a reçu alternativement, est un authentique et subtil maître-chanteur, mais aussi un fieffé égocentrique qui, dans toute situation, pense d’abord et avant tout à lui-même pour conserver son pouvoir, et donner l’impression d’être un poids lourd de la sous-région, un incontournable auprès des Occidentaux qui tiennent absolument à conserver celle-ci dans leur escarcelle. Et s’il n’a pas le monopole de ce profil et de cette ambition, il n’a, surtout, jamais hésité à brûler son pays, à sacrifier de dizaines de milliers de ses compatriotes, à entretenir l’instabilité cyclique sous le prétexte de la paix, au profit de sa visibilité et de sa pérennité.
Ainsi, contrairement aux apparences, Félix Tshisekedi, fils et fidèle de son père Étienne, n’a pas grande confiance en Sassou qui n’en doute pas moins, mais est allé le voir pour deux raisons essentiellement :
La première, et en connaissance de cause des capacités de nuisance de son interlocuteur, lui donner l’impression de satisfaire son surdimensionné ego en lui faisant comprendre qu’il reste incontournable dans la sous-région et compte sur lui, alors que dans son for-intérieur il est convaincu que c’est un vrai couteau à double tranchant. C’est, ainsi, sans avoir sérieusement confiance, beaucoup plus pour espérer récolter quelque chose de ce qu’il a dans le ventre sur ce qu’il connaît des stratégies de son prédecesseur Kabila, mais aussi pour essayer de le dissuader de ne pas trop combiner avec son adversaire/ennemi, dans les étapes à venir où tout est possible, y compris la stratégie militaire. Car, depuis les indépendances, l’histoire de ces deux pays est celle, constante, de la marchandisation, de la rentabilisation et livraison des réfugiés et célèbres opposants, mais aussi, et en sens inverse, celle d’une éternelle base arrière des opposants de chacun contre les régimes établis en face. Un marché et un mécanisme qui ont pris une envergure particulière au milieu des années 90, avec la sous-régionalisation des conflits, dont les régimes de Mobutu, de Lissouba, de Patassé principalement ont payé les pires frais. Les dernières accusations, il y a un an en gros, du régime quadragénaire Équato-guinéen contre le régime Centrafricain établi, sont venues démontrer que les suspicions de voisinage sont et restent intactes. Paranoïa autocratique aidant en plus. Le maître-mot de fonctionnement de ces régimes étant la souveraineté instinctive et irrationnelle, tout en entretenant un discours panafricaniste formel et frénétique, pour tacler les vrais panafricanistes.
La deuxième, non moins déterminante, est inséparable de la première, Kabila lui-même étant passé par Oyo quand il était accablé par la fin de ses deux mandats et la forte pression internationale. Ainsi, tout en cherchant donc à comprendre ce qui s’était tramé entre les deux (Sassou et Kabila), Tshisekedi essaie de semer le doute auprès de Kabila, et donc le dissuader de toute initiative de force, en faisant miroiter l’idée que Sassou peut lui avoir révélé quelques ficelles de la mèche, et donc l’avoir conforté. Plus vraisemblable, et contrairement à la proclamation du journal selon laquelle Sassou « n’a jamais eu de proximité avec Kabila », tout dirigeant congolais-brazzavillois n’a pas de choix face au dirigeant d’en face, et doit toujours rechercher sa confiance au moins apparente car, si le Congo, selon ce numéro spécial de la revue Politique Africaine (numéro 31, 1988), est la « banlieue de Brazzaville », il reste, avec ses quatre millions et demi d’habitants à peu-près et ses 342 000 km², un petit poucet devant le mastodonte qu’est la RDC, plus de 84 millions d’habitants sur 2, 345 millions de km², et de centaines de kilomètres de frontière presque totalement hors-contrôle techniquement.
Capitales « les plus rapprochées au monde » selon la phraséologie officielle et courante, Brazzaville plus particulièrement, moins de deux millions d’habitants, apparaît ainsi comme une banlieue de Kinshasa qui en compte près de quinze millions, et nombreux mouvements et opérations contre les régimes successifs de l’ancienne capitale de l’AEF ont souvent été menés, on l’a dit, depuis l’autre rive. Clairement, c’est plus le pouvoir de Brazzaville qui a besoin d’être rassuré que l’inverse en raison de l’inégalité flagrante des rapports de force et des capacités de nuisance, les talons d’Achille du régime de Kinshasa actuel ne résidant essentiellement que dans la précarité du pouvoir de Tshisekedi contrairement à celui de Brazzaville depuis longtemps installé, dans l’existence d’un prédécesseur dont les velléités de retour sont sans équivoque et qui a conservé l’essentiel des manettes du pouvoir et, non moins important, dans l’instabilité territoriale chronique depuis un quart de siècle.
De façon rationnelle donc, c’est par le panier des gages de l’un à l’endroit de l’autre, et surtout le poids et le degré de collaboration des parrains extérieurs que se régleront, pour ne pas dire se dicteront les arrangements entre les deux guidés et exécutants (Tshisekedi et Sassou) des puissances extérieures. Pour la petite et récente histoire, l’on se rappellera qu’au lendemain de la parodie de présidentielle de fin 2018 en RDC qui avait débouché sur « l’alternance simulée » entre Kabila et Tshisekedi, Jean-Yves Le Drian qui, avec d’autres puissances occidentales, avaient déjà jeté leur dévolu évidemment intéressé sur Martin Fayulu (le candidat de la Plate forme de l’opposition), proclamera, dépité, qu’ « il semble bien que les résultats proclamés ne soient pas conformes à ceux que l’on a pu observer ici ou là », puis de prolonger que « L’élection s’est achevée finalement par une espèce de compromis à l’africaine ». Trois mois après, et suite à sa réception à Kinshasa par Tshisekedi désormais installé comme président, c’est le discours contraire qu’il tiendra : « il y a eu une alternance,… Je la constate avec plaisir. Il y a eu une vraie élection démocratique validée par la Cour constitutionnelle et validée par l’Union africaine. Et cette alternance, qui est effective, se concrétise aussi par des actes. Ce n’est pas uniquement une alternance du discours »!
C’est dire comment et combien, à partir de sa nouvelle position, du trophée présidentiel acquis, Tshisekedi s’est attelé à l’exploiter au maximum, en appâttant ses détracteurs d’hier (camp occidental), en desserrant et perturbant les nœuds et réseaux tissés par Kabila dans l’appareil administratif, militaire et judiciaire (c’est l’objet des ordonnances de nomination de juillet dernier, qui a déclenché la colère du Premier ministre et de la majorité FCC dont le clou a été l’appel à la nation de Tshisekedi le 23 octobre pour une ‘Union sacrée‘) avant de quitter le pouvoir, en ressuscitant l’accord avec ses anciens associés de la « Plate forme de l’opposition » de Genève qui lui avait préféré Martin Fayulu comme candidat mais, cette fois-ci avec lui perché au pouvoir et donc au cœur du jeu politique, en théorisant « Une union sacrée de la nation » ; et, enfin, en l’occurrence, en esquissant l’anesthésie de l’une, et éventuelle, de ses bases arrières, le Congo de Sassou Nguesso.
Toutefois, Tshisekedi qui est resté longtemps avec son radical et rusé père sait que, quand il aura tourné le dos, Sassou laissera peut-être languir un peu Kabila pour voir et comprendre comment il réagit suite à cette visite, façon de monter les enchères, mais que par personne interposée, il s’empressera de faire comprendre à l’ex qu’il n’a peut-être pas lâché le morceau, mais que lui a intérêt à se reprocher de ses relais, pour des stratégies ultérieures qui, en définitive, se détermineront en fonction du plus offrant dans les gages de sécurisation et de consolidation du pouvoir, toujours.
C’est, peut-on déduire, le vrai règne de la supercherie car, chacune des trois parties sait qu’il ne faut pas gober et prendre pour argent comptant ce que l’autre lui dit, l’essentiel reposant uniquement, on l’a dit, sur le poids et la quantité de gages que chacun consentira à l’autre dans la conservation de son pouvoir.
Ainsi fonctionne t-on dans la sous-région des dictateurs où petits mensonges, petites trahisons, chantages, manipulations et gages sont et restent les vrais maîtres-mots ! Si, comme le rappelle et pas à tort le journal, le bras de fer Rdcien peut permettre à Sassou Nguesso, désormais relégué pour une durée indéterminée dans la morosité et l’ennui, de retrouver du service, « d’être une nouvelle fois au centre du jeu des conflits régionaux », c’est-à-dire de revivre l’euphorie toujours par lui recherchée quel qu’en soit le prix, il n’est pas saugrenu de se demander pourquoi devrait-il volontairement raccourcir ce merveilleux moment, arrêter « la danse de Zorba » pour vite rechuter dans l’ombre et au placard ! La logique et l’expérience dans la sous-région ne démontrent-elles pas que c’est par les crises dont la sous-région est la presque terre d’élection qu’il a toujours réussi à minimiser au plan international sa propre toxicité, réguler et asseoir son pouvoir, et justifier encore son ‘savoir-faire’ et sa pérennité ! Tel fut principalement le cas entre 1997 (année de son retour criminel et sanglant au pouvoir) et 2001 justement où l’instabilité et la grave crise de la RDC, les déboires de Kabila père consécutives au renversement de Mobutu et aux caprices de ses alliés, lui avaient servi de paravent pour autant occulter les dizaines de milliers de crimes dans son pays que pour réussir à asseoir son pouvoir. C’est, ainsi, une aubaine pour le pouvoir Congolais qu’au moment où il est dans une impasse économique et politique, une fois de plus la RDC s’apprête à déterrer sa hache de guerre et, l’on imagine qu’il ne peut que s’en frotter les mains. Comment pourrait-il ne pas espérer se jouer des jeunes loups que sont Kabila Jr et Tshisekedi Jr à son profit, lui qui est passé expert dans le genre dans son pays mais aussi dans la sous-région, c’est un secret de polichinelle.
Une chose est sûre, il y a de fortes chances que ça tangue au royaume de la rumba, avec la délectation de certains car, « L’Union sacrée » recherchée par Tshisekedi ne veut pas dire grand-chose tant que le FCC sous la houlette de Kabila reste uni et formellement majoritaire au parlement et dans les provinces. Il en demeurera ainsi même si Tshisekedi réussit sérieusement à ressusciter la Plate forme de l’opposition constituée à Genève. Encore faut-il que Martin Fayulu ait entre-temps digéré la trahison de Tshisekedi puisque, si ce dernier pourrait se targuer que c’était la meilleure stratégie pour destituer ou bousculer Kabila de la présidence et se retrouver dans la meilleure position sans ‘casser les œufs’ (même s’il a gardé quasiment tous les pouvoirs), Fayulu peut, à bon droit, lui opposer qu’il n’aura récolté que ce qu’il a mérité : une présidence sans prérogatives ou presque.
Plus fondamentalement, et politiquement, après la rude cohabitation nigérienne qui s’est brutalement terminée par la prise du pouvoir par l’armée en 1996 sous la houlette du général Ibrahim Baré Maïnassara (dont on connaît aussi la fin tragique en avril 1999), après le choix de l’ex- président Pascal Lissouba avait lui opté en début de mandat de dissoudre l’assemblée pour obtenir une majorité parlementaire claire, avec les dérives connues ; après encore l’issue tragique de la cohabitation inaugurée par Kasa Vubu et Lumumba dès l’indépendance et qui s’est soldée on le sait par l’assassinat de ce dernier et ses compagnons et l’arrivée des militaires au pouvoir, après le choix fin 2018 d’une « alternance simulée », une cohabitation de raison dont le président Tshisekedi aujourd’hui vit et récolte les déboires, avec de perspectives incertaines, se trouve encore posé le problème de l’aménagement des institutions politiques en Afrique, dont on ne peut que constater que l’on est encore loin d’avoir trouvé la potion. La situation en RDC n’augure pas de bonnes perspectives intrinsèquement et pour la sous-région, c’est macroscopique. Si de la rumba traditionnelle et déphasée en l’occurrence, l’on est passé à « la danse de Zorba » qui n’est pas tout à fait dans les habitudes de ces pays, le réveil, après l’euphorie artificielle suscitée par la rencontre d’Oyo, reste une grande et risquée inconnue….
Felix Bankounda Mpele
SES DEUX IDIOTS SYMBOLISENT TOUTE LA HONTE DE L’AFRIQUE.
LE QUOTIENT INTELLECTUEL D’UN GROUPE EST EGAL A CELUI DU PLUS IDIOT DE SES MEMBRES
CETTE PENSÉE S’APPLIQUE SANS AMBIGUÏTÉ AU p.c.t.. LA COURBE DES VALEURS IMMORALES DE L’IDIOT sassou RESSEMBLE À CELLE DES DIPLÔMÉS DE CE parti AYANT UN CERVEAU À L’ENVERS.
POURQUOI LES RÉVELATIONS D’UN PROCHE DU TYRAN SASSOU DENIS INQUIÈTENT-ELLES SON CLAN ET LE PEUPLE? https://www.youtube.com/watch?v=QSdJl8A2HMU
LE QUOTIENT INTELLECTUEL OU D’INTELLIGENCE D’UN GROUPE ET VOIRE D’UN PEUPLE EST EGAL A CELUI DU PLUS IDIOT DE SES MEMBRES QUI EST A LA TETE DE CE GROUPE OU DE CE PEUPLE… LA MOBILISATION, LA SENSIBILSATION ET LA CONSCIENTISATION NE DOIVENT PAS FAIBLIR SI NOUS VOULONS LAISSER UN HÉRITAGE MEILLEUR À NOS GÉNÉRATIONS FUTURES. C’EST NOTRE DIGNITÉ QUI DOIT ÊTRE LE MOTEUR DE CET HÉRITAGE…. https://www.youtube.com/watch?v=QSdJl8A2HMU
L’Afrique va changer avec la nouvelle génération des africains. La classe politique française jusqu’ici connectée sur les logiciels laissés par Charles De Gaule, un général aidé par les africains pour libérer son pays secoué par les bombes allemandes mais qui a instauré un sysrème inique pour soumettre les peuples d’afrique à l’ esclavagisme qui ne dit pas son nom. Oui l’afrique va changer. La classe politique française pense que les africains ne comprennent pas ce que les acteurs français font contre eux. Mais c’est bien faux! Le système de la maffia franeafricaine est bien compris par une large majorité des jeunes africains. Le jours où tous ces jeunes, (aujourd’hui divisés par les marchands d’illusion installés par la puissance coloniale pour diriger leur pays depuis des decennies sans des resultats probants9, se mettront d’accord pour former un bloc pour défendre leurs intérets vitaux, ce sera en même temps l’acte de dècès de la Franceafrique. Et la France retrouvera sa vraie place qui est la sienne au coeur de l’Europe: Un pays du tiers monde comme l’avait dit l’ancien ministre de italien Luiggi Di Maio, Les africains comprennent bien ce que la racaille et corrompu classe politique française ait contre eux. Voilà il y a un certain nombre d’années, Mr Sarkozy balleyait d’un revers de la main les propos de Ziad Takieddine l’accusant d’avoir reçu de l’argent lybien de ses mains. Devant cette accusation Nicolas Sarkozy disait même qu’on ne pèut pas avoir foi à ce franco libanais, homme sulfureux accusé et condamné dans l’affaire KARACCHI. Il y a quelques jours Takieddine est sorti dans les media pour balleyer en 32 secondes les accusations qu’il avait faites contre l’ex president français. Ce dernier est meme sorti dans les media pour reaffiermer son innocence, cette fois ci partant des propos de Takieddinehie hier qualifié de sulfureux. Qu’ a cela ne tienne, on com prend que les media français veulent se servir de l’entretien de 32 secondes pour blanchir sarko. Peine perdu, la justice fait son travail. Mais on sait bien que les 32 secondes de Takiedine on été cherement achetées en echange de son silence. Il s’agit d’un vrai cinema. Pour cela je voudrais encourager les africains à ne pas se laisser emporter par la compagne mediatique des sulfureux media classiquesfrançais qui soutiennent des dictateurs africains à coup des dizaines de centaines d’euros pour enfumer les gens avec des mensonges. Mieux suivre ce qu’affirme Fabrice Arfi, un journaliste de Mediapart qui a publié un youtube sur ce dossier en relevant avec des indices bien probants le comportement sulfureux de l’ex chef de l’etat.
RDC: L’artiste musicien Tshiala Muana ( pros KABILA ) sort une chanson contre Felix TCHISSEKEDI ( Sans le citer nommément)intitulée INGRATITUDE . Cette dernière serait aux arrêts depuis ce matin ( 11h ) par les services de l’ANR ( agence nationale de renseignement – les services secrets de la RD-CONGO KINSHASA). RDC : la chanteuse Tshala Muana arrêtée/
GÉOPOLITIQUE CONGO-B/RD: TSHALA MUANA DEZINGUE GRAVE FÉLIX TCHISSEKEDI POUR INGRATITUDE A J. KABILA: https://www.youtube.com/watch?v=qNOMN9_VEeA
MON CHER Jean OKOMBA
sarkhozy A DÉJÀ ÉTÉ JUGÉ PAR LA VRAIE JUSTICE. C’EST UN BLANC MAL ÉDUQUÉ TOUT COMME TOUS LES présidents français QUI NE SONT QUE DES RACISTES ET DES CRIMINELS.
CE N’EST PAS LEUR PROPRE JUSTICE QUI PEUT CONDAMNER CES MAL ÉDUQUÉS.
ACTUELLEMENT, NOUS AVONS AFFAIRE AU COUPLE (macron ; j.y. le truand) QUI A REMPLACÉ LE COUPLE ( de gaulle ; focart). DES MONSTRES QUE LA france SAIT CRÉER.
MOBILISONS, SENSIBILISONS ET CONSCIENTISONS NOS JEUNES POUR LEUR DONNER PLUS D’ESPOIR QUE NOUS.
LA RDC EST DANS LA MÊME DISTRACTION QUE NOUS EN RC PENDANT QUE LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS NOUS PONDENT DES VIRUS ET NOUS PILLENT.
LA SEULE DIFFÉRENCE EST QUE LA RDC EST AU REZ-DE-CHAUSSÉE ET QUE LA RC EST AU SOUS-SOL .
En principe la coopèration èconomique entre les deux CONGO devrait être renforcèe…comme l’ont fait la FANCE et l’ALLEMAGNE….
Nous avons pratiquement les mêmes peuples: Bangâla, Batèkès, BAKONGO….un même fleuve Congo, les deux capitales les plus rapprochèes du monde…..
L’AKP-23MARS 1970 EXIGE le renforcement de cette coopèration èconomique, monter des projets de dèvèloppement commun dans les domaines les plus variès , construire des infrastructures èconomiques communes…telles que les ponts sur le fleuve , des compagnies de transport communes , des institus,.une universitè ….èchanges des chercheurs….des mèdècins….bref faire des investissements pour le bien des.deux Congo.
Je demande aux autoritès des deux Congo de murir cette rèflexion….
BANZOUZI KIGANGA Guy-Macaire
Pdt de l’AKP-23 MARS 1970.
Peuple Congolais, c’est une chance d’avoir La RDC proche de nous:
***Forte dèmographie près de 70millions d’habitants
***Un pays ayant des ressources minieres abondantes à savoir Diamant, or , cuivre, colbat….
L’AKP-23MARS 1970,. Est persuadè que la RDC avec une èconomie forte, et vues ses ressources va facilement booster le dèveloppement de toute l’Afrique centrale.
Dans le monde ,il ya des pays qui entrainent les autres pays, tels que l’Allemagne en Europe de l’Ouest,.les USA en Amèrique, la Chine en ASIE….
Peuple du Congo, pour illustrer ma thèse, je prends l’exemple de la culture musicale, entre KOFFI et Pierre MOUTOUARI, qui vendra plus sa production misicale ? La rèponse est koffi, parceque ,ce dernier a 70 millions d’habitants…et pierre MOUTOUARI sur le plan National n’a que 5 Millions d’hBitants.
Oui conjugons nos efforts dans l’Unitè èconomique des deux CONGO, et non dans la division parfois même tribale.
Non…oublions le tribalisme….oeuvrons pour l’Unitè èconomique des deux CONGO…OUBLIONS NOS EGAUX….
Certains nous rèpliquent….vous voulez cette unitè des deux Congo, car c’est la rèsurction du ROYAUME KONGO, et nous les NORDISTES..quelle sera notre place…rire!!!, comme si les Bangala, les Tèkès…n’existent pas en RDC.
Donc après nous unifièrons l’ANGOLA par le CABINDA ,rire !!! Même le pont sur le fleuve Congo devra se faire au NORD CONGO pour ne pas faire la jonction entre les Bakongo des deux Congo….ça fait mal à la tête de telles idèes.
BANZOUZI KIGANGA Guy-Macaire.
Pdt de l’AKP-23 MARS 1970.
Maitre spirituel des esprits et très connue pour mes travaux occulte je suis disponible pour résoudre tous vos problèmes tel-quel soit
1:Retour affectif
2:Parfum de chance
3:Talisman de protection
4:Rituel d’attirance clientèle
5:Savon de chance
6:Gagner aux jeux de Loto
7:Bague de richesse
8:Porte monnaie de richesse
9:valise de richesse
10:Comment Guérire du faiblesse sexuelle
Tel:22967689066
Ne répondez pas à l’imbécile Antoine Djaffa ça l’instruit
On apprend toujours des expériences des uns et des autres. Congolais, commencer par monter et diffuser des vidéos ce genre , c’est à dire adaptée à l’enjeu DSN dégage d’ici mars 2021. https://www.youtube.com/watch?v=m__Fj7uziwQ
OUI, Jean de dieu.
IL SYMPA QUAND MÊME, NOTRE MARABOUT.
C’EST MON PETIT FRÈRE thiery moungala.
TU ÉTAIS OÙ djaffa?
TON COÉQUIPIER L’IDIOT sassou EST DOCTEUR.
OUF! ENFIN UN DIPLÔME POUR L’IDIOT DES sassou., FÉLICITATIONS POUR LES ACHATS D’ARMES POUR SÉCURISER SON DIPLÔME.
J’ESPÈRE QUE SON COMPLEXE D’INFÉRIORITÉ VA PRÉNDRE FIN ET QU’IL VA DÉCIDER DE SE SUICIDER.
MON CHER djaffa, L’IDIOT sassou CHERCHE UN DIRECTEUR DE W.C. TA CANDIDATURE EST LA BIENVENUE. IL NE FAIT PLUS BEAUCOUP DE CONFIANCE AU TRUAND j.y. le drian ET À macron POUR DES RAISONS D’ÉDUCATION.
EN EFFET, LA LETTRE DU MAL ÉDUQUÉ macron À L’IDIOT ouattara A LEVÉ TOUS LES DOUTES DE L’IDIOT sassou SUR L’IMMORALITÉ DES HOMMES POLITIQUES français.
DENIS SASSOU NGUESSO: FÉLICITATIONS POUR LES ACHATS D’ARMES POUR SÉCURISER TON DIPLÔME « DOCTEUR HONORIS CAUSA » https://www.youtube.com/watch?v=QnQ_IQ8OpK4
Non mes chers compatriotes je viens d’avoir des rèactions de certains CONGOLAIS ….qui me disent que ma demarche militite pour le retour du Royaume KONGO pour exclure nos frères du Nord Congo. De la disparition du Congo au benèfice de l’autre congo et au BAKONGO…
L’AKP-23 MARS 1970 par ma voix rassure mes compatriotes :
Le Congo est et restera jamais indivisible, nous demandons juste une coopèration èconomique plus active avec ce pays et non pousser hors certains Congolais.
Nous sommes persuadès à un effet DOMINO sur tous les domaines si nous bossons ensemble(.Reflèchissons sur le couple FRANCO-ALLEMAND.)
Sur le plan politique:
*** si la dèmocratie plurielle s’active correctement en RDC , les partis politique , les institutions , la presse, la justice….fonctionnent bien en RDC , il y aura un effet Domino chez nous.ça sera un exemple à suivre.
**** Sur le plan èconomique
Le rapprochement des deux Congo favorisera les èchanges commerciales à la base , les mamans vendront les marchandises par tonne vers la RDC.Nous augmenterons la production dans tous les domaines de l’èconomie.
Oui on peux travailler hors CEMAC, la france a consttuit le tunnel sous la manche, pendant que Londres est hors UNION EUROPEENNE.
ON ne se dèvoppe pas avec une faible dèmohraphie.de 4 millions d’habitants, oui chers compatriotes la dèmographie est facteur de dèvèloppement.
Au sommet , nous construiserons des projets communs dans les domaines variès de l’èconomie. On mettant ensemble nos ressources humaines , les finances….
Imaginez que les deux Congo construisent le barrage d’Inga…nous vendrons l’Elèctricitè hors AFRIQUE CENTRALE.ça nous gènèrera des dèvises….
Ce n’est pas un problème d’un dèpartement le barrage entre les deux congo.même si ,le pool se dèveloppe avant les autres dèpartements mais c’est le Congo.je cite l’ancien Prèsident LISSOUBA Pascal , lorsqu’il dèclare ***LE POOL EST LA LOCOMOTIVE DU CONGO****, SI le pont sur le fleuve congo se construit vers MBANDZA NDOUNGA DANS LE POOL , ça sera pour le bien de notre beau pays.
Non mes chers compatriotes , l’AKP-23 MARS 1970 defendra bec et ongles l’unitè du congo , une façon d’honorer le.HEROS NATIONAL KIGANGA Pierre.le grand dèfenseur de la dèmocratie plurielle.qui s’est sacrifiè , pour le retour du processus dèmocratique au CONGO BRAZZAVILLE.
2021, 4EME COUP KO CONTRE LE PEUPLE CONGOLAIS, DENIS SASSOU NGUESSO, RÉÉLU A 97, 21% ET POURQUOI?
Après son coup d’état sanglant francafrique du 5 juin au 15 octobre 1997 dont les conséquences sont toujours d’actualité ; le dictateur Denis Sassou Nguesso s’était offert en toute impunité avec orgueil et rébellion, une période de transition politique flexible liberticide, antidémocratique, antisociale, criminogène et génocidaire de 5 ans entre 1997 et 2002.
Son 1er hold-up électoral date de 2002, le second de 2009, le 3e de 2016 et le quatre est en cours de préparation pour le mois de mars 2021 et pourquoi?
2021, 4EME COUP KO CONTRE LE PEUPLE CONGOLAIS, DENIS SASSOU NGUESSO, RÉÉLU A 97, 21% ET POURQUOI? https://www.youtube.com/watch?v=FJzB8rQ4Jbo