Congo : le péage de la discorde

C’est officiel : depuis le 28 février dernier, au Congo, le péage est désormais effectif sur la route nationale numéro 1 entre Brazzaville et Pointe-Noire sur 511 kilomètres.

Les usagers et transporteurs routiers doivent payer des sommes comprises entre 1 500 F CFA (un peu plus de 2 euros) pour les véhicules légers et 40 000 F CFA (près de 60 euros) pour les poids lourds. Dans un premier temps, les tarifs de lancement ont été réduits de 50 %.

La gestion du péage routier est attribuée à La Congolaise des Routes (LCR), une société concessionnaire congolaise de droit privé.

Les objectifs affichés de l‘État congolais sont : “l’amélioration des services déjà existants, l’entretien permanent des infrastructures pour optimiser et maximiser la sécurité de tous les usagers de la route, etc.”, affirme l’institution.

Toutefois, Unicongo (le principal syndicat des patrons du Congo) émet des réserves. Chiffres à l’appui, ce syndicat soutient que la taxation du péage sur la route nationale numéro 1 entre Brazzaville et Pointe-Noire est de loin supérieure, aux prix pratiqués dans les autres pays d’Afrique centrale et de l’Ouest.

Unicongo redoute même à la longue une inflation généralisée à Brazzaville et dans le nord du pays. La destruction du tissu économique local est aussi redoutée par les patrons du Congo.

Jean David MIHAMLE

 

1 thought on “Congo : le péage de la discorde

  1. LES PÉAGES NE DOIVENT PAS EXISTER AU CONGO.

    L’UTILISATION GRATUITE DE TOUTES LES ROUTES DOIT ÊTRE L’UN DES ÉLÉMENTS DU PARTAGE COLLECTIF DES RICHESSES DU PAYS.

    IL EN VA DE MÊME POUR L’ENSEIGNEMENT ET LE SYSTÈME DE SANTÉ QUI DOIVENT AUSSI ÊTRE GRATUITS.

    SATAN NGUESSO EST VENU POUR TUER LE CONGO.

    TOUS LES CONGOLAIS JEUNES ET VIEUX DOIVENT CHERCHER NUIT ET JOUR COMMENT LE TUER…. AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD.

    MILITAIRES DU CONGO : ABATTEZ BIEN VITE CET IDIOT ET ASSASSIN NOTOIRE, SINON C’EST VOUS QUI ALLEZ MOURIR COMME DES MOUCHES DANS DES HÔPITAUX MOUROIRS.

    SASSOU EST LA HONTE DE L HUMANITÉ

    UNE VRAIE MERDE,

    TOUFFI YA POULOU-POULOU

    YEZA

    ZOBA

Laisser un commentaire