Du rififi à l’opposition : Pascal Tsaty Mabiala répond à Charles Zacharie Bowao

16 thoughts on “Du rififi à l’opposition : Pascal Tsaty Mabiala répond à Charles Zacharie Bowao

    1. Chè(e)r(e)s compatriote(s),

      Si Pascal TSATY MABIALA mettait autant d’effort contre le putschiste SASSOU que dans l’insultes et l’obscénité à l’égard de ses partenaires de l’opposition, il aurait déjà chasse ce putschiste et pris le pouvoir. Membre de la bande des quatre, Pascal TSATY MABIALA a passé son temps durant les 5 ans de règne de LISSOUBA à insulter au point d’avoir dégouter notre peuple qui a regardé en spectateur le putschiste SASSOU les chasser du pouvoir. A chasser le naturel, il revient au galop. Mais le serpent noir est plus impressionnant que dangereux. SASSOU, le charmeur de serpents, le sait. Voilà pourquoi il l’envoie en mission téléguidée. Et pour cause ?

      L’enjeu actuel pour le régime putschiste de Brazzaville est de décrocher un programme de soutien du FMI qui lui avait, dit-on, demandé ce que son gouvernement faisait au temps chaud et qui lui avait réclamé un dialogue avec ses opposants, l’arrêt de la guerre dans la région du POOL, la libération des prisonniers politiques et une transparence totale sur les comptes publics comme conditions pour emprunter de nouveau. Or la date fatidique de la prochaine mission du FMI (Janvier 2018) approche inexorablement. D’où l’agitation actuelle qui lui permettra de faire bonne figure. Pour cela le putschiste a misé sur trois chevaux.

      Le premier a pour objectif de faire croire aux émissaires du FMI à un semblant d’ouverture du jeu démocratique. D’où l’instrumentalisation actuelle de Guy-Brice Parfait KOLÉLAS et de Pascal TSATY MABIALA momentanément autorisés à donner des conférences de presse pour donner des gages démocratiques aux émissaires de Christine LAGARDE. Les officines du pouvoir excellent dans la manipulation de ces opposant de pacotille. Là où le bât blesse, c’est que ces opposants en hommes de paille s’illustrent beaucoup plus comme des opposants à leurs supposés collègues de l’Opposition que comme des opposants au pouvoir de SASSOU. Seulement, on peut tromper le peuple une fois mais pas tout le temps » selon la sentence bien connue.

      Le second cheval du putschiste a pour objectif de faire croire à la fin des hostilités dans la région du Pool. D’où l’instrumentalisation de Joachim MBANDZA, ancien directeur du journal La Semaine, en mission commandée pour négocier la sortie des Ninja que le régime a lui-même fabriqué. Mais la veste extra-large dans laquelle Joachim MBANDZA est noyé et les sourires narquois de ces faux ninjas ne trompent personne. Quant à Joachim MBANDZA, nul doute qu’il finira tôt ou tard sa vie comme BOUISSA MATOKO (un autre émissaire de SASSOU dans la région du POOL).

      Par ailleurs, ceux qui suivent régulièrement Télé Foufou savent que certains réfugiés de guerre sont actuellement priés de regagner KINKALA où le gouvernement MOAMBA a prévu d’amener les émissaires du FMI pour la mise en scène d’un retour à la paix dans la région du POOL. Intelligemment, nos compatriotes ont pour l’instant décliné l’offre heureusement en arguant la présence militaire qui reste omniprésente dans la région et des habitations inexistantes car toutes détruites par l’Armée du général OKOÏ.

      Ne reste plus que le troisième cheval qui tarde à être lancé. Pour l’heure, le putschiste n’entend pas laisser s’échapper les plus gros poissons de la taille de MOKOKO, OKOMBI ou Paulin MAKAYA. Nul doute que le régime attend la dernière minute pour faire semblant de libérer leurs seconds couteaux et trahir ses engagements une fois l’argent du FMI empoché. « Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute » selon le renard qui a réussi à empocher successivement le PAS (86), le PAS renforcé (88) et le PPTE (2010).

      Le Militant de la Résistance rappelle à nos compatriotes de l’intérieur et de la Diaspora de ne pas s’endormir, de se remobiliser pour barrer la route aux fossoyeurs de la République de faire à nouveau mains basses sur les caisses de l’Etat. Ce n’est pas le moment de relâcher les efforts qui portent déjà de beaux fruits. Notre peuple doit se lever pour une fois pour toute faire tomber l’unique fruit pourri de ce bel arbre qu’est le Congo.

      Chè(e)r(e)s compatriote(s), le putschiste SASSOU II sait ce qui l’attend car il est coupable de haute trahison. Ses complices (collabos et autres accompagnateurs) seront pourchassés sans ménagement. Ces traitres seront châtiés sans pitié, quelles que soient leurs appartenances régionales, ethniques, tribales ou familiales. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

      La Sentence

  1. NTSAFOU MABIATA a été, est et restera UN TRAITRE !

    INTERVIEW DE DIVERTISSEMENT FACE AUX GRANDS ENJEUX URGENTS ET PRESSANTS DE LA NATION TELS QUE :

    – Fermeture du CHU

    – Non paiement des bourses des étudiants, des salaires des fonctionnaires et des pensions des retraités.

    – Dette du Congo à plus de 120 % (et dépassant les 220 %).

    – Disparition injustifiée de l’épargne pour les générations future, dilapidée sans vergogne… ETC, ETC.

    Ntsafou Mabiata est un traitre qui a vendu le siège de son parti dont il a empoché la plus valu et qui vient divertir l’opinion publique par une interview dithyrambique, vide de fondement et formellement NULLE.

    Une seule démonstration suffira à démonter cet IMPOSTEUR DE MABIATA

    QUESTION .

    * QUELLE EST L’ENNEMI PUBLIC NUMERO UN AU CONGO ?

    REPONSE :

    * SASSOU NGUESSO et SON CLAN, et non Charles Zacharie BOWAO.

    Alors pourquoi cette charge pathétique contre BOWAO ?

    Plutôt que de venir blablater inutilement contre un autre opposant, QUAND EST CE QUE le bonimenteur MABIATA fera t’il une interview dénonçant les multiples hautes trahisons nationales de Sassou et son clan ?

    CONCLUSION :

    – MABIATA EST UN LÂCHE !

    – MABIATA EST UN VENDU !

    – MABIATA EST UN TRAITRE !

    QUI NE DUPERA PERSONNE !

    LE CONGO TOUT ENTIER SAIT DÉJÀ QUI VOUS ETES ET N’EN A CURE DE VOS CAQUÈTEMENTS INUTILES DE COQ DANS LA BASSE COUR DES CORROMPUS ET COMPLICES DE SASSOU NGUESSO.

  2. Chers compatriotes,

    Tous les propos tenus par Pascal Tsaty Mabiala dans son interview m’ont provoqué une indigestion aigue. Son argumentaire a ressemblé plutôt à un réquisitoire contre le passé politique du porte-parole de l’Opposition qu’à une offre de vision politique contemporaine afin de sauver la nation congolaise du fond du caniveau où il patauge à présent. En chacun de nous il existe un passé et qu’importent les comportements négatifs ou positifs de son temps, il est cependant louable qu’un intellectuel du calibre de Bowao se sente interpellé par la souffrance que vit la nation congolaise et qu’il se voit invité à côté de son peuple pour l’accompagner à braver un tyran. Qu’en déplaise à Mr Pascal Tsaty Mabiala , qui du reste a pris curieusement assez de temps pour ne parler que du passé du Prof Charles Bowao comme compagnon de Sassou Nguesso, mais a su passer outrageusement sous silence son propre passage très actif à l’école du PCT du temps où il fut le chef formateur des cadres de ce parti-état . Le bossu ne voit jamais sa bosse dit un adage.

    Tsaty Mabiala compte plus d’amis dans le PCT que dans son propre parti UPADS. Alors chercher à comprendre les ramifications qui existent entre lui et le clan Sassou. Blanc bonnet, bonnet blanc.

    Pascal Tsaty Mabiala est un tribaliste-né de la même trempe que Parfait Kolelas et Sassou Nguesso. Ces trois politiciens ont réussi à instaurer le tribalisme comme mode d’exister politiquement et aussi de gouvernance au Congo. Ce sont eux, les trois démons qui ont détruit la jeune démocratie congolaise. Ils ont réussi à aiguiser la peur envers autrui entre frères et sœurs congolais avec maestro dans toutes les régions où leurs partis ont des assises. La dynamique de la démocratie congolaise peine à s’incruster dans nos mentalités à tous les niveaux du nord au sud et de l’Est à l’ouest grâce à eux. Leur mode opératoire, qui caractérise d’ailleurs l’essentiel de leur dénominateur commun, fait de ces 3 gangsters les architectes du repli identitaire régional, comme équation électorale dans notre pays. Le régionalisme est cultivé par ces 3 bandits comme étant le meilleurs fond de commerce afin d’obtenir politiquement gain de cause. Les compassassions mercantiles pour services rendus vont bon train lorsqu’on peut se prévaloir être en mesure de contenir la furia de son électorat-tribal ou régional.

    Ces trois personnages sont les fossoyeurs de la cohésion nationale. Ils ne doivent leur existence qu’à l’appartenance tribale et régionale. Le Congo se porterait nettement mieux s’ils n’existaient pas.

    Pascal Tsaty Mabiala, Parfait Kolelas et Sassou Nguesso resteront gravés dans nos mémoires comme étant le tabac de la même pipe. Ils ont eu une très mauvaise grille de lecture de la nation congolaise. Ils ont créé le principe de diviser pour mieux régner dans sa région. Tous les trois n’ont pas du tout apprécié le score qu’avait obtenu le Général Jean Marie Michel Mokoko lors des dernières présidentielles. Le général a été plébiscité dans les régions acquises par Tsaty Mabiala, Kolelas et Sassou. Toute honte bue, les 3 leaders-tribalistes ont déployé toute leur ruse en usant les cordes du repli identitaire pour semer les divisions au sein de la majorité républicaine qui s’était prononcée en faveur et autour du général Mokoko.

    Tous les congolais ont été pris à témoin lorsque l’ IDC-FROCAD et la composante J3M n’ont pas pu obtenir une mobilisation maximale pour revendiquer la libération de tous les prisonniers politiques. . Tsaty Mabiala et Brice Parfait Kolelas ont joué les idiots utiles à la démobilisation des masses à Brazzaville et dans tout le Congo.

    Nous avons depuis longtemps compris ce sale jeu et le sort de ses deux traitres dès le départ de Sassou sont aussi déjà connus. Ils seront arrêtés et jugés pour haute trahison.

    Pascal Tsaty Mabiala ne pouvait que reconnaître la victoire de Sassou au vu des services que ce dernier lui a rendu. Il était rentré en 2005 de son exil grâce à ses étroites relations avec une cohorte des dignitaires du PCT. Les consignes de sa rentrée préalable au Congo étaient claires. Sassou voulait régner longtemps avec quiétude, déjà en 2007 Tsaty Mabiala savait que Sassou voulait changer la constitution, et il lui fallait un idiot utile pour neutraliser l’UPADS. Il avait mission de récupérer le plus grand parti de l’opposition afin de le dompter de l’intérieur. Vous verrez que le PCT de Sassou tout comme l’UPADS de Tsaty Mabiala évitent les débats contradictoires au sein de chacun de ces partis. Les universités tout comme les congrès ne sont pas les bienvenus. Vous me direz drôle de démocrates ces deux-là : Tsaty Mabiala et Sassou Nguesso.

    Leur mode opératoire est l’opacité. Tsaty Mabiala est tellement tribaliste, que vous ne le verrez jamais aller dans une contrée du nord du pays présenter sa vision politique. Il est mieux nourri au petit lait par Sassou que certains de ses ministres.

    Il a parlé des rapports de force entre l’opposition et le gouvernement qui l’ont obligé de mener une politique d’apaisement et de demeurer légalistes. C’est faux Mr Tstay Mabiala. Si vous étiez un bon démocrate, vous n’useriez pas ce vocabulaire martial. S’opposer à la victoire volée de Sassou Nguesso n’avait rien à faire allusion à un rapport de force sur le terrain. Nous étions dans la contradiction politique, d’où il n’était pas forcément de faire injonction des forces militaires qui se seraient affrontées. Ce double langage de démocrate et milicien convaincu, que vous prenez de la peine à dissimuler n’en gage que vous et non toute l’opposition. Cette incohérence fait de vous un politicien peu crédible. Vous avez sacrifié l’idéal de notre combat sur l’autel de satisfaction de votre boulimie.

    Votre vision de réaliste vis-à-vis de l’usurpation de la victoire controversée de Sassou rejoint celle de votre frère-siamois parfait Kolelas, qui lui de son côté avait observé le vent passé et puis il décida de reconnaître la victoire de Sassou.

    Le peuple congolais ne décolérera jamais sur cette trahison, vous le payerez …

    Vive le Congo

  3. voilà encore une distraction entre des soi disant intellectuels congolais, devenus à l’absence d’une grande élite des politiciens qui confondent le sens du dévouement d’être au service d’une nation et leurs pétites histoires de’interets individuels , en un mot la guéguerre des egos https://youtu.be/Yr7vSgb4sqU

  4. Deux anciens ministres de la défense qui ont oublié l’option militaire pour déloger sassou,idem pour mokoko,okombi et kin foussia, au lieu de se quereller.Sassou ne partira jamais par le dialogue et il ne faut pas compter sur le chef d’état major pour le déposer comme au zimbabué

  5. ARRETER DE PUBLIER VOS CV A LA CON…. VOUS FAITES PARTI DE LA MEME ECURIE…
    CES GENS LA, DU NORD AU SUD ET DE L’EST A L’OUEST SONT TOUS RESPONSABLES DE RIEN, NI DU BILAN DE LEURS MANDATS PASSES OU ENCOURS – ALORS ILS PROPERENT DANS L’IMPUNITE ET L’IRRESPONSABALITE TOTALE ET POUR COMBIEN DE TEMPS ENCORE?

  6. Attendons que Tsaty Mbiala et Bowao en viennent à débattre.
    Ce serait un moment de vérité. Après, chacun pourra se faire une idée. Mais avant, ne nous trompons pas de cible, à savoir SASSOU-NGUESSO le fossoyeur de la nation congolaise.

  7. Rien ,oui, rien ne vous obligeait M. Tsati, à reconnaître la victoire d’un fraudeur. Par principe moral.

    Aussi, M. Tsati, vous auriez pu choisir de vous taire sur la victoire présumée de Sassou. Vous auriez pu ne pas participer aux élections organisées par un fraudeur. Si c’est contraire à votre éducation. Aviez-vous interrogé votre parti à ce sujet?

    Vous auriez dû organiser la relève, et faire la pédagogie sur la non participation de votre parti aux joutes politiques.

    La position de Munari et Bowao est plus logique. Il s’agit de maintenir un combat permanent contre un dictateur putschiste non élu. Votre position et celle de Kolelas est ambiguë et dangereuse parce qu’elle nourrit le despotisme.

    Face à la brutalité et barbarie du pouvoir, il fallait opposer l’indifférence et non la participation aux élections fantoches. Il fallait éviter le ridicule et la défiance des populations.

    Quelle est l’importance d’un débat de clarification ? Le peuple souverain est en faveur de la fermeté contre toutes formes de vices en politique : la fraude, le tribalisme, la kleptomanie, le népotisme., la violence…. C’est la culture politique de Sassou que Munari et Bowao ont accompagnée. Aujourd’hui, ils sont attentifs aux cris et larmes des compatriotes.

    M. Tsati, vos arguments font de vous, un homme du passé.

    Courage à nos patriotes injustement emprisonnés par Sassou et clan.

  8. je ne connaissais pas l’homme tsati-mabiala au risque de me tromper je découvre un intéllectuel aguéri un homme d’état qui portee son pays et sa population à coeur en tout cas tout le contraire des aigris du genre bowayo et autres munari. voilà le genre de hauts cadres intélectuels et politiques dont a besoin notre cher et beau pays et non des va t’en guerre opportunistes et aventuriers.

    1. Chè(e)r(e)s compatriote(s),

      Pascal TSATY MABIALA est le bienvenu sur le site de rencontre et de sexe qui lui est proposé ci-dessus de façon récurrente. Ce qui contribuera à lui donner le sourire qu’il n’a jamais eu depuis sa naissance. « Faisons l’amour et non pas la guerre » chanta ZAO.

      La guerre que nous avons en revanche le devoir de mener contre l’unique ennemi du peuple connu sous le nom de Denis SASSOU NGUÉSSO doit être l’unique exception qui confirme la règle. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

      La Sentence

  9. Pour ce monsieur… Sassou c’est la fatalité. On y peut rien, on vit avec. Sassou est là, il faut être réaliste… je suis député et l’UPADS est une grd parti, donc il nous faut participer aux élections mêmes les plus controversées, pourvu de continuer d’exister et de boukouter. Autre absurdité – Parce que Bowao a travaillé avec Sassou donc il ne peut plus être son opposant… lire cet interview a ete un supplice.

    1. Un vrai supplice cette interview de Tsaty Mabiala !
      Mon cher Tsaty, penses-tu vraiment que Pasca Lissouba, le fondateur de l’UPADS serait en accord avec toi. Pourquoi nous divertis-tu ? Comment peux-tu penser, un intellectuel de ton niveau, que le FMI, avec ce dictateur dilapideur, l’économie congolaise va se refaire ? Es-tu au courant de l’actualité dans le monde ? As-tu entendu le scandale des biens mal acquis, des panama papers et aujourd’hui des paradises. Mais Tsaty, tu sais bien que chaque fois qu’il y’a un scandale financier ou de détournements au niveau mondial, le Congo ton pays y est. On ne cite plus le Congo pour son art, pour sa musique, pour ses étudiants ou le niveau de ses structures de santé, pour son football, mais toujours pour le comportement sauvage et irresponsable de ses dirigeants. Souviens toi que ton patron Lissouba, qualifiait Sassou déjà en 1992 de Prédateur. Tout se vérifie aujourd’hui : nous sommes les derniers au niveau de l’Environnement des affaires, dernier au niveau de l’indice de développement, une dette étouffante, une corruption qui dépasse l’entendement, bref comme tu l’avais toi même déclaré pendant le meeting de l’opposition à Pointe Noire, je cite « le seul mérite de Sassou c’est d’avoir divisé les congolais « , fin de citation. Tu sais en ton for intérieur, que Sassou ne peut pas construire le Congo, Sassou est un tueur né. Déjà lorsqu’il était lieutenant, il ne vivait que découvert bancaire, alors qu’à cette époque, un lieutenant vivait très bien et pouvait même acquérir une voiture. A la question de savoir pourquoi l’UPADS ne fait plus les scores des années 90, tu réponds béatement, nous connaissons les raisons. Mais la raison est simple, tu as prostitué le parti, les militants l’ont compris et ont tourné le dos, Sassou a réussi en utilisant un assoiffé d’argent comme toi à tuer le parti. Tu le paieras cher…..
      Nous avons compris que tu profites subtilement de la position de l’UPADS pour t’enrichir, ni Lissouba, ni Moungounga, n’aurait accepté cette haute trahison. Comme l’a dit un des internautes ici, tu n’étais pas obligé de reconnaître la victoire de Sassou, puisque tout le monde sait qu’il n’a pas gagné. Il n’y a pas de guerre à cela !
      Profites-en bien, ta carrière politique s’arrêtera avec celle de Sassou.
      On lit ton interview, on lit aussi que tu es bouchard, donc très bavard. Bowao est de loin mieux que toi.

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