Pascal TSATY MABIALA et Honoré SAYI, opposants de l’absurde ou liquidateurs de l’UPADS ?

Militant de l’Upads que je suis, je m’interroge sur le positionnement plus qu’inconfortable et ambigu, du 1er secrétaire Pascal TSATY MABIALA et du Ministre-Député de l’Upads Honoré SAYI, au regard de la ligne politique qui devrait être celle du parti de Pascal LISSOUBA.

L’opportunisme qui fonde la maxime idéologique des deux compères tient de l’altération d’un idéal social et économique et de sa corruption à des fins bassement égoïstes et matérielles. Il faut un talent de funambule pour marcher hardiment sur une corde raide, et ne pas basculer dans le précipice de la disgrâce et de la sanction populaire. De même, il faut bien de la prétention, pour se dire cacique d’un parti de l’opposition et manger à tous les râteliers, sans que ce ne soit une insulte à l’intelligence du militant le plus naïf.

 Le 1er secrétaire de l’Union Panafricaine pour la Démocratie et le Progrès Social (UPADS), Pascal TSATY MABIALA, soi-disant chef de file de l’opposition congolaise et son ministre de l’opposition au pouvoir, Honoré SAYI en ont plein la bouche que le surplus dégouline sur la cravate. A Dolisie, dans le département du Niari cela se dit : « Mwamba ti nabilele !»

A quoi joue mon parti, ce parti politique, dans lequel je ne me reconnais plus, au même titre que bien d’autres militants à la base.

Ne serait-il pas judicieux pour l’UPADS de clarifier son choix idéologique, en signant clairement un accord de gouvernement avec le Parti Congolais du Travail (PCT), parti au pouvoir, comme l’avait fait en son temps, Pascal LISSOUBA le président fondateur de l’UPADS, entre les deux tours de l’élection présidentielle de 1992?

 Le 3 septembre 2021, lors de la célébration du 30e anniversaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), le premier secrétaire Pascal TSATY MABIALA réaffirmait plus que la survivance, l’existence même, la bonne santé de son parti, que d’aucuns prenaient pour moribond, à ne plus peser grand-chose sur l’échiquier politique national.

Environ deux ans après cette déclaration, force est de constater que l’UPADS est à la fois partout et nulle part. Les dirigeants du parti entretiennent un flou artistique sur l’orientation politique, de sorte que de nombreux militants ne savent plus où donner de la tête. L’épisode Honoré SAYI a bien fini de les persuader que certains dirigeants de ce qui reste du parti de Pascal LISSOUBA, ne sont ni plus ni moins que des affairistes zélés. Alors que la puissante machine panafricaine d’antan est couverte de flétrissure et qu’elle perd pied scrutin après scrutin à se cantonner en un parti de ghetto, les militants se laissent bercer par de maigres assurances, dignes de la résignation :

« On est toujours là. Nous sommes le premier parti d’opposition. C’est vrai, si on se compare au Parti congolais du travail, en terme d’élus, nous sommes loin derrière », déclarait Pascal TSATY MABIALA.

« L’UPADS est la seule formation d’opposition à disposer d’un groupe parlementaire à l’Assemblée nationale. L’opposition n’est pas notre tasse de thé, notre ambition est d’aller aux responsabilités pour résoudre les problèmes des Congolais, parce que nous en avons les capacités », avait-il conclu.

Cette déclaration qui semblait pousser les militants à redoubler d’ardeur, dans la mobilisation tous azimuts en vue des victoires encore plus éclatantes, susceptibles de faire accéder le parti aux responsabilités ou au pouvoir, ainsi que le prétendait le secrétaire général, n’était en fait qu’un leurre. Le plan tracé par Pascal TSATY MABIALA et Honoré SAYI son homme lige, consistait à rejoindre la majorité présidentielle, sans crier gare.

Pascal TSATY MABIALA outrancièrement bombardé chef de l’opposition, sans que jamais il ne s’opposa à quoi que ce fût, voyait ainsi s’amorcer son plan de sape du parti de Pascal LISSOUBA.

Avec l’entrée d’Honoré SAYI dans un gouvernement non qualifié d’ouverture et d’unité nationale, le premier clou venait d’être planté dans le cercueil de l’UPADS, devenu parti satellite du PCT.

Pour la forme et comme pour davantage flouer les militants, une sanction de façade fut prise à l’encontre du ministre parjure. Une sanction en trompe l’œil, rapportée depuis, sans que la disposition l’ayant engendrée ne se fut éteinte.

Ainsi se refermait le piège sur des militants floués. Entre un chef de l’opposition usant de démagogie et veillant à sa prébende et un cacique du parti prétendument opposant irréductible, lourdement perché à la fameuse « mangeoire », cherchez l’erreur !

Depuis, fort de sa formation de philosophe, Honoré SAYI a mis en chantier le concept de ‘’l’opposition par l’absurde’’.

L’homme s’emploie à donner du sens au non-sens, s’affranchissant de tout raisonnement et de toutes questions politiques existentielles qui auraient justifié son entrée au gouvernement.

En fait, Pascal TSATY MABIALA et Honoré SAYI en mal de leadership et incapables de conduire le parti à quelque victoire que ce soit, ont choisi la formule du raccourci pour accéder par procuration aux responsabilités, à défaut de devenir eux-mêmes responsables.

Comment Pascal TSATY MABIALA peut-il à minima se dire opposant et davantage chef de l’opposition, quand il ne peut justifier d’une force de proposition contraire à celle de la majorité ? « Quand c’est flou, c’est qu’il y a un loup », dit-on sous d’autres cieux. Mais qui est le loup ?

Il n’y a qu’à voir, depuis l’entrée de son comparse Honoré SAYI au gouvernement, comment l’homme prend fait et cause à chaque déclaration du Président de la République, qu’il boit tel du petit lait, sans rien proposer, même pour la forme, avec des mots du genre : « le Président a dit, mais nous pensons qu’il pouvait également aborder… »

Non, cela n’est plus possible de la part d’un homme dont le raisonnement qui forge l’appartenance à l’opposition politique est altéré, depuis qu’il a regagné ce qu’il osait nommer naguère, « la mangeoire ». Un sabordage en règle de l’UPADS dont les éminents responsables ont désormais les deux bras dans le plat de la majorité, et même, les y ont plongés jusqu’aux coudes.

Le comble de l’absurdité ou plutôt de « l’absurde » est encore plus expressif chez Honoré SAYI. Désormais, même en dehors des cérémonies officielles, il ne rate pas l’occasion de s’afficher à Oyo, comme s’il se débattait corps et âme, pour que le Président et les membres de la majorité vissent en cela une allégeance renouvelée.

Pourtant, c’est ailleurs que les congolais attendaient de lui les prouesses, lui si fertile en critique et incapable voire incompétent où qu’on le case. Aucun changement de paradigme dans la fourniture de l’eau et de l’électricité, s’agissant des tâches qui lui incombaient naguère. Hélas, rien de nouveau sous le soleil, car la situation est plutôt allée de mal en pis. L’échec en sa qualité de ministre de l’Énergie et de l’hydraulique a été si patent qu’il a été viré de ce poste où il nourrissait les rêves les plus hasardeux.

L’homme, en bon marchand d’illusions avait promis construire des barrages pour vendre de l’électricité aux pays de la sous-région, des barrages dont aucun n’est sorti de terre, même pas celui de Mourala dans son village. Le voici maintenant en train de brasser de l’air au ministère des Transports. Dans le confort de son fauteuil ministériel, l’homme n’a fait preuve d’aucune initiative et celui qui réfléchissait mieux dans sa chaumière de l’opposition est désormais incapable, advenu châtelain de donner le meilleur de lui-même. Zéro ! Lui, à l’imagination si fertile, le voici à court de solution pour le CFCO. Il n’est même plus à la hauteur, ni d’imposer des extincteurs aux bus reliant les grandes villes, ni de mettre un terme à la dangereuse prolifération urbaine des taxi-moto qui prospèrent dans un désordre routier absolu, sans règle aucune et causant des accidents à tout va.

Drôle de performances, pour un ministre-opposant dont l’ambition est « d’aller aux responsabilités pour résoudre les problèmes des Congolais parce qu’il en a les capacités ».

Voilà un aspirant aux responsabilités qui plutôt que d’exceller dans les domaines où il est attendu, Honoré SAYI n’est du tout plus capable que de s’illustrer par des méthodes on ne peut plus cavalières, des méthodes de gangster politique, comme ce fut le cas lors des dernières législatives, dans l’arrondissement n°1, deuxième circonscription la commune de Dolisie.

Lui, si confiant en son présumé leadership dans le département du Niari, ne doit sa réélection qu’à un savant tripatouillage ponctué de violence et d’intimidation en tout genre. Il s’est littéralement fourvoyé, d’année en année, dans une impopularité nourrie par son égo surdimensionné et les frasques répétées de ses enfants dont Dolisie a la coupe pleine. Tout Dolisie sait que dans les conditions de vote normales, le poids léger qui lui a fait face devait lui faire mordre la poussière. L’homme était obligé de sortir de sa zone de confort et se rendre coupable de faits les plus délictueux en matière électorale, par des magouilles qui n’honorent ni la fonction qu’il occupe, ni la stature qu’il veut se donner, comparativement à certains de ses autres frères du département, qui eux ne font pas dans la dentelle, et ont de tout temps dévoilé clairement à la face du monde, quelle est leur orientation politique, et l’assument.

Honoré SAYI a fait irruption dans les bureaux de vote à des heures voulues, y intimidant des ordres et menaçant les membres des bureaux de vote, déchirant les cartes d’électeur des personnes supposées hostiles et faisant obstruction au droit de vote au moyen d’un cordon dissuasif alentour. A un agent de la Congolaise des eaux favorable à un autre candidat aux législatives il proférera la menace suivante : « Tu veux que je t’affecte où, à Imfondo ?! », comme si la Likouala était la Sibérie. Il en est même arrivé à convoyer les urnes afin disait-il, « de veiller à la fraude ». Une fraude dont il est lui-même l’auteur, à en croire les requêtes en annulation déposées devant la cour constitutionnelle, par les autres candidats, tous victimes de sa supercherie.

L’outrance a été telle que le philosophe en avait perdu la sagesse plus élémentaire, se livrant aux exhibitions improvisées, poussant la chansonnette, comme pour une victoire régulièrement remportée, au milieu de femmes elles-mêmes désabusées.

Comment donc après cette victoire à la Pyrrhus, Honoré SAYI, peut-il venir vous chanter la course au pouvoir de Franco. C’est à se demander, une course contre qui, parce que l’homme est en fait en course contre lui-même, avec dans son sillage son alter ego Pascal TSATY MABIALA.

Sans doute, Honoré SAYI veut-il opposer les fils du Niari, militants de l’UPADS, qu’il fait naviguer entre deux eaux, à d’autres fils du Niari qui sont d’une appartenance politique autre que la sienne, notamment ceux de la majorité et du PCT.

Lui qui veut diviser pour régner, en sus de tricher, sur qui veut-il régner ?

On comprend aisément que les manœuvres d’Honoré SAYI, qui ne l’honorent hélas point, n’ont pour but que de détruire, ce que d’autres ont mis du temps à construire.

C’est comme s’il voulait remuer le couteau dans nos plaies, qui ont certes guéri, mais dont les cicatrices demeurent. Veut-il nous ramener à ces sombres moments où ils nous instrumentalisaient pour ensuite nous abandonner au milieu du gué, et nous livrer à une mort certaine ?

Honoré SAYI a-t-il déjà oublié, comment, appuyé par Pascal LEYINDA, ils nous ont instrumentalisés dans le Niari, lors du changement de la constitution ?

Nous brûlions les pneus de ci-de-là pour dire leur farouche opposition à eux, au changement de la constitution qui les engraisse pourtant aujourd’hui.

Ont-ils oublié qu’à défaut de nous en prendre aux forces de l’ordre, les ordres qu’ils nous donnèrent, furent ceux d’en découdre avec les responsables de la majorité et surtout ceux du PCT, présents dans la zone ? Les ministre Rigobert MABOUNDOU dans la Bouenza et Emile OUOSSO dans la LEKOUMOU en savent peut-être quelque chose.

Honoré SAYI a-t-il oublié son appel au meurtre envers ceux-là ?

Ces responsables du PCT, dont je reconnais aujourd’hui le courage dans leurs convictions politiques chevillées au corps, n’eurent la vie sauve qu’en prenant la poudre d’escampette. Nombreux se retrouvèrent du coté de Pointe-Noire.

En dépit de ce que nous fîmes à leur encontre, ces personnes qu’Honoré SAYI nous a demandé de traiter en ennemie sont celles qui paradoxalement s’emploient à nous redonner de l’espoir, tandis que lui se prévaut de sa duperie et se satisfait de son seul dessein.

Non ! Bas-les-masques camarades, vous êtes pris les mains dans le sac.

Ceux qui se proclament héritier politique de Pascal LISSOUBA, l’ont plus que tué deux fois. Ils ont dénaturé les emblèmes du parti à sa création, ils se servent désormais du parti et de ses militants comme d’un marchepied, pour assouvir leurs ambitions égoïstes et contrenatures. Le président fondateur s’est assurément retourné dans sa tombe depuis.

Non contents d’avoir bâti leurs fortunes en retro commissions engrangées à la faveur du bradage du siège du parti jadis stratégiquement placé au centre-ville de Brazzaville, les voici à découvert, promettant la loyauté au président SASSOU, qui n’est pas dupe, et qui sait qu’ils ont trahis avec une légèreté déconcertante leur propre icône.

À moins qu’Honoré SAYI ne soit amnésique, un philosophe n’a pas la mémoire courte. Il transforme les phénomènes en des substrats dialectiques dont il puise l’essence, avec un esprit cartésien.

Eh bien, pour ceux qui osaient encore en douter, voilà qui conforte leur politique de l’absurde.  Eux qui s’emploient à donner du sens au non-sens, comme ramant à contre-courant de l’histoire, la vraie. Cette histoire que ni lui Honoré SAYI, encore moins Pascal TSATY MABIALA, ces marchands d’illusions ne pourront falsifier et dont nous sommes les témoins privilégiés. Une histoire vraie et la seule version authentique que la postérité retiendra. C’est cette version et elle seule que nous rappellerons le moment venu à ces deux fossoyeurs de l’UPADS et consort.

Arthur Mbama militant de base de l’UPADS

16 thoughts on “Pascal TSATY MABIALA et Honoré SAYI, opposants de l’absurde ou liquidateurs de l’UPADS ?

  1. le moment viendra ou vous aurez le choix d adherer un mouvement republicain dans lequel il y aura des primaires et des decisions collegiale le but du mouvement militer pour les valeurs republicaines et adherer au projet du mouvement faire du congo le premier producteur de mangues devant l inde et le mexique.

  2. DANS LA françAFRIQUE ET DANS LA franc-maçonnerie LES INDIVIDUS N’ONT PLUS D’IDENTITÉ PUISQUE :
    – LA RAISON EST UTILISÉE POUR ENDORMIR LES IGNORANTS CONSENTANTS.
    – LEUR SECTE PASSE AVANT LEUR APPARTENANCE BIOLOGIQUE. CE SONT D’ABORD DES FRÈRES DANS LA CRIMINALITÉ ET EN LEUR PSEUDO christ (L’ARGENT).
    LES BLANCS MAL ÉDUQÉS ACCEPTENT TOUTES LES IDENTITÉS, POURVU QUE TU SOIS UN IDIOT D’UN IDIOT COMME ndengue NINI.

  3. ominga, UN franc-maçon IDIOT DE L’IDIOT sassou QUI RISQUE DE CONDAMNER SES ENFANTS À FAIRE LE MENAGE COMME LUI, À MONTPELLIER.
    .

  4. Des slogans tribalistes villageoisement douteux, du genre: « maba ma tatou ». Voilà tout ce qu’ils avaient apportés, au Congo, comme innovation politique. De 1992 à 1997, les congolais n’ont entendu que ces chansons là. « Ya ba colères vé, yaké bawou na bawou ». Comment peut on dire des choses pareilles ? C’est incroyable ca.

  5. Ces deux rats palmistes.Comme tous les partis dits politiques au Congo ne sont que le tromplin pour se faire une place au soleil.
    Le rat palmiste Sayi quel bilan de son action depuis qu’il est a la tete de son ministere, zero.

  6. DANS UNE DE MES LANGUES KONGO, TSHI SAI OU SAYI, VEUT DIRE UN INDIVIDU QUI PARLE BEAUCOUP, UN COLPORTEUR,.
    NE NÉGLIGEZ JAMAIS LES NOMS QUE NOS PARENTS NOUS DONNENT, SURTOUT LES PETITS NOMS. C’EST SOUVENT LE CARACTÈRE PRINCIPAL DE L’INDIVIDU QUI EST SOUVENT RÉSUMÉ.
    NOUS SOUHAITONS À SES DEUX INDIVIDUS LA CHANCE DE MOURIR AVANT L’IDIOT sassou POUR ÉVITER À LEURS CADAVRES DES HUMILIATIONS INUTILES.
    DE TOUTES LES FAÇONS, L’IDIOT sassou ET LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS SAVENT À QUELLE SAUCE ILS SERONT BROYÉS. LEUR IRRESPONSABILITÉ ENVERS LEURS ENFANTS, DÉPOURVUS D’UNE CONSCIENCE HISTORIQUE, SERA PAYÉE À SA JUSTE VALEUR.

  7. mr honore sayi est ministre en charge des transports aeriens et de lavaiation civile.il est au service de la republique et non plus au service de l’upads.rien que pour ca vs lui devez un minimum de respect.qui sait si demain il ne se retrouvera pas a la cemac a lunion af a la francophonie ….mr michel niama ancien conseiller economique a la presidence de la rep sous mr p lissouba est aujourdhui president dune commission a la cemac. a ce niveau de responsabilite cest le president de la rep lui meme qui signe la lettre de recommandation.

    donc vs devez plutot l’encourager a un bon serviteur de letat

    bon mr semble pleurere lupads.vs mavez semble grand avec un langage teinte dinjure ce qui a etet a une certaine periode la e la vie politique congolaise lidentifiant de lupads.votre parti etait tres injurieux il ne faut pas le perdre de vue. evidemment ce parti ne manque pas aux gens.en tout cas pas aux congolais normaux.

    mr arthur mbama cest bien ca? vous pouvez creer votre formation politique

    question chronique posse ici a tout intervenant defenseur de lupads jespere que vous repondrez a cette question

    qui en juillet 1997 devrait convoquer le corps electoral? cela navait jamais ete fait.qui devrait le faire, et pourquoi ne lavait il plus jamais fait? merci de donner des eclairages juridiques puises de la constitution.

    entretemsp collez la paix a honore sayi a mr p t mabiala et bien entendu a denis sassou ng

  8. IL FAUT CROIRE QU IL Y A BEAUCOUP D AVIONS AU CONGO ET SURTOUT UN TRAFFIC AERIEN IMPORTANT POUR AVOIR UN MINISTRE RIEN QUE POUR CELA FRANCHEMENT C EST RIDICULE

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