Droit de réponse à Thierry Moungalla suite à sa réaction au communiqué de l’épiscopat congolais

« NOTRE PEUPLE EST FATIGUE DE CES ELECTIONS QUI FRAGILISENT LA COHESION SOCIALE ET ENTÂCHENT L’IMAGE DE NOTRE PAYS A L’ETRANGER » : CRI DE CŒUR DE L’EGLISE EN REPUBLIQUE DU CONGO.

L’Eglise a-t-elle raison d’intervenir dans les questions socio politiques ?

« Qu’on ne pense pas que l’Eglise se laisse tellement absorber par le soin des âmes qu’elle néglige ce qui se rapporte à la vie terrestre et morale » dixit le Pape Léon XIII en 1891, dans la première lettre Encyclique en matière sociale : « Rerum Novarum ». Vers la fin du 19ème siècle déjà, la dite Encyclique soutenait la légitimité de l’Eglise d’intervenir dans les questions sociales. Et le « Catéchisme de l’Eglise Catholique » (CEC) au numéro 2420 se fera encore plus explicite sur la question quand il affirme : « L’Église porte un jugement moral, en matière économique et sociale,  » quand les droits fondamentaux de la personne ou le salut des âmes l’exigent  » (GS 76, § 5). Dans l’ordre de la moralité elle relève d’une mission distincte de celle des autorités politiques : l’Église se soucie des aspects temporels du bien commun en raison de leur ordination au souverain Bien, notre fin ultime. Elle s’efforce d’inspirer les attitudes justes dans le rapport aux biens terrestres et dans les relations socio-économiques ».

L’Eglise est-elle un parti syndicaliste ?        

Le rôle de l’Eglise étant donc précisé, elle utilise une méthode trilogique qui consiste à Voir, juger et agir. L’Eglise est une institution sérieuse qui sollicite la collaboration de divers experts chacun en son domaine, lorsqu’elle se sent dans la nécessité de répondre aux problèmes de son temps. Quand donc une structure comme la Conférence Episcopale, partant d’un constat émet des inquiétudes et des réserves sur la gestion de la chose publique, ce qui revient à dire qu’après observation, avec les spécialistes de différents domaines, elle a analysé la chose en question, avant de proposer une ligne d’orientation et d’action. Ainsi, l’Eglise ne fait pas du syndicalisme, en ce sens la Conférence Episcopale n’est pas un parti syndicaliste pour parler des choses insensées et déstabiliser un quelconque régime politique. Ses remarques sont objectives et réalistes, venant du peuple réel et non du peuple des fichiers. Elle est la voix des sans voix, « occupée à instruire et à élever les hommes d’après ses principes et sa doctrine. Elle a soin d’en répandre les eaux vivifiantes aussi loin et aussi largement  qu’il lui est possible, par le ministère des Evêques et du clergé (…) l’action de l’Eglise est souveraine » écrivait le Pape Léon XIII dans « Rerum Novarum » au numéro 23.

Le gouvernement Congolais se serait-il enflammé ?

 A propos de la question qui défait la chronique, celle relative à la tenue des élections de Mars 2021 en République du Congo, la Lettre de la Conférence Episcopale du Congo, promulguée le 02 Février 2021, semble avoir suscité la colère du gouvernement Congolais, qui, par la bouche de son porte-parole n’a pas hésité de proférer les injures à l’endroit des prélats catholiques. Les Evêques du Congo ont été traités de ‘’cabris’’ : « On peut crier comme un cabri sur sa chaise. Alternance ! Alternance ! », disait Thierry MOUNGALLA dans sa récente interview du Jeudi 4 Février 2021, sur RFI. Est-ce à dire que pour le gouvernement Congolais, les Evêques ne sont que des bêtes, des cabris ? Si cela venait de sa propre personne, nous l’aurions compris, mais là Monsieur Thierry MOUNGALLA parla au nom du gouvernement Congolais et non en son nom propre. L’histoire retiendra donc que le gouvernement de la République du Congo proféra des propos injurieux à l’endroit de ses prélats. De tels propos traduisent la culpabilité du gouvernement qui a peur des éveilleurs de conscience. Or nous le savons tous qu’actuellement, l’Eglise catholique est restée la seule instance morale crédible qui puisse émettre des analyses justes et concrètes, à cause de sa proximité envers le peuple, le vrai peuple, différent du peuple fictif auquel Monsieur Thierry MOUNGALLA fait allusion, pour prétendre parler de la légitimité du peuple en matière des urnes. C’est qui le peuple ? C’est comme si le  peuple réel avait une opinion dans ce pays.

Hiatus entre la communication institutionnelle et le réel

D’un point de vue institutionnel, l’interview de Monsieur Thierry MOUGALLA constitue ce que l’on appelle en communication, une communication institutionnelle, dont le but est de défendre positivement l’institution dont il est le porte-parole, en vue de lui éviter de perdre sa crédibilité. C’est un peu comme ce que ferait un avocat qui défendrait les intérêts de son client malgré sa culpabilité. Qu’adviendrait-il de l’Etat s’il venait à perdre du crédit ? Et Monsieur Thierry MOUNGALLA ne joue là qu’un rôle, même lorsqu’il sait que rien ne marche, il est tenu de défendre l’impossible  jusqu’à sa dernière énergie ; car c’est bien pour ce travail qu’il est rémunéré. Il sait toutes les exactions du gouvernement actuel envers le peuple ; il sait aussi, même s’il peut le nier aujourd’hui, que le peuple a de moins en moins foi au système électoral congolais, mais il est tenu par son devoir institutionnel de défendre l’indéfendable. S’il faut faire un bilan quinquennal de notre actuel gouvernement, nous dirons que c’est le bilan le plus médiocre que nous ayons connu, de tous les mandats présidentiels du troisième millénaire de l’histoire de notre pays. Des retraités, des salariés du para étatique surtout, impayés ; une crise financière sans précédent ; l’augmentation du taux du chômage ;  la hausse des denrées alimentaires ; la précarité du train de vie des Congolais ; la misère des étudiants boursiers à l’extérieur, abandonnés à eux-mêmes ; la corruption ; l’expansion de la criminalité dans l’ensemble du territoire, avec la montée du phénomène des jeunes malfrats, dits bébés noirs. Pour ne s’arrêter que là.

Les Evêques seraient-ils une bande d’ignorants ?

En riposte au contenu de la lettre des Evêques du Congo, le gouvernement congolais par son porte-parole dira que les Evêques semblent ignorer la question des listes électorales en cours de révision, depuis le 23 Janvier jusqu’au 7 Février. Serait-ce donc à quelques semaines du scrutin  qu’il faudrait commencer à penser la révision des listes électorales ? Nous nous amusons avec les élections présidentielles  comme s’il s’agissait de simples communales ou simplement d’une élection des chefs de quartier.  Attendez, soyons sérieux, une Nation ne se  gouverne pas comme on gèrerait un kiosque. Ce ne sont pas les bêtes qui sont gouvernées. Nous avons dit plus haut que la Conférence épiscopale ne peut point aborder un sujet dont elle n’a pas la maîtrise, c’est pourquoi, elle fait appel aux spécialistes de ces questions, pour ne pas tenir des discours subjectifs et incohérents. Lorsqu’elle se prononce donc sur une telle question, soyons-en sûr qu’elle a consulté les sources et les structures viables. Pastorale et scientificité ne s’opposent point.

Le porte-parole du gouvernement serait-il un homme renfermé dans son égo ?

Monsieur Thierry MOUNGALLA n’a fait que révéler davantage son égocentrisme. Il serait en effet un homme renfermé sur lui-même, qui penserait mieux connaître, se servant de sa parole comme le venin d’une vipère pour ne communiquer que mépris et « ecclésiophobie ». Il ne suffit pas d’être un grand rhéteur, ni de tenir des propos éloquents, mais dans pareils circonstances il faut faire appel au langage de la sagesse. Il est clair que le  porte-parole du gouvernement Congolais n’est pas informé du contenu de la Doctrine Sociale de l’Eglise, de Rerum Novarum de Léon XIII à Fratelli Tutti  du Pape François aujourd’hui. Par ses propos, pour ceux qui connaissent le contenu de la Doctrine Sociale de l’Eglise, nous comprendrons que Thierry MOUNGALA se met à combattre un adversaire qu’il ne connaît même pas. C’est un sentiment dû au mépris et surtout à la peur de l’Eglise, ce que j’appelle « ecclésiophobie ».

La Parole de l’Eglise ferait-elle peur ? 

Si Monsieur Thierry MOUNGALLA connaissait les principes qui régissent la doctrine sociale de l’Eglise, il ne se permettrait pas de se tromper sur le rôle apostolique et citoyen des Evêques, lequel selon lui, consisterait à inciter les fidèles à assister et à participer à la révision électorale. La conférence épiscopale a le devoir d’éveiller la conscience de ses fils et filles, en leur montrant la voie à suivre, à la lumière des Evangiles. Lorsque les élections sont organisées de façon arbitraire, l’Eglise a bel et bien le devoir tout en attirant l’attention des uns, d’éveiller la conscience des autres. Ainsi, le rôle de l’Eglise n’est pas de faire, mais de faire faire, autrement dit, son travail consiste à semer le bon grain. Une fois que ses membres qui sont aussi citoyens de l’Etat, ont toute la lumière qu’il faut, ils ont donc le devoir de répondre celle-ci dans le monde, à être des témoins de l’Evangile dans leurs activités temporelles.  Le message de l’Eglise interpelle tant ses membres, tant ceux du gouvernement que toutes les couches sociales. C’est un message bénéfique pour tous. Et le gouvernement Congolais aurait peur de la vérité, d’entrer en introspection. Il manque à nos hommes politiques la capacité d’autocritique.

Monsieur Thierry MOUNGALLA aurait-il un défaut de mémoire ?

Le porte-parole du gouvernement Congolais prend en exemple la scène démocratico- dramatique de 1992 qui opposa l’actuel Président de la République à Pascal LISSOUBA. Il utilise cet évènement en la faveur du régime actuel, pour redorer le blason politique de notre actuel chef d’Etat qui, selon ce que nous enseigne l’histoire démocratique de notre pays, se retira tranquillement, après avoir été battu démocratiquement. Sans entrer dans les détails, Monsieur Thierry MOUNGALLA a besoin de beaucoup apprendre sur l’histoire de son pays et du contexte post colonial, une trentaine d’année après les indépendances, pendant que l’on parlait du néocolonialisme. Et si les décideurs coloniaux décidèrent que Monsieur SASSOU se retira du pouvoir en ce temps, par voie démocratique, qu’aurait-il fait ? En avait-il le choix ? S’il se retira par son sens démocratique, l’actuel Président ne peut pas continuer à être un modèle démocratique après qu’il réussit à conquérir le pouvoir en 1997 par les armes, y demeurant jusqu’à aujourd’hui. Les gens ne sont pas dupes.

Monsieur Thierry MOUNGALLA serait-il devenu un devin ?

Le porte-parole du gouvernement n’a fait que prêter les intentions au collège épiscopal, arrivé au point de leur faire affirmer ce qu’ils n’ont ni pensé ni dit. Monsieur Thierry MOUNGALLA, à force de nourrir les préjugés sur les prélats, finit par devenir un devin. Car, il arrive à deviner semble-t-il les intentions des Evêques, comme il dira : « Si l’on suit bien la logique des Evêques, ils ne voudraient pas qu’il y ait des élections tant que les élections ne sont pas parfaites ». Monsieur Thierry MOUNGALLA a tenu un discours éloquent mais truffé d’incohérence malheureusement. Sinon, on ne peut pas reconnaître aux Evêques leur liberté d’opinion au nom de leur citoyenneté, et quelques temps après dans la même communication penser que ceux-là même à qui l’on venait de reconnaître la citoyenneté ne soient pas en droit de soulever les problèmes qui les concernent. Il n’a qu’à aussi apprendre que les Evêques ne portent pas leurs opinions personnelles, mais ils portent haut la voix de l’Eglise.

Sommes-nous condamnés à subir ceux que nous avons-nous-mêmes élus ?

Si les choses sont toujours floues, le peuple a le droit d’émettre des réserves par ses prélats n’est-ce-pas ? Puisqu’il s’agit de sa destinée commune, le peuple a le droit de réclamer justice n’est-ce pas ? Pourquoi donc au nom de ce peuple la Conférence Episcopale ne dénoncerait-elle pas et continuerait à faire semblant comme si tout allait mieux ? Le peuple en a marre de ces élections où les gagnants et les perdants sont connus d’avance. La véritable émulation a été étouffée. Il n’y a que dans nos pays où après avoir tenu tête au Président de la République sortant lors des élections, que l’on finit sa vie comme prisonnier politique. Une machination politique que plus d’un connaît. Il suffit que l’on vous colle le délit d’atteinte à la sécurité et à la sûreté de l’Etat, et votre sort est scellé. Monsieur Thierry MOUNGALLA n’a cessé de répéter qu’aucune démocratie n’est parfaite, et donc la construction de notre démocratie est tout un processus à parfaire. Ce n’est pas la peine d’embrouiller le peuple. Le peuple par ses prélats ne sent aucune volonté  de la part des politiques à aller de l’avant, après plusieurs décennies de processus démocratique. Il a donc le droit de demander à ses gouvernants de travailler la volonté politique, car quiconque manque de volonté à aller de l’avant fait du surplace.

Le système politique du Congo est désuet, statique et passif ; il est donc à revoir. Et pour cela il faille accepter des sacrifices pour voir un nouvel élan politique. C’est tout ce que l’Eglise n’a fait que dire jusqu’ici. Elle ne condamne pas les individus, mais leur manière de faire qui laisse des blessures profondes incurables. Que la Conférence épiscopale félicite les efforts du pouvoir en place, jusqu’ici cela ne pose aucun problème, mais qu’elle essaie de toucher du doigt les failles du système politique, c’est là qu’il y a feu, et l’on pense qu’il ne le fallait pas, jusqu’à proférer des injures à ses prélats. Pour une Nation qui se respecte, le gouvernement congolais devrait présenter ses excuses contre tout propos portant atteinte à l’intégrité-morale ou physique- de la Conférence épiscopale du Congo. Alors qu’en suivant l’interview de l’archevêque d’Owando, Mgr Victor ABAGNA MOSSA, il n’y a eu aucune violence dans le langage, il tint plutôt une communication constructive, édifiante, à la limite pastorale, qui ne demande qu’aux politiques de revoir leur manière de faire les choses, en vue de garantir la cohésion sociale et la paix.

Dieu bénisse mon CONGO !

 Un honnête citoyen

13 thoughts on “Droit de réponse à Thierry Moungalla suite à sa réaction au communiqué de l’épiscopat congolais

  1. Savoir parler le français, ni avoir les diplômes ne signifient pas qu’on est intelligent
    L’école nous donnes les outils est l’homme vient au monde avec sont intelligence, le français est une langue comme le mounoukoutouba, et autre
    Que defent cet homme (moungalla)?
    La violence imposée par sassou
    Le détournements du bien publique
    L’échec de son patron sassou dans tous les demains
    Alors en CE moment la cet HOMME EST UN IMBECILE IDIOT, IGNOTANT ET RETARDE
    NOTRE OBJECTIF, LE DEPART DE SASSOU QUI TIRE NOTRE PAYS EN BAS, ET POUR LES AUTRES DE COMPRENDRE QUE LE TEMPS DE DEVELOPPER LES TEHORIES DU DEVELOPPEMENT OU LES STRATEGIES POLITES, N’EST PAS ENCORE ARRIVE
    CONCENTRONS NOS ENERGIES POUR CHASSER SASSOU D’ABORD
    VIVE L’UNITE DU SUD CONGO
    ET PAS D’ELECTIONS AU SUD CONGO

  2. thierry moungalla ntsota ngouah !
    tu es une ordure. ne pense pas que les oyocrates ont de la consideration pour toi. tu n’es qu’un chien de chasse, un griot qui chante la gloire du tribalo-sanguinaire et genocidaire saasou gueux sot deni.

  3. Thiérry Moungala souffre d’un complexe racial qu’il a du mal a dirigé! Pour commencer un alninos est de quelle race? Ni blanc ni noire, ni jaune. Tout le temps c’est toujours Thierry Moungala et les autres criminels du PCT. Les congolais ont besoin d »eau d’électricité, d0’hopitaux dignes de ce nom, d’écoles pour mieux éduquer leurs enfants, de leurs salaires, boursses et pansions versés selon les delais raisonnables établis par les textes en vigueur. Les simulacres d’élections organisées à gros frais alors que les populations ne mangent pas , ne se soignent pas par manque d’argent constituent des crimes d’Etat. Sassou on sait que tu as déjà gagné les élections, ne gaspille pas l’argent pour cette parodie paie les travailleurs et arrange les conditions de vie des congolais. J’étais au CM1 dans les années 1980, tu parlais déjà de « ‘agriculture priorité des priorités »ou en sommes nous à ce jour plus de 30 ans après? On a entendu de ta bouche aux lèvres noires cette pharse « SANTE POUR TOUS D’ICI A l’AN 2000 » nous en sommes ou en 2021? Sassou Nguesso tu as lamenmtablement échoué, toi le marchant d’illusions devenu un criminel multirecidiviste. Pense à te retirer. Faut il te rappeler que quand le président Macron est dans le vendre de sa mère tu venais d’organiser un coup d’Etat qui a couté la vie des président Ngouabi et Massamba Debat, du cardinal Biayenda et de nombreux congolais en mars 1977. Macron est né en décembre 1977. Il est partie à l’école maternelle tu es president en 1979, il commence l’école primaire, tu es au pouvoir, il est au collège tu es toujours là, il est au lycée quand les congolais t’ont chassé du pouvoir en 1992, il est à l’université c’est encore toi au pouvoir après un coup d’Etat sanglant, il entame sa carrière d’économie tu es au pouvoir, il devient ministre sous François Hollande sassou est là, il devient même ton chef hierarchique tu est maintenant sous ses ordres. Vraiment Sassou ça saoul Vas y on ne veut plus de toi.

  4. ÉVITONS LA DISTRACTION ET’LA DIVERSION.
    MON PETIT FRÈRE moungala EST UN  » SIMBA SAC ».
    NE SOYONS PAS JALOUX OU ATTENTIF À UN QUELQU’UN QUI S’EST  » BÂTARDISÉ » POUR DES INTÉRÊTS PERSONNELS. L’AVENIR RENDRA SON VERDICT UN JOUR.
    MOBILISER, CONSCIENTISER ET SENSIBILISER POUR L’UNITÉ DU SUD ET POUR LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE.

  5. DESASSOULISATION: LE CONGO-B N’A PAS BESOIN D’ELECTION. IL A BESOIN DE REVOLUTION (REV + EVOLUTION)

    Le peuple congolais a besoin de rêver et d’évoluer, c’est à dire plus d’alternatives et d’alternances à la place du blocage total oyosapien et francafrique d’un autre âge. Désassoulisation du Congo Brazzaville : élections présidentielles du 21 mars 2021 , Thierry Moungala une abomination au service de la dictature !!! La mission épiscopale !!! https://www.youtube.com/watch?v=MoUpohgvfps

  6. CHERS CATHOLIQUES DU CONGO,
    NOUS SOMMES PLUS DE 55% DES CONGOLAIS VIVANT AU CONGO. NOUS DEVONS PRENDRE TOUTES NOS RESPONSABILITES POUR SANCTIONNER LE REGIME SASSOU NGUESSO ET DE SES COMPLICES TOUS CRIMINELS INVERTÉRÉS. TOUS LES CATHOLIOQUES NE DOIVENT ALLER VOTER RESTER CHEZ VOUS LE PCT EST CONNU DANS SA VIOLENCE DEPUIS LONGTEMPS. LE 18 MARS 1977, LE CARDINAL EMILE BIAYENDA A ETE REGULIEREMENT REÇU PAR LE PRESIDENT MARIEN NGOUABI POUR DISCUTER SUR LE TERRAIN DES SOEURS DE CLUNY QUI ETAIT EN FACE DE L’ETAT MAJEUR OÙ IL HABITAIT. IL EST 13H30 PASSÉES.ALORS QUE LE PRESIDENT NGOUABI EST EN PLEINE CONVERSATION AVEC LE PRELAT ET LES SOEURS, SASSOU NGUESSO DENIS, SON MINISTRE LA DEFENSE L’APPEL POUR LUI FAIRE SAVOIR QUE LE JEUNE MOTANDO A ETE BLESSÉ AU CHAMP DE TIR ET IL EST DANS UNE MAISON QUELQUE PART. C’EST SUR CE COUP DE FIL QUE NGOUABI S’EXCUSE AUPRES DU CARDINAL POUR SE RENDRE AU LIEU QUE SASSOU LUI AVAIT INDIQUÉ. C’EST LA QU’IL SERA ASSASSINÉ. MAIS EN PARTANT NGOUABI AVAIT DIT AU CARDINAL QUE C’EST SASSOU QUI L’AVAIT APPELÉ. C’EST POUR CETTE RAISON QUE SASSOU NGUESSO MINISTRE DE LA DEFENSE ENVOYA LES JEUNES ASSASSINER LE PRELAT SIMPLEMENT POUR EVITER QUE LE LE CARDINAL SORTE LE DERNIERS MOTS QUE LUI A DIT NGOUABI C’EST A DIRE SASSOU NGUESSO L’A APPELÉ POUR S’ENQUERIR SUR LA SITUATION DU SOUS OFFICIER MOTANDO BLESSÉ. VOILÀ LA VRAIE RAISON. ET SASSOU NGUESSO POUR DISTRAIRE LES CONGOLAIS JETTE UNE RUMEUR DANS LES MILIEUX DE LA FAMILLE NGOUABI QUE LE CARDINAL BIAYENDA EST PARTI ENLEVE LES POUVOIRS SECRETS DE NGOUABI POUR LE RENDRE VULNERABLE À SES BOURREUX. SASSOU NGUESSO A OUBLIÉ CELA, C EST ECRIT NOIR SUR BLANC DANS TOUS LES JOURBAUX SORTIS EN MARS 1977 ET DANS BEAUCOUP D’OUVRAGES PUBLIÉS SUT CES CRIMES ODIEUX.
    SASSOU NGUESSO EST UN PUTCHISTE IL DOIT QUITTER LE POUVOIR.

  7. C’EST UNE VERSION SUR LA MORT DE NGOUABI QUI TIENT LA ROUTE, MON FRÈRE.
    NGOUABI A FAIT LA MÊME CHOSE AVEC LE PRÉSIDENT MASSAMBA DEBAT. NGOUABI ÉTAIT UN BANTU. IL AVAIT RECONNU S’ÊTRE TROMPÉ SUR CERTAINS POINTS ET VOULAIT RECTIFIER LE TIR.
    MAIS LES AGENTS X DE L’ÉTAT français ONT FAIT LE SALE BOULOT.
    CE SONT DES HYPOTHÈSES CAR NOUS N’ÉTIONS PAS AU COEUR DE LA CHOSE POLITIQUE.
    CE QUI EST SÛR ET CERTAIN, C’EST LE TERRORISME DE L’ÉTAT français QUI COMPLIQUE NOTRE EXISTENCE. FAIRE SEMBLANT DE NIER CE FAIT, C’EST CONTRIBUER À LA DICTATURE DE L’IDIOT sassou.
    RAISON POUR LAQUELLE JE CONSEILLE AUX ESPRITS ÉVEILLÉS DE DIRE AUX ENFANTS, MATINS -MIDIS- SOIRS, QUE sassou EST UN IDIOT ET macron EST UN BLANC MAL ÉDUQUÉ.
    LE SALUT DE NOS GÉNÉRATIONS FUTURES PASSE PAR LÀ.
    POUR L’HEURE, MOBILISER, SENSIBILISER ET CONSCIENTISER AFIN QUE L’UNITÉ DU SUD ET LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE TRIOMPHENT SUR L’IDIOT ET LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS.

  8. IL Y A À BOIRE ET À MANGER ENTRE DIRE ET FAIRE,
    CONSCIENTISONS, SENSIBILISONS ET MOBILISONS, NOUS AURONS UN JOUR NOTRE TOUADERA ARCHANGE QUI CLOUERA UN PEU LE BEC AUX BLANCS MAL ÉDUQUÉS. ET L’IDIOT sassou SINON SES BÂTARDS SERONT LES BOZIZE D’AUJOURD’HUI, RÉDUIIT À SON GRADE DE MILIAIRE SANS CONSCIENCE.

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