Faut-il obligatoirement tuer Sassou, Kiki ou JDO pour conquérir ou conserver le pouvoir ?

Mes amis et mes détracteurs seront unanimes en se demandant: Quelle mouche l’a piqué pour se mêler de ce qui ne le regarde pas ? Je voudrais consoler les uns et rassurer les autres : aucune mouche ne m’a piqué et la lutte à mort que se livre le trio Sassou-Kiki-JDO me concerne directement en tant que citoyen congolais, au même titre d’ailleurs que tous les autres Congolais. Et c’est à ce titre que j’exprime ici en toute conscience et en toute liberté une opinion qui n’engage que moi.

L’expression « Fin de règne » est certainement l’une des plus populaires au Congo actuellement. En effet, Brazzaville est le théâtre depuis quelques mois d’une tragicomédie qui se joue dans les coulisses du pouvoir. Plus le dénouement s’approche, plus la rumeur s’enfle. C’est en analysant ces rumeurs, gracieusement et régulièrement mises sur la place publique par la puissance des réseaux sociaux, que je me permets d’exprimer mon opinion et d’exposer quelques éléments de solution.

Depuis 2014, j’ai milité et continue de militer en faveur d’une alternance pacifique à la tête du pays. A mes yeux, un départ, même négocié ou organisé de Sassou, reste et de loin, préférable à un saut dans l’inconnu qui plongerait à coup sûr notre pays dans une grande catastrophe. En effet, depuis 1957, le pouvoir au Congo se conquière dans le sang et la souffrance collective. Le départ de Youlou en 1963 occasionna la mort des fameux « Trois martyrs ». Avant la démission de Massambat-Débat en juillet 1968, on déplora des morts et des disparus au cours des événements engageant la Défense Civile et l’armée à Bacongo-Makélékélé. En mars 1977, au cri de ‘’Bakongo ba bomi Marien’’, combien de nos compatriotes perdirent la vie au ‘’petit matin’’ ? Un président, un ex-président, un cardinal, de nombreux officiers et des civils encore plus nombreux, furent sacrifiés dans un acte qu’on peut intituler : « Sacrifier Ngouabi pour conserver le pouvoir au nord ». En 1997, à la chute de Lissouba, c’est toute une série de guerres civiles qui endeuilla le Congo jusqu’en 1999 avant de reprendre avec les rebellions récurrentes  de Ntoumi tout au long des années 2000. Rébellions qui saccagèrent la triste région du Pool. Pour finir, depuis 2015-2016 et le passage en force de Sassou malgré les limites claires que lui imposait la constitution, la région du Pool (encore elle) et de nombreux citoyens ont payé le prix fort. Pour l’objectivité des faits, signalons que deux alternances ont eu lieu sans effusion de sang, mais avec emprisonnement ou exil. L’arrivée de Sassou en 1979 par un coup d’Etat de palais sans tirer un seul coup de feu, mais en emprisonnant pendant 11 ans son prédécesseur Yhombi. Le départ de Sassou en 1992 après avoir perdu les élections libres et démocratiques organisées à la fin de la Conférence Nationale Souveraine. Dans ces conditions, comment ne pas s’interroger sur ce que nous réserve, si elle a lieu, l’élection présidentielle de 2021 ? Comment ne pas nous interroger sur ce qui pourrait se passer avant mars 2021.

Soulignons au passage, que depuis 1966, un seul homme a été au cœur de tous les horribles événements précités. Il s’agit de Denis Sassou Nguesso. Depuis le commando qui avait tenté de libérer Ngouabi de prison en 1966, jusqu’au coup d’Etat manqué par Dabira en 2017, son nom traverse l’histoire congolaise comme un fil rouge. 4 décennies de souffrance qui m’ont poussé à me demander s’il n’était pas l’exécuteur testamentaire de Youlou : https://blogs.mediapart.fr/jecmaus/blog/200918/sassou-et-la-fin-des-40-annees-de-la-malediction-du-congo-par-youlou. Maintenant que l’homme, affaibli par l’âge et les échecs à répétition, s’apprête à quitter la scène politique, quoi de plus naturel que de nous interroger ensemble sur le sort du pays économiquement ruiné et socialement en lambeaux qu’il laissera à la postérité. Quoi de plus naturel que de réfléchir sur le sort qui lui sera réservé en tant qu’acteur assumant ses faits, ou exécuteur testamentaire ayant droit à des circonstances atténuantes. La question subsidiaire a été posée par Dabira : Quel avenir pour les Mbochis après l’inévitable départ de Sasssou ?

Pour répondre à la question cardinale posée par le titre de cette réflexion, je dirai sans ambages: personne, même pas Sassou, Kiki ou JDO, ne mérite de donner ou de subir la mort pour conquérir ou conserver le pouvoir. A la fin de la CNS, Sassou I a assumé les 3.000 morts de son premier règne. Les mains furent lavées et la fameuse phrase « Plus jamais ça » fut prononcée. Pouvait-on imaginer que Sassou II et III seraient de loin plus meurtriers ? Laver les mains avec Sassou III serait donc une complaisance coupable.

Nous avons certes lavé les mains, mais avons-nous réellement lavé nos cœurs ? Apparemment pas. J’entends mes détracteurs me rétorquer : Hier les mains, aujourd’hui les cœurs et pourquoi pas les zizis demain ? Libre à eux, qui sont pourtant nombreux à chanter dans toutes sortes d’églises : ‘’Masumu mami, ma ndobé, ma mbuaki, Yesu wa sukidi mo mu menga mandi… » (Mes péchés, noirs et rouges, Jésus les a lavés dans son sang.) Seul le sang de l’Agneau peut laver nos cœurs impurs. Comme le sang de Marien, le sang de Sassou, Kiki ou JDO, ne nous lavera pas de notre haine.

 Oui, nous avons mis la haine et l’humiliation du prochain au centre de toutes nos actions. Et c’est cette haine qui fait croire qu’il suffit de tuer Sassou, Kiki ou JDO pour régler définitivement nos problèmes. Et maintenant que les trois semblent lancés dans une lutte à mort, pourquoi ne pas se réjouir et attendre tranquillement qu’ils se détruisent et s’affaiblissent pour se baisser et ramasser le pouvoir comme un fruit mûr ?

Entendons-nous bien, je ne me pose pas en défenseur de Sassou, Kiki ou JDO. Je l’ai dit à maintes reprises, Sassou et les siens sont adultes, ils n’ont pas besoin de moi pour assumer leurs actes ou se défendre. Cela ne m’empêche pas de m’opposer à leur assassinat car je reste persuadé qu’assassiner (même un assassin présumé) pour résoudre un problème, de surcroit politique, ou établir la justice, est une preuve de faiblesse et non de force.

Sur le plan spirituel, quand le crime est à la base de nos agissements ou constitue la fondation de l’édifice en construction, tout est souillé dès le départ et pour des décennies. Le ‘’petit’’ meurtre de Pouabou, Matsokota et Mansouémé, exécutés parce qu’ils représentaient une rigueur dérangeante a ouvert la boîte de Pandore des crimes politiques. Plus loin dans notre histoire sanglante, les centaines de morts de 1959 ont tout biaisé jusqu’à ce jour. C’est pourquoi je fais le vœu pieux suivant : Pour une fois et une fois pour toutes, essayons de trouver une solution civilisée à nos problèmes dont le plus important est l’accession et la conservation du pouvoir. Tous les autres problèmes dérivent de là. Essayons de sortir du cercle vicieux du crime banalisé pour entamer le cercle vertueux d’une gestion démocratique incluant mêmes nos adversaires les plus virulents.

La rumeur prête à JDO des velléités de coup d’Etat. Grand bien lui fasse, si c’est vrai. Qu’il dépose son oncle à Oyo sans tirer une balle, il sera acclamé par une frange de la population, pendant que l’autre sera en pleurs pour la perte des avantages matériels directs du pouvoir, ce ne sera pas un drame. Lui, au contraire, devant les chefs traditionnels de sa contrée, jure comme un arracheur de dents qu’il est le dernier rempart de son oncle qu’on ne pourra atteindre qu’après avoir marché sur son cadavre de fidèle lieutenant. Et pour parfaire sa fidélité, il affirme tout devoir à Sassou, au point où, seule l’ingratitude primaire pourrait justifier qu’il dépose son oncle. Au passage, il avertit (ou menace ?) ses adversaires : « Ils ont des armes, j’ai des armes ; ils ont des hommes, j’ai des hommes… Nous avons tué au Pool, le ciel n’est pas tombé. » Une façon de dire : Si nous avons tué au Pool (notre terrain de jeu) avec le risque que les Bakongos nous exterminent, allons-nous hésiter à tuer nos propres frères pour conserver le pouvoir ? Je peux me tromper d’analyse, mais je n’ai pas pu comprendre autrement cette diatribe. En plus, elle rappelle par trop la mort de Marien en 1977 : Sacrifier un homme et quelques victimes collatérales pour conserver le pouvoir.

La mort, encore et toujours la mort, serait donc au cœur de tous les projets de conquête de pouvoir au Congo. Et pas seulement de pouvoir car dans les stades, même en temps de paix, pour exprimer leur joie, les supporters chantent avec une légèreté incroyable ‘’Muntu fua, Moro wa ’’ (il y aura mort d’homme). Et même au sein de l’opposition ‘’non-constitutionnelle’’, une frange de plus en plus large milite en faveur d’une élimination violente du régime au motif suivant : Un régime arrivé par la violence et qui se maintient par la force, ne peut être éliminé que par les armes. Pour cette frange, parler d’une solution négociée est une preuve de naïveté ou de complicité coupables. Pour cette frange qui ne croit plu au dialogue inclusif qu’elle n’a pu obtenir, une fois qu’elle sera au pouvoir, il n’y aura pas de dialogue possible avec ceux qui, jusqu’au bout, ont refusé le dialogue inclusif. Or l’inclusion qu’ils ont exigée et n’ont pas obtenue, les aurait au contraire et logiquement contraints à faire preuve de magnanimité en commençant leur potentiel règne par un véritable dialogue inclusif avec le régime déchu. Beaucoup de Congolais pensent que la plus grande faute de Lissouba fut de ne pas arrêter ou tuer Sassou à son retour d’exil en 1996 et écraser ses partisans pour les réduire au silence. Ils oublient probablement la responsabilité des uns et des autres dans la gestion calamiteuse de l’alliance U.PA.D.S., qui déboucha sur la guerre civile de 1993-1994 et indirectement sur celle de juin 1997. Sassou mort, le Congo aurait-il été un long fleuve tranquille ? J’ai mes doutes. Sassou est certes un facteur exacerbant, un catalyseur qui accélère ou intensifie une réaction, mais les ingrédients de la violence sont anthropologiquement tapis au fond de chacun de nous. Sans les extirper de nous, nous resterons un peuple barbare, incapable de tolérance.

En analysant la situation actuelle, on peut conclure que JDO a été à bonne école chez son oncle. Les réseaux sociaux et une partie des travaux de la CNS montrent que, assumant différents postes de sécurité sous Ngouabi, Sassou avait méticuleusement nettoyé tous les rivaux capables de s’opposer à sa patiente et rigoureuse ascension jusqu’à l’estocade finale du 5 février 1979, après le raté de mars 1977. Kingaga, Diawara, Kimbouala-Nkaya, Kikadi etc. auraient été savamment liquidés dans le but final d’accéder à la magistrature suprême. Cette dernière acquise, d’autres rivaux comme Katali, Motando, etc. succomberont au fil du temps pour consolider son pouvoir. Aujourd’hui, la rumeur publique prête à JDO la même stratégie de liquidation et de neutralisation de tous ceux qu’il percevrait comme rivaux depuis sa tour de garde du très stratégique Conseil National de Sécurité. Il serait le véritable commanditaire et bénéficiaire des assassinats ou arrestations d’Adoua, Avoukou, Ntsourou, Dabira, Mokoko et Okombi. Après avoir écarté de la Garde Présidentielle son ennemi Nianga-Mbouala, il serait donc sur le point de passer à l’assaut final.

Du côté du Tandem Sassou-Kiki, les choses seraient plus simples. On accuse le fils de vouloir succéder contre vents et marrées au père, en 2021 ou en 2026. Une ambition qui ne serait pas du goût de certains membres du clan et certains caciques du PCT, mais surtout de l’immense majorité des Congolais qui lui reprochent d’avoir ruiné le pays. Une autre version affirme au contraire que c’est le père qui verrait en Kiki le seul homme, dernier rempart capable d’assurer sa retraite ou de lui succéder en cas de mort naturelle. Le tandem travaillerait donc à neutraliser les rivaux et positionner des supplétifs réagissant au doigt et à l’œil. C’est dans ce cadre qu’il aurait réussi à débarquer Pierre Ngolo du siège trop stratégique de secrétaire général du PCT et qu’il s’acharnerait à éjecter sans succès pour le moment, JDO du sa tour d’ivoire du Conseil National de Sécurité.

Voilà en résumé, les protagonistes de la tragicomédie évoquée plus haut. Comédie, parce que la première chose qui vient à l’esprit est le rire, inspiré par une pièce cousue de fil blanc et que les acteurs grotesques jouent avec une arrogance et une bouffonnerie assumées. Tragique, parce que, comme d’habitude cela se terminera probablement par des milliers morts.

Et le peuple dans tout cela, me diriez-vous ? Sauf sursaut de dernière minute, il semble s’être résigné au rôle de spectateur passif et complice de son martyr. Terrorisé par la violence endémique instaurée par un pouvoir brutal, déçu par une opposition émiettée et impuissante, trahi par sa propre couardise et ses divisions abyssales, abandonné par la communauté internationale, il attend un improbable messie. Sauf qu’ayant encensé Mokoko accueilli comme libérateur en 2016, il n’a pas levé le petit doigt lorsqu’on arrêté le ‘’général du peuple’’ puis Okombi, l’homme-fort du CADD-MJ. Pas étonnant alors que les candidat-messies se fassent si rares. Le peuple se sent condamné à attendre la déflagration avec l’espoir que ça sera la fin d’un long cauchemar, mais aussi la hantise que ça pourrait être l’effondrement final qui transformera le Congo en Lybie ou Syrie.

Malgré ce sombre tableau, je voudrais apporter une note d’espoir. Même au bord du gouffre, il y a toujours une ultime prise de conscience possible. On peut se suicider en sautant dans l’abîme ou revenir à la raison et s’éloigner du gouffre. Je nous invite tous, très humblement au dépassement de soi et au sursaut national. En toute humilité, mettons le respect de la vie au centre du Congo à reconstruire. La situation sociale, économique et financière du Congo était déjà catastrophique avant la crise du covid-19. Dans un contexte d’effondrement global de l’économie mondiale, le pays, déjà ruiné, risque de disparaitre.

Nous avons des ressources humaines et naturelles pour faire face aux immenses enjeux de l’après-corona. Partout dans le monde se dessine un repli sur soi et des fronts domestiques sous forme d’union nationale pour faire face à l’adversité à venir dans un monde déglobalisé où notre principale ressource, le pétrole, ne vaudra plus rien. Osons innover, réinventer la solidarité et l’unité nationales. Entrons fièrement dans le camp des nations civilisées où la vie humaine est sacrée et la liberté individuelle, un pilier de la démocratie. C’est à ce prix que nous pourrons valoriser les nombreuses autres ressources dont la providence nous a gracieusement dotés, à commencer par une terre et un climat propices à une agriculture capable de servir de relance économique intelligente. Notre sous-sol regorge de ressources ayant permis un début d’industrialisation dans les années 1960. Tout cela, par et en faveur d’une population jeune, dynamique et ouverte à l’innovation induite par les NTIC.

Que se lève un vaillant officier capable d’organiser une transition inclusive de 5 ans avec ou sans Sassou et au bout desquels il remettra le pouvoir aux civils ; la réflexion est déjà engagée en ce sens par certains cercles de la diaspora à Paris autour de Congoliberty. Qu’il libère tous les prisonniers politiques sans condition et sans exception. Qu’il empêche des lynchages collectifs et des exécutions sommaires. Qu’il fasse que personne ne soit contraint à l’exil pour sauver sa vie. Qu’il organise un Conclave National de 3 à 6 jours, pour faire l’état des lieux de toute la nation. Qu’il fasse tout cela sans tirer un seul coup de feu. Cela a été possible le 5 février 1979 et pendant toute la CNS en 1991 et la présidentielle de 1992. L’armée avait à chaque fois avec le peuple. Qu’est-ce qui nous empêche aujourd’hui de retrouver ces moments de communion nationale ?

Et si notre vaillante armée (trop tribalisée ?) n’a plus d’officiers républicains de la trempe de Mouzabakani, Nzalankanda, Mountsaka, Kiganga, Diawara, Ikoko, Kimbouala-Nkaya, Katali, Motando, Mokoko etc., il ne restera plus au peuple, poussé dans ses derniers retranchements, qu’une seule voie, celle de l’insurrection populaire et pacifique. Sassou, Kiki et JDO n’auront alors que leurs yeux pour pleurer, s’ils ont la vie sauve. Qu’ils réfléchissent avant d’entrainer le Congo dans l’abîme.

 Pascal Malanda

Le Congo Eternel

16 thoughts on “Faut-il obligatoirement tuer Sassou, Kiki ou JDO pour conquérir ou conserver le pouvoir ?

  1. Celui qui a dit: Nous avons tué au Pool, le ciel n’est pas tombé. est un gros ignorant.

    – PRIMO:
    Première logique simple veut : lorsque on t’a appris à tuer, il va sans dire que l’on doit aussi t’apprendre à mourir. Les deux vont de pair.

    -SECUNDO:
    Seconde logique simple:Tant et aussi longtemps que l’arbitre n’a pas sonné la fin des jeux; on ne peut pas crier victoire. Tout comme aussi on peut dire: Lors d’une traversée du fleuve, on ne se moque pas du crocodile tant que l’on a pas atteint l’autre rive.

    C’EST UNE VÉRITÉ SIMPLE QUE QUICONQUE DOIT NORMALEMENT CONNAÎTRE; ET POURTANT…..

    DZÉ MA PIIIIII; OKO BONDO MONA

  2. Bon texte, mais sincèrement trop long pour rendre agréable la lecture. Le congolais n’aime pas lire, et au bout de 10 lignes, il n’a plu le courage de poursuivre sa lecture. Plus le texte sera court et précis, mieux sait pour les lecteurs de Zenga Mambu. Il est vrai qu’il s’agit une vraie tragi-comédie que nous vivons aujourd’hui dans le pays. Avec un peu de lucidité et de clairvoyance, les trois acteurs du théâtre peuvent abdiquer et laisser le peuple choisir tranquillement son président. Sassou est au bout du rouleau, pour JDO, il est inimaginable de l’avoir comme président, et Kiki inconcevable pour lui de conduire le destin du Congo. Si jamais Sassou impose Kiki, c’est qu’il aurait choisi délibérément de sacrifier son fils, parce qu’il ne tiendra pas au bout de quelques mois. Il sera rapidement liquidé. Quant à JDO, il n’a pas les capacités de manier la langue de Molière et faire passer clairement ses idées ni au niveau national, ni international. La fin de leur théâtre se conclura par la décision du peuple congolais.

    1. Bonjour. Dans le respect de l’opinion d’autrui, j’entends votre avis sur ce article. Cependant je ne suis pas d’accord sur votre avis. Rappelons-nous que s’il y a une chose qui est reprocher à nous africains c’est le manque de volonté pour la lecture. Et de dire que le congolais n’aime pas lire et par conséquent il faut écrire des textes plus courts etc. à mes yeux c’est encourager un défaut, un manquement qui est l’une des causes principales des maux que nous avons dans nos sociétés africaine en général et dans la société congolaise en particulier. La lecture contribue à la construction (l’éveil) de l’esprit et donc au développement personnel. Et les pépites qu’on y trouve peuvent aider à promouvoir le changement de mentalité auquel nous nous attendons impatiemment au sein de nos communautés. Oui le Congolais n’aime pas lire cependant il le soutenir, ni le maintenir de cet manquement.

      Pour ma part, je n’ai point de trouver d’idées redondantes. Alors je pense qu’un long texte en a vallu la peine pour transmettre cette pensée constructive.

      Merci pour votre compréhension.

  3. En mars 1977, au cri de ‘’Bakongo ba bomi Marien’’, combien de nos compatriotes perdirent la vie au ‘’petit matin’’ ? Un président, un ex-président, un cardinal, de nombreux officiers et des civils encore plus nombreux, furent sacrifiés dans un acte qu’on peut intituler : « Sacrifier Ngouabi pour conserver le pouvoir au nord ». En 1997, à la chute de Lissouba, c’est toute une série de guerres civiles qui endeuilla le Congo jusqu’en 1999 avant de reprendre avec les rebellions récurrentes de Ntoumi tout au long des années 2000.

    TEXTE TROP LONG

    « Bakongo ba bomi marien » on l’entend souvent et si cetait plausible? le pool netait il pas capable de supprimer la vie a marien ng en vue de revenir au pouvoir? le pool etait il capable de tuer marien ng oui ou non?

    POUR RAPPEL LE POOL A DEJA TUE A LUI TOUT SEUL 11 A 12 EVEQUES en tt cas 10 a mindouli en 1998 plus le,per guth le pere czoe ca fait bien 12! ba kongo ba bomi marien oui c’etait plausible

    le pool a deja tue un directeur general du budget en la personne de charles mvouama oui ou non

    le pool a deja tue la premeire candidate a une election presidentielle au congo brazzaville en la personne d’angele bandou oui ou non

    le pool a tue en janvier 2016 pres de 14 gendarmes dans le pool oui ou non

    le pool meritait en 2016 detre attrait devant la cour penale internationale( frederic bitsangou en sa qualite d’administrateur ninja et guy b p kolelas en sa qualite de beneficiaire principal des activites ninja) pour enrolement d’enfants et violation des textes de lunicef sur la protection de lenfant

    lenfant doit aller a lecole et non integre une milice. le pool n a plus voulu se rendre a la cpi preferant activer un processus de paix

    a cette epoque des images d’adolescents ninjas portant des kalachnikovs en bandoulieres et des kepis des gendrames posant devant une gare du cfco. cetait des graves violations des textes de l’unicef sur la protection de lenfant.

    donc mr l’argument selon lequel que  » ba kongo ba bomi marien  » pour nous c’etait fort plausible et nous le validons

    EN 1997 MR P LISSOUBA ET SON COMPERE J J J Y OPANGO NAVAIENT PAS JUGES UTILES DORGANISER L ‘ELECTION PRESIDENTIELLE PREVUE SE TENIR EN JUILLET DE LA MEME ANNEE

    le plan de la guerre du 5 juin etait quelle devait durer un truc du genre 4 a 5 semaines avec bon 99 morts. les 99 cerceuils devraient etre achemines au boulevard deuil national de trois jours pleurs transes discours de repentance mea culpas de p lissouba b kolelas d sassou ng et inhumation nec plus ultra au cimetiere du centre de brazzaville avec pour objectif principal le report sine die des elections

    l’upads ne vous en faites pas ce n’etait pas aussi des anges pas du tout

    D SASSOU NG NE DETENAIT AUCUN POUVOIR CONSTITUTIONNEL IL N AVAIT PAS CETTE COMPETENCE DE CONVOQUER LE CORPS ELECTORAL LUPADS NETAIT PAS UN PARTI DANGES FRANCHEMENT NON

    au sujet des rebellions reccurentes de ntoumi pour vous sinon que les laris eux memes lui ont souhaite bon une sorte de bonne appetit « manges bien tes sibissi  » je cite un papier hygienique acquis a la cause du pool soit sacer info ecrit par un oiseau du pool du nom de franck stany. cevidmement mr bitsangou etait assis a bord dune land cruiser neuve avec un ninja kalachnikov a la main

    mr b fredreci juridiquement na pas le droit de mener une operation commerciale il est preuv de tous ses droits civils(y compris le droit a l’achat) d’ou est donc venu cette toyoya land cruiser neuve? yombhy opango avait raison.

    au sujet de frederic bitsnagou son repondant en rdc budu dia nkongo nstemi je ne saios pas quoi est desormais aux arrets dabord dans un centre psychiatrique avant son jugement. il sest recemment decalre president de la rdc

    deja chez nous au congo brazzaville les larsi avaient deja appele frederic bitsangou « d’ambassadeur bitsangou  »

    mr malanda le colonel j j j yombhy opango avait pleinement raison de refuser sa grace a vos peres bon ce meme y opango avait prive le congo brazzaville dune seconde election presidentielle

    a zenga mambu

    un ambassadeur officiel qui repond au nom de guy corneille samba est accuse de vol de mauvaise gestion des choses comme ca

  4. Ah Malanda! Cher Pascal,

    Il aurait fallu te créer, vraiment, si tu n’existais pas! Une heure et démie de rires! Ce n’est pas possible de provoquer cet état en moi, très honnêtement! À croire que dès le départ, en rédigeant tes successifs textes, avec les mêmes problématiques, tu connais et maîtrises les réactions, avec donc les réponses déjà bien prêtes à leur assener! Bravo pour la répartie, car tu es très doué, avec l’humour qui l’accompagne. Tout de même, avec les mêmes thèmes perpétuellement ressassés, c’est objectivement plus facile.

    Venons-en à l’essentiel. Globalement, je dirais que Notre cher Londi et ‘Anonyme’ dans ses trois interventions (hier à 14h47, aujourd’hui à 10h12 et 19h17) ont su trouver la manière et les arguments pour te répondre. Car, l’un des grands problèmes dans tes différents papiers c’est que tu vois tout par et à travers Sassou, et donc sa barbarie dans toutes les dimensions! Car, tu sembles ne pas te rendre compte à quel point cet individu qui a réussi à vendre son grossier et piteux destin au Congo et aux Congolais dessine ou détermine ta capacité d’analyse et de réflexion qui est, ou plutôt serait pourtant de haut niveau. Je te l’ai déjà reproché dans le passé, et ‘Anonyme’ te le reproche aussi, tu t’intéresses et t’inquiètes un peu trop du sort de Sassou-Nguesso et des malfaiteurs qui l’entourent. Et ça c’est un problème. Nous avons tous, dans notre adolescence, beaucoup lu les BD où il y avait toujours des bandits, des gens sans scrupules comme lui, et nous savons tous comment ils terminent en général. Ce serait presque un miracle qu’après avoir décimé de dizaines voire de centaines de milliers de familles, humilié presque tous ceux de sa génération qui se sont placés sur son chemin de ‘rapaçerie’, sacrifié la vie des générations de Congolais jusqu’aux générations futures, que lui et sa famille s’en tirent à si bon compte! C’est absolument impossible et, crois-moi, lui le sait. Ce n’est pas par hasard qu’il se refuse à quitter le pouvoir, et va jusqu’à prévoir des dispositions constitutionnelles sui-generis (article 96 notamment) au cas où il pourrait être débarqué de son vivant, malgré lui. Sans aller dans le détail, je peux te garantir que juridiquement cet article comme son chiffon de Constitution ne veulent rien dire, puisque lui-même et ses mercenaires de juristes, face aux dispositions constitutionnelles de son précédent texte (cet autre chiffon constitutionnel de 2002) qui lui interdisaient une candidature au-delà de deux mandats, ont commis la bêtise de proclamer plusieurs fois cette lourde bêtise selon laquelle les principes fondamentaux et universels inscrits dans la Constitution ne comptent pas, ne compte que le vote du peuple, parce que bien ancré dans cette maxime stalinienne: « Ceux qui votent ne décident rien. Ce sont ceux qui comptent qui décident tout ». Une façon de te rappeler à quel point cet individu sans scrupules du tout est habité, de façon perpétuelle, par les démons! Il n’a une fois de plus pas hésité à ordonner de tirer à balles réelles, et devant les caméras en octobre 2015, sur de dizaines de nos compatriotes dont un peu plus d’une vingtaine ont encore été tués, et des centaines aujourd’hui infirmes à vie. Je n’ai pas non plus à te rappeler les milliers de crimes dans le Pool, puisque tu le dis dans ton texte. Un détail selon lui et les malfrats qui l’entourent. Et toute sa carrière politique, je ne t’apprends rien, est périodiquement émaillée de ce genre de crimes massifs que je n’ai pas besoin de rappeler ici, puisque de notoriété publique et internationale. On pourra ainsi, et entre autres démarches, le moment venu, leur répliquer ou retourner leur argument que l’on va re-consulter le peuple, avec cette fois-ci des organisations internationales, pour savoir ce qu’il pense autant de cette disposition que de tous ses textes constitutionnels imprégnés du sang de nos braves compatriotes.

    Bref, cher Pascal, quand je dis que tu perds trop de temps en te focalisant sur Sassou, c’est une façon de te dire que lui-même a scellé son sort depuis, et je viens de te le démontrer. Il ne faut donc pas inverser les situations en voulant créer des problèmes de conscience aux Congolais. Et, une fois de plus, penses plutôt, focalises-toi plutôt sur ses centaines de milliers de victimes, sur de millions de nos jeunes compatriotes d’aujourd’hui et de demain dont la vie et l’avenir ont été sacrifiés par un barbare et ses compagnons, et là tu seras plus utile. Quel que soit le prix que paiera encore le Congo, et il a déjà beaucoup payé, il survivra quand même, et C’EST UNE CERTITUDE ! Sassou-Nguesso et sa clique n’auront pas le dernier mot et, avant lui, d’autres ailleurs ont eu la même prétention que lui. Tu sais comment tout cela s’est terminé, sans exception aucune.

    En plus, essaies tout de même de faire un petit effort pour ne pas chaque fois imbriquer métaphysique, faits et réalité dans tes propos. Tes croyances religieuses ne doivent pas être la toile de fonds de tes analyses. Je te l’ai déjà dit également, aux USA, on prête serment devant la bible sans que l’on substitue celle-ci dans le traitement des affaires et conflits publics et sociaux. Personne ne te soutiendra sérieusement que le droit est parfait mais celui-ci est et reste le seul rempart, le seul cadre de référence d’appréciation des faits dans les sociétés d’aujourd’hui. Or, chaque fois quand tu parles du sort de Sassou et autres bandits qui l’entourent, c’est toujours en parlant de vengeance. Autrement dit, tu empruntes le discours qui est le leur, qui consiste toujours à dissoudre le droit quand ça ne les arrange pas, comme pour dire que le droit ne peut pas s’appliquer à eux. Et quand, comme tu aimes toujours le faire, tu te mets en plus à ressasser tout ce qu’il y a comme discours de caniveaux, notamment les perpétuelles questions ethniques, tu ne te rends pas compte non plus à quel point tu es embobiné dans leur jeu qui consiste à tout voir à partir de ces catégories, comme si tous les Congolais n’avaient que cela à l’esprit. Résultat de tout cela, c’est l’imbroglio total !

    Je me bornerai ainsi à conclure sur ce que je t’ai déjà dit par le passé: on ne peut construire, gérer un État ou ses conflits à partir des catégories métaphysiques de « lavement de mains ou des cœurs » comme tu le dis. De toute façon, tu peux le répéter mille fois, tu n’empêcheras pas les familles et les associations, quel que soit le moment, demain ou après demain, de se saisir de ces graves affaires relatives aux trois industries (pillage, crime et anti-valeurs) qui auront constitué l’œuvre de quarante ans de vie politique de ce vil personnage. L’élite aura une obligation fondamentale, qui sera celle d’assurer la pédagogie auprès de nos jeunes compatriotes, à qui on aura des décennies durant inculqué de faux préceptes, pour leur dire et enseigner que le bien collectif ne peut faire l’objet d’une appropriation familiale et abusive, comme l’aura fait Sassou-Nguesso tout au long de sa vie. Que dans cette hypothèse, cela doit se résoudre impérativement par le droit, comme dans tous les États du monde moderne, et non par des prières, des menaces et des chantages, ou autres tristes combinaisons et transactions dont la conséquence ne consistera alors qu’à les perpétuer, comme ne le dément pas notre histoire politique et économique…

  5. Mes chers compatriotes ,je dis merci à toutes et tous qui contribuent au bon fonctionnement du Club des Amis du commandant Pierre KIGANGA (AKP) . Je lance également un appel à tous les amis de Pierre KIGANGA ,ceux qui ont lutté avec lui ,en exil ou à Brazzaville …Aussi aux anti-communistes Congolais de nous aider, nous assister dans cette démarche politique.
    iL ya 50 ans des militaires et civiles anti-communistes ont tenté politiquement et par les armes à combattre le régime communiste , Bolchévique , Trotskyste , Guévariste …Du commandant Marien NGOUABI au risque de leurs vies.
    Après la prise de la voix de la révolution épicentre stratégique de l’opération , Pierre KIGANGA et ses amis obtenaient une première victoire psychologique et émotionnelle sur les amis du Chilien ALLENDE , je cite les hommes du cdt Marien NGOUABI.
    Certains amis du cdt Pierre KIGANGA des militaires et des milliers des civiles trouvèrent la mort qui à la radio congolaise ou à l’Etat Major de NGOUABI (cf-VIdéo des vivants à notre possession).
    Les militaires assassinés par les communistes , il s’agit de:
    -cdt KIGANGA Pierre
    -cdt KIYINDOU Michel
    -Cpt MIAWAMA Albert
    NB tous anciens élèves de l’école militaire enfant de troupe de Brazzaville comme Marien NGOUABI, et YOMBI OPANGAULT.
    Et les:
    -Sergent chef Accablant Nkouka ,
    -Sergent Omer MALANDA
    -Maréchal de Logis Benoit BANAKISSA
    -Maréchal de Logis Jean Marie MENGO
    Et des milliers de civiles qui se sont fait prisonnier en levant les mains , donc qui ont levé les mais en l’air ,mais fusillés par le lieutenant EYABO et MOUASSIPOSSO.(cf-VIdéo en ma possession ).
    Compte tenu de l’implication des éléments de la gendarmerie nationale dans l’action conduite par KIGANGA Pierre , elle fût dissoute par les communistes Congolais.
    La jeunesse congolaise doit savoir que les communistes Congolais ont retardé le développement économique et politique de notre pays , le retard de notre évolution leur incombe. A cause de leur choix idéologique , l’instauration du communisme au Congo , ils sont responsables du chômage à vie des jeunes Congolais. Du faible du pouvoir d’achat …Car ils avaient choisi une coopération avec des sans capitaux , capitaux indispensables pour construire les infrastructures économiques , comme la Côte -D’ivoire d’ALLASSANE OUATTARRA et le Sénégal du président MACKY SALL ,…Chers jeunes nous avons l’obligation à coopérer avec des pays comme la France , pour notre émancipation , Seule la FRANCE pourra nous accompagner dans le développement du Congo Brazzaville ,les pays de l’Est de l’Europe n’ont pas seulement ils manquent des capitaux ,mais également ne respectent pas les droits de l’homme. nous devront coopérer avec les opérateurs économiques Français , nous avons besoins du savoir faire des Français ,afin qu’elle nous forme des officiers militaires qui respectent l’homme , des médecins , des juristes , professeurs d’universités , des journalistes , des opérateurs économiques ….Nous devrons rester dans la communauté Francophone afin de gagner les batailles de l’économie et de la démocratie .
    BANZOUZI KIGANGA Guy-Macaire
    Président des AMIS du cdt KIGANGA Pierre (AKP).

    1. Qui a dit « le mbchi est une belle langue » ???? si les locuteurs de cette langue si je peux me permettre étaient doués de sagesse et de raison ils auraient depuis longtemps arrêté leur parent au lieu de cela ils le laissent détruire le pays et massacré les innocents

      Qui a dit « le mbchi est une belle langue » ???? ce sont majoritairement ses locuteurs qui ont transformé le communisme en n’importe quoi au Congo la logique des ko kolia konéna kosuba koboma bato

      Enfin seule la France peut nous aider à nous développer ah oui ???? pourquoi elle ne le fait pas maintenant elle soutien le locuteur mbochi qui a une si belle langue

      Kinganga sincèrement lorsqu’on a vraiement rien à dire il vaut mieux parfois se t………

      Lokuta monéné lokuta monénén lokuta monnéné oya a kanissaka mpr ekokoufa wayaaaaah
      Mpr partie état oyo a kanissaka mpr ekokoufa wayaaaaah
      Papamobutu tikala libela ôôôôôô papa maréchal tikala libéla oyo a kanissaka mpr ekokufa wayaaaa

  6. Le lavage des mains nous a amené ou nous en sommes aujourd’hui, alors l’absolution nous fera retomber dans les mêmes travers. Si nous voulons repartir sur de nouvelles bases il faut que justice soit rendue et ceux qui ont des comptes à rendre soient jugés, sassou comme le reste de la mafia qui a ruiné et détruit le pays.
    Les arrangements à la Congolaise nous ont amenées au néant seul la justice peut nous amener à une prise de conscience collective pour écrire un avenir.

    Il me semble que la peine de mort n’existe pas au Congo. Alors Mr Malanda pourquoi avez vous autant peur que Sassou subissent cette peine capitale. Donc si justice doit être rendue je ne vois pas ou est le risque pour ce Monsieur. Pourquoi cette inquiétude qui vous tenaille.
    Par contre ce qui peut être choquant c’est toute l’énergie que vous déployez à réclamer à corps et à cris pour la survie de ce dictateur, on aimerait que cette énergie et cette empathie soit autant dirigée vers la population qui souffre du fait des actes atroces commis par sassou.

    Mr Malanda je n’ai jamais dit que je réclamais la tête de sassou et qu’il fallait le lyncher, au contraire je demande que justice soit faite et que jugement soit rendu.
    Mais si demain le pire arrivait pour sassou, en serions nous responsable parce que nous demandons qu’il ne soit plus aux affaires. Qui l’a mis ou il est et qui c’est comporté comme il le fait personne ne la obligé à être ce qu’il est, c’est à dire un DICTATEUR sanguinaire qui a ruiné le pays. Tout homme doit accepter sa destinée et si elle est tragique en quoi pouvons nous changer les choses.

  7. Pour conquérir le pouvoir, OUI, il faut les tuer tous : les NGUESSO, OKEMBA, NIANGA MBOUALA, NDENGUET…Tous ! Comme ça, ils ne seront plus là pour conserver le pouvoir. C’est écrit !

    1. Kkkkkk voilà qui a le mérite d’être clair. Ils ont ôté allègrement la vie des autres, pourquoi en serait-il différent pour eux, vils personnages !!

  8. Mon cher LOKUTA ,merci pour ta réplique mais moi je ne fais pas la politique en terme ethnique: des mbochis , des ethnies…C’était le combat de mon père KIGANGA Pierre : :-combattre le tribalisme et autres fléaux qui étouffent notre pays , ce beau pays qui est le Congo .
    Essaye de te renseigner mon père KIGANGA Pierre appelait tout le monde au bataillon para-commando ^^^^mon amis ^^^^,son combat politique était de loin ethnocentrique .
    oui je dis la langue Mbochi comme toutes les langues du Congo sont des belles langues, y compris la tienne.
    La France est le premier partenaire économique du Congo , souffre que je dise que je demande sa contribution économique et politique .Je prends comme point de repère des pays qui ont fait appel à cette grande puissance qui est la France le Sénégal et la Côte d’ivoire , regarde leurs réalisations économique.je dis tout haut même si ma voix est petite pour être entendue , notre CFA , est soutenu par la France….Souffre que je te dise que le choix politique fait par les Communistes Congolais est à l’origine du chômage à vie de notre jeunesse , je ne parle pas du pouvoir d’achat des Congolais .Voilà les résultats du communisme , ces pays n’ont pas des capitaux à investir au Congo , je t’informe encore pour développer un pays , il faut des capitaux , et le seul pays avec qui nous avons des liens historiques reste la France pas les pays de l’Est de l’Europe …Mon frère , et çà KIGANGA Pierre l’avait vu avant les autres .Les pays d’Europe de l’Ouest se sont construits avec des capitaux des USA après la guerre mondiale .KIGANGA Pierre avait réfléchit selon ce modèle , mais les communistes Congolais sans vision politique ont pensé autrement, d’où l’hécatombe , l’apocalypse….
    Aujourd’hui sans la France , le Mali n’existerait plus car les terroristes étaient à la porte du Mali , voilà pourquoi nous avons l’obligation d’être dans la communauté Francophone . Il faut être dans des grands ensemble pour être protégé et se développé , ce cadre c’est la francophonie .
    Non on va rattraper ce retard causé par les Communistes Congolais .

    BANZOUZI KIGANGA Pierre
    Président des Amis du cdt KIGANGA Pierre (APK)

    1. Nous pouvons trouver d’autres partenaires pour nous développer l’Asie par exemple s’est développée sans l’aide de ta chère France qui est responsable du génocide dans le Pool avec sa multinationale elf

      Dans le monde on trouve tant et tant de pays qui ses sont passés de l’aide de France pour se développer

      Enfin tu pourras crier sur tous les toits que la langue mbochi est une belle langue les faits hélas sont têtus c’est la langue des génocidaires des voleurs et de ceux qui ont mis à mal la cohésion du pays c’est la langue de la dictature qui sévit actuellement dans le pays hélas pour toi et des grandes paroles

      Merci

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