Réponse du parti politique UPADS à Monsieur Laurent DZABA

Mise au point sur l’approbation de l’accord de rééchelonnement de la dette du Congo envers la République Populaire de Chine

En sa deuxième Session extraordinaire, l’Assemblée Nationale a, le 17 mai 2019, approuvé l’Accord de rééchelonnement de la dette du Congo envers la République populaire de Chine.

Au nom de l’Opposition Politique Congolaise, dont il incarne aujourd’hui le leadership, le Camarade Pascal TSATY-MABIALA, Premier Secrétaire de l’U.PA.D.S, a donné le point de vue de sa plateforme sur la question. Ce point de vue a consisté dans un premier temps à démontrer le niveau d’inconscience et d’irresponsabilité politiques de la Majorité au pouvoir qui, sous le Président Denis SASSOU N’GUESSO, a plombé notre pays sur le plan économique et financier, hypothéquant ainsi l’avenir des Congolais, y compris ceux qui ne sont pas encore conçus ou nés.

Dans un second temps, et avec un sens élevé  de responsabilité, les Députés de l’Opposition ont voté le projet de loi portant ratification dudit Accord, non sans avoir demandé au Président de la République d’écarter les responsables de la débâcle socioéconomique et financière du Congo de toute gestion pour incompétence avérée et gabegie.

Ce vote, pourtant clair, a suscité les interprétations les plus risibles, les rumeurs les plus folles et les mensonges les plus grotesques de la part de quelques politicards en quête de popularité et de légitimité, sans ignorer certains « pisse-copie », les  scribouillards, qui mettent à la disposition des citoyens leurs feuilles de chou appelées abusivement coupures de presse ou journaux. Ce qui pose le problème du respect des règles déontologiques, de la formation « douteuse » de certains journalistes qui ne savent pas faire la distinction entre informer et concocter des rumeurs sans fondement, donc susceptibles de motiver une action en justice pour diffamation sur la personne d’autrui.

La J.U.PA.D.S, par ma voix, vient ici rétablir la vérité sur le sens du vote des Députés de notre parti. Mais pour bien fixer l’opinion, il est important de revenir sur quelques affabulations ressassées par les sieurs Laurent DZABA et Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA, dans la parution n°205  du journal « LE NOUVEAU REGARD » du mercredi 22 mai 2019.

  1. DU PRETENDU DEAL AVEC LE POUVOIR

Dans leurs moyens dérisoires, les  deux écrivaillons dépourvus de toute analyse pertinente se complaisent dans de piteuses suppositions, alléguant faussement par exemple que :

– le Camarade Pascal TSATY-MABIALA aurait passé un deal avec le pouvoir en place, ce qui l’obligerait prétendument à lui vouer une certaine allégeance ;

– les Députés de l’Opposition auraient reçu chacun la somme de cinq millions de francs CFA afin d’approuver le texte

– plutôt que de voter le projet de loi dont il s’agissait, il aurait été mieux de s’abstenir parce que la Majorité au pouvoir l’aurait de toute façon voté ;

– le Camarade Pascal TSATY-MABIALA n’aurait pas les coudées franches pour installer un vrai rapport de force face au pouvoir, etc.

De toutes ces sottises, on n’en retient qu’un seul qualificatif : la médiocrité.

Médiocrité parce que la politique aura considérablement abrouti l’intellectuel Congolais qui, désormais, a tendance à croire que la différence des idées conduit obligatoirement à l’inimitié, à la haine vis-à-vis des adversaires. Une telle conception étriquée de la politique devrait tout simplement mettre hors jeu ces aventuriers qui n’ont nullement le sens de l’Etat, au risque pour les Congolais de se perdre en conjecture.

 Analysant toutes ces bassesses, il apparaît clairement que nos chers donneurs de leçon de morale, incapables de se frayer un chemin à la loyale dans l’arène politique, tentent de s’attirer  la sympathie populaire en vendant l’illusion aux populations, par leurs contes de fée que seuls les nigauds sont à même d’y apporter le moindre crédit. C’est une peine perdue.

« Au bout de trois ans d’existence…l’opposition serait incapable de faire mieux que les étudiants, qui en une semaine auraient fait plier le pouvoir… ». Tels sont les propos du déclamateur Laurent DZABA. On serait alors tenté de lui décerner la médaille de critique politique, mais ce serait trop facile d’autant que de mémoire des Congolais ce chantre de la distraction n’a jamais  osé délier sa langue lorsqu’il a rarement séjourné au Congo, tandis qu’il la maintient bien pendue en terre étrangère juste pour jouer les Cassandres. C’est l’occasion de l’inviter à rentrer dès maintenant au pays et commencer à nettoyer, puisqu’il veut s’attribuer ce rôle, les écuries d’Augias comme Hercule dans la mythologie grecque. La critique étant aisée, l’art toujours difficile.

S’il faut revenir sur le fameux deal dont parle avec certitude Laurent DZABA, force est de constater que son intention, à peine voilée, transparaît dans ses propres arguties lorsqu’il aiguise son appétit du pouvoir, comme une hyène affamée, en réclamant une TRANSITION POLITIQUE, seul moyen pour lui d’espérer assouvir sa faim. La messe est donc dite.

Dans ces conditions, il est inutile de se cacher derrière un faux problème, en l’occurrence le vote de l’Opposition, en prenant pour cible quelqu’un qui n’est pas habilité à trouver à notre quémandeur de poste ministériel ce qu’il recherche avec frénésie.

Que dire de l’autre quidam qui se cache derrière un nom d’emprunt, notamment Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA ?

Simplement rappeler que la haine ne détruit pas aussi facilement celui que l’on choisit comme adversaire, mais soi-même. En voulant recourir aux vieilles méthodes de la fameuse ‘’Agitation politique’’ pour manipuler l’opinion, le piège peut se refermer sur le manipulateur lui-même. Chacun a le droit de revendiquer sa liberté d’expression, sans oublier que tout excès de liberté dans le sens de nuire à autrui est punissable.

Le Congo n’est pas une pétaudière où chacun peut dicter sa propre loi et croire que tout peut se dire sur les hommes politiques, y compris le fruit d’une stupide imagination doublée d’une overdose d’on ne sait quel stimulant.

Le Conseil Supérieur de la Liberté de Communication devrait renforcer sa régulation, afin de démasquer tous les charlatans qui se prévalent du prestigieux titre de journaliste et les mettre hors d’état de nuire.

  1. DU VRAI SENS DU VOTE DE L’OPPOSITION

Le rôle du législateur n’est pas de conclure des deals mais de légiférer et de contrôler l’action du Gouvernement. Légiférer c’est toujours rechercher le bien-être du peuple, jamais le contraire. La crise qui étrangle le Congo aujourd’hui n’épargne aucune obédience politique ni aucune catégorie sociale : étudiants, retraités, travailleurs, chômeurs, bref, toutes les catégories sociales sont bien concernées.

L’U.PA.D.S n’est comptable, à quelque niveau que ce soit, de l’actuelle situation économique de notre pays. Mais, en tant que parti de gouvernement, et qui lutte tous les jours pour améliorer les conditions de vie des Congolais, elle ne peut s’accommoder des choix irresponsables et périlleux pour le même peuple.

Lorsque Laurent DZABA déclare : « soit on accepte de faire les sacrifices aujourd’hui dans le but de faire écrouler ce pouvoir qui nous martyrise, soit on apporte de l’eau à son moulin comme le font TSATY-MABIALA  et ses amis, ce qui prolonge la souffrance du peuple… », il exhibe au grand jour son immaturité et son irresponsabilité, lui qui réclame à cor et à cri une transition politique, donc veut participer au pouvoir dans un Etat rendu inopérant économiquement. Comment ferait-il alors pour gérer lorsqu’il serait nommé ministre de la transition tant rêvée ?

Le sens de l’Etat commande une analyse profonde des situations avant toute action, un discernement, puisque « L’erreur humaine est toujours un élément de la guerre, et le prix à payer est toujours élevé…La négociation, et non la guerre est la voie qui mène à la solution… », dixit Nelson MANDELA.

Le Congo est notre maison commune. Si la maison brûle, l’on ne recherche pas d’abord le pyromane. Il faut absolument et très vite éteindre le feu et punir le pyromane par la suite. Tel est le bon sens, la raison qui devrait habiter chaque Congolais. Faire autrement équivaudrait à se comporter tel cet enfant irréfléchi qui ramène la bagarre avec ses adversaires dans la concession familiale où se trouvent biens meubles et immeubles, mais surtout toute sa famille. Quelle irresponsabilité !

En choisissant de voter l’Accord de rééchelonnement de la dette du Congo envers la Chine, le Premier Secrétaire de l’U.PA.D.S, et tous les Députés de l’Opposition n’ont pas apporté de l’eau au moulin. Ils ont pris une décision, car être homme public c’est aussi savoir décider. S’abstenir c’est l’indécision et cela s’appelle de l’opportunisme. En pareille circonstance on ne s’abstient pas, surtout quand on sait qu’il n’y a pas d’autre alternative pour aboutir à la solution.

C’est un secret de polichinelle. Pour aboutir à un Programme au titre de la Facilité Elargie de Crédit avec le Fonds monétaire international (FMI) il y a des conditions à remplir. Parmi les conditions non dérogatoires se trouve la restructuration de la dette bilatérale envers la Chine.

Or, l’Opposition en général, et l’U.PA.D.S en particulier, n’ont cessé de faire pression au Gouvernement dans le but d’accélérer les réformes, d’assainir les finances publiques et d’améliorer la gouvernance en vue de l’aboutissement heureux dudit Programme pour lequel tant de Congolais fondent leurs espoirs aujourd’hui.

C’est donc en âme et conscience que notre parti a voté la loi. Un vote de raison qui n’a rien à avoir avec les intrigues et les fables des populistes devenus pour la plupart des travailleurs des réseaux sociaux, leur nouveau curriculum vitae.

Avec conviction, la J.U.PA.D.S apporte par ma voix tout son soutien à la démarche des Députés du parti et de l’Opposition Politique Congolaise.

Face au péril collectif, il faut un sursaut patriotique et savoir taire les querelles, faire une trêve entre les blocs Majorité-Opposition. A ce moment-là les hommes d’Etat, c’est-à-dire ceux qui sont capables de gérer un pays, se retrouvent et, malgré leurs différences, cherchent les moyens efficaces de sortie du chaos. La chamaillerie inutile n’étant pas une solution.

Toutefois, à la suite de la déclaration du Camarade Pascal TSATY-MABIALA, la J.U.PA.D.S exige qu’une action récursoire soit menée contre tous les gestionnaires identifiés comme tels à l’origine de ce désastre économique.

La Majorité au pouvoir compte plusieurs cadres capables de remplacer tous les moutons noirs. Ce qui devrait amener le Président de la République à ne pas protéger les détourneurs de fonds publics, en les maintenant à leurs postes. Cela s’apparenterait bien à un soutien qui ferait de lui soit caution soit complice du malheur des Congolais, s’il est vrai qu’il n’en soit pas déjà devenu l’auteur.

Il n’y aura ni gros poisson ni fretin et le peuple attend avec impatience que la nasse soit jetée dans l’eau.

                                                                                        Fait à Brazzaville, le 31 mai 2019

                                                                                           Le Président de la J.U.PA.D.S

                                                                                        Sidoine Giscard MADOULOU

                                      

11 thoughts on “Réponse du parti politique UPADS à Monsieur Laurent DZABA

  1. Un peu nul comme défense. L’insulte est l’argument des faibles. Réfutez les allégations qu’on juge infondées, mais ne tombez pas dans l’invective. A part le blabla, je retiens de votre réfutation l’idée tirée de la métaphore de la maison qui brûle. Vous avez raison de dire qu’il faut d’abord éteindre l’incendie avant de chercher le pyromane. Pourtant, je ne peux m’empêcher de vous montrer les limites de cette métaphore par rapport à la situation du Congo. La première, c’est que pour le Congo, on connaît le pyromane. Deuxième limite, une question: que représente le feu dans le cas du Congo? Parce qu’on peut pour le Congo, éteindre la fumée plutôt que le feu. Troisième limite, d’autres questions : quel moyen pour éteindre le feu? Juste un sceau avec de l’eau? Sous d’autres cieux, on utilise les canadairs. Par ailleurs, l’opposition n’est-elle pas un contre-pouvoir? Ce n’est pas une question de sentiment, comme la haine, mais une question de logique. L’opposition n’est pas le contraire du pouvoir, comme si on était dans un rapport de tout ou rien. Elle est plutôt la contradictoire du pouvoir. En ce sens qu’elle est censée apporter des modifications et des corrections aux projets du pouvoir, surtout lorsqu’elle juge ces derniers problématiques. Ainsi est-il incompréhensible que l’opposition juge préjudiciable un projet, et aussitôt, accepte qu’il soit mis en œuvre. N’y a-t-il pas là un problème de cohérence? L’UPADS ne pratique-t-il pas la politique du caméléon?

  2. MAIS QUI DONC VOUS DONNE DES CONSEILS A LA JUPADS ?

    L’UPADS n’était pas obligé de voter. En votant, qu’avez-vous apporté à part réconforter les responsables de la descente aux enfers du Congo ?

    Si l’UPADS s’est disloquée, c’est justement à cause des gens qui raisonnent comme cet IMBECILE de Sidoine Machin là !

    Si c’est comme ça que vous comptez revenir au pouvoir, les Mbochis qui font n’importe quoi avec l’argent du Congo aujourd’hui ont encore de beaux jours devant eux.

    S’ABSTENIR, voilà l’attitude qu’aurait adoptée l’UPADS sur le vote à la CON sur le rééchelonnement de la dette envers la Chine. A la CON parce que vote de l’UPADS ou pas, l’assemblée en grosse majorité PCT aurait voté pour. Alors, pourquoi se compromettre inutilement au point de s’attirer des critiques, très bien fondées d’ailleurs ?

    Mais vous à l’UPADS vous êtes tellement bouchés que vous ne comprenez que dalle ! Comment peut on crier au voleur et lui ouvrir en même temps une porte pour s’enfuir?

    Maintenant, si SASSOU-NGUESSO ne se débarrasse pas de ses parents coupables de crimes économiques comme tout le monde le sait, vous vous imaginez un peu l’air CON que vous allez avoir ?

  3. il ne faut jamais repondre au pool.par contre l’upads doit attraire en justice le mcddi pour le prejudice cause lors de la magistrature de mr pascal lissouba president de la republique.enfin l’upads s’exprime maintenant en bon francais cest bien cetait rare.

    Le Conseil Supérieur de la Liberté de Communication devrait renforcer sa régulation, afin de démasquer tous les charlatans qui se prévalent du prestigieux titre de journaliste et les mettre hors d’état de nuire.

    ils sont tous des lanceurs d’alertes.

    l’upads doit quantifier le prejudice subit par elle du fait du mcddi lors de la gestion de l’upads a la tete de l’etat.

  4. Toutefois, à la suite de la déclaration du Camarade Pascal TSATY-MABIALA, la J.U.PA.D.S exige qu’une action récursoire soit menée contre tous les gestionnaires identifiés comme tels à l’origine de ce désastre économique

    il y a action recursoire lorsque que le commettant repond des actes poses par son prepose et se retourne contre lui par le biais donc de l’action recursoire.c’est une action en justice dune partie a contre une partie b.

    . un chauffeur a bord dun vehicule appartenant a une societe a heurte le mur dun citoyen.la societe a supporte les frais de reparation du mur et se retourne contre son agent pour le prejudice cause.cest ce retournement qui est qualifie d’action recursoire.

    donc votre cas franchement je ne me retrouve pas.soyez plus clair.donnez des exemples idoines.

    votre lettre est remplit d’insultes a autorites .le meme etat peut vous attraire devant un juge dabord pour diffamation et accusation injustifiee ensuite pour propos discourtois vis a vis du pouvoir executif.attention a vous.l’insulte est un delit.vous agissez donc comme les deux oiseaux du pool.

    Avec conviction, la J.U.PA.D.S apporte par ma voix , le moi est haissable

  5. Ceci s’adresse à l’ensemble de l’UPADS

    1 – VOUS CRIEZ AU VOLEUR
    2 – VOUS OUVREZ UNE PORTE POUR LUI PERMETTRE DE S’ENFUIR.

    CONCLUSION : VOUS ETES 3 (TROIS) CHOSES :

    1 – UN COMPLICE
    2 – UN HYPOCRITE
    3 – UN GROS CON

    3 (TROIS) COMME VOS TROIS PALMIERS RIDICULES QUI VOUS SERVENT DE LOGO.
    VOUS PARLEZ D’UN BORDEL DE PUTAIN DE PARTI DE MERDE !!!

  6. @Le Président de la J.U.PA.D.S, Sidoine Giscard MADOULOU

    Heureusement que vous faites partie d’une jeunesse qui ne comprends rien en la politique si ce n’est pour accompagner applaudir Sassou et son clan et supporter les complices de Sassou comme Tsaty Mabiala.
    Vous êtes bornés au point de ne pas comprendre qu’on ne veut pas d’une chose et son contraire. Mampous et Uppercut! ont montré ici votre inculture politique au point où je n’ai plus rien à vous dire.
    Sachez une fois pour toute qu’une opposition sérieuse ne peut pas critiquer un pouvoir, lui demander de se défaire de ses Ministres connus comme étant ceux qui ont le plus fait mal à ce pays et voter une loi qui permettra de mettre entre les mains des mêmes acteurs de l’argent que Sassou est entrain de quémander au FMI. Ce serait comme confier à nouveau un sac d’arachides à la garde d’une bande de souris quand on sait qu’on ne retrouvera plus rien au bout d’une nuit.
    Je vous conseille pour terminer de garder votre place de porte valises de Tsaty Mabiala au lieu de parler des choses que vous ne maitrisez pas.
    Le Congo est dans une situation de déconfiture telle qu’on a pas besoin des gens comme vous pour venir amuser la galerie en venant ici pour injurier les congolais.

  7. vous avez écrit
    En choisissant de voter l’Accord de rééchelonnement de la dette du Congo envers la Chine, le Premier Secrétaire de l’U.PA.D.S, et tous les Députés de l’Opposition n’ont pas apporté de l’eau au moulin. Ils ont pris une décision, car être homme public c’est aussi savoir décider. S’abstenir c’est l’indécision et cela s’appelle de l’opportunisme. En pareille circonstance on ne s’abstient pas, surtout quand on sait qu’il n’y a pas d’autre alternative pour aboutir à la solution))

    soyons raisonnable l’UPADS devrait boycotter ce vote et Laurent DZABA a plus que raison de s’en prendre à ce parti devenu godilot , qui accepte tout de sassou
    fallait même demander une motion préalable montrer que voter ce qu’on vous demande n’avance que l’impunité des voleurs que l’on connait tous

  8. Lorsque cette dette etait prise, l`avis des autres n`etait pas importante et jusqu`a present le compte bancaire lequel cette dette chinoise etait mise en transaction n`est pas encore une transparente. Mais quand le FMI vous impose, vous cherchez à rassembler les gens pour « l`accord de rèèchelonnement de la dette ». De notre avis, vous êtes tous prise comme LE CLAN NGUESSO sur comment vous tenez le Congo Brazzaville en otage.

  9. En outre, vous prouvez que les consommateurs de la dette Chinoise c`est bien vous qui est d`accord sur le rèechelonnement de la dette Chinoise. Si les consommateurs de cette dette n`etait pas vous qui representent le clan Nguesso, vous devriez refusè pour la cause comme raison que vous n avez pas consommer la dette en question. Mais comme c est le cas, vous voila devant votre marmite commune laquelle vous pratiquez votre sorcellerie contre le peuple. C est très simple à comprendre et de plus en plus vous documentez que le clan Nguesso c est très bien vous.

  10. christine balandakana maitresse ntoumi adultere 3 enfants tous nes ou concus pour etre clair de lits differends dit :

    collez la paix a l’upads si b kolelas n’avait pas conteste la victoire de p lissouba on en serait pas la aujourdhui. bande de merdiers que vous etes.

  11. Et si Lissouba n’avait pas comme DIR CAB MUNARi qui elle même avait pour DIR CAB Mme NONAULT SOUDAN, et s’il n’avait pas comme Ministre de L’interieur MBERI et Ministre de la Defense TSATY MABIALA, peut être que les choses ne seraient pas ce qu’elle sont aujourd’hui.

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