Retro 2016 : Le président Denis Sassou-Nguesso, seul face à son peuple

Le président congolais, qui cumule près de 32 ans au pouvoir, brigue un nouveau mandat lors de l’élection de ce dimanche. Il a pourtant échoué à incarner le grand personnage de ses chimères.

Denis Sassou-Nguesso, dit-on, rêvait de marquer l’histoire du continent africain, de laisser de lui l’image d’un architecte de la stabilité, d’un « homme de paix ». Mais le chef d’Etat congolais, qui veut aussi se succéder à lui-même lors de l’élection présidentielle de ce dimanche 20 mars, se retrouve pris dans le piège de son propre système, aveuglé par le pouvoir et la nécessité de le garder.

La constitution qui l’empêchait de se représenter ? La voilà changée en octobre 2015 lors d’un référendum contesté par tous, sauf par lui et son parti. Il passe en force. Et c’est bien là la principale faiblesse de cet ancien général putschiste devenu chef de guerre et président. L’alternance réclamée par une partie des Congolais ? Il n’en veut pas, pour le moment. Lui seul décidera quand le moment sera venu.

« Manque de vision »

Denis Sassou-Nguesso aime à rappeler sa présence au protocole de Brazzaville, en 1988, et son rôle pour l’indépendance de la Namibie. A 72 ans, usé par trente-deux ans de pouvoir dont de longs mois de guerre civile, il ne manque pas de montrer les photographies de lui-même aux côtés de Nelson Mandela, en 1991, à Brazzaville. Une scène qu’il répète dans le documentaire à sa gloire, « Le pouvoir et la vie », co-réalisé par François Soudan, directeur de la rédaction de Jeune Afrique et diffusé sur la télévision publique quelques jours avant l’élection présidentielle. Le documentaire oublie de mentionner que M. Mandela a quitté le pouvoir en 1999, après un seul mandat de cinq ans.
Ces dernières années, devant les diplomates occidentaux et régionaux, M. Sassou-Nguesso a joué le rôle qu’il préfère : médiateur de la crise en Centrafrique. « Il n’a que très rarement évoqué les difficultés du Congo. Il aime discuter de la situation régionale, dit un diplomate. Son régime tient le pays mais le principal problème du Congo, c’est la gouvernance économique, et le manque de vision de Sassou. »

A défaut de vision, le candidat s’est présenté durant cette campagne, qui s’est tenue du 4 au 18 mars, comme un bâtisseur au sens premier du terme. Routes, ponts, usine, université, hôpital, le président Denis Sassou-Nguesso a inauguré en grande pompe une série de chantiers à travers le pays, qu’il a sillonné en jet privé et en convoi escorté par l’armée, n’hésitant pas à mobiliser des moyens de l’Etat et des ministres pour sa campagne.

Le bâtisseur et son clan

Kintélé, à une vingtaine de kilomètres au nord de Brazzaville, est la vitrine de cette folie des grandeurs qui réjouit les patrons chinois de sociétés de construction. Plus de 800 millions d’euros ont été dépensés par l’Etat pour bâtir un stade de 60 000 places qui n’a servi que deux semaines, pour les XIe jeux africains de Brazzaville en 2015, et pour lancer le chantier de la future Université Denis Sassou-Nguesso. « Il a transformé une vision théorique du développement en pratique, il mise sur les infrastructures, abonde un patron français qui lui est resté fidèle. Sassou reste car il n’a trouvé personne pour lui succéder, le moins bien est mieux que le pire. »

Parmi le « pire », il y a peut-être des opposants inexpérimentés et revanchards. Et dans son propre camp, son fils cadet, Denis Christel Sassou-Nguesso. Surnommé « Kiki », cet homme d’affaires, pétrolier réputé corrompu et député d’Oyo, le village familial, a caressé le rêve de succéder à son père. En vain. « Tu imagines un Zaïrois à la tête du Congo ? », dit en privé Denis Sassou-Nguesso à son sujet, rappelant l’origine de l’autre côté du fleuve, en République démocratique du Congo, de sa défunte épouse et mère de « Kiki ».

De son palais présidentiel, boulevard Denis Sassou-Nguesso, l’ancien agent de renseignement règne en maître absolu. Il gouverne seul, entouré des siens, ceux qui lui sont restés fidèles durant sa « traversée du désert » après sa défaite électorale en 1992 face à Pascal Lissouba. Battu, il se réfugie dans son village d’Oyo, au nord du pays, puis s’installe avenue Rapp, à Paris, plein d’amertume. Il se sent trahi, abandonné par son « ami » Jacques Chirac et par les pétroliers d’Elf (devenu Total). Lesquels le soutiendront pourtant dans sa reconquête du pouvoir par les armes en 1997, avec l’appui militaire de l’Angola. Encore aujourd’hui, il ressent comme une humiliation cet exil parisien ennuyeux et long de près de cinq ans. Sa gouvernance clanique, empreinte d’un zeste de paranoïa et d’interminables calculs d’arithmétique politico-tribale, le rassure.

« Le peuple n’a rien »

A ses côtés, il y a désormais sa fille Claudia, députée et conseillère de son père pour la communication et quelques affaires stratégiques. Son fils Edgard est à la tête du domaine présidentiel. Ses cousins, neveux, et autres membres éminents de son ethnie Mbochi parsèment l’organigramme du régime. Les querelles de pouvoir et de répartition des revenus du pétrole massivement détournés se résolvent en conseil de familles, ou chez les sages d’Oyo.

Entre-temps, des enquêtes ont été ouvertes en France, au Portugal et en Suisse, où les dépenses extravagantes de la famille ont attiré l’attention de la justice et des ONG anti-corruption. « Le président est las de ces affaires et des dérives de ses enfants devenus millionnaires sans rien faire. Ça l’use et attriste », entend-on dans son entourage. Pourquoi alors occupent-ils des postes stratégiques au sein de l’Etat et du secteur pétrolier ? « Il n’a plus le choix, il est en quelque sorte prisonnier de son clan », estime un diplomate africain, habitué du palais présidentiel de Brazzaville.

Le contexte ne lui est plus favorable : les cours du baril se sont effondrés, les agences de notation ont abaissé la note du pays, la dette se creuse et devrait atteindre 48 % du PIB en 2017, selon Moody’s. Et plus de 50 % de la population vit toujours sous le seuil de pauvreté. « Le Congo a gagné en 2013 plus de 5 milliards de dollars, mais nul ne sait où va cet argent, s’indigne l’ancien ministre des hydrocarbures (1993-1997), Benoît Koukébéné, opposant virulent au régime. Le bilan de Denis Sassou-Nguesso ? A part quelques routes, qu’a-t-il fait ? L’économie est en lambeaux, son clan vit dans l’opulence et le peuple n’a rien. »

Un constat partagé au sein d’une opposition hétéroclite menée notamment par d’anciens ministres de Denis Sassou-Nguesso et de Pascal Lissouba et par celui qui veut incarner une troisième voie, le général Jean-Marie Michel Mokoko, 69 ans, candidat sans parti. Cet ancien chef d’Etat major et ancien conseiller du président semble être aujourd’hui un trait d’union entre les différents leaders de l’opposition, et cristalliser l’espoir de l’alternance.

Sassou et ses « créatures » face à l’opposition

En public, Denis Sassou-Nguesso se montre serein, voire provocateur lorsqu’il affirme qu’il va l’emporter au premier tour. En privé, il se révèle inquiet et agacé, selon des proches. Le président veut affaiblir cette opposition et briser l’élan de M. Mokoko. Il sait bien que ce général, qui joue la carte de l’intégrité, est son principal adversaire. Et il se méfie de son entregent militaire et diplomatique constitué durant ses nombreuses missions au service de l’Union africaine.

Depuis le retour de Jean-Marie Michel Mokoko à Brazzaville le 9 février, Denis Sassou-Nguesso s’est bien gardé d’intervenir face aux tribulations de son adversaire : l’encerclement de sa résidence, les convocations par la police et la justice, les perquisitions, les manipulations mises en œuvre par les services secrets. « Mokoko a une volonté de créer des tensions dans le pays, il est en perdition, et on a aucune raison de l’aider à s’en sortir », confiait il y a un mois Thierry Moungalla, ministre de l’information devenu directeur de campagne du président. « C’est vraiment un pays d’un autre âge, me voilà ennemi numéro un, répliquait alors M. Mokoko, en s’esclaffant au téléphone. Vaut mieux en rire, non ? »

Mais lorsque la campagne du général a semblé prendre de l’ampleur, Denis Sassou-Nguesso a dû arbitrer. Son neveu, le patron du renseignement, Jean-Dominique Okemba (« JDO »), fin stratège, était en faveur d’un laisser-faire, pour éviter une scission dans l’armée. Alors que le directeur général de la police, Jean-François Ndenguet, connu pour ses méthodes musclées, plaidait pour sa part l’élimination de Mokoko. C’est la ligne « JDO » qui l’a emporté, mais avec la multiplication d’obstacles pour la campagne de M. Mokoko : convocations incessantes chez les services de sécurité intérieure, et interdiction de certains meetings de campagne.

Piliers du dispositif sécuritaire, M. Okemba et M. Ndenguet sont des « créatures » de Denis Sassou-Nguesso. A la fois brutal et stratège, il est la synthèse de ces deux hommes dont il ne peut se passer pour surveiller les populations. Le chef d’Etat redoute plus que tout un soulèvement populaire de masse. Il ne peut s’empêcher de penser à la chute de son ami Blaise Compaoré, au Burkina Faso, en 2014. Un scénario qui le hante même s’il sait qu’au Congo, les traumatismes de la guerre civile de 1997 freinent les desseins révolutionnaires.

Un autocrate isolé

Alors les vieux réflexes de militaire reviennent et ses troupes sont déployées dans les villes et le long des routes. Songe-t-il à renforcer l’équipement de son armée ? Un responsable « Afrique francophone » du groupe sud-africain d’armement Paramount a en tout cas fait le déplacement à Brazzaville le 15 février, en provenance de Johannesbourg. C’est cette entreprise qui loue les deux Mirage avec pilote dont dispose l’armée congolaise.

En parallèle, « JDO », le patron du renseignement, a été discrètement envoyé à Paris où il s’est entretenu avec ses homologues français. Pendant ce temps, d’autres émissaires faisaient les va-et-vient entre Brazzaville et Luanda dans l’espoir d’obtenir un soutien de l’Angola, la puissance militaire régionale, en cas de débordements à Brazzaville. En vain. Le président angolais, José Edouardo Dos Santos, arrivé au pouvoir en 1979, comme Denis Sassou-Nguesso, a annoncé qu’il quittait la vie politique en 2018. Et a refusé le principe d’une intervention au Congo. « Les Angolais se méfient des changements démocratiques mais ont peu de considération pour Sassou », confie un diplomate africain.
De fait, l’influence régionale du président congolais s’est considérablement réduite et ses relations avec les pays frontaliers se sont dégradées. Jugé arrogant par ses homologues, Denis Sassou-Nguesso est de plus en plus isolé. Nul parmi les pays voisins ne serait plus opposé à son départ. Il n’est pas non plus le bienvenu en France, où les relations avec François Hollande sont « courtoises mais froides ». Les relations sont pires encore avec les Etats-Unis depuis que ses partisans ont insulté l’ambassadrice américaine en poste à Brazzaville, jugée trop proche de l’opposition. L’Union européenne a décidé ne pas envoyer d’observateurs à cette élection, qui se déroule dans des conditions opaques et propices à la fraude.

L’« homme de paix » qui voulait rayonner en Afrique a ainsi échoué, malgré sa longévité, à devenir le grand personnage de ses chimères. Il lui est arrivé, durant cette dernière campagne, pour se justifier, d’invoquer le général de Gaulle : « Je crois qu’aux Etats-Unis, en France et ailleurs, on a vu des chefs d’Etat rester longtemps au pouvoir. Le général de Gaulle est resté longtemps au pouvoir. » Dix ans et dix mois pour le général de Gaulle, 31 ans et onze mois pour Denis Sassou-Nguesso, sans compter son probable nouveau mandat de cinq ans, renouvelable jusqu’en 2031. Un pouvoir sans partage pour un homme retranché dans son pays, seul avec lui-même et face à son peuple.

Joan Tilouine

8 thoughts on “Retro 2016 : Le président Denis Sassou-Nguesso, seul face à son peuple

  1. QU’IL ESSAYE DE NOUS IMPOSER SON BATARD DE FILS ET IL DECOUVRIRA DE QUOI SONT CAPABLES LES CONGOLAIS DE SOUCHE. C’EST UNE PROMESSE.

  2. Permettez moi de publier de nouveau ces reflexions déjà mis en ligne,il y a environ 4 semaines. Mais pour prendre position à cet article qui évoque le président autoproclamé, illégal et illégitime Sassou Nguesso, « qui cumule plus de 32 ans au pouvoir et brigue un nouveau mandat;  » le soit disant homme de paix » qui voulait rayonner en Afrique et qui a lamentablement échoué, « il est judicieux de reprendre mon poste qui reste encore d’actualité. En effet, le régime Sassou Nguesso est inhumain; et reste l’une pire des dictatures sanguinaires de ce monde.Prenons cas des étudiants congolaisà l’étranger, particulièrement de Cuba! Plus de 90 % des sont originaires du nord du Congo. En ce qui la liste des officiers de la soit disant armée congolaise ainsi des magistrats, l’équation est pareille. Près de 95% de généraux sont de la cuvette. Cela est pareil au niveau de l’admnistration.Plus de 90% de directeurs de firmes étatiques et des hauts responsables du parti PCT sont du nord, ou disant de la cuvette. Il faut donc voir à quel point Sassou Nguesso, né et grandit dans la région des Mbochis, des parents venus d’ailleur, d’u pays africain , loin du Congo, a pris depuis longtemps les nordistes en otage et divisé le peuple Congolais avec le tribalisme à outrance. La politique de Sassou Nguesso a été exactement fait pour régner en maître absolu par la division, la corruption, la terreur des armes, les massacres, les génocides. Le tyran, dictateur, terroriste , génocidaire Sassou Nguesso pour engendrer la soumission, la resignation, la passivité auprès du peuple a crée des conditions d’une misère grandissante,de peur, de mentalité de mandiants, d’assistés auprès des Congolais .Il a tissé un lien d’alliance efficace avec les grands de ce monde,particulièrement les autorités de la France, des grandes organisations internationales, les firmes multinationales par la corruption,la mafia, par le bradage des richesses nationales du Congo. Au Congo, « la tétanisation collective face au monstre Sassou est si éblouissante et hypnotisante que les Nguesso règnent sur un désert humain… » comme l’écrit val de Nantes. Pour les compatriotes surtout du Nord et quelques zélés, traitres du sud, il est temps de comprendre que ce qui compte pour Sassou Nguesso,le semi illétré, le complexé à l’extrème, c’est son pouvoir sans partage, les honneurs, le très grand lux, sa famille, ses faux amis, sa clique, ses complices. Avec « les « biens mal acquis » qui sont le produit d’activités délictuelles ou criminelles -détournement de fonds, transferts ilicites d’argent public, corruption, rétrocommissions-, Sassou Nguesso, à sa famille, sa clique ont ammassé un enrichissement très colossal que leurs revenus ne peuvent justifier. » Ils ont immensement beaucoup d’argent caché ici et là. Pourquoi le régime Sassou Nguesso ne peut pas utiliser une petite partie de cet argent pour payer la bourse des étudiants. Sassou Nguesso,le terroriste, tyran génocidaire, le grand criminel voleur et sa clique qui continuent comme des forcenés à dilapider l’argent du peuple Congolais sont inhumains et restent l’une pire des dictatures sanguinaires de ce monde. Sassou Nguesso et sa famille, sa lique qui se livrent au détournement de l’argent des Congolais pour satisfaire leurs plaisirs, dépenses, folles, extravagantes comme des malades mentaux,ils s’en foutent du devenir, de la vie des étudiants et de de tout le peuple du Congo. Pour en revenir. Il est vrai que la quasi totalité des étudiants, notamment ceux envoyés à Cuba pour les études. Que ceux qui continuent à penser que Sassou Nguesso protège les nordistes n’ont qu’à comprendre comment on trompe les Congolais, on les divise pour mieux régner. S’il faut attendre,croisser les bras, se lancer sans repis dans la prière, les lamentations, la situation ne va guère s’améliorer. Elle va au contraire de venir de plus enplus invivable.Il ne reste qu’à se mobiliser vite et bien par tous les moyens. Il faut tout faire que ces 200 étudiants kidnappés à Cuba; qui ont reclamés leur bourse impayée depuis plus de 2 ans et qui » mis à nu les magouilles, la méchanceté incroyable de la dictature sanguinaire du régime Sassou Nguesso ne subissent pas le sort des disparus du Beach. Sassou Nguesso & son régime pour sauvegarder leur règne, ne se contentent pas seulement à aller contre les Laris dont l’affaire des disparus du Beach, les génocides de 1998 – 2003 et de 2016 -2018 constituent les faits les plus marquants. s’il faut sans discrimination citer l’affaire des explosions d’armes de destruction massive à Mpila, le massacre des jeunes assassinés dans le commissariat de Police de Chacona à Brazzaville dans la nuit du 22 au23 juillet 2018, en passant par l’assassinat de Marien N’gouabi, l’ emprisonnement du géneral MOKOKO,, Okombi Salissa,la mort de Ntsourou et le massacre qui était opéré en plein centre ville à son domicile du camp militaire, on peu sans fausse modestie, comprendre que la folie destructive de Sassou Nguesso & Co n’a pas de limites. Devant ces vérités de la dicture qui est toujours prète à écraser chaque personne au Congo, le peuple congolais doit agir en conséquence et apprendre à se défendre comme cela se fait partout ailleurs en Afrique. Il n’est certes pas prudent d’aller dans la la rue comme récemment en Algérie et au Soudan, il faut aucependant Congo une grève illimitée de travail bien suivie et une mobisation de ville morte par le peuple pendant près d’une semaine, dans toute l’étendue de la république.Sassou Nguesso et son régime se trouveront ainsi à la défensive et tenteront la négociation. Et cet en ce moment qu’il faudra , sans lavement de mains, sans pardon; cette fois ci mettre fin à ce régime inhumain; qui reste la la pire des dictature sanguinaire de ce monde.

  3. denis sassou ng n’est pas seul. thierry lezin moungalla n’a jamais ete directeur de campagne de denis sassou ng. « diplomate africain' » faux monsieur en poste dans quel pays? il n ya plus de de cooperation miliatire en brazzaville et luanda des linstant ou les armees regionales (zone cemac) et sadcc ont ete unifiees. larmee angolaise ne peut plus se rendre a brazzaville car elle devra avoir le feu vert de letat major regional de la sadcc. votre « diplomate africain » ne vous l’a pas dit. nous avons unifie les frontieres.il existe desormais un etat major regional des armees d’afrique centrale.

    en 1997 ON AURAIT EVITE CE DRAME SI SEULEMENT PASCAL LISSOUBA AVAIT DAIGNE TANT SOIT PEU ORGANISE LE SCRUTIN PRESIDENTIEL.

    en 1992 denis sassou ng n’avait pas ete battu par pascal lissouba puisque les deux appartenaient au meme groupe politique soit l’and(pct + upads ou ethniquement mbochi nibolek).au second tour lun avait apple a voter poiur lautre malgre les appels de pieds de b kolelas et les laris en bons idiots se pavanaient dans la ville de brazzaville avec les drapeaux rouges du pct. votre « diplomate africain » etait il la? denis sassou ng n’avait pas ete battut par p lissouba

    votre « diplomate africain » nest pas vraiment un habitue du palais presidentiel de brazzaville. il semble tout confondre et c’est grave pour un « diplomate ».en 1992 denis sassou ng et p lissouba etaient des allies politiques tout comme b kolelas et thystere tchicaya(alliance urd mcddi rdps ou ethniquement lari vili )

    DENIS SASSOU NG N’EST PAS SEUL IL A DES AMIS.par contre une question au « diplomate africain « qui dit connaitre le palais presidentiel de brazzaville

    POURQUOI P LISSOUBA NAVAIT IL PLUS ORGANISE LES ELECTIONS PRESIDENTIELLES JURIDIQUEMENT PREVUES SE TENIR EN JUILLET 1997? un diplomate connait le droit entre nous.

    petit message au « diplomate africain »

    l’and (alliance pct upads ou ethniquement mbochi nibolek) existe au congo mais sous plusieurs formes

    cas 1 denis sassou ng clement mouamba

    cas 2 marc mapingou jean marie michel mokoko, ces deux cas vivants disent tout de la bonne sante de l’and. cette alliance existe

    c’est plutot lurd(rdps mcddi ou rdps youki , les laris sont des fous en fait qui a vole en eclat. jean marc thystere tchicaya (vili) ne sest jamais pavane en compagnie de guy b p kolelas(lari demi frere des ninjas ces grands monstres froids d’un autre age crees par son pere b kolelas).les laris sont des grands fous.

    youki ntoumi nkoumbi ….merci de dire au DIPLOMATE AFRICAIN que les laris sont des grands maudits.nous felicitons jean marc thystere tchicaya ne jamais faire route commune avec ces caimans du djoue.et cest ce groupe que ch zac bowao avait declare en tete. voila encore un autre maudit du congo.

    DENIS SASSOU NG N’EST PAS SEUL

  4. La suite est écrite d’avance, des nouveaux massacres dans le département du Pool ,comme en 1998 à 2000 et 2016 à 2018 qui déborderont probablement dans les pays du Niari… !

    ETES VOUS PROPHETE?

    Le faux rebelle Fréderique Bitsamou sortira de sa rebellion aussi engraissé qu’en août 2018, à l’image d’une personne ayant séjourné à l’Hotel Alima Palace d’Oyo

    IL N YA PAS DHOTEL ALIMA PALACE A OYO. IL EXISTE A OYO LE PEFACO HOTEL.

    Peuple Congolais, lapidez tous ceux qui parlent de 2021, car ce ne sont que des escrocs et des imposteurs au service de Sassou-NGuesso !

    LA LAPIDATION EST UNE GRAVE VIOLATION DES DROITS HUMAINS CONDAMNEE COMME TEL PAR L’ONU.

    peuple congolais necoutez pas ces oiseaux de mauvais augure qui n’annoncent que le deuil.

    Le tyran Sassou-NGuesso responsable du génocide des Laris dans le Pool

    IL N YA JAMAIS EU DE GENOCIDE LARI DANS LE POOL SINON L’ONU S’EN SERAIT OFFUSQUEE

    par le biais du général Nianga Mbouala Ngatsé, vient d’autoriser le faux pasteur et pseudo rebelle à reprendre ses activités politiques.

    CEST UN INDICATEUR DE BONNE SANTE DEMOCRATIQUE DU CONGO IL N Y A PAS D’INTERDICTION POLITIQUE AU CONGO

    ou se trouve finalement le pb dans la delivrance de cet agrement.

  5. finalement marien ng et p lissouba disaient vrai chacun a son epoque

    « les gens disent que le pays ne va pas bien » dixit marien ng en 1976.qui etaient « ces gens » qui disaient que le pays n’allait pas bien

    « cette guerre m’a ete imposee » dixit pascal lissouba en 1994. contre qui venait il de se battre?

  6. Les sassouistes ont envahi les réseaux sociaux pour la campagne du génocidaire sassou en 2021.Pour échapper à la CPI sassou doit donc forcer la passage comme d’habitude pour le pouvoir,gage d’immunité.La conférence sur le génocide des laris est prévu dans une semaine par maitre nganga.Sassou pardonné par la conférence nationale veut échapper à la justice internationale après ses bombardements et crimes du pool.

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