25 Mars 1977 / 25 Mars 2019 – Hommage au Président Alphonse MASSAMBA – DEBAT: une vraie « Légende » au destin tragique

Alphonse Massamba-Débat naît à Nkolo en 1921, district de Boko, dans une famille Kongo.

Il fait ses études primaires à l’école régionale de Boko. Il reçoit ensuite une formation d’instituteur à l’école Édouard Renard de Brazzaville. Il est marié à Marie Nsona avec laquelle il a plusieurs enfants.

Marqué par son éducation chrétienne protestante, il témoigne toute sa vie d’une grande austérité pour certains, d’une grande intégrité pour d’autres (et surtout pour ceux qui l’auront connu au plus près) ainsi que d’une dévotion confinant au mysticisme chrétien.

De 1945 à 1948, il exerce au Tchad. De retour au Congo, il est directeur d’école à Mossendjo de 1948 à 1953, puis à Mindouli de 1953 à 1956. À partir de 1957, il enseigne à l’école laïque de Bacongo à Brazzaville.

Massamba-Débat est membre du PPC de Jean-Félix Tchicaya avant d’adhérer en 1956 à l’Union Démocratique de Défense des Intérêts Africains (UDDIA), le parti nouvellement créé par l’abbé Fulbert Youlou.

En 1959, il est nommé directeur de cabinet au ministère de l’Éducation nationale.

Il est élu président de l’Assemblée nationale en 1959. Il occupera cette fonction jusqu’en 1961.

Il devient alors ministre du Plan et de l’Équipement. Ses mœurs austères et sa simplicité, sa rigueur et sa compétence le préservent du discrédit croissant qui frappe les membres du gouvernement de Fulbert Youlou, auxquels la population reproche leur faste et leur arrogance.

En mai 1963, Massamba-Débat quitte le gouvernement à la suite de divergences de plus en plus prononcées avec Fulbert Youlou.

Le 15 août 1963, les chefs militaires Mountsaka et Mouzabakani appellent Alphonse Massamba-Débat au pouvoir. Il devient chef du gouvernement provisoire et constitue un cabinet réduit constitué de techniciens (Antoine Maboungou-Mbiba, Germain Bicoumat, Bernard Galiba, Pascal Lissouba, Paul Kaya, Charles David Ganao, Edouard Ebouka-Babakas et Jules Kounkound).

Le 8 décembre 1963, la nouvelle constitution est adoptée par référendum. Elle institue un Conseil National de la Révolution (CNR), présidé par le président de la République. Elle prévoit, outre la fonction de président de la République, celle de Premier ministre, chef du gouvernement.

Le 19 décembre, il est candidat unique à l’élection présidentielle. Il est élu à 100 % des suffrages exprimés. Le 24 décembre 1963, il publie son gouvernement, au sein duquel Pascal Lissouba devient Premier ministre.

En août 1964, le Mouvement National de la Révolution (MNR) est créé et institué parti unique. Massamba-Débat en est le secrétaire général et Ambroise Noumazalaye le Premier secrétaire politique.

L’idéologie du régime est de gauche et le Congo se rapproche des pays socialistes, notamment Cuba et la Chine, tout en s’éloignant des pays capitalistes. Che Guevara vient rencontrer Massamba-Débat en janvier 1965.

Les relations diplomatiques sont rompues avec les États-Unis. Les rapports se tendent avec le Congo démocratique voisin dont l’itinéraire politique est de plus en plus influencé par les velléités mobutistes. En conséquence, le gouvernement de Tshombe expulse les ressortissants du Congo-Brazzaville vivant dans l’ex-Congo belge. Massamba-Débat apporte par ailleurs son soutien au MPLA angolais et à l’UPC camerounaise.

Sur le plan intérieur, le régime de Massamba-Débat, aux prises avec les complots alimentés par une jeune garde politique congolaise avide de plus de pouvoir, se montre en contrepartie plus répressif et brutal, notamment par le biais de sa milice politique, la Défense civile et l’organisation de jeunesse du parti unique, la JMNR.

Le point culminant de cette atmosphère de « terreur » est constitué par l’assassinat en février 1965, de trois personnalités dont les positions ne sont pas du goût du pouvoir : le président de la Cour suprême Joseph Pouabou, le procureur de la République Lazare Matsocota et le directeur de l’Agence Congolaise d’Information Anselme Massoueme; auxquels on ne pourra attribuer la responsabilité directe à Massamba-Débat dont la mémoire réhabilitée en 1991 commencera à rétablir la vérité sur l’ensemble de son œuvre marquée autant par la rigueur, l’intégrité, que le pacifisme. Il s’agira néanmoins des premiers crimes politiques reconnus de l’histoire du Congo indépendant.

Sur le plan économique et social Massamba-Débat mène une gestion saine et rigoureuse, qui fait de lui le « meilleur » Président de l’histoire du Congo dans ce domaine.

Sous sa présidence le Congo connaît un début d’industrialisation et le niveau de vie des Congolais s’améliore. Quelques grandes unités de productions à grande main d’œuvre sont construites : l’usine textile de Kinsoundi, les palmeraies d’Etoumbi, l’usine d’allumettes de Bétou, les chantiers de constructions navales de Yoro, Cimenterie domaniale de Loutété (CIDOLOU), Barrage de la MPAMA, O.C.H. 254 Logements construits, Stade de la Révolution, O.F.N.A.C.O.M. Société d’Etat d’importation, Quai POTASSE à Pointe-Noire, Elevage sous palmiers dans la Sangha, Développement et modernisation de la production cacaoyère dans la Sangha, Création de Palmeraies sélectionnées dans la Cuvette, etc…

Si Alphonse Massamba – Débat avait pu travailler pendant au moins 10 ans, le Congo aurait connu une ascension irréversible vers le développement économique.

Des centres de santé sont créés (deux à Brazzaville – Makelekele/Talangai – et un à Pointe-Noire) ainsi que des groupes scolaires (collèges et écoles primaires). «Le taux de scolarisation du pays devient le plus élevé d’Afrique noire».

L’assise populaire de Massamba-Débat est incertaine dès le départ, car une partie des ressortissants de la région du Pool, dont sont originaires les deux premiers présidents du Congo, lui reproche d’avoir remplacé Youlou à la tête du pays.

La brutalité des milices du MNR rend le régime impopulaire. Massamba-Débat, devient de plus en plus isolé. Les contradictions idéologiques (socialisme bantou contre socialisme scientifique) et les luttes de factions, principalement entre les pro-lissouba et les pro-noumazalaye ; les tentatives de l’opposition de droite (Mouzabakani, Kolelas, Kinganga) et l’activisme des officiers progressistes conduits par le Commandant Ngouabi, affaiblissent Massamba-Débat.

Le 26 avril 1966, il nomme un nouveau gouvernement. Ambroise Noumazalaye devient Premier ministre en remplacement de Lissouba. Une lutte sourde s’instaure entre le président et son Premier ministre sur les options idéologiques, la politique de nationalisation des entreprises et la diplomatie.

Le 12 janvier 1968, il démet Noumazalaye et décide d’assumer lui-même la fonction de Premier ministre.

En juillet 1968, devant la montée de la contestation, il fait arrêter le Commandant Ngouabi, dissout l’Assemblée nationale et le bureau politique du MNR et suspend la Constitution de 1963. Il en résulte un affrontement entre ses partisans au sein de la Défense civile et une partie de l’armée. Il est alors contraint d’amnistier tous les prisonniers politiques et composer avec ses opposants.

Une autre version de ces évènements consisterait en la simple reconnaissance d’un coup d’État qui conclura logiquement les manœuvres de ces grandes figures du Nord que sont Marien Ngouabi ou encore et déjà l’actuel président Denis Sassou-Nguesso ; car en tout état de cause, les problèmes internes du Congo sont depuis toujours liés à des conflits relativement ethniques dont ont su malinement profiter les intérêts français et occidentaux via la soif de pouvoir des jeunes pousses politiciennes d’alors, que l’on retrouvait pour l’heure dans les camps sudistes aussi bien que nordistes.

On pourra noter alors la volonté manifeste de Massamba-Débat «d’éviter tout bain de sang» et ainsi de se contraindre à démissionner.

Le 5 août 1968, il forme un nouveau gouvernement, et un nouveau Conseil National de la Révolution (CNR) de 40 membres et doté de pouvoirs étendus, est mis en place. Celui-ci est présidé par Ngouabi et Massamba-Débat y est un simple membre. Outre Ngouabi, plusieurs officiers ont font partie : Norbert Ntsika, Alfred Raoul, Joseph Ngabala, Denis Sassou-Nguesso, Luc Kimbouala-Nkaya, etc., ainsi que le chef de la Défense civile, Ange Diawara.

Le 4 septembre 1968, Massamba-Débat, dont les prérogatives de président de la République ont été rognées par le CNR, se résout officiellement de démissionner. La fonction de président de la République est provisoirement suspendue. Le capitaine Raoul assume l’intérim du chef de l’État.

Le 31 décembre 1968, la fonction de président de la République est rétablie. Marien Ngouabi est le nouveau président.

Le 16 octobre 1969, Massamba – Débat est arrêté par le nouveau régime et accusé des assassinats de février 1965. La cour martiale chargée de le juger l’acquitte, le mois suivant, le procès ayant démontré la seule implication de ses collaborateurs d’alors (Ambroise Noumazalaye, Lissouba, Ndalla, Hombessa, etc.) réunis au sein du groupe de M’Pila.

La conférence nationale souveraine de 1991 qui revient sur cette période historique rétablit les faits et les responsabilités de chacun des acteurs. Le président Alphonse Massamba-Débat ne pouvait pas ignorer les soupçons et les preuves que ses services de sécurité avaient accumulés relatifs aux activités subversives de Matsocota et Pouabou. Libéré, il se retire dans son village natal de Boko.

Le Congo entre alors dans une phase de grande instabilité (installation du « socialisme scientifique », instauration de la République populaire du Congo en 1970, multiples tentatives de coup d’État) dont le point culminant sera l’assassinat de Marien Ngouabi le 18 Mars 1977 dans des conditions obscurs jusqu’à ce jour.

Au début de l’année 1977, Marien Ngouabi rencontre son prédécesseur Massamba – Débat, ils entament des discussions pour gouverner le Pays ensemble au nom de l’unité nationale et de l’efficacité économique en pleine crise du choc pétrolier, et ce, avec la bénédiction du Cardinal Biayenda.

Hélas, les forces des ténèbres étaient encore présentes et puissantes dans le régime de Ngouabi et elles ont tué, Ngouabi, Massamba – Débat et le Cardinal, pour stopper l’évolution nationaliste et progressiste que Ngouabi, Massamba – Débat et Biayenda voulaient donner au Congo.

Massamba-Débat est arrêté à son domicile brazzavillois, le 18 mars 1977, probablement quelques heures après l’assassinat de Marien Ngouabi. L’un de ses enfants sera lui aussi emmené de force avec lui et ne reverra plus jamais son père, pas plus que ses autres frères et sœurs.

Selon certains témoignages, l’ancien président est victime de graves sévices corporels durant sa détention. La cour martiale instituée pour la circonstance par le Comité Militaire du Parti dirigé par Yhombi et Sassou , nouveau détenteur du pouvoir, le condamne à mort.

Il est présenté, à tort et bouc émissaire, comme l’instigateur du complot ayant conduit à la mort du président Ngouabi. Il est exécuté durant la nuit du 25 mars 1977, dans des circonstances mystérieuses. Son corps n’a jamais été rendu à sa famille jusqu’à ce jour, il aurait subi des graves mutilations (certains affirment même qu’un char a écrasé son corps) et ses restes d’ossements utilisés dans des rites occultes.

Sa mémoire a été réhabilitée par la Conférence nationale souveraine de 1991, mais l’emplacement de sa sépulture n’a jamais été révélé. Peut-être qu’elle n’existe malheureusement pas.

Hommage au « plus brillant » Président de la République de notre histoire !

La Génération Consciente du Congo

9 thoughts on “25 Mars 1977 / 25 Mars 2019 – Hommage au Président Alphonse MASSAMBA – DEBAT: une vraie « Légende » au destin tragique

  1. Le 15 août 1963, les chefs militaires Mountsaka et Mouzabakani appellent Alphonse Massamba-Débat au pouvoir. Il devient chef du gouvernement provisoire et constitue un cabinet réduit constitué de techniciens (Antoine Maboungou-Mbiba, Germain Bicoumat, Bernard Galiba, Pascal Lissouba, Paul Kaya, Charles David Ganao, Edouard Ebouka-Babakas et Jules Kounkound).

    APPROCHE ANTI CONSTITUTIONNELLE

    Sur le plan économique et social Massamba-Débat mène une gestion saine et rigoureuse, qui fait de lui le « meilleur » Président de l’histoire du Congo dans ce domaine.

    TEMOIGNAGE UNIQUE TEMOIGNAGE NUL

    la « generation consciente  » entre temps de quoi ne detient pas un agrement de la banque mondiale ou de la bad pour evaluer des politiques publiques.la generation consciente pas un bureau detudes daudit et de conseil. cette evaluation sur al massamba debat est nulle et de pleine nullite elle vous engage.ce constat ne peut pas etre repris dans un rapport annuel de la banque mondiale

    En juillet 1968, devant la montée de la contestation, il fait arrêter le Commandant Ngouabi, dissout l’Assemblée nationale et le bureau politique du MNR et suspend la Constitution de 1966

    VIOLATION DES DROITS HUMAINS dej ala al massamba debat est elimine.on ne peut pas etre protestant et violer des droits humains

    « Hélas, les forces des ténèbres « LE CONGO EST UNE REPUBLIQUE SOYEZ PLUS CLAIRS

    Il est présenté, à tort et bouc émissaire, comme l’instigateur du complot ayant conduit à la mort du président Ngouabi. Il est exécuté durant la nuit du 25 mars 1977, dans des circonstances mystérieuses. Son corps n’a jamais été rendu à sa famille jusqu’à ce jour, il aurait subi des graves mutilations (certains affirment même qu’un char a écrasé son corps) et ses restes d’ossements utilisés dans des rites occulte

    « un char « entre nous un peu de bon sens il ya trop de flottement dans votre recit.vous semblez tout conniatre et vous ignorez lidentite du dit fils dal massamba debat arette avec son pere. vous etes un menteur

    Hommage au « plus brillant » Président de la République de notre histoire CE CONSTAT VOUS ENGAGE ce n’est pas celui des experts conseils du congo

    marien ng que vous critiquez avait arrache pour le congo le siege de la bdeac. toujours marien ng il avait achete pour le congo son avions de commandement soit le fokker f 28 deux fojkker 27 des twin oters . marien ng avait organise pour le congo lunique somet de loua en 1975 et depuis le cogo n a plus jamais organise un sommet de lunoion africaine.

    cest sous marien ng que le congo avait lance les travaux de constrcution de la voie ferree de mvoungouti dite realignement.il avait ensuite pose la pierre de la constrruction du barrag de moukoukoulou vous netes pas des evaluataeurs certifies des politiques publiques.cest marien ng qui avait construit la cite des 217 a moukondo car 17 chefs detat avaient fait le deplacement de brazzaville

    chers imbeciles du pool LETAT EST UNE CONTINUITE

  2. Bonjour je tiens seulement à vous faire remarquer , la journée du 23 Mars 1970 n’a pas été rappelée , la mémoire du commandant Pierre KIGANGA semble être jetée dans le panier des oubliettes .J’attire les gestionnaires de ce site ,que cette injustice notoire est à réparer .le commandant Pierre KIGANGA , parachutiste instructeur para commando , fondateur du bataillon para commando de Pointe -Noire ne doit pas être dans les oubliettes , car le commandant Pierre KIGANGA fût un courageux officier Militaire Congolais .Et sa mémoire fût réhabilitée par la conférence Nationale en 1991:
    -L’abondant du drapeau Rouge symbole du régime répressif des assassins et tribalistes ….de l’OBUMITRI ,du Marxiste Léninisme… et l’anti -pool et l’anti lari du pool , de la division ethnique en BRAZZAVILLE NORD -BRAZZAVILLE SUD.
    Kiganga était un courageux officier Militaire de notre armée .
    C’est grâce au cdt KIGANGA PIERRE que l’offensive du camp de Météo , où s’est réfugié les éléments de la défense civile , que nous avions eu des liquidations physiques de jeunes de la défense civile , car pour Marien Ngouabi , il fallait les liquider tous , mais le lieutenant Kiganga Pierre changea le plan de combat en cours d’exécution de l’opération . à la grande surprise de Marien Ngouabi .J’ai personnellement assisté à la discussion entre les deux officiers à l’Etat -Major .
    – C’est kiganga Pierre qui avait conduit les troupes militaires du camp Biafra de Météo . L’officier militaire courageux de notre armée ,c’est lui .
    Il n’était pas que soldat mais aussi politique , car il était l’un des fondateurs du PCT , mais pas dans sa version caractérisée par l’OBUMITRI et du principe la victoire est au bout du fusil .ou des jusqu’aux boutistes Nordistes .
    HOMMAGE au courageux officier militaire et à ce politique .

  3. LIRE :Sans kiganga Pierre , il y aurait des liquidations physiques des jeunes de la défense civile…
    La mémoire de KIGANGA Pierre restera gravée sur la pierre précieuse du CONGO .Même si il ya une volonté manifeste à faire disparaître ce grand nom de l’histoire de notre pays .

  4. il ne faut jamais oublier joseph pouabou directeur de cabinet de fulbert youlou, president de la rep.il fut assassine en 1965.son corps jete dans le fleuve congo.il fut assassine par kinganga siroko chef de la garde presidentielle d’al massamba debat en compagnie d’antoine ngayot.ce dernier(antoine ngayot) fut mystiquement assassine par denis sassou ng a mpila lors d’un combat celeste.c’est officiel.

    NOUS N’OUBLIERONS JAMAIS JOSEPH POUABOU SURTOUT QU IL N A PAS DE TOMBE DU MOINS IL VOGUE DANS LES EAUX DU FLEUVE CONGO. comment lui rendre un hommage?assassiner un ancien directeur de cabinet d’un chef d’etat! le pool est une region de FOUS

    voila que al massamba debat est prive de tombe les gens crient a l’horreur . qui tue par l’epee perira par lepee.

    NOUS DEMANDONS A ZENGA MAMBU DARRACHER UNE INTREVIEW AUPRES DE MME GNALI AIMEE MAMBOU FIANCEE A VIE DE LAZARE MATSOKOTA QUI AVAIT DEMANDE A AL MASSAMBA DEBAT DE LUI VOMIR LA DEPOUILLE DE SON FIANCE SOIT LAZARE MATSOKOTA.

    pierre kinganga siroko et antoine ngayot s’executerent. la depouille de lazare mastokota lui fut rendue avec un visage plein de sable. vive mme aimee gnali mambou. LE POOL EST FOU CET HOMME EST FOU

    kinganga n’etait pas un grand nom et le dire c’est se moquer du deuil eternel de mme aimee gnali mambou

    c’est al massamba debat soit dit en passant « meilleur chef detat » qui avait commence ce jeu horrible de priver de tombes les adversaires politiques.alphonse etait un fou.on ne peut etre pas premeir de la classe et etre le roi de la triche

    alphonse massamba debat avait fait condamner par contumace labee fulbert youlou en juin 1966.la il fut « meilleur chef detat ».voila qu aujourdhui sassou ng marchant sur les pas d’al massamba debat juge jean martin mbemba et massengo thiasse par contumace , denis sassou ng est mauvais chef detat.ben non.

    ALPHONSE MASSAMBA DEBAT ETAIT UN FLUET

    on ne peut pas etre protestant et tuer des gens.cest ce que ns avons dit en substance a frederic bitsangou.on ne peut pas etre pâsteur et porter des cartouchieres. faites chier mon vieux

    au nom de zenga mambu support digital nous presentons toutes nos peines a mme aimee gnali mambou suite a l’assassinat de son fiance soit lazare matsokota par le chef de la garde presidentielle du « meilleur chef detat » mon oeil!

  5. La force des Congolais se trouve dans la fabrication des histoires afin de ternir l’image d’un homme.Mais comme il ne trouve rien du tout sur Kiganga Pierre , les marxistes …Congolais montent du mensonge sur lui .
    -C’est faux kiganga Pierre n’a jamais été garde de corps de Massamba -Débat , ni chef de la garde présidentielle du Président Alphonse MASSAMBA Debat , c’est un gros mensonge , que monte les révolutionnaires .Cherche autre chose sur kiganga Pierre , mais jamais un assassinat de POUABOU avec le sinistre NGAYO .il ya eu un procès des assassinats des pouabou , MATSOKOTA ….jamais le nom de Pierre KIGANGA était mis sur la table .ni à la conférence nationale .le président de ce tribunal existe , c’est maître MOUDILENO – MASSENGO Aloys et le commissariat du gouvernement fût le doyen Christophe MOUKOUEKE , un procès qui devrait se dérouler publiquement , mais à la dernière minute Marien Ngouabi avait changé d’avis .Dans la salle se trouvait comme témoin , le président Bernard KOLELAS .je reprends aucune fois le nom de Kiganga Pierre était sur la table . C’est un montage des communistes , pour discréditer les modérés comme Pierre KIGANGA .
    Je t’informe aussi que sous le régime de Massamba Debat , pierre kiganga se trouvait en prison et au macquis dans le district de kinkala plus précisément entre Kibouédé et notre village à Mbamou dans la forêt de mfoumou voua .Mais à quel moment , il a assassiné les Poubou et Matsokota….En plus avec des hommes de la défense civile comme les Ngayo….et balancer les corps dans le fleuve Congo .Tu connais pas l’homme physiquement Pierre Kiganga n’était pas grand et costaud pour soulever des grands comme LAZARD , POUABOU
    pour les balancer dans le fleuve Congo…..
    Je t’informe que le président Youlou était du clan MPANDZOU comme kiganga Pierre et ce dernier était youliste .C’est youlou qui a fait la promotion professionnelle de Pierre Kiganga , je ne vois pas comment il pouvait encore asssassiner le directeur de cabinet de youlou , ni le neveu de youlou qui était le grand Lazard Mastokota .ce n’est pas cohérent .
    Je t’informe aussi quand Kihanga Pierre va à kinshassa faire son maquis , ou exil , chez Mobutu ,il réorganise les hommes de YOULOU comme les Bakoua….certains il les intègre dans les forces de Mobutu .Mais comment kiganga pierre qui donne la mort aux hommes de youlou à Brazzaville et ceux de kinshassa l’accepte .il ya contradiction .et quand Pierre Kiganga traverse le fleuve le 23Mars 1970 , il a avec lui 33 commandos tous des youlistes .En plus jusqu’aujourd’hui il ya des gens qui se réclament de kiganga à kinshassa .
    Non ta mesure active ne tient pas debout change le svp .
    Si kiganga pierre était un grand nom politique et militaire , ne le tire pas vers la bas svp .c’est un homme à ,vénérer .Sans kiganga Pierre Ton Marien ne serait pas au pouvoir le 31/juillet/1968 .
    ces assassinats ont été exposés à la conférence Nationale alors ….je n’ai pas entendu le nom de kiganga Pierre dans le groupe de MPILA :Lissouba , NDALLA , Mouthault , Noumazalaye…..ne détourne pas l’attention des gens , ne déforme ,pas l’histoire camarade .
    Pour l’histoire le chef de la garde présidentielle de Massamba Debat était BIDIET Diawara ANGE et kiganga , il surement une confusion dans ta tête camarade Marxiste tribaliste .
    NB:je t’informe que tous les présidents d’Afrique centrale soutenaient l’action du commandant Pierre KIGANGA , les amis de YOULOU ,alors que tu le présente comme anti-Youlou , non tu ne connais pas l’histoire camarade marxiste tribaliste. Heureusement que l’ incarnation matérielle et génétique de Kiganga Pierre existe .
    Hommage au courageux officier militaire Congolais et politique.

  6. je m’en fou je sais que aimee gnali mambou porte un deuil eternel.alors on vient me dire que massamba debat etait brillant mon oeil! docn cest anga diawara lassassin de lazare

  7. lire ange diawara n’en deplaise c’etait un groupe de fluets.nos condoleances a aimee gnali mambou alors qui pour l’indemniser?alphonse ? faites chier….

    1. Sale tribaliste invétéré, menteur pathologique inutile.
      Le clit pointu et savoureusement tangui de ta vieille mère t’a vraiment rendu zinzin toi.

      Keep doing her, ouais le pussy froissé et faisandé se grignote en famille. Après, suce-toi, versatile self cok bi-sucker.

      Maudit sois-tu pour des siècles et des siècles.

      MACAQUE !

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