Mandat d’arrêt international contre l’ancien 1er Ministre Alphonse Souchlaty Poaty

Ministre du Commerce et des Petites et moyennes entreprises de 1984 à 1989, Alphonse Souchlaty Poaty avait été nommé premier ministre le 7 août 1989, après le quatrième Congrès ordinaire du parti congolais du travail (PCT), succédant à Ange Édouard Poungui. Après un peu plus d’un an en fonction, Souchlaty-Poaty démissionne le 3 décembre 1990, au moment où le régime du parti unique du PCT est arrivé à sa fin. Il démissionne du PCT en même temps.

Aujourd’hui, l’ancien premier ministre est poursuivi pour faux et usage de faux par une justice aux ordres, dirigée par ses anciens camarades du PCT.

6 thoughts on “Mandat d’arrêt international contre l’ancien 1er Ministre Alphonse Souchlaty Poaty

  1. que lui est il reproche? vous ne vous adressez pas exclusivement a des excites du pool.en passant revoyez votre grammaire francaise on dirait que chez vous la concordance des temps ce n’est pas votre affaire.bon faux et usage de faux de quoi? ou est le prejudice subit par l’etat?

    1. Pauvre zozo! Toto que tu es et demeurera éternellement ne pigera que dalle pour toujours…
      L’ancien 1er a commis dit-on la maladresse de vouloir baiser Coco par derrière après avoir visionné la vidéo mouvementée de cette pute de somme sur Youtube.

      Il parait que son excellence l’ex-1er avait envoyé l’image de son joujou extra aussi grand et emblématique que celui de feu Stéphane Tchitchélé par Gmail à Fat Coco, en mentionnant qu’il s’impatientait mais ne ménageait aucun effort pour lui botter le train fébrilement en mode cheval, à lui faire voir les milles étoiles Mukalu-Le-Peuple.

      Voilà donc le chef d’accusation que le magistrat mbochi pourtant sans vergogne n’a pu mentionné sur son papier à chiottes, mandat d’arrêt local de bonobo d’Oyo.

      Ici Kasablanca, la voix du Zaïre!

  2. Je doute fort que les pays civilisés vont livrer Mr Souchlaty Poaty à une justice criminelle qui est au Congo Brazzaville. Il n’ya pas de coopération en ce sens avec les pays civilisés

  3. @ cyrille musongwe

    Tu poses des questions à tes congénères qui fonctionnent exactement comme toi ? C’est nouveau ça !
    Tu as oublié que chez vous les bonobos la justice marche à l’envers ?

    Au cas où tu n’as pas bien lu (ce qui n’est d’ailleurs pas étonnant de toi), le bonobo qui a signé ce « mandat d’arrêt international » est un MBOCHI. Donc, tu ne devrais pas t’étonner de l’absence du préjudice que l’on reproche à SOUCHLATY POATY. Au pays des bonobos MBOCHIS les preuves et les explications n’ont pas droit de cité. C’est pas à toi qu’on va enseigner la foutaise MBOCHIE car tu es tombé dedans depuis le ventre ta « sgualdrina » de mère.

  4. Ah au nom du peuple Congolais. De quels Congolais il s’agit ici? Au nom des Mbochis oui puisque la justice est rendue maintenant en leur nom car l’avenir des Mbochis en dépend dixit Nianga Bouala Ngatsé. Quand ceux qui sont en toge vous parle des Mouéné et autres obéla en plein tribunal qui est devenu coutumier, peut on parler encore d’une justice rendue au nom du peuple Congolais? je n’en suis pas sûr.
    Ce chiffon signé par un nom à consonance Mbochi fait pitié car beaucoup de Mbochis méritent que cet mandat d’arrêt international leur soit adressé car les faussaires au Congo, on en ramasse dans cet espèce de tribu à la pelle qui se baladent à travers le monde très souvent dans la délégation présidentielle et cette race de faussaires n’est pas inquiétée outre mesure.
    Que Sassou et ses parents collent la paix à notre ancien premier ministre dont le nom n’apparait pas dans les paradis fiscaux.

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