L’Afrique face à la pandémie du Covid-19 : l’échec de n’avoir misé que sur les éléphants blancs

Le 25 février 2020, lorsque le premier cas africain de Covid-19 est notifié en Egypte, l’Afrique s’est retrouvée soudainement face à son destin. Le  continent s’est retrouvé impuissant face à lui-même et à ce nouveau coronavirus, ce minuscule virus venu du commencement de la  route de la soie, à la fois si lointain et si proche et qui est passé, pour nous atteindre, par l’Europe notre « protecteur » qui  cette fois-là, n’a pu nous protéger, elle qui de l’esclavage à la colonisation a toujours pensé que sans elle, nous ne sommes « rien ». La Chine d’où vient ce « sacré » virus et  qui depuis comme dans la stratégie du caméléon, fait, lentement mais surement, main basse sur l’Afrique.

Naïveté ou œillères de nos leaders qui nous guident et cultivent l’illusion de la toute-puissance et de l’invulnérabilité sans souvent se préoccuper des malades, laissés-pour-compte, les crève-la-faim et soif parce que déjà affaiblis par tant de maux.

Ce virus, « petite bestiole » dont on ignore toujours le degré d’intelligence, sûrement animé de la volonté de toute créature de se reproduire,  nous frappe là où  ça fait le plus mal, notre santé, socle par excellence de notre existence.

Nos leaders ont souvent bâti des « éléphants blancs » marqueurs de leur ″génie″ pour la prospérité.

Affronter ce virus « délinquant » qui nous fait aujourd’hui  une leçon magistrale n’était pas au cœur des préoccupations. Souvent, en Afrique on n’a souvent cru qu’au superficiel et non à l’essentiel. Or, l’essentiel c’est l’Homme, ressource primordiale au centre de tout, et donc du système de santé et de la riposte face à la pandémie du coronavirus.

C’est  l’Homme qui conduit la voiture, qui pilote l’avion ou le drone, et encore  qui conçoit et guide l’intelligence artificielle. C’est toujours l’Homme qui est aux commandes. Et c’est donc l’Homme qui fait la santé et sa santé. Il est aujourd’hui plus utile d’avoir des médecins et infirmiers qualifiés, spécialisés et dévoués même sans équipements sophistiqués que des hôpitaux pourvus en équipements coûteux sans ressources humaines en santé de haut niveau pour les exploiter.

Il y a six mois, la panique faisait sauter les verrous de la gestion orthodoxe et disciplinée du bien public, conduisant à des décisions obérant inconsidérément le futur. La prise en compte primordiale de la dimension humaine est plus que jamais requise, pour la santé des populations « le bien le plus dans notre chair » d’aujourd’hui et de demain.

Allier hommes et équipements est l’idéal.

Aujourd’hui face à la pandémie du Covid-19, la plus grande erreur de l’Afrique, en tout cas de beaucoup de pays  est mise à nue, celle de n’avoir pas investi très tôt dans des ressources en santé compétentes et suffisantes avec la ferme volonté de construire des systèmes de santé solides et résilients à l’instar du « petit Cuba ». Une élite médicale dotée des moyens techniques et des infrastructures sanitaires adaptées, de qualité et  motivée, et ce à tous les niveaux de la pyramide capable de faire face à cet ennemi malgré sa capacité à nous déstabiliser, nous affaiblir et surtout nous tuer.

L’Afrique semble protégée par le Seigneur Tout Puissant, par les mânes de nos Ancêtres mais surtout par la jeunesse de sa population et des facteurs protecteurs encore non scientifiquement éprouvés      qui nous épargnent  d’une invasion dévastatrice du coronavirus  et afin d’éviter de  payer comme souvent le plus lourd tribut des épidémies du 20ème siècle comme ce fut et l’est encore de la pandémie du  VIH/Sida.

La gestion de la santé publique se doit d’être rigoureuse et efficace, transparence et solidaire, basée sur l’évidence scientifique et le respect des droits humains avec au centre de l’action des femmes et des hommes d’excellence, compétents, intègres pour enfin envisager atteindre l’objectif de développement durable sur la santé et le bien-être, « vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge qui sont les conditions essentielles au développement durable » d’ici à l’an 2030.

Les pays africains dans ce dernier laps vers 2030 se doivent d’investir davantage dans des systèmes de santé solides et résilients construits sur : (i) un système permettant de mettre à la disposition des populations des soins et services notamment préventives de santé aux trois niveaux du système, de qualité, abordables et disponibles dans un contexte de réforme hospitalière et d’une carte sanitaire adaptée aux besoins des populations ; (ii) des ressources humaines en santé qualifiés, motivés, bien formés, en quantité suffisante et régulièrement réparties pour la satisfaction des besoins ; (iii) un système d’information sanitaire qui permet des données et des statistiques pour un meilleur suivi des interventions et leur évaluation qui guident une action en faveur d’une véritable action de santé publique ; (iv)un accès aux médicaments essentiels, aux vaccins et aux technologies de la santé ; (v)  un financement adéquat et rationalisé avec des investissements selon les priorités et ; (vi) les moyens d’une bonne gouvernance dans la transparence considérant la santé comme un droit fondamental et un leadership affirmé pour la santé, une vison et responsabilité partagées, une détermination à mettre en œuvre une politique nationale et des stratégies de santé crédibles et scientifiquement éprouvées en vue de la transformation du secteur de la santé pour un accès universel aux services et soins de santé pour tous.

« Une vision qui ne s’accompagne pas d’actions n’est qu’un rêve. Une action qui ne découle pas d’une vision c’est du temps perdu. Une vision suivie d’actions peut changer le monde », dixit Nelson Mandela, alors engageons-nous à changer la santé des populations africaines. C’est un pari ambitieux mais atteignable d’ici à l’an 2030.

Afrique,  20 Septembre 2020

 

Pierre M’PELE, MD, MPH, PhD

Epidémiologiste, Santé Publique et Maladies Tropicales

Ancien représentant de l’OMS [Guinée Equatoriale, Togo, Ethiopie et Union Africaine,  Bénin]

Ancien directeur régional de l’ONUSIDA pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre

https://en.m.wikipedia.org/wiki/Pierre_M’Pel%C3%A9

11 thoughts on “L’Afrique face à la pandémie du Covid-19 : l’échec de n’avoir misé que sur les éléphants blancs

  1. Mr Mpele,votre article est tres edifiant de la realite du continent.Le capital humain bien forme est la clef pour resoudre les problemes d’un pays.L’homme doit etre mis au coeur de tous projets.C’est tres elementaire a comprendre.

  2. BOTIKA DIVERSION.
    COVID 19. ON SUPPOSE QUE C’EST LE 19 ème OU DE L’ANNÉE 2019.
    VOUS SAVEZ D’OÙ VIENT-IL? VOUS CONNAISSEZ LE VRAI DIAGNOSTIC ?
    BA KO SILISA BINO NA BU ZOBA NA BINO.
    PRENEZ LE COVID 19 COMME UN TEST, SINON COMME ÉBOLA ET LE SIDA.
    VOUS N’AVEZ PAS UN ÊTAT. LES INDIVIDUS MAL INTENTIONNÉS OU MAL ÉDUQUÉS FERRONT DE VOUS CE QU’ILS VEULENT ET QUAND ILS LE VOUDRONT.
    UNE DICTATURE DES IDIOTS COMME CELLE DE sassou OU CELLE DE LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE VOUS EXPOSE À TOUT CE QUE LA NATURE PEUT AVOIR DE MICROBE.
    C’EST CE QUE LE MONDE VA CONTINUER DE VIVRE SI LES HOMMES NE SE LÈVENT PAS POUR EXIGER UN NOUVEL ORDRE MONDIAL DIFFÉRENT DE CELUI DES franc-maçons ET D’AUTRES SECTES.
    LE VRAI PROBLÈME EST L’INSTABILITÉ CHRONIQUE DES NATIONS ARTIFICIELLES ENTRETENUE PAR DES INDIVIDUS MAL ÉDUQUÉS QUI UTILISENT LA BARBARIE COMME MOYEN DE DOMINER LEURS SEMBLABLES.
    LES MICROBES OU LES BACTÉRIES EXISTENT. SI VOUS ÊTES SALES (C’EST LE CAS DE L’DIOT sassou) OU SI VOUS N’AVEZ PAS D’ÉTAT (C’EST LE CAS DU CONGO), ILS TROUVERONT UN TERRAIN FAVORABLE POUR S’EXPRIMER. C’EST CE QU’ IL FAUT EXPLIQUER À NOS SŒURS ET FRÈRES.
    ÉVITEZ D’ÊTRE EN CAMPAGNE TOUT LE TEMPS.
    MOBILISEZ ET CONSCIENTISEZ D’UNE MANIÈRE PLUS EFFICACE.

  3. « afrique 20 septembre 2020 » est du tres mauvais francais. la logique est la suivante « ville date mois annee » exemple paris le 20 sept 2020. vous avez fait lonu non?

    la gestion de la santé publique se doit d’être rigoureuse et efficace, transparence et solidaire, basée sur l’évidence scientifique et le respect des droits humains avec au centre de l’action des femmes et des hommes d’excellence, compétents, intègres pour enfin envisager atteindre l’objectif de développement durable sur la santé et le bien-être, « vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge qui sont les conditions essentielles au développement durable » d’ici à l’an 2030

    phrase trop longue. vous dites avoir fait lonu et vous ne savez meme resume un texte une idee.

    Nos leaders ont souvent bâti des « éléphants blancs » marqueurs de leur ″génie″ pour la prospérité.

    ce nest plus un medecin qui parle. comment definissez vous un elephant blanc

    Affronter ce virus « délinquant » qui nous fait aujourd’hui une leçon magistrale n’était pas au cœur des préoccupations.

    loms na pas traite de « delinquant » le coronavirus. vous etes un officiel apres tout. vous etes lu partout a loms au siege a brazzaville partout il ya des medecins qui vous lisent des etudianst en medecine des doyens des facs de medecine…sans compter vos collegues de loms les representanst residents les ceci les cela attention mr!

    bon ancetres tout puissants manes…. vous prenez le contrepied des campagnes de vaccinations africaines que pilotait le docteur luis gomes sambo et vous lavez en principe connu il travaillait a brazzaville. il va vous rire au nez. cest grave ca; pourquoi docn loms recrutait des consultanst en suivi et evaluation pour evaluer ou mesurer les impacts des campagnes africaines de vaccinnation initiees par le dr luis gomes sambo? il faut etre serieux a un tel niveau de responsabilite.

    IL N Y A PAS DANCETRES PROTECTEURS NI MANES EN AFRIQUE VOUS AVEZ FAIT LONU ATTENTION A VOS ECRITS

  4. À MONSIEUR YOMBI OPANGO,
    J’AI COMPRIS QUE TU ALLAIS FAIRE UNE DEUXIÈME VIDÉO POUR DISTRAIRE LES CONGOLAIS.
    POUR CE FAIRE, JE SOUHAITE TE DEMANDER, AVANT TOUT, UN GRAND SERVICE.
    EST-CE QUE TU PEUX RAMENER LE CORPS DE PAPA AU VILLAGE?
    PARCE QUE, CONTRAIREMENT À TOI QUI A UNE PETITE MÉMOIRE, JE RECONNAIS QUE LE CONGO A INVESTI DANS MON ÉDUCATION. JE DOIS BEAUCOUP À CE PAYS. JE NE PEUX PAS ME CONTENTER DE RESTER EN FRANCE TANDIS QUE MON PAYS A BESOIN DE MOI.
    TU AS OUBLIÉ ( COMME TON PÈRE) QUE L’IDIOT sassou ÉTAIT L’INSTIGATEUR DE  » YOMBI A TOUT VOLÉ », DE  » PE NA BUA KA TUMA » DE  » PE NA OKAPI KA TUMA ».
    SI C’EST TON PÈRE QUI T’A CONSEILLE D’ALLER DANS LES MAINS DE CET IDIOT, JE NE PEUX PAS COMPRENDRE CAR TU N’ES PLUS UN GOSSE.
    EN PASSANT, TU TRANSMETS MES SALUTATIONS À LA FAMILLE OWOMA ( SIMPLO Y COMPRIS) À LA CLINIQUE DE LEWONO.

  5. Congo-B-Politique-Diaspora : à Paris, les retrouvailles des pro-Mokoko

    Un mois après le retour au pays du « prisonnier politique » Jean-Marie Michel Mokoko, ses partisans de France se sont retrouvés ce samedi 26 septembre à Paris, pour renouveler les instances dirigeantes de leur association, l’ACB-J3M (Actions pour le Congo-Brazzaville avec Jean-Marie Michel Mokoko). Deux candidats briguaient la présidence de l’association, le président sortant Thierry-Paul Ifoundza et l’ancien vice-président Jérôme Itoua-Okongo. C’est le premier qui l’a emporté avec près de 75% des suffrages exprimés au terme d’un vote à bulletins secrets.

    Il rempile, cette fois-ci, pour un mandat de trois ans non-renouvelable. Antérieurement, la durée du mandat du bureau (l’exécutif) était d’un an renouvelable et celle du Conseil d’administration (l’organe décisionnel) de 3 ans renouvelable une fois. Afin d’apporter une certaine stabilité à la structure et d’être en phase avec la durée du mandat du Conseil d’administration, l’assemblée générale étant souveraine, s’est prononcée à l’unanimité pour des mandats de l’exécutif de trois ans non renouvelable. « Le nouveau bureau se compose désormais comme suit : président : Thierry-Paul Ifoundza ; vice-présidente : Émilie Macosso ; secrétaire général : Jérôme Itoua-Okongo ; Chargé de communication : Jean -Raphaël Oyabi ; trésorière générale : Simone Moufouma », révèle le docteur Thierry-Paul Ifoundza. Et de signaler que le Conseil d’administration a lui aussi été renouvelé. Les postes des administrateurs démissionnaires, restés vacants pendant de longs mois, ont été pourvus par de nouveaux membres, conformément aux statuts et règlement intérieur.

    Cette AG aurait dû se tenir depuis la fin de l’année dernière. Faute de militants assidus – ce déficit n’est pas spécifique à l’ACB-J3M, c’est une maladie qui frappe quasiment toutes les associations congolaises de l’étranger -, mais aussi pour des raisons de géographie – la majorité des membres vivent éloignés les uns des autres -, elle avait été sans cesse repoussée. Puis est venue cette catastrophe sanitaire, la Covid-19. Du coup, durant l’évacuation sanitaire de leur champion, chacun y est allé de son commentaire. Sans concertation avec les autres membres de l’association. Mais « cet épisode fait désormais partie du passé. D’autant que les valeurs auxquelles croit le Général Jean-Marie Michel Mokoko et que nous avons épousées avec conviction sont intangibles et méritent d’être défendues avec gravité », rappelle Thierry-Paul Ifoundza, dont le rapport moral et d’activités de son précédent mandat a sans doute été le facteur déterminant de sa réélection.

    De la gravité, continue-t-il, il en faut, surtout en ces temps où une effervescence du vide semble diluer la diaspora congolaise et politique de France… Accointances et mélange des genres inutiles y pullulent… « Lors de notre AG, nous avons aussi exprimé notre tristesse à la suite des rencontres de certains « opposants» politiques congolais en séjour en France avec quelques Congolais de la diaspora. La rencontre de Perpignan dans une ambiance festive, alors qu’il s’agissait de rendre hommage à l’ancien président Pascal Lissouba ; puis à Paris, de celle des deux anciens présidents de l’ACB-J3M-France avec Pascal Tatsy-Mabiala et Claudine Munari. Le 20 septembre dernier, madame Munari a rencontré quelques « opposants » congolais. C’est son droit le plus absolu. A l’issue de cette rencontre, un communiqué lu par un ancien président de l’ACB-J3M, mentionnait la formation d’une plate-forme politique des Congolais de l’étranger et la mise en place d’une Commission électorale « indépendante » équilibrée ! Chiche ! Mais des structures de ce genre, il en existe déjà. Et puis c’est se tromper de combat et de stratégie que de les mettre en place, car le seul combat qui vaille la peine d’être mené sans concessions, c’est celui qui consiste à raser le régime actuel au Congo-Brazzaville. Il faut rappeler qu’un autre opposant, Clément Mierassa en séjour à Paris en 2016 pour des « soins médicaux », avait déjà évoqué cette idée de plate-forme des Congolais de l’étranger, mais l’idée avait farouchement été rejetée par la diaspora », peste Thierry-Paul Ifoundza.

    Quoi qu’il en soit, l’ACB-J3M n’est en rien concernée par le vacarme qui a suscité le voyage de madame Munari à Paris. Pas plus qu’elle ne se soucie du jeu de deux de ses anciens présidents, Michel Mpandi et Francis Moketo. « D’ailleurs, c’est pour mettre fin à cette confusion au sein de l’ACB-J3M et éviter à l’avenir les conflits d’intérêts, que l’AG des partisans du général Mokoko s’est prononcée pour la rédaction d’une charte d’éthique, qui sera soumise à la prochaine réunion du bureau », conclut-il. explications en photos, isidore aya tonga au milieu: https://www.entrecongolais.com/congo-b-politique-diaspora-paris-les-retrouvailles-des-pro-mokoko

  6. JE TRAITE DIRECTEMENT AVEC MONSIEUR MOKOKO. UN JOUR, IL NOUS DONNERA DE SES NOUVELLES.
    PLUS BESOIN D’INTERMÉDIAIRES À DEUX BALLES.
    MONSIEUR MOKOKO APPARTIENT À TOUS LES CONGOLAIS CONSCIENTS DE SON RÔLE CAPITAL DANS LA TENTATIVE DE RESTAURATION L’ÉTAT DE DROIT AU CONGO.

  7. nous soutenons la candidature du general denis sassou ng aux prochaines electiosn presidentielles.

    en 1992 n’eut ete le tribalisme il battait p lissouba et b kolelas.b kolelas avait jete en prison lelectorat lari qui fit de lui maire de brazzaville elu a 100% deja cest faux car il ya des biais en statistiques. electorat toujours en prison.

    p lissouba avait jete en prison lelectorat bembe et setait retrouve maire de dolisie lui aussi elu a 100%. electorat toujours en prison. donc il ne restait que pour les candidats normaux les seuls voix du kouilou de la sangha de la cuvette et des plateaux.

    CONTRAIREMENT AUX APPARENCES ANDRE MILONGO AVAIT ETE MAJORITAIREMENT ELU DANS LES PLATEAUX DOCN MR DENIS SASSOU NG AVAIT TOUTES LES CHANCES DE REMPORTER LELECTION PRESIDENTIELLE DE JUILLET 1992 SI LORCHESTRE TRIBUS DU CONGO NAVAIT PAS ORGANISE PLUSIEURS CONCERTS A BRAZZAVILLE ET ON AURAIT ORGANISER LELECTION DE JUILLET 1997

    EN 1997 MR DENIS SASSOU NG REMPORTAIT HAUT LA MAIN LELECTION PRESIDENTIELLE DE JUILLET 1997 TOUS LE SAVAIENT

    les vrais hommes politiques du congo sont denis sassou ng et andre milongo helas decede

  8. dites a mr mpele d’arreter d’ecrire des idioties. son francais est deja inadmissible meme si nous voulons dun congo brazzaville exempt de toutes fautes en francais mais lui il vient de lonu nous supposons qu il navait pas de problemes en ecriture francaise or malheureusement ce nest pas le cas.il ecrit du tres mauvais francais pour un administrateur dune telle trempe! une missive ecrite depuis « l’afrique » ca ne veut rien dire. quand on dit paris le 20 juin 2020 par exemple cela veut dire que si jamais il y avait un probleme le juge base a paris pourra etre saisi.il y a la competence territoriale et dire qu il vient de lonu! il parle de manes dancetres….

    bon dites lui de se taire cest plus beau nous voulons dun congo sans fautes en francais. a brazzaville aujourdhui cest le lingala lari lingala lari …alors les fautes en francais cest vraiment une pluie torrentielle. le congolais a ete abruti oui dans une certaine mesure vous avez raison de dire que nous sommes dernier peut etre par rapport aux autres pays a revenu intermediaire. le gabonais parle couramment francais le congolais zero devenu villageois lingala lari lingala et parle peniblement le francais.le francais est devenu pour le congolais une epreuve physique. oui vous avez raison de dire que nous sommes derniers mais au sein des pays a revenu intermediaire. un diplomate gabonais peut il s’exprimer de la sorte?

    meme le general mokoko avait commis une faute en francais dans sa lettre de demission adressee a sassou ng du temps ou il fut a bangui. il a ete intrepelle par quelqu un sur congo liberty. nous ne voulons plus de fautes en francais dans ladministration congolaise

    de toutes les facons cette question de baisse de niveau en francais sera la priorite du nouveau gouvernement post clement mouamba

    il se dit a brazzaville que clement mouamba sera revoque de ses fonctions certainement en octobre pour insuffisance de resultats.

    evidemment revocation a ne pas tribaliser ni ethniciser.

  9. POURQUOI ORGANISE-T-IL DES ÉLECTIONS ?
    L’IDIOT sassou N’EST PAS AU COURANT QUE LA FRANCE A RENOUVELÉ SON CONTRAT.
    IL PEUT RESTER TRANQUILLE DANS SES COUCHES ET SES CHAUSSONS.
    LA COMMUNAUTÉ DES IDIOTS SOUTIENT SON MANDAT À VIE. ELLE N’A PAS TROUVÉ UN IDIOT PLUS PERFORMANT QUE L’IDIOT sassou.
    FÉLICITATIONS MONSIEUR L’IDIOT sassou.

  10. Bonsoir
    je suis maitre Antoine djaffa ,maitre spirituel des esprits et très connue pour mes travaux occulte je suis disponible pour résoudre tous vos problèmes tel-quel soit
    1:Retour affectif
    2:Parfum de chance
    3:Talisman de protection
    4:Rituel d’attirance clientèle
    5:Savon de chance
    6:Gagner aux jeux de Loto
    7:Rituel de richesse
    8:Bague de richesse
    9:Porte monnaie de richesse
    10:valise de richesse
    11:Comment Guérire du faiblesse sexuelle
    Etc…….
    Tel:22967689066
    https://www.facebook.com/Maitre-Antoine-Djaffa-La-Spiritualité-112471580501840/

Laisser un commentaire