RDC au bord de l’implosion : «Tout Etat qui rejette le Dialogue est appelé à mourir » extrait du livre «Démocratie à l’Africaine : OSAMBE OU KINZONZI, la vie ou la mort des Etats » de Michel Innocent PEYA

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La RDC entre le bon sens et l’alternance absolue : le schéma Michel Innocent PEYA s’impose au chevet d’un pays au bord de l’implosion

Depuis une année des menaces les plus convaincantes se font de plus en plus sentir. Les indices politiques tintés de menaces tantôt voilées, tantôt explicites : villes mortes, les marches violentes et pacifiques, les bavures ou les méthodes musclées des services de sécurités, causant blessures et parfois mort d’hommes, les pillages, les viols, vols etc. Face à cette situation et à la crainte de voir un pays à la dimension continentale, qui partage les frontières avec neuf pays en Afrique, exploser telle une bombe, le monde entier s’est mobilisé pour éteindre le feu avant qu’il ne soit tard. Au départ, deux blocs se sont dessinés : nous avions d’une part la ligne de ceux qui se réclament «DEMOCRATES» pour qui la résolution de la crise passe par le respect strict de la constitution qui détermine en ses articles le mode d’accession, d’exercer et de conservation du pouvoir ; et d’autre part, le camp de ceux qui pensaient que les priorités du développement ; de la stabilité et de la cohésion sociale étant au-dessus de tout, il faut changer la constitution pour maintenir au pouvoir le dirigeants actuels qui ont fait leur preuve.

Ce dilemme présageait une confrontation dont les conséquences étaient pressenties jadis désastreuses. Ainsi, la communauté internationale, une bonne franche de la société civile et de la classe politique, ont poussé dans tous les sens pour le respect strict de la constitution. Plusieurs rencontres et missions diplomatiques furent organisées à cet effet. On peut citer à titre illustratif les multiples conférences sur la paix et la stabilité dans la région de grands-lacs, l’accord-cadre d’Addis-Abeba, les interventions de John Kerry secrétaire d’Etat américain, les Nonces apostoliques, la conférence épiscopale du Congo. Bref, tous pour le respect de la constitution comme solution à la crise qui pointe à l’horizon. Dans ces pressions, il faut préciser que la grande ligne sur laquelle tout le monde musait était la limitation des mandats présidentiels. De New-York, Washington à Bruxelles ; siège de l’union européenne, le ton était sévère : sanctions ciblées et gèles de la coopération en cas de non-respect de la constitution, plus particulièrement, de la limite fixée pour le mandat présidentiel.

A l’opposé, un chercheur africain du Congo Brazzaville du nom de Michel Innocent PEYA, tel un prophète scientifique mal compris, faisait le tour de l’Afrique et du monde, pour vulgariser les principes de la démocratie à l’africaine qu’il venait de concevoir en terme théorique, dans son ouvrage intitulé «Entre le BON SENS ET L’ALTERNANCE ABSOLUE, L’AFRIQUE à la croisée des chemins. Les réalités têtues de l’histoire se répètent». Dans cet ouvrage, le plus médiatisé au monde, au regard des nombreuses conférences et débats télévisés ou radiodiffusés en Afrique, en Europe, en Amérique du Nord et du Sud, en Océanie, que notre rédaction a pu recenser dans les différents sites internet, Michel Innocent PEYA, développe la théorie du Mythe de la termitière et delà dictature de l’urgence qui lui a valu beaucoup de critiques.

Dans sa démocratie à l’Africaine, cet écrivain, dont la plume s’est imposée avec respect dans le rendez-vous de l’histoire de l’Afrique, insistait que pour résoudre les crises, conflits et les heurts qui menacent les Etats et les peuples d’Afrique «le Dialogue, les concertations et la recherche du compromis ou du consensus étaient des valeurs africaines incontournables ». Les blocs politiques antagonistes actuels, qui s’entredéchirent au tour du changement ou non de leur constitution et dirigeants fin mandat, devait se retrouver au tour de la table pour dialoguer. Mais hélas, en ce temps, il y a deux ans, personne ne croyait à Michel PEYA. Nombreux le traitaient d’un défendeur des dictateurs. Pour expliciter sa pensée, il a publié en 2015, un autre ouvrage «Démocratie à l’Africaine : OSAMBE OU KINZONZI, la vie ou la mort des Etats». Dans cette dernière publication, il arrive à la conclusion «Que tout Etat qui rejette le Dialogue est appelé à mourir». Aujourd’hui, l’histoire lui donne raison. Le monde entier comprend la nécessité du dialogue comme mode de résolution de crise. D’abord, l’accord-cadre d’Addis-Abeba recommandant au gouvernement congolais d’engager un dialogue sans discrimination avec toute la classe politique. Ensuite, les Etats-Unis ont délégué Tom Perriello pour cette fin, alors que le Secrétaire Général de l’ONU, Ban-ki-Moon, s’est appuyé sur Djinnith Said pour faciliter le dialogue entre différentes couches politiques. Enfin, l’union Européenne, l’union Africaine et l’organisation internationale de la francophonie, ont poussé et continuent à pousser pour un dialogué inclusif. Par ailleurs, les dernières propositions du Rassemblement, sur médiation de la CENCO et le ressent ballet diplomatique observé à Kinshasa ce dernier jour, notamment avec l’arrivée de Louis Michel, le vice-ministre Angolais des affaires étrangères et bien d’autres, témoigne à suffisance l’importance du Dialogue.

Ce qui est surprenant en Afrique est que les anciens défenseurs de l’Alternance Absolue, qui jurait sur le respect strict de la constitution et considéraient le dialogue comme un soutien aux dictateurs, ont fait un revirement spectaculaire pour en devenir fervent défenseur. Dans tout cela, ceux qui avaient vue loin, au rang duquel figure Michel Innocent PEYA de Brazzaville, sont oubliés. Personne n’en parle, même par honnêteté intellectuelle et politique. C’est pour reconnaitre les efforts de l’Ecrivain Michel Innocent PEYA, qui s’est donné corps et âme, pour vulgariser à travers l’Afrique et le monde, les vertus de la Démocratie Africaine telles que le dialogue, le compromis, le consensus, les concertations et les valeurs initiatiques que nous avons publié cette réflexion. L’Afrique doit apprendre à recourir à ses dignes fils, Ecrivains et autres intellectuels ayant une vision claire de l’Avenir du Continent et qui sont capables d’anticiper les événements. Il y a deux ans, que l’Ecrivain Michel PEYA, lors du vernissage de son ouvrage à Kinshasa, lançait un appel au recours aux valeurs Africaines pour résoudre les conflits, personne n’y croyait. Aujourd’hui que tout le monde comprend que le Dialogue est incontournable, personne ne parle de lui. Les bienfaits ne sont jamais perdus, Devoir de mémoire oblige. C’est notre obligation de rappeler.

Source:  www.rdc-news.com

6 thoughts on “RDC au bord de l’implosion : «Tout Etat qui rejette le Dialogue est appelé à mourir » extrait du livre «Démocratie à l’Africaine : OSAMBE OU KINZONZI, la vie ou la mort des Etats » de Michel Innocent PEYA

  1. Cette vidéo a été enregistré à 8h30 à la porte des Lilas, Paris 19e arrondissement de Paris – Merci à tous ses résistants qui m’ont protégé pendant l’enregistrement de cette vidéo – Sassou Nguesso et ses agents extérieurs étaient en intelligence contre nous et parmi nous et puis – Nous étions à deux pas du siège la DGSE- les services secrets français et d’intelligence Francafrique de papi, mami et de tes parents hors-connectés aux enjeux majeurs du monde au XXIe et du XXIIe siècle arrivant… http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/12/le-congo-brazzaville-et-sassoufin-la-periode-de-transition-politique-et-l-amnesty-generale-et-pourquoi-faire.html

  2. ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE EN GAMBIE: UNE GUERRE DE VALEURS DÉMOCRATIQUES ENTRE LA FRANCOPHONIE DE FRANCE ANTIDÉMOCRATIQUE ET LE COMMONWEALTH DÉMOCRATIQUE EST LANCÉE – A SUIVRE CAR 30% DE PAYS FRANCOPHONE D’AFRIQUE SOUHAITENT DEVENIR ANGLOPHONE – A SUIVRE … http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/12/le-congo-brazzaville-et-sassoufin-la-periode-de-transition-politique-et-l-amnesty-generale-et-pourquoi-faire.html

  3. Le problème du cynique dictateur Sassou Nguesso, son terrorisme d’état ainsi que ses crimes de masse et contre l’humanité qui sévissent actuellement dans le département du Pool et d’ailleurs, sur l’ensemble du territoire national au Congo Brazzaville, ne doivent pas être interprétés comme des affaires ne concernant que les originaires lari-Kongo et sudistes congolais – Ce sont des affaires prioritairement nationales puis africaines aussi et enfin humaines (carnet du devoir et de la mémoire historique d’un esprit congolais appelé isidore aya tonga)… http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/12/le-congo-brazzaville-et-sassoufin-la-periode-de-transition-politique-et-l-amnesty-generale-et-pourquoi-faire.html

  4. M. vincent PEYA devrait plus tôt écrire sur la nécessité des dictateurs à respecter la loi pour éviter tout changement de constitution et qu’il dépose la première copie à son frère Denis Sassou

  5. Mon frère Michel Peya, je suis tres bien d’accord de votre idee de ja Democratie a L’Africaine, qui est pour moi la foundation de ma maison que J’ ai denommee ++ CONSTRUIRE UNE MAISON AUTREMENT ++ document adresse a la classe Politique Congolaise en general et a son excellence Monsieur Le President de la Republique du Congo Brazzaville Mr ELSASS que je souleve au Passage tres Haut et vous demandant de m’ ecouter un peu: Mr le President, moi Andre Tentokolo Diplomate rappelle et laisse en abandon voici bientot 20 ans et mis en misère par multiples applications: Premirement demander a n’ importe quell Officier Sup et Generaux de FAC qui est ce Andre Tentokolo ANDROUCHA pour les Generaux de Fac et Ya TEINTOS pour les Financiers et vos enfants et nieces, mais Tous et Toutes ne connaissent pas de quelle Region J’ appartiens, sauf les Membres tres actifs du CLUB DE LA OU ON PIS…qui connaissent ce que veut dire ZAKALA HA HA …Mr le President S.V.P, je ne comprends rien, mes amis OF-SUP des FAC sont entrain de mettre Fin a l’ EXISTANCE de VIES HUMAINES dans le PERIMETEUR denomme CHICKEN ou POOL,, pouvez vous leur dire cesser d’ utilizer les KATOUCHAS et autres armes aux frères et soeurs de ANDROUCHA surtout qu’ on s’ approche aux differentes FETES de fin d’ annee 2 0 1 6 et pour ces raisons ma famille vient de se disloquer Mr le President c’ est surtout a cause de vous et pourtant on t’ a beaucoup servi, please dites a vos porteurs des choses qui tuent de les baissees. car nous tous AMIS ET PARENTS..

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