2016, un bon cru pour l’oligarchie françafricaine

26 juillet 2007. Paris. Le collectif militant « Cellule françafrique » organise une visite en vélo, une semaine après le passage de Nicolas Sarkozy sur le tour de France, des différents biens immobiliers appartenant au président gabonais Omar Bongo, dans le 16ème arrondissement à Paris (entre le boulevard Lannes et l'avenue Foch), le 26 juillet 2007. Le dictateur africain reçoit au même moment le président Nicolas Sarkozy au Gabon et est l'un des premiers chefs d'état à avoir rencontré le président après sa prise de fonction. Par cette action, la Cellule Françafrique demande que la France cesse son soutien aux dictateurs africains en saisissant, notamment, « leurs avoirs mal acquis en France», et oeuvre pour d'autres relations entre la France et l'Afrique.  © Laurent Hazgui/Divergence

 

Affaires Bongo, Deby, Nguesso… Plusieurs présidents africains proches de Paris ont été réélus cette année… et avec eux, leur famille.

Ali Bongo, réélu depuis mardi pour un second septennat, n’est pas seul sur le continent à perpétuer et combiner destins personnels et familiaux. Pour la seule année 2016, deux autres parmi les serviteurs de la Françafrique ont aussi su se maintenir sur leur trône, pour le plus grand bien de leur portefeuille et de celui de leurs proches. Le 10 avril, le président tchadien, Idriss Déby Itno, dont la fortune personnelle est estimée entre 50 et 100 millions d’euros, était reconduit dès le premier tour avec 61,56 % des suffrages, entamant sa vingt et unième année au poste de président. Un mois plus tôt, au Congo, Denis Sassou-Nguesso, qui cumule aujourd’hui plus de trente-deux années au pouvoir (1979-1992/1997-2016) et un milliard d’euros dans sa tirelire, obtenait à son tour 60 % des votes, réinterprétant au passage la Constitution de son pays qui interdit plus de deux mandats présidentiels.

Mais, s’ils gardent les intérêts de la France, ces ploutocrates enrichis sur le dos de leur peuple n’en oublient pas moins leurs proches. On l’a vu au Gabon avec Omar, qui, à sa mort en 2009, avait dressé un tapis rouge à son fils Ali, qui n’avait plus qu’à reprendre le fauteuil laissé vacant par papa et faire fructifier les 275 millions d’euros de fortune personnelle, fruit de son labeur en tant que ministre de la Défense de 1999 et 2009.

Au Tchad, Idriss Déby est aujourd’hui dans la même logique avec deux ses fils placés à des postes clés : Zakaria, nommé directeur adjoint du cabinet civil de son père ; et Mahamat, désigné au poste stratégique de commandant de la Direction générale de la sécurité des services de l’État (DGSSE), chargée de la sécurité rapprochée du président.

Denis Sassou-Nguesso reste toutefois le maître incontesté en matière de nomination de proches à des postes clés. Parmi les plus connus : le député Denis Christel Sassou-Nguesso, l’un de ses fils, est aujourd’hui administrateur général de la raffinerie de pétrole nationale Coraf. Et comme Denis n’est pas misogyne, il a nommé deux de ses filles à des postes importants : pendant que Claudia veille sur sa communication, Judith Cendrine, elle, garde l’œil sur la direction de l’Agence pour la promotion des investissements.

Stéphane Aubouard

12 thoughts on “2016, un bon cru pour l’oligarchie françafricaine

  1. POURQUOI SASSOU NGUESSO SOUTIENT-IL M. JEAN PING ?
    Lire très attentivement le point de vue impartial de la majorité des Gabonais.
    INTRO : La politique, si tu veux la faire, il faut voir beaucoup plus loin que la moyenne des personnes. Il faut voir très loin et chercher à être très bien informé ; ce qui permet de prendre les décisions en connaissance de cause.
    Alors, voici ce qu’on ignore et qui va éclairer plus d’un Gabonais voire plus d’un Africain intéressé par la situation qui prévaut en République Gabonaise. La vérité sur les grands enjeux concernant le Gabon et les convoitises extérieures au détriment du peuple gabonais.
    Le principal soutien financier, politique et bientôt probablement militaire de Jean PING s’appelle Denis Sassou Nguesso.

    Au plan financier :

    Madame Marie Paule PING née MBOUSSOU DIOLA, l’épouse de Franck PING, le fils aîné de Jean PING, et Madame Danièle Sassou Nguesso née MBOUSSOU, l’épouse de Denis Christel Sassou Nguesso, sont deux sœurs de même père et de même mère. Leur mère n’est autre que l’actuelle présidente du Sénat gabonais, madame e de Lucie Mboussou née Milebou-Aubusson.
    Denis Sassou Nguesso qui s’est toujours cru plus malin que tout le monde finance discrètement Jean PING via des sociétés chinoises dirigées par le Franck PING. C’est ainsi que l’ogre de l’Alima a octroyé à ce dernier le juteux marché de la construction du fameux Village Olympique de Kintélé ayant servi aux Jeux Africains de 2015 à Brazzaville, pour un montant de 125 millions de dollars US. Naturellement, la facture a bien sûre été réglée par la SNPC de Denis Christel Sassou Nguesso, le mari de la petite sœur de l’épouse du fils PING.
    D’autres marchés ont été attribués par l’ogre de l’Alima à la société chinoise représentée par Franck PING, notamment le tronçon de la route de deux voies, longue de 169 km, qui relie Ketta à Sembé. Montant de la facture payée au fils PING : plus de 101 milliards de francs Cfa (dont 56,65% supportés par le Congo et 43,35% par le Fonds africain de développement). Cette route a été inaugurée en grande pompe par l’ogre de l’Alima le 11 février 2016 en pleine campagne présidentielle.

    La Synohydro Corporation Limited représentée par le fils PING avait obtenu également le juteux marché de l’extension du Port autonome de Brazzaville.

    Tout homme averti sait que l’octroi de tous ces importants contrats à une même et seule société représentée par le beau-frère de Kiki (le petit nom de Denis Christel Sassou Nguesso dit le pétrolier) n’est ni plus ni moins qu’une manière déguisée pour Denis Sassou Nguesso de soutenir financièrement Jean PING.

    Au plan politique :

    Tout d’abord il faut savoir que Denis Sassou Nguesso a toujours agit en intelligence avec un très célèbre écrivain français(*) dans la rocambolesque et abracadabrantesque histoire de la filiation d’Ali Bongo, qui serait d’origine biafraise et aurait été adopté par notre défunt Frère Omar Bongo Ondimba, passé au Grand Orient en 2009.

    La vérité est que dans cette affaire, le principal informateur de ce grand et célèbre écrivain français n’est autre que l’ogre de l’Alima. L’objectif visé était d’empêcher Ali Bongo d’être candidat à cette élection présidentielle du 27 août 2016, conformément à l’article 10 de Constitution du Gabon. Il faut préciser que Denis Sassou Nguesso et ce célèbre écrivain français sont très proches (ainsi que Robert Bourgi qui veut lui aussi à tout prix la tête d’Ali Bongo).

    N’ayant pas réussi leur coup de l’invalidation de la candidature d’Ali Bongo, Denis Sassou Nguesso est passé au plan B, c’est-à-dire obtenir coûte que coûte le ralliement des principaux candidats de l’opposition gabonaise à Jean PING.

    Comme à son habitude, il n’avance jamais à découvert, il avance toujours masquée. C’est ainsi que par l’entremise de son vieil ami Zacharie Myboto (qu’il avait d’ailleurs ouvertement soutenu en 2009 contre ce même Ali Bongo), il a fait discrètement pression sur les deux principaux ténors de l’opposition gabonaise, à savoir, Guy Nzouba Ndama et Casimir Oyé Mba, pour qu’ils retirent leurs candidatures et appellent à voter Jean PING contre Ali Bongo (dans le même temps, Robert Bourgi et et le célèbre écrivain français utilisaient la fille Chantal Myboto épouse Gondjout pour faire également pression sur son père dans ce sens).

    Dans cette élection présidentielle gabonaise le calcul politique de Sassou Nguesso était de placer à tout prix Jean PING en face d’Ali Bongo pour une raison évidente : leur lien de famille (PING étant le père des deux enfants de Pascaline Bongo) ferait que tous les déçus d’Ali Bongo au sein de la famille Bongo et dans le Haut-Ogooué voteraient volontiers pour l’ex-beau-frère. Et surtout, ce lien familial pourrait rassurer Ali Bongo qui, avec les conseils de sa sœur Pascaline, accepterait ainsi plus facilement de laisser le pouvoir sans chercher à s’y accrocher en usant de la force.
    Mais en bon prince machiavélien, Denis Sassou Nguesso a surtout en tête un autre calcul beaucoup plus subtil et beaucoup plus personnel. S’il cherche à se débarrasser à tout prix d’Ali Bongo (57 ans) et placer Jean PING (73 ans) à la tête du Gabon ce n’est certainement pas pour les beaux yeux de ce dernier et encore moins parce qu’il veut aider le peuple du Gabon à mettre fin au long règne de la dynastie Bongo. Bien au contraire.
    En effet, alors que lui-même, Denis Sassou Nguesso, peut désormais se maintenir au pouvoir à vie, après 32 années d’exercice de pouvoir sans partage, et après avoir massacré son propre peuple, comment peut-on comprendre son obsession à vouloir faire en sorte qu’Ali Bongo Ondimba ne soit pas reconduit dans ses fonctions alors qu’il ne règne que depuis 7 ans ?
    Et quand on sait qu’il envisage de léguer le pouvoir en héritage à son fils Denis Christel Sassou Nguesso, on ne peut pas croire que Denis Sassou Nguesso soit guidé par de bonnes intentions « d’aider » les Gabonais à mettre un terme à l’emprise du clan Bongo sur le Gabon. Un tel argument ne tient pas debout, car aucun Gabonais ne peut dire que Jean PING n’est pas un membre à part entière du clan Bongo.
    La vérité est que Denis Sassou Nguesso rêve secrètement de voir dans 7 ans (alors que Jean PING aura 80 ans) son petit-fils Omar Denis Bongo ondimba, fruit de l’union de feu Omar Bongo Ondimba et la défunte Edith Lucie Bongo née Sassou Nguesso, diriger le Gabon pendant que son fils Denis Christel Sassou Nguesso, lui, dirigera le Congo.

    Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que pour l’ogre de l’Alima, son vrai problème ce n’est pas d’aider les Gabonais à mettre un terme à l’hégémonie du clan Bongo au Gabon. Son problème, c’est qu’il veut continuer à contrôler le Gabon comme il le faisait sous l’ère Omar Bongo par l’entremise de sa défunte fille Edith Lucie. En plus, il considère que son petit-fils Omar-Denis Bongo Ondimba, est, selon lui, plus légitime pour diriger le Gabon que ne l’est Ali Bongo qu’il appelle d’ailleurs en privé le Biafrais.

    En chassant Ali Bongo Ondimba du pouvoir au Gabon pour le remplacer par Jean PING (qui lui sera totalement redevable), Denis Sassou Nguesso veut tout simplement couper une branche de la dynastie Bongo, celle représentée par Ali Bongo pour mieux préparer la conquête du pouvoir par l’autre branche du clan, celle de son petit-fils Omar-Denis Bongo-Ondimba, le seul héritier légitime à ses yeux pour régner sur le Gabon. C’est autant dire que les plus « idiots » dans cette affaire ce sont les Gabonais et Jean PING le premier, car il semble ne pas comprendre cette ruse et cette manipulation de l’ogre de l’Alima.
    Certes, jusqu’à présent le soutien de Denis Sassou Nguesso à Jean Ping portait essentiellement sur sa participation au financement de la campagne électorale de ce dernier, mais le pire reste à venir.
    En effet, selon nos informations, son soutien à Jean Ping pourrait très rapidement se muer en une politique ouvertement interventionniste après le déclenchement de la guerre civile post-électorale qui se profile à l’horizon au Gabon.
    En clair, son soutien à Jean Ping n’exclut pas l’appui et l’entraînement de combattants de l’opposition gabonaise dans sa base militaire privée de Tchambitcho, non loin d’Oyo, au cas où la crise post-électorale actuelle donnerait lieu à une guerre civile au Gabon.
    Alors, à présent, après ces révélations que vous et nous ignorions sans doute, nous souhaiterions que le sang des Gabonais ne coule pas à cause du cynisme et machiavélisme d’un homme nommé DENIS SASSOU NGUESSO ET FILS. Le Gabon et le Peuple Gabonais doivent-ils être les jouets de personnalités de moralité peu recommandable comme cela se passe au Congo-Brazzaville ?
    En conclusion, soutenir aveuglement et sans discernement M. Jean PING au nom d’une prétendue défense de la démocratie et de l’alternance, c’est faire preuve de naïveté et d’amateurisme politique.

    L’EQUIPE DU RESEAU CONGO-MFOA

  2. CONTRIBUER A LA DÉMOCRATIE ET POURQUOI FAIRE? QUAND VIA SES SOUS PRÉFETS ET SOUS TRAITANTS NÉGRIERS, LA FRANCE BLOQUE DE MANIÈRE ABUSIVE L’EXPRESSION POPULAIRE DE LA DÉMOCRATIE EN AFRIQUE FRANCOPHONE.

    LA DEMOCRATIE N’EST PAS EN PANNE EN AFRIQUE, ELLE S’EXPRIME D’AILLEURS, MAIS ELLE EST CONFISQUÉE PAR LES RÉSEAUX AFFAIRISTES OCCIDENTAUX OPÉRANT POUR LE COMPTE EXCLUSIF DE LEURS CLIENTS QUE SONT D’UNE PART LES MULTINATIONALES ET LES DICTATEURS D’AUTRE PART.

    SI NOUS METTONS HORS D’ÉTAT DE NUIRE CES DICTATEURS ET LEURS PSEUDO-ELITES, IL EST CERTAIN QUE NOUS AURONS FAIT UN PAS, UN GRAND PAS VERS LE RESPECT DE L’EXPRESSION OU DU SUFFRAGE POPULAIRE.

    POUR Y PARVENIR, LES DISCOURS ET L’INDIGNATION NE SERVENT PLUS A RIEN FACE A SES BRUTES. IL FAUT DÉSORMAIS AGIR A TRAVERS DES ACTIONS ET OU OPÉRATIONS CLANDESTINES DE TYPE: ACTIONS DIRECTES, BRIGADES ROUGES, ATTENTATS, ACTES DE SABOTAGE, ETC ET DONT LA CIBLE OU LES CIBLES SONT CES GENS LA…

    AVEC LA RÉCURRENCE DE SES DICTATEURS ET DES CRISES QU’ILS ENGENDRENT, NOUS DEVONS DONC INDIVIDUELLEMENT ET COLLECTIVEMENT CONTRIBUER A FINANCER DES OPÉRATIONS PRESCRITES.

    NOUS AURONS TROIS ACTIONS A MENER JUSQU’A LA CHUTE DE SASSOU NGUESSO: DES ACTIONS POLITIQUES, LOBBYING ET DES ACTIONS CLANDESTINES DE TYPE: ACTIONS DIRECTES, BRIGADES ROUGES, ATTENTATS, ACTES DE SABOTAGE, ETC

  3. CHARLES ZACHARIE BOWAO ALIAS BOA=OBSTACLE POUR LE DÉCOLLAGE-

    CHARLES ZACHARIE ALIAS CHAR+CHAR=BULLDOZER=BROUILLEUR DE PISTE-
    Constitution du 20 janvier 2002, Charles Zacharie Bowao est nommé rapporteur général de la Commission National des Élections (CONEL) dans le cadre des élections présidentielles de 20029.
    DZON MATHIAS ALIAS OPPOSANT PACOTILLE=OBSTACLE

    MOKELE MBEMBE-JEAN DOMINIQUE OKEMBA LE GRAND TINTIN SORCIER ARRIVISTE

    STOP LA POLITIQUE A LA DZON MATHIAS!–LE FAUTEUIL PRÉSIDENTIEL? OU LE POUVOIR?–DZON MATHIAS OPPOSANT NGUIRISÉ https://www.youtube.com/watch?v=bZDCXTSOQbc&feature=youtu.be

  4. En chassant Ali Bongo Ondimba du pouvoir au Gabon pour le remplacer par Jean PING (qui, chacun l’aura compris, lui sera totalement redevable), Denis Sassou Nguesso veut tout simplement couper une branche de la dynastie Bongo, celle représentée par Ali Bongo pour mieux préparer la conquête du pouvoir par l’autre branche du clan, celle de son petit-fils Omar-Denis Bongo-Ondimba, le seul héritier légitime à ses yeux pour régner sur le Gabon. C’est autant dire que les plus « idiots » dans cette affaire ce sont les Gabonais et Jean PING le premier, car il semble ne pas comprendre cette ruse et cette manipulation de l’ogre de l’Alima.

  5. Le Congo n’a jamais obtenu son Indépendance.

    Une étape cruciale du processus qui conduit à l’Indépendance reste à franchir : la tenue du Référendum.

    Le Référendum est une obligation c’est la Constitution du 04 Octobre 1958 qui l’exige en son Article 86 alinéa 1

  6. Le 15 Août 1960 est un « FAUX ».

    Cette date du 15 Août 1960 à Brazzaville n’était que la deuxième étape du processus. Ce jour-là a lieu à Brazzaville que la ratification des Accords signés à Matignon le 12 Juillet 1960 entre Fulbert YOULOU et Michel DEBRE.

    Après doit suivre le Référendum sur les mêmes Accords.

  7. L’OPPOSITION POLITIQUE CONGOLAISE EST-ELLE LE PROBLÈME DE SASSOUFFIT?
    L’opposition politique congolaise est la plus bête et la plus peureuse du monde. Elle est aussi la plus complice et victime à la fois de l’ex dictateur Sassou Nguesso. C’est le paradoxe… https://www.youtube.com/watch?v=7GmbUa_RbA4

  8. La France n’est en réalité plus une puissance.Les pays Africains qui restent fixés à la France ne peuvent pas réellement progresser. La France est une puissance faible qui, qui ne tient qu’à cause des matières premières soutirées gratuitement des sous sols africains, de la mafia, du marchandage avec les aurorités africaines. Les autorités officielles n’aiment pas le peuple congolais, africains. Pourquoi continuer à courber l’échine et adorer la France? Optons pour une coopération loyale avec d’autres pays plus performants du globe. Cela est mieux pour nous Africains.Peuple du Congo, peuples de l’Afrique, unissons nous pour faire changer les choses pour notre bonheur et celui de nos enfants et allons contre les avantages illegales, de la France et leurs valets locaux.

  9. Mes très chers frères,

    Nous sommes des gens sérieux. Et nous devons tous le rester.

    Personnes n’ignore que de tous ceux qui sont allés à ces votes du 20 Mars 2016 et qui ont contesté les résultats de ce Pouvoir, seul Parfait KOLELAS avait compris ce qu’il fallait faire.

    Pour Jean PING, il a fallu que la France l’oblige pour comprendre.

    Retenons que c’est grâce à la démarche de Parfait KOLELAS qui a pu rendre publique les PV sorties des ces urnes là jusqu’à l’Association des Conseils Constitutionnels Francophones que la crédibilité de Denis SASSOU NGUESSO est très entamée aujourd’hui.

    Si Jean PING n’avait pas déposé dans les délais, toute tentative n’aurait plus de sens auprès de la communauté internationale.

    Nous comprenons aujourd’hui pourquoi Parfait KOLELAS avait saisi ce Conseil Constitutionnel.

    Pour la communauté internationale, quand vous êtes engagé dans un processus, il faut y aller jusqu’au bout.

    Car pourquoi avoir accepté que les candidatures soient validées par ce Conseil et à la fin ne plus reconnaître ses compétences, c’est ridicule quand même.

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