La perversion politique du « vivre ensemble »

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On s’en doutait. A l’écoute du mot de l’initiatrice des cafés de la gare du ténébreux concept du « vivre ensemble », les masques sont tombés. Comme si la paix était menacée au Congo, une énième association parisienne affiliée aux familles Sassou et Nguesso vient de voir le jour sur la place de Paris pour servir de remorque au pouvoir dictatorial du Congo-Brazzaville.

Ainsi, il est aisé de comprendre la facilité avec laquelle cette association propagandiste s’invite sur les plateaux de Télé Congo, alors que l’opposition républicaine peine à y passer pour diffuser son message ou à tenir des conférences de presse systématiquement réprimées par les forces de l’ordre. Toute pensée qui peut conscientiser le peuple congolais n’a pas sa place sur les ondes des médias nationaux congolais. Alors l’on fait appel aux courtisans pour faire la promotion des valeurs universellement partagées par tous les peuples du monde épris de liberté. C’est comme enfoncer des portes ouvertes.

« Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes » est le troisième objectif du millénaire pour le développement (OMD) du début du XXI ème siècle. A l’instar de Sassou qui a rejeté la démocratie congolaise dans les ténèbres, certaines sexistes congolaises pensent toujours que la femme congolaise n’est pas l’égal de l’homme. Elles se mettent ainsi en avant pour des prétendus combats politiques d’arrière garde à la solde du pouvoir du Congo-Brazzaville. Les thématiques évoquées lors de ce mot donnent l’orientation que Sassou entend faire assumer aux congolais de l’extérieur que certains appellent pompeusement la diaspora congolaise tant nos histoires personnelles et politiques sont différentes. Dorénavant, la vie des associations ou partis politiques des Congolais de l’extérieur devra s’inscrire dans le cadre politico-juridique de la concorde et l’unité des institutions congolaises nées du hold-up électoral du 20 mars 2016. C’est la reconnaissance officielle du gouvernement congolais « garant de ses sujets » par les cafés de la gare du « vivre ensemble ». Cette association inscrit son action dans un environnement social soit disant « propice » alors que les populations du Pool sont massacrées, nos leaders embastillés et nos libertés fondamentales violées. C’est la confusion totale.

Certains leaders des congolais de l’extérieur ou ceux qui pensent l’être sont devenus des dealers de Sassou. Ils nous vendent du rêve avec des concepts vides de sens tel que le « vivre ensemble » qui n’est ni un plan ni un produit. La sagesse comme l’intelligence n’ont pas de sexe, de race ni de religion. Au Congo-Brazzaville, nous avons tous vécu ensemble, jusqu’au jour de l’avènement de la démocratie en 1991. Certains dirigeants de l’époque non préparés à cette transition, avaient confondu l’exercice du pouvoir du peuple sorti des urnes à une gestion clanique excluant de facto ceux qui n’étaient pas de la tribu. Ainsi ont commencé à fleurir des termes tels que « c’est notre tour », « ya ba colère vé », suivis de guerres civiles tant l’appât du gain était plus important que le développement du Congo. Tout ceci pour terminer avec la guerre civile de 1997 qui a vu le retour du cobra royal au pouvoir, source de notre malheur actuel. Nous avons raté là un tournant historique pour ne pas avoir organisé les élections en 1997, quitte à les perdre. C’est aussi ça la démocratie et son droit d’inventaire. Le « vivre ensemble politique » n’a jamais été dans la tradition politique congolaise dont l’histoire jusqu’à ce jour a toujours été émaillée de violences pour accéder à la magistrature suprême.

Après le congrès tant attendu des Congolais de l’étranger qui s’est tenu à Paris du 6 au 7 août 2016, une autre structure du PCT avance masquée sous le thème du « vivre ensemble » en vue de nous divertir. Pourquoi évoquer dans son coin un leadership qu’il aurait peut-être fallu aller chercher au congrès des congolais de l’étranger ? Il n’y a pas de guerre civile à l’extérieur du Congo. Les seuls problèmes qu’il faille soulever sont ceux de l’ancrage de la démocratie au Congo, de la bonne gouvernance, de la justice sociale, des droits humains et du respect des libertés fondamentales des citoyens congolais. N’oublions jamais que le nerf de la guerre c’est l’argent. Et, je pense que l’argent souillé du sang de nos martyrs congolais du 20 octobre 2015 a déjà inondé la place de Paris pour financer certaines associations. Ces sexistes congolaises qui préfèrent se revendiquer de Jeanne d’Arc au lieu de Tchimpa Vita, osent nous parler du « vivre ensemble congolais » pour la résolution des crises. C’est tout un paradoxe et non le dernier. Nous comprenons tous que tout ceci n’est qu’une manœuvre du Prince d’Edou pour diviser les Congolais de l’extérieur. A y voir de plus près, cela commence à prendre forme. Pendant que certaines innovent à Paris avec des cafés de la gare du « vivre ensemble », le gouvernement congolais actuel a donné une invitation à un « cocktail du vivre ensemble » aux vrais leaders de l’opposition congolaise qui ont décliné cette dernière. C’est la collusion totale.

J’ai écouté le discours convenu d’un parti politique en devenir, qui brille par sa platitude des notions de gestion de projet seules dévolues aux femmes : une première dans l’histoire d’un pays. Je commence à penser que le malheur de l’Homme congolais est le Congolais lui-même. Et maintenant, on passe par ces femmes pour nous mettre au pas, ces « silencieuses ou invisibles de l’histoire » qu’aucun homme congolais n’a jamais bâillonné ni forcé à porter une burqua ou un tchador. Certaines femmes congolaises ont toujours eu la manie de l’auto-marginalisation dans la vie politique en faisant partie des organisations féminines arrimées au PCT telles que l’URFC (Union révolutionnaire des femmes du Congo) et l’OFC (Organisation des femmes du Congo) actuellement. Maintenant s’exporte à Paris en France les cafés de la gare du « vivre ensemble » où seuls peuvent y passer des touristes qui souhaiteraient perdre un peu de leur temps avant de prendre un train pour une destination inconnue des autres clients. C’est le « vivre ensemble de l’incertitude ».

Le Congo mérite mieux que des initiatives des personnes en mal de reconnaissance, fussent-elles des femmes. Mais au XXI ème siècle, le combat politique, social, économique et culturel n’a plus de sexe. Il est l’apanage de tout individu qui a quelque chose à proposer en dehors de son orientation sexuelle, tant la notion du genre est plus appropriée dans nos sociétés actuelles. Sinon, c’est le début de la perversion politique de café en cocktail après les partis claniques dans notre beau pays. La liberté d’expression que j’ai toujours appelée de tous mes vœux, veut que cette association affiliée aux Sassou et Nguesso existe. Mais, il est aussi de mon devoir de citoyen congolais d’en dénoncer les dérives mercantiles et opportunistes. La femme est l’égal de l’homme et dans un foyer ils se partagent les tâches quotidiennes. Au Congo, le narcissisme et l’égocentrisme touchent aussi les femmes imbues de leur personne, incapables de gérer comme les hommes les problèmes de la cité. De grâce, après des élections à huit clos, ne brillons plus par des propos sexistes qui nous ramènent un siècle en arrière. Pendant que les autres avancent, certains congolais refusent d’entrer dans la modernité pour continuer à perpétrer des pratiques rétrogrades de conservation du pouvoir qu’ils assimilent à un gibier pris dans un filet.

En tant que Congolais libre, je lance un appel de résistance à tous ceux qui veulent que le Congo de demain soit celui où toutes ses filles et tous ses fils travaillent ensemble main dans la main. Notre passé n’est pas notre destin, et nous pouvons surmonter nos difficultés actuelles en allant de l’avant. Les vertus humaines et les valeurs de la république ne se conjuguent pas seulement au féminin. La femme donne la vie certes, mais elle a besoin de l’homme pour porter en son sein cette vie. C’est une complémentarité indéfectible.

Il y a des choses qui donnent la nausée jusqu’à vomir comme pendant la grossesse, et ces démarches fantaisistes en font partie. Le vivre ensemble est ce qui fonde une nation, mais en aucun cas ne doit être ou demeurer un slogan creux. Le hold-up électoral et l’emprisonnement de nos leaders ne favorisent pas ce dernier. Seule la voie d’un dialogue politique inclusif sous l’égide de la communauté internationale nous y conduira.

Je terminerais par un message de compassion en disant « Père pardonne-leur car elles ne savent pas ce qu’elles font. »

 

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

 

18 thoughts on “La perversion politique du « vivre ensemble »

  1. Mokoko fera seul sans nul doute, sa déclaration de la vacance du pouvoir depuis sa belle cellule, avant minuit! ‘Si tout pas car’…

    Diamba ke kim’ ya imbi!

  2. Quarante huit ans de trahison,de vente et de demolition du Congo.Mr Sassou et ses amis ont montre aux Congolais leur incapacite de faire quelque chose de bien pour le Congo surtout leur manque d’elegance.Le concept du vivre ensemble n’est que la volonte de Mr Sassou de vouloir continuer a courir,il oublie qu’on ne peut pas courir eternellement,il faut s’arreter un certain moment.Il est le geniteur d’une classe sociale des seigneurs,createur d’une societe Congolaise des castes comme en Inde et transformateur du Congo en pays sans conscience.Ecoutez,nous ne voulons plus des hommes de cette race a la tete du Congo.Mr Sassou et ses amis doivent plier bagages et degager le plancher.C’est ce que le peuple Congolais leur demande et non le concept bidon du vivre ensemble après avoir siphonne plus de 30000 milliards.

  3. J’hallucine en vous lisant : « Au Congo-Brazzaville, nous avons tous vécu ensemble, jusqu’au jour de l’avènement de la démocratie en 1991.  » Vous reconnaissez donc implicitement que le règne de Sassou I n’était pas si mal. Même l’opposition Nord/Sud n’existait pas selon vous. Mais si c’est la faute à la démocratie il faut oser y renoncer !
    Vous écrivez aussi : « Certains dirigeants de l’époque non préparés à cette transition, avaient confondu l’exercice du pouvoir du peuple sorti des urnes à une gestion clanique excluant de facto ceux qui n’étaient pas de la tribu. Ainsi ont commencé à fleurir des termes tels que « c’est notre tour », « ya ba colère vé », suivis de guerres civiles tant l’appât du gain était plus important que le développement du Congo. Tout ceci pour terminer avec la guerre civile de 1997 qui a vu le retour du cobra royal au pouvoir, source de notre malheur actuel. Nous avons raté là un tournant historique pour ne pas avoir organisé les élections en 1997, quitte à les perdre. »
    C’est qui ce « nous » qui vous permet de noyer une responsabilité upadsienne en une responsabilité collective. Encore un peu plus de courage intellectuelle, et vous finirez par comprendre que Sasssou n’est que la face visible d’un système dont les partis régionalistes actuels sont les piliers.
    Enfin, pensez-vous franchement que les prétendants au pouvoir aujourd’hui sont plus préparés que ceux d’hier, surtout que ce sont les mêmes, avec les mêmes ambitions et le même fonds électoral ethnique ? Non, vous cherchez des hommes providentiels alors qu’il faut penser les moyens d’avoir des institutions fortes. Par exemple, une Constitution qui s’impose à tous les Congolais et non pas des Congolais qui nous imposent leurs constitutions. voir mes propositions.
    Cordialement

    1. zika wa zika de son vrai nom ou un pseudonyme, comme vous je suis pour des institutions fortes donc une constitution qui s’impose à tous les Congolais. Je n’attends pas un homme providentiel, mais notre combat concerne tous les Congolais épris de liberté. Je serais content de lire vos propositions mais je ne sais pas où les trouver. Il faudra les publier et en assumer la paternité afin de faire avancer le débat démocratique. Cordialement.

  4. LE DÉFILÉ DE LA HONTE DEVANT LE BOURREAU DU PEUPLE – LE 56E ANNIVERSAIRE DE LA DÉCOLONISATION DU CONGO EST SOUILLÉ PAR MR 8% OU PAR CE TERRORISTE D’ÉTAT RENSEIGNÉ, ARMÉ ET PROTÉGÉ PAR UNE CERTAINE OLIGARCHIE POLITIQUE DE GAUCHE ET DE DROITE FRANÇAISE.ET POUR COMBIEN DE TEMPS ENCORE? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/le-dictateur-sassou-l-ex-president-autoproclame-du-congo-est-illegitime-au-15-08-2016.html

  5. ALERTE INFO: LES CONGOLAIS SONT AUX YEUX DU MONDE FICHÉS COMME LE 1ER PEUPLE ESCLAVE POLITIQUE AFRICAIN AU XXIE SIÈCLE.. dit :

    QUEL ESCLAVAGE MODERNE? QUELLE HUMILIATION CITOYENNE? CES SOLDATS, POLICIERS ET GENDARMES N’ONT PAS PERÇU LEURS SALAIRES DEPUIS DES MOIS.

    97% D’ENTRE EUX VIVENT POURTANT DANS DES CONDITIONS DE VIE INDIGNES OU PRESQUE PROCHE DU QUART MONDE ET VIENNENT QUAND MÊME FAIRE ALLÉGEANCE AU BOURREAU DU PEUPLE.

    ALORS QUAND UN PEUPLE N’A PLUS AUCUNE DIGNITÉ, NI LA FIERTÉ, ET ENCORE MOINS LE COURAGE D’OSER DIRE « NON » ET SE RÉVOLTER CONTRE LE BOURREAU DU CONGO. CE PEUPLE LA EST-IL MÛR POUR L’ESCLAVAGE DE SASSOU ET DES NGUESSO? http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/le-dictateur-sassou-l-ex-president-autoproclame-du-congo-est-illegitime-au-15-08-2016.html

  6. Le toto de service est au boulot: indexer Kolélas l’ex-ministre et valider Mokoko l’ex-conseiller, c’est tout.
    On connait la musique, ‘la déca-danse’, et nous te connaissons…

    VA AU DIABLE!

  7. LES MERCENAIRES DE L’EX DICTATEUR SERONT COLLECTIVEMENT CONDAMNÉS A 25 ANS DE TRAVAUX FORCÉS…
    Les 3000 à 5000 mercenaires de l’ex dictateur Sassou Nguesso sont susceptibles d’être utilisés comme une main d’oeuvre gratuite au service de la reconstruction du Congo Brazzaville. http://congo-objectif2050.over-blog.com/2016/08/comment-s-en-servir-des-mercenaires-de-l-ex-dictateur-sassou-nguesso-et-pourquoi-faire.html

  8. Chè(e)r(e)s compatriote(s),

    Le putschiste SASSOU peut tromper le peuple une fois, mais il ne le trompera pas tout le temps avec des épouvantails du genre « la paix des cœurs et la tranquillité des esprits » badigeonnée avec de la « mouambe » du « vivre ensemble ». SASSOU est un putschiste à bout de souffle et sans imagination. Tout le monde de sait. Pour ses crimes, SASSOU et ses collaborateurs seront bientôt livrés à la vindicte populaire. Le clan au pouvoir sera purement et simplement balayé sans pitié.

    Chè(e)r(e)s compatriote(s), l’homme qui appelle les opposants de façade à son secours est aussi l’auteur de l’incendie qui embrase actuellement notre pays. L’homme à l’origine de cet incendie avait déjà avoué qu’il avait fabriqué et allumé une torche à l’ECCRAMU le 4 mars 2012 avant de s’en prendre à des boucs émissaires, de peur d’être lui-même trainé devant la Haute cours de justice. Face à ce pyromane, la stratégie égocentrique des opposants de façade selon laquelle stratégie « si ce n’est pas moi qui le remplace, il vaut mieux que le putschiste SASSOU II reste au pouvoir » est absurde. Cette stratégie des triples saltos arrière a longtemps été pratiquée par la vielle classe politique sans succès puisqu’elle n’a fait que pérenniser le putschiste au pouvoir et donc les souffrances de notre peuple. Or ce dont notre peuple a envie de manière pressante, c’est d’en finir enfin avec ce régime le plus rapidement possible. Cette stratégie des triples saltos arrière est donc caduque.

    Alors que la communauté internationale tergiverse sur l’enquête sur les gigantesques incendies qui ravagent notre pays, brûlent nos territoires dont la région du Pool, encercle les leaders qui lui résistent et pénètrent leurs maisons pour tous cramer, un autre départ de feu au sein de l’IDC-FROCAD-J3M mobilise actuellement le Militant de la Résistance qui entend déjouer ce piège de la division. Nos amis de la Résistance infiltrés au sein du régime nous révèlent qu’il s’agit là aussi d’un incendie provoqué par la main du même pompier pyromane dénommé SASSOU NGUESSO, mais l’auteur a été encore cette fois-ci mis à nu. Il reste cependant à rapidement l’interpeller et à le mettre hors d’état de nuire. D’où l’appel à l’unité et à l’engagement dans la lutte finale en utilisant tous les moyens disponibles contre la tyrannie du despote SASSOU II. VIVE LA RESISTANCE ! VIVE LE CONGO LIBRE !

  9. Comment s’en servir des 3000 à 5000 mercenaires de l’ex dictateur Sassou Nguesso et pourquoi faire?
    LES MERCENAIRES DE L’EX DICTATEUR SERONT COLLECTIVEMENT CONDAMNÉS A 25 ANS DE TRAVAUX FORCÉS…
    Les 3000 à 5000 mercenaires de l’ex dictateur Sassou Nguesso sont susceptibles d’être utilisés comme une main d’oeuvre gratuite au service de la reconstruction du Congo Brazzaville. https://www.youtube.com/watch?v=ker5rKE2kO0

  10. KOLELAS DOIS DÉMISSIONNER DE L’IDC car OKOMBI travaille pour sassou. Et on a besoin de ta contribution sur l’état de SUD CONGO.
    Qui est légitime au Congo Brazzaville le terroriste sassou dont la mission principale c’est d’abattre les BAKONGO?
    Robert POATY PANGOU Nous te soutenons, et nous attendons le referendum pour création du SUD CONGO, reconnu ou pas par l’ONU.
    Y a n’a mare des nordistes qui parlent de l’unité alors qu’ils travaillent tous pour la division.

  11. Pour réussir il faut être d’abord unit, mais le cas du Congo actuellement ne donne aucun espoir car pour le nord le pourvoir doit rester au Nord de ce fait. Nous ne pouvons plus parler de démocratie car le nord ne travaille pas pour redresser le pays il travaille pour la conservation du pourvoir mais si tout se meure.
    A Robert POATY PANGOU et n’y a plus PLUS DU TEMPS A PERDRE, NOUS SUD NOUS ATTENDONS CET REFERENDUM DE LA CRÉATION DU SUD CONGO IL Y N’A PLUS D’ESPOIR AVEC LES NORDISTE, C’EST LE TRIBALISME MAIS C’EST LA VÉRITÉ.
    Ou est OKOMBIE? à OYO avec sassou
    IL EST TEMPS POUR LE REFERENDUM DU SUD CONGO, TOUT LES LEADERS DU SUD CONGO DOIVENT SE RÉUNIR POUR LA CRÉATION D’UNE COMMISSION LE PLUS RAPIDEMENT QUE POSSIBLE.
    Sassou le dieu des français sa diriger le nord Congo.
    VIVE L’ÉTAT DU SUD CONGO, RÉVEILLONS NOUS AU SUD CETTE SITUATION PEUT PRENDRE DES CENTAINES D’ANNÉES ET NOUS RESTERONS DES ESCLAVES DU NORD.

  12. J’espère que vous n’êtes pas aveugle pour ne pas voir et croire que Parfait KOLELAS est l’un des seuls Opposants crédibles dans ce Pays !!! S’il était comme vous, il n’aurait pas dit NON au changement, étant membre du Gouvernement !!! Mais, il a préféré le camp du peuple souverain que les intérêts personnels, plutôt que de rester au Gouvernement.

    Il faut le lui reconnaitre, autrement, votre jalousie est suicidaire et diabolique.

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