PCT : On danse sur quoi, dites-le aux Congolais

Nous allons observer un autre ton pour dire les choses cette fois. La direction de campagne ou tout autre sherpa qui serait à l’origine du nouveau slogan qui appelle  la continuité s’est trompé mais alors complètement.

Continuer quoi ? Qui a généré quel succès, sur quel plan ?

Ce prochain mandat qui découlera d’une campagne déséquilibrée doit être entendu comme un nouveau départ. Trop de soutiens appellent une prise en compte au niveau conceptuel qui s’enrichira de ces apports. Ce serait se tromper si l’on s’attend à un bal de la félicité relancée pour le PCT.

M. Sassou Nguesso devrait vêtir des nouveaux habits pour espérer l’indulgence de la postérité. Il n’a pas donné ce signal en postant partout des ministres souvent incompétents qui trouvent là une aubaine pour essayer de conserver leur poste.

Toute cette production d’obligeances courtisanes le rendent prisonnier de ces palefrois et autres prétendus têtes d’œufs complètement décalés à qui il a tout donné et qui justifient d’un bilan de plomb. Et s’ils laissaient pour une fois leur chef traduire son propre ressenti ? Aime-t-il tellement les flatteurs qu’il en perd tout discernement ?

Ce pays a besoin d’un nouveau départ, un nouveau contexte politique humanisé et non un chef « bunkerisé » dans un repli sécuritaire, contre qui au reste ?

Les congolais sont atypiques. Pour un Sonko, le Sénégal brûle. Le Congo a un profil d’abus, d’excès, d’humiliations diverses qui relègue le Sénégal au rang de premiers communiants.

Il faut de toute évidence repenser cette campagne qui n’a pas l’obsession de créer  une nouvelle espérance, préférant débiter des choses convenues. Tout repenser mais alors tout, voilà le chemin. Que dire d’une campagne où à la place du ton grave, il y’a la fête toute de légèreté.

Entre le caviar de safou et le ragout de poule batéké, le peuple congolais aimerait bien sortir de la cuisine, non pas avec l’odeur des mets sur les vêtements, mais avec l’espoir de réalisation des projets innovants à effets multiplicateurs, dans un pays où l’on promeut et met en œuvre tout ce qui pourrait être nécessaire pour le meilleur développement physique, intellectuel et moral des citoyens.

Il est totalement ridicule d’alimenter à coup de milliards une campagne électorale festive qui n’a aucun intérêt dans ce pays où la majeure partie des citoyens ont légué leurs rêves à la science-fiction.

Que Dieu bénisse le Congo.

                                                                    Laurent DZABA

                                                                    Président du Mouvement Panafricain et Citoyen

6 thoughts on “PCT : On danse sur quoi, dites-le aux Congolais

  1. RARE PHOTO DU 13/03/1977 DE MARIEN NGOUABI EN COMPAGNIE DE SASSOU NGUESSO SON ASSASSIN.

    La photo fut prise le 13 mars 1977, à la place de l’hôtel de ville Brazzaville à l’occasion d’une journée à l’honneur de l’u.r.f.c (l’union révolutionnaire des femmes congolaises). Source: Elvis Kakou, grand journaliste congolais, membre des résistants congolais à la dictature de Sassou Nguesso).
    Le commandant Marien Ngouabi fut assassiné le 18 Mars 1977 au Palais Présidentiel. Il fut Président de la République populaire du Congo entre 1969 et 1977 et mort à l’Age de 39 ans. Pendant l’assassinat de Marien Ngouabi, Denis Sassou Nguesso cumulait les postes de ministre de la défense, de la sécurité et patron des services secrets ( sécurité d’état).
    https://www.youtube.com/watch?v=DpytLlg9CIY

  2. Sassou perdure au pouvoir à cause de la lâcheté des descendants de toutes ses victimes.
    La culture de la vendetta n’existe pas au Congo.

    Nos anciens braves n’ont accouché que de mécréants pourceaux, sans fierté, sans envergure et dignité.

    Même ceux qui sont enrôlés dans l’armée, la gendarmerie et la police ne restent que des couards sans charisme, sans courage.

    De véritables poules mouillées.

    Comment comprendre que ces tirailleurs de bas étages n’aient pu ourdir la moindre vengeance envers l’ASSASSIN de leurs géniteurs, oncles ou frères depuis toutes ces années ?

    Par exemple : – Sassou se pavane dans Pointe-Noire, et l’idiot de Rolland NGOUABI est là comme un con à se mettre au garde-à-vous devant l’égorgeur de son père.

    Et ils sont nombreux dans ce cas.

    – les Dominique NGOUABI (qu’on a entendu pleurnicher dernièrement dans une bande son comme un mouton et ramper comme un ver de terre. Son père doit se retourner dans sa tombe. Plus lâche tu meurs).

    Aaaaaahhh Dominique NGOUABI + Roland NGOUABI = VRAIS BA YOUMAS. BA BENDRES ! BA YEZAS !

    Outre les enfants NGOUABI

    Ou sont les enfants :

    – Massamba Débat ? (Line Massamba Débat pousse même le vice à être la présidente du jury du comité de je ne sais quel concours de la fille morte du tueur abominable de son père à qui il crèva les yeux avant de le tuer). Quelle horreur.

    Line MASSAMBA-DEBAT as tu un coeur ? Mbanzulu zé naku ????

    les enfants neveux et parents des :

    – Auxance ICKONGA
    – Xavier KATALY
    – ADOUA
    – AVOUKOU
    – MOTANDO
    – KIMBOUALA NKAYA
    – KINGANGA
    – KIKADIDI
    – IKOKO
    – DIAWARA
    – NTSOUROU
    – MOKOKO
    – OKOMBI SALISSA
    – DABIRA
    – TCHYSTERE TCHICAYA
    – ADOUA…………..
    ……………………………………………..

    Pour ne citer que ceux là, les plus connus.
    Mais la liste est très très longue et celle-ci est non exhaustive

    Un certain Colonel dont sassou a tué le fils parmi les disparus du beach se pavane même à Paris pour faire des procès qui n’aboutiront JAMAIS au lieu de chercher comment en finir une bonne fois pour toute avec Yéza Takou Safou Nguesso. Quitte à jouer au Kamikaze.

    Aaaaaaaaaahhh lâcheté !

    Quand tu nous tiens.

  3. Le CHU et sa morgue sont les plus grands succès du tueur infatigable. Car il y a une augmentation de plus de 50% des morts par jour au Congo.

  4. IL NE FAUT PAS OUBLIER QUE CET IDIOT sassou TRAVAILLE POUR DES BLANCS MAL ÉDUQUÉS.
    DONC, IL PARTAGE CE PALMARÈS AVEC SES DERNIERS ON NE PEUT PAS ÉTABLIR UNE HIÉRARCHIE DANS LA MESURE OÙ TOUS LES FORFAITS DE SES CRIMINELS CONVERGENT VERS NOTRE SOUFFRANCE.

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