Beaucoup de nos frères et sœurs africains en général et congolais en particulier essayent de sous-estimer l’impact que pourrait avoir le Coronavirus sur nos vies.
Le pasteur principal de l’Impact Centre Chrétien (ICC), Yvan Castanou nous donne à travers ce message, un aperçu de ce qui attend nos différents pays.
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POURQUOI TOUT CONGOLAIS LIBRE ET DIGNE A-T-IL LE DROIT ET DEVOIR DE CHASSER LE DICTATEUR SASSOU? https://www.youtube.com/watch?v=qy5F_FpdA4Q
J’EN APPELLE AUX MAKOUAS CIVILS, POLITIQUES ET MILITAIRES D’ÊTRE DU COTÉ DU PEUPLE ET POURQUOI? https://www.youtube.com/watch?v=_hxoZ1x5ZsY
Isidore Aya Tonga, je vous informe que la jeune femme, préfet de la Region de Madrid, qui avait reçu Sassou Nguesso lors de la COP 21 de Madrid endécembre dernier est reclue dans son domicile comme conséquence du COVID 19. Elle travaille par video conférence et sa vie n’est pas menacée.
Bravo !!!
L’ARRIVÉE À L’ÉTAT MAJOR DU COMMANDO PACIFISTE DE MASSAMBA-DÉBAT DIRIGÉ PAR LE CAPITAINE B. KIKADIDI.
Quatorze heures et quatorze minutes (14 h 14 mn), le groupe de Kikadidi, déguisé en militaire comme convenus entre Marien et Alphonse Massamba-Débat, arrive à l’Etat Major Général, en même temps résidence du Président Marien Ngouabi. Les consignes étaient bel et bien données. Il n’y aura aucun problème pour traverser tout l’Etat Major Général et les barricades militaires. Ils se garent devant le perron de la résidence présidentielle. Au moment de descendre, Kikadidi propose à ses compagnons de prendre leurs armes. Tadet s’y oppose… fermement. Pas question car on ne sait pas entendu comme ça…. « Je comprends que tu aies encore les réflexes militaires, mais nous n’en aurons besoin éventuellement que lorsque nous escorterons le Président… »
« Ils rentrent dans le Secrétariat. Kikadidi garde quand même son pistolet à la hanche. Ils sont au nombre de cinq et seront reçus par Ontsou et Péa, programmés expressément pour la circonstance afin d’assurer la permanence ce jour, le premier ayant été enrôlé dans le complot sur la base tribale par Florent Ntsiba. Il est batéké comme lui et vient de recevoir les dernières instructions de Ntsiba. Ontsou installe Kikadidi qui porte les galons de capitaine dans la salle d’attente et les quatre autres au Secrétariat.
Nkomo et Elouo se trouvent dans le bâtiment annexe vers la villa Shangaï. Instinctivement il demande poliment au capitaine qu’il ne connaît pas, même pas de nom de faire déplacer le véhicule et le capitaine Kikadidi désigne Kandza à cet effet. Le Président Marien Ngouabi est sorti pour une urgence et a demandé que vous l’attendiez, leur a-t-on fait croire. Rien ne peut donc les inquiéter. La journée est très ensoleillée et calme. Les parents du Président ont pris leur repas et se reposent. Les deux belles sœurs et la nièce discutent des futilités juvéniles au salon. Le petit Marien est allé prendre sa douche à la piscine, tandis que ses frères cadets jouent dans les chambres.
QUAND L’ÉNIGME ET LE PIÈGE SE REFERMENT À L’ÉTAT MAJOR SUR LES BOUCS-ÉMISSAIRES.
« Vous me ferez signe pour que je descende dès que le Président sera là », lance à ses sœurs Madame Céline Ngouabi qui monte péniblement se reposer à l’étage. Elle est à terme d’une grossesse et est très fatiguée. Entre temps, Kandza qui a des difficultés à déplacer le véhicule, voit arriver la 504 noire du Président de la République et suspend sa manœuvre pour la laisser passer. Il est 14 heures 25 minutes. Cinq hommes sont à bord de la voiture ; Peirera le chauffeur qui a Okemba à sa droite, Carlos et Anga sont à l’arrière de la voiture et soutiennent le corps inanimé du Chef de l’Etat, le Président Marien Ngouabi. Le véhicule se dirige vers le garage et marque un arrêt à mi chemin. Anga et Carlos, armés de PMAK, balancent rapidement le corps du Président Marien Ngouabi dont la mâchoire a été entre temps brisée et ils abandonnent un pistolet à côté du macchabée avant de s’enfuir, l’un vers la villa shangaï et l’autre vers la piscine.
Pendant ce temps, Peirera et Okemba sont pris au piège surtout quand Okemba rentre la voiture 504 au garage. Il abandonne les clefs sur le tableau de bord et s’enfuit. Tout se passe tellement vite que Kandza qui assiste à ce véritable mic-mac à couper le souffle, ne comprend plus rien. Il se demande s’il doit continuer sa manœuvre ou sortir de la voiture pour aller voir ce qui se passe.
Juste à ce moment là, il voit sortir à pas pressés Péa, Miénakou et Koudissa qui dévalent les marches du perron et se dirige vers le corps du Président Marien Ngouabi, abandonné à toute hâte par les sbires et bourreaux de Sassou Nguesso. Okemba qui est rentré au Secrétariat leur a dit que le Président ne se sentait pas bien, il venait de s’écrouler. A peine nos amis sont arrivés à la hauteur du corps, qu’ils sont accueillis par une pluie de rafales tirées par le Dr Carlos qui s’est fait un excellent angle de tir entre le garage et la Villa shangaï. Kianguila qui suit les trois hommes avec quelques mètres de retard, a juste le temps de rebrousser chemin et de lancer à Kandza, « filons ». Cet ancien de la Défense civile réagit aussitôt. Il sort de la 404, tires quelques rafales pour couvrir sa fuite et suit Kianguila à toutes jambes.
DEVANT LA FUMÉE OU LA FEU : UNE SEULE ALTERNATIVE. LA FUITE ÉPERDUE DU COMMANDO DE LA PAIX.
C’est la débandade à tous les niveaux dans les deux camps. -Les hommes de Sassou Nguesso viennent d’exécuter avec brio le scénario tel qu’il le leur a dicté en Commandant en chef des affaires macabres. Mâchoire brisée, toutes les dents arrachées, le corps du Président Marien Ngouabi qui n’est plus qu’une macchabée vient d’être balancée et gît à terre. Deux hommes du capitaine Kikadidi, qui viennent d’assister à quelque chose qui ressemble à un piège, n’ont pas d’autres solutions que fuir à toute hâte. Ils franchissent facilement le mur arrière de l’Etat Major Général et atteignent Bacongo en toute quiétude en passant par les jardins de la Corniche. Pendant ce temps, le Dr Carlos continue à tirer et abat un élément de la Garde Présidentielle qui était sorti de sa guérite et qui tentait de se lancer vers la résidence. Carlos cherche à créer l’atmosphère. Il faut donner l’impression d’une attaque généralisée au Palais présidentiel.
Anga n’a pas attendu que le tralala dicté par le Commandant Sassou Nguesso soit exécuté entièrement, qu’il ait préféré prendre la poudre d’escampette. Il s’est rendu immédiatement au groupement aéroporté où il s’est engouffré, malgré l’interdiction de pénétrer dans les casernes dont il fait l’objet des recherches à la suite du décès du Président Marien Ngouabi, une dizaine de minutes seulement après la fusillade.
De son côté, le capitaine Kikadidi, coincé dans la salle d’attente, comprend vite que son groupe est tombé dans un véritable guet-apens. Il casse alors les carreaux d’une fenêtre et s’en fuit lui aussi. Il rejoindra le domicile d’un parent (Mayouma) et s’y cachera pendant 11 mois. En ce qui le concerne, les intentions de ceux qui l’avaient installé dans la salle d’attente, il devrait constituer la pièce maîtresse à conviction trouvée dans la résidence du Chef de l’Etat.
C’est ce qui explique qu’Ontsou qui restera dans le Secrétariat pendant la fusillade et n’apparaît au perron qu’au dernier moment, préfère tirer en l’air plutôt que d’attaquer le capitaine Kikadidi et ce, jusqu’à l’arrivée des premiers éléments de la garde présidentielle conduits par le Lt Sibali à qui Ontsou dit que le commando se trouvait dans la maison. Oui on lui imposera bien entendu le supplice d’accréditer le mensonge officiel à la faveur de quelques « pesetas ».
LA NUIT DES LONGS COUTEAUX DANS LA BERGERIE. LE PARTAGE DU POUVOIR OU LE VRAI VISAGE DES ASSASSINS.
La nuit fut longue, très longue jusqu’à ce matin là 7 heures lorsqu’en ouvrant nos postes Transistor, on écouta une voix que les Congolais de mon âge retiendront jusqu’à leurs derniers jours, c’est celle de Florent Ntsiba, Porte parole, tam-tam ronflant du Comité Militaire du Parti (CMP) nous donnant lecture de leur premier communiqué, un Comité qui vit ses jours nuitamment. Il fut composé de 11 membres. A la tête de celui-ci, Sassou Nguesso a placé un strapontin, quelqu’un qui ne recule pas devant le pouvoir et l’argent.
C’est le Général Joachim Yhombi Opango. C’est lui qui devrait d’abord réchauffer son fauteuil, le temps d’attendre que la fumée soit dissipée. En effet le cabinet du ministre de la Défense dirigé par le capitaine Florent Ntsiba, venant prendre son petit déjeuner à la cafétéria lâcha ce qu’aurait entendu le soldat Mouhounou qui, lui aussi prenait son petit déjeuner et qui faillit lui coûter sa vie à savoir : « nous lui laissons le pouvoir, mais nous ne lui laisserons pas le temps de s’asseoir ».
Mais qu’est ce qui s’est passé dans la longue nuit des longs couteaux où Sassou s’était bien mis dans son manteau du putschiste, de l’assassin, du meurtrier fieffé au service de la France, mais curieusement se refusa malignement de se jeter dans le fauteuil pour lequel, il venait d’assassiner son détenteur ?
Pourtant Sassou n’était pourtant pas le plus gradé de notre armée et curieusement, c’était lui qui distribuait les postes. C’était lui qui dictait l’attitude à tenir, à avoir. C’était lui qui imposa le nom de l’Institution qui pris naissance tout juste après l’assassinat du Président Marien Ngouabi (CMP).
C’était Sassou qui prenait les initiatives d’arrêter et de faire arrêter. Pourtant ce n’était pas lui à qui devrait revenir la prorogative d’initier la création d’un Comité militaire, puisque le Parti était là au complet, le Comité central également ainsi que toutes les autres Institutions. Sassou Nguesso venait de sortir de sa léthargie. Il commença à prospérer dans l’ambiguïté, dans le trouble, « il continuait à balayer et mettre la poussière sous le lit », sous une nouvelle forme incantatoire ; Sassou Nguesso devenait un mystère quand on cherchait à le comprendre. Il était désintéressé, pas assez ambitieux, complexé, vicieux, et dupliciste et un Sassou Nguesso très futé, machiavéliquement performant, malin ; différent de : « intelligent ».
Pourquoi le commandant Sassou Nguesso s’était-il placé en imposteur, en profiteur, en opportuniste s’il n’était pas le commanditaire, celui qui avait longtemps réfléchi sur le coup d’Etat ? Pourquoi avait-t-il pris le devant s’il n’était pas le commanditaire, l’assassin, le putschiste, l’initiateur du coup de force ? Mais alors pourquoi chercher des boucs émissaires chez les Bakongos ? Pourquoi c’est le Pool qui devrait payer les pots cassés ? Pourquoi cherchait-on des poux sur des têtes rasées des Bakongos ? Pourquoi alors que « ngazi dia bantsuini, lémina baka ba ntiétié » Pourquoi s’attaquait-on aux gens qui n’avaient rien à avoir avec le coup d’Etat, avec l’assassinat du Président Marien Ngouabi, une insoutenable déchéance de torture : morale et psychologique qui ressemblerait à une maltraitance morale d’une partie du peuple ?
N.B. Ce document circule sous le manteau au Congo et sur les réseaux sociaux. Nous le publions et partageons car il
donne des indications intéressantes et posent de bonnes questions.
DEVOIR DE MÉMOIRE :
42 ans se sont écoulés, depuis que les 10 condamnés à la peine capitale sur les 11 au procès dit : « Procès sur l’assassinat du Président Marien NGOUABI », sont assassinés ; sont « passés au petit matin ».
Il s’agit de :
1-DOUDY GANGA Jean-Pierre,
2-KINKOUBA Etienne,
3-SAMBA DIA NKOUMBI Dominique,
4-KIANGUILA Daniel,
5-KANZA Daniel
6-KOUBA Grégoire,
7-MIZELE Germain,
8-KONDA Albert,
9- DIANZENZA Pierre
10- SISSOULOU Simon.
Tous du Pool, s’il vous plait!
Et voir que nombre de citoyens ont oublié, des intellos tordus, hypocrites et traitres, pour amalgamer nuits et jours. Ecoeurant!
Mais on vous connaît parfaitement. Tôt ou tard…
43 ans de silence, de complicité et d’omerta. Tout cela pour protéger le dictatovirus et criminel multirécidiste Sassounguessovirus. Ces personnesinnocentes ont droit aujourd’hui d’être réhabilité. Car les vrais criminels sont connus. Hier c’est Florent Tsiba, l’homme des petits matins qui incriminait encore l’ex président Alphonse Massamba Débat avec comme seul argument, la lettre qu’il adressa au président Marien Ngouabi, le 3 mars 1977. Hier 25 mars 2020, ceux qui l’ont connu directement ou indirectement nous ont encore privés par le silence d’un texte avec des élements historiques dressant le portrait de ce président que les jeunes génerations ne connaissent pas assez bien. Voilà pourquoi je voudrais inviter la génération de nos grands parents et parents de mettre à notre disposition le profil de cet homme d’etat dont la violence des actuels dirigeants du Congo nous a privés de données fiables y compris de sa sépulcre.
CASTANOU: GRIOT PASTEURISÉ
La plupart des députés et sénateurs congolais sont agés de plus de 65 ans. Ils sont entrain de blaguer avec le COVID 19. Oui le diable s’endort au Congo. Vous allez bien voir. Le COVID 19 vient pour vous. En europe les hopitaux sont saturés, venez encore vous soigner ici. Les hopitaux congolais dépourvus d’alcool et de tout ne disposent même pas de masques respiratoires. Avec vos pathologies antérieures vos vies sont visiblement menacées. Nous avons voir d’ici le 15 avril comme le COVID 19 va blaguer avec vous. Vous qui soutenez ce systeme de sassou nguesso.
Au pays Congo ce confinement ne sert à rien car nous n’avons pas les moyens sanitaires, vous avez plus de chance de mourir de faim que de ce virus.
En ce qui concerne la pandemie du coronavirus, la seule différence entre les pays riches et les plus pauvres comme le Congo, c’est qu’il n’existe aucune structures hospitalieres permettant d’accueillir les cas graves pour tenter de les sauver. Meme dans ces pays riches ils ne possedent pas le remède miracle mais simplement des respirateurs pours tenter de limiter la casse. Le confinement n’arrete pas le virus, il ralenti seulement sa progression et toute la population sera touchée, seul les plus agés et malades ont un risque pour leur vie.
Alors n’ayez pas peur chers compatriotes (au pays) profitez de cette occasion pour vous organiser et provoquer des actions contre tous les pourris de ce régime mafieux. La force publique qui a plus peur que vous de ce virus ne sera pas tres nombreuse à accepter de se répandre sur le terrain.
Ingeta