Conférence de presse de M. Pascal Tsaty Mabiala : Propos liminaire

 

18 thoughts on “Conférence de presse de M. Pascal Tsaty Mabiala : Propos liminaire

  1. A Pascal Tsaty Mabiala je m`adresse.
    La section numero 1 dans votre article est tres interressant sur ce qui concerne l`exècution du programme du FMI, de conduire les affaires de l`Etat pendant une pèriode dèterminèe.

    C`est une seule condition qui est la suivante:
    Accordez nous d`abord l`attestation d`enregistrement du parti politique DNK/Bantu (Developpement National Kongo/Bantu). Si cette attestation d`enregistrement est accorder, je vais vous faire une demonstration sur comment faire sortir la nation Congolaise de la crise èconomique qui cause la pauvretè et dètruit les habitats de plusieurs personnes dans la nation.

    Je fais parti d`une nation qui pratique des notions et methode politique qui les place parmis les meilleurs dans le monde entier.
    Si vous êtes vraiment sincère. Je vous le dis tres bien que la transparence laquelle le FMI a besoin sur la gestion nationale du Congo Brazzaville, pour moi c`est une petite tâche à remplir. Après le Congo ne sera plus dependant du FMI sur le plan èconomique, parce que le Congo deviendra èconomiquement indèpendant. Vous pouvez me contactè par e-mail. A bon entendeur…

  2. Mr Tsaty Mabiala pouvait bien économiser ses idées pour lui et son mentor Sassou Nguesso. Il n’ y a pas de différence d’approche du Congo entre ce que fait l’autoproclamé président de la republique bananière du Congo et son approche à lui de la meme réalité da ladite république bananière. Accepté d’ètre nommé par un non président chef de l’opposition, c’est dejà une entorse grave à la democratie.Et participer à démolir le Congo en accompagnant un président illégitime c’est ètre simplement complice des malheurs du congo et des congolais. Qui di sassou nguesso dit tsaty mabiala. Autrement dit le tabac de la meme pipie.

  3. FOUNI YA MAMA YA NGUE JE REPET FOUNI YA MAMA YANGUE tu n’entends pas ou quoi ? LIBOLO YA MAMA NA YO continuer à nous prendre pour des cons vous croyez qu’on a pas pigé votre jeu kolelas et toi MBOULA ZA BA MAMA ZENO

  4. POURQUOI LE TYRAN SASSOU NGUESSO N’EST PLUS QUE L’OMBRE DE LUI-MEME ET LA FIN DE RÈGNE INÉVITABLE?
    Historiquement et de par le monde, les dictatures politiques ont eu toujours fonctionné de la même façon: la privation des libertés fondamentales à leurs sujets ; Mais celle qui sévit actuellement au Congo-Brazzaville est atypique.
    En effet, en plus des mêmes modes de fonctionnement tyranniques précités, celle de Sassou Nguesso ne cesse de briser abusivement des vies et de fracasser tout un pays et n’oubliant pas les écosystèmes urbains, ruraux et naturels du peuple congolais.
    Par conséquent, la dictature de Sassou Nguesso est désormais fichée comme la plus féroce du continent noir en ce début du XXIe siècle et jusqu’à combien de temps va-t-elle encore tenir au regard des indicateurs sociopolitiques, socioéconomiques, humanitaires et existentiels au rouge sur différentes échelles: individuelles, locales, régionales, nationales et des diasporas ?
    Pour info, on ne combat pas une dictature quel qu’elle soit – par des émotions, ni par l’effet d’appartenance. On l’a combat que par la raison, l’esprit critique, la conscience au dessus des émotions et de l’appartenance.
    Au coeur des enjeux, les problématiques sociétales et civilisationnelles relatives aux libertés fondamentales, aux droits fondamentaux, au caractère sacré de la dignité humaine, à la justice, au devoir de mémoire et au but même de la condition humaine (sociale) et voire existentielle (écologique). https://www.youtube.com/watch?v=kFALFroqlqU&feature=youtu.be

  5. LE PARTI CONGOLAIS DU TRAVAIL (P.C.T) ET SON CONGRÈS

    RAPPELS HISTORIQUES ET L’OCCASION MANQUÉE

    1) RAPPELS
    Au cours des premières années de pouvoir, MARIEN NGOUABI rompt avec ses frères d’armes qui voulaient un changement d’orientation politique dans le pays. C’est en 1969 qu’il se rapproche de jeunes « révolutionnaires des tropiques » et socialistes du M.N.R (Mouvement Nationale de la Révolution). Il prône le modèle soviétique et entreprend la « CONSTRUCTION D’UNE SOCIÉTÉ SOCIALISTE » (sic) au Congo-Brazzaville.
    Et c’est au cours de cette même année qu’il se heurte à la fronde de ses anciens Frères d’armes et à des tentatives de déstabilisation. Il crée une cour révolutionnaire de Justice pour juger ces « contre-révolutionnaires ». Cette cour révolutionnaire dirigée par Simon-Pierre NGOUONIBA-NSARI, secondé par CHRISTOPHE MOUKOUÉKÉ, condamne les Officiers MOUZABAKANI, KINGANGA (en fuite à Kinshasa). MOUZABAKANI est condamné aux travaux forcés à perpétuité en juillet 1969.
    Déjà le 19 Juin 1969, le capitaine KIKADIDI, FOUETI et 17 personnes sont arrêtées pour tentative de coup d’État en faveur de l’ancien Président MASSAMBAT DÉBAT. Ils sont condamnés et le capitaine KIKADIDI est radié de l’Armée. En octobre 1969, le Président MASSAMBAT-DÉBAT et ses anciens collaborateurs sont arrêtés. La cour révolutionnaire les acquittera mais seront interdits de toute activité politique et sortie du territoire (durant deux ans).
    Le 14 Novembre 1969, une cour martiale condamne BERNARD KOLÉLAS à la peine de mort, ainsi que trois de ces complices. Deux semaines plus tard, la cour révolutionnaire confirmera la peine de mort mais cette sentence ne sera pas exécutée.
    MARIEN NGOUABI n’assume pas toutes les fonctions dévolues au chef de l’État, il hésite et sur le fonctionnement de l’État, il s’appuie sur ALFRED RAOUL, puis sur Maître MOUDILÉNO-MASSENGO. Ce dernier remplacera ALFRED RAOUL à la Vice –présidence du Conseil d’État sans être au Bureau Politique du P.C.T (fondé par MARIEN NGOUABI le 31 Décembre 1969). Maître MOUDILÉNO-MASSENGO va souvent voyager pour représenter le Congo à l’étranger et dans les grandes conférences internationales.
    C’est dans ce climat mêlant frondes et enthousiasme « révolutionnaire » que MARIEN-NGOUABI lance le Congrès constitutif du PARTI CONGOLAIS DU TRAVAIL (P.C.T), du 29 au 31 Décembre 1969, « Parti Unique d’avant-garde, d’idéologie marxiste-léniniste ». La rédaction des statuts est confiée à CLAUDE ERNEST NDALLA et MOUNGOUNGA NKOMBO NGUILA. La nouvelle Constitution est promulguée lors de ce Congrès. La République du Congo-Brazzaville devient République populaire du Congo. Le Drapeau tricolore (Vert-Jaune-Rouge) est remplacé par le Drapeau rouge des « révolutionnaires », avec une houe et un marteau jaunes entrecroisés, entourés de deux palmes vertes. L’hymne national LA CONGOLAISE est un nouvel hymne LES TROIS GLORIEUSES.
    MARIEN NGOUABI est investi à la tête du Parti et de l’Etat pour cinq ans, le 7 Janvier 1970.

    Il nomme ALFRED RAOUL Vice-président du Conseil d’ÉTAT et la Mise en Place d’un BUREAU POLITIQUE de HUIT MEMBRES est effective :
    • Président du Comité Central, Président de la République, Président du Conseil d’État : MARIEN NGOUABI
    • Premier secrétaire du C.C, Chargé de l’Organisation : CLAUDE ERNEST NDALLA
    • Deuxième Secrétaire du C.C, Vice-Président du Conseil d’État : ALFRED RAOUL
    • LES MEMBRES : PIERRE NZE : Chargé de la PROPAGANDE ; ANGE DIAWARA : Chargé du développement, Premier commissaire politique à l’Armée Populaire Nationale (APN) ; EDOUARD POUNGUI : Chargé des finances et matériels ; JUSTIN LEKOUDZOU : Chargé des entreprises d’État ; KIMBOUALA NKAYA : Chargé des activités économiques dans l’APN Deuxième commissaire politique à l’APN.
    • La fronde de ses anciens frères d’armes continue : le 23 Mars 1970, le lieutenant KINGANGA en exil au Congo-Kinshasa débarque à Brazzaville et tente de renverser le régime NGOUABI. Sa tentative échoue, KINGANGA et ses amis sont exécutés, exposés longtemps devant l’immeuble de la radio. Trois présumés complices du lieutenant KINGANGA, MIAWOUAMA, NKOUTOU, MENGO sont condamnés par une cour martiale et sont exécutés une semaine plus tard.
    • MARIEN NGOUABI donne un nouvel « élan », à la suite de cette tentative de renversement de régime, à sa « construction d’une société socialiste » au Congo-Brazzaville. Du 30 Mars au 1er Avril 1970, le P.C.T sous l’égide de son Président MARIEN-NGOUABI lance SON PREMIER CONGRÈS EXTRAORDINAIRE : le Bureau Politique est élargi à 10 Membres. Ce bureau enregistre la rentrée tonitruante d’AMBROISE NOUMAZALAYI au poste de Deuxième Secrétaire du Comité Centrale (C.C), chargé de la Communication et du Plan et du Capitaine DÉNIS SASSOU, chargé de la Coordination avec les organisations des masses.
    • La chasse aux « contre-révolutionnaire » se poursuit et l’ancien ministre STEPHANE-MAURICE BONGO-NOUARRA est arrêté le 29 Août 1970 et condamné à 10 ans de travaux forcés. À force de se dire que la « révolution » est menacée, ces « révolutionnaires des tropiques » du P.C.T, ayant plusieurs modèles socialistes à leur portée, commencent à mettre à mal le modèle choisi par le président du C.C. L’aile dite de « gauche » avec NOUMAZALAYI, NDALLA, DIAWARA, KIMBOUALA-NKAYA, COMBO-MATSIONA, BONGOU, ASSOUA, MBERI MARTIN…, dénonce le laisser-faire du Président du C.C, mettent en doute ses compétences idéologiques et surtout sa gestion ethnique du Pouvoir.
    • La session extraordinaire du Comité Central, du 27 au 31 Décembre 1971, tourne au « pugilat » politique de ces « révolutionnaires des Tropiques ». Chacun défend son modèle socialiste : cubain, chinois, hongrois. Les premières exclusions du Comité Central du PCT sont prononcées depuis la fondation : COMBO- MATSIONA, NDALLA, ALFRED RAOUL. Le Bureau politique est réduit à 5 membres, au Conseil d’état : Maître ALOÏSE MOUDILÉNO-MASSENGO remplace ALFRED RAOUL.
    • Les contradictions issues de la session extraordinaire du Comité Central du 27 au 31 Décembre 1970 s’approfondissent et les « révolutionnaires » du P.C.T se regardent en chiens de faïence. Sous les tropiques, le « centralisme démocratique » est dévoyé, mal compris et n’est plus accepté par ces « révolutionnaires » d’une révolution introuvable. Ils se divisent en deux courants. Le PCT connait sa première grande secousse : affaire dite « DIAWARA », le 22 Février 1972 : tentative de putsch qui entraine plusieurs morts (MATOUMPA-MPOLO, ITSOUHOU, FRANKLIN BOUKAKA) et l’arrestation de plusieurs « révolutionnaires » (LISSOUBA, NOUMAZALAYI, NDALLA, BONGOU, KIMBOUALA-NKAYA, ASSOUA, ATONDI-MOMONDJO, MOUNDÉLÉ-NGOLO, NZAMBILA…). Les conjurés qui parviennent à s’échapper, organisent un maquis à quelques kilomètres de Brazzaville (NGOMA TSÉ-TSÉ). La cour martiale prononce 23 condamnations à mort (DIAWARA, NOUMAZALAYE, NDALLA, BONGOU, IKOKO, KIMBOUALA-NKAYA, JEAN PIERRE ASSOUA, NDEBEKA, ATONDI-MOMONDJO …).
    • Le Président du Comité Central du PCT, MARIEN NGOUABI, se pose des questions sur les difficultés rencontrées à mettre en mouvement sa « construction d’une société socialiste » au Congo. Il convoque une Conférence nationale en Juillet 1972, chargée de réfléchir aux grandes orientations du pays. Il invite à cette occasion des membres de l’Association des ÉTUDIANTS CONGOLAIS (AEC), venus de France.
    • Le climat de terreur qui règne après ce putsch manqué et les palinodies de ces « révolutionnaires » du PCT pousse Maître MOUDILÉNO-MASSENGO a démissionné avec fracas en Août 1972. Il est remplacé à la vice-présidence du Conseil d’État par EDOUARD POUNGUI. Le Président MARIEN NGOUABI pense être sur la bonne voie pour réaliser son chantier de bâtir une nouvelle société socialiste au Congo. Mais il ignore que la « rampe de lancement » de son projet socialiste, c’est-à-dire le P.C.T, n’est plus qu’un gîte d’opportunistes. Ce parti unique est devenu la voie unique des militants ripoux pour progresser et certains responsables en font un instrument de domination des cadres « rouges » du Nord du Congo. Marien NGOUABI devient comme un héros qui navigue dans les eaux troubles du fleuve Congo c’est-à-dire entre ses convictions « marxistes » et le soutien des populations, des élites du Nord du pays. Il n’y a plus de débats idéologiques approfondis au sein du PCT et le camarade « Président du C.C » s’entoure des cadres « rouges » qui n’ont que des vagues notions de la théorie marxiste mais il continue à mobiliser ses militants pour son projet socialiste.

    • Les actions que MARIEN NGOUABI entreprend pour redynamiser son projet socialiste ne produisent pas de résultats significatifs. Elles permettent juste à MARIEN NGOUABI de garder les « clés » de son chantier et du P.C.T (Le Parti dirige l’État). Les initiatives suivantes ne changent rien au déclin de son système :
    • Exhibition des cadavres de DIAWARA, IKOKO, BAKÉKOLO et leurs compagnons au cours d’un meeting populaire au Stade de la Révolution le 24 Avril 1973. Le système NGOUABI est vermoulu : un vers l’avait rongé dès le 1er Congrès extraordinaire du PCT
    • Le 24 juin 1973 : élaboration d’une nouvelle Constitution lors du deuxième Congrès extraordinaire du P.C.T : rétablissement de l’Assemblée nationale ; un gouvernement dirigé par un premier ministre et un Conseil d’état qui comprend 5 membres du Bureau Politique et 5 Membres de l’Assemblée nationale.
    • Le PCT tient son deuxième Congrès ordinaire. MARIEN-NGOUABI est reconduit pour 5 ans à la présidence du PCT et de l’État (« à l’unanimité »), en Décembre 1974
    • En 1975, le doute gagne les militants du P.C.T, certains ne croient plus à sa capacité de redresser le pays et l’opinion est perplexe. La direction du PCT reconnaît l’incompétence et l’inconscience de ses cadres « rouges et experts ». Une nouvelle vague d’exclusion est lancée, sont donc exclus : YHOMBI-OPANGO, MARTIN MBÉRI, PIERRE NZE, ANATOLE KONDHO, JEAN-JULES OKABANDO et le Bureau Politique est dissous.
    • Le 12 Décembre 1975 : Mise en place d’un État-Major Spécial Révolutionnaire composé de MARIEN NGOUABI, JEAN-PIERRE THYSTÈRE- TCHIKAYA, DÉNIS SASSOU, LOUIS SYLVAIN NGOMA et JEAN-PIERRE GOMBE. Mais rien ne marche, les difficultés économiques resurgissent : chute de la production de Pétrole, problèmes dans les mines de potasse de HOLLE, incursions des indépendantistes cabindais du FLEC pour saboter le chemin de fer congolais (CFCO).
    • Les membres du PCT victimes de « la radicalisation », exclus du Comité central se posent maintenant des questions sur la ligne suivie par le Président fondateur de leur Parti. Ils tentent de reprendre la main, avec l’aide du syndicat unique affilié au PCT et certains jeunes de l’UJSC, ils déclenchent une grève générale pour réclamer la réhabilitation du Comité Central.
    • Le 19 Mars 1976, L’HÉLICOPTÈRE DU PRÉSIDENT MARIEN-NGOUABI S’ÉCRASE DANS LA FORÊT. Durant cinq jours, l’État- Major Spécial Révolutionnaire est sans nouvelles du Président et de ses invités : le professeur DIAMOND et l’homme d’affaire NICOLOSO. Ils ont dû parcourir à pied une grande partie de la forêt septentrionale avant d’atteindre OWANDO. Lors de ce crash, il perd ses deux amis.
    • Du 20 au 27 Novembre 1976 : Tenue de la première Conférence nationale du Parti, destinée à préparer les assises du prochain Congrès Extraordinaire.

    • MARIEN-NGOUABI continue de « marcher sur la voie de la construction d’une société socialiste » au Congo. Les congolais voient de plus en plus les limites de cette construction. L’édification d’une société socialiste au Congo ne se révèle pas une franche réussite. Il veut organiser la société congolaise en suivant les thèses du socialisme scientifique ce qui a eu des conséquences désastreuses sur le fonctionnement de l’État. Le Parti PCT dirige l’État mais ces dirigeants ne comprennent rien au marxisme-léninisme. Ces membres du P.CT privilégient l’enrichissement et le détournement des deniers publics.

    • Le Président MARIEN NGOUABI commence à se poser des questions sur les choix des dirigeants du parti et se demande comment relancer la machine PCT.

    • Et c’est ce moment que choisi l’ancien Président MASSAMBA-DÉBAT pour écrire à son successeur MARIEN-NGOUABI. L’ancien président lui demande de démissionner car la gravité de la situation du pays l’impose.
    • Une rencontre entre les deux Présidents est annoncée pour le 3 Mars 1977 : deux hautes personnalités politiques se rencontrent pour parler des problèmes du pays.

    2) OCCASION MANQUÉE :
    Les pontes du P.C.T, les Intellectuels et Cadres de la « même contrée biologique » (sic) que MARIEN NGOUABI le somment d’arrêter MASSAMBA DÉBAT, et tout de suite. Ils ne voient pas l’importance de cette rencontre entre le nouveau et l’ancien Chef d’État.
    Pour eux, une seule chose est importante : Le POUVOIR DU NORD et DÉMISSIONNER, c’est ramener le Sud au Pouvoir. Le Sud qui va se venger, vu le mal que ses cadres « rouges et experts » ont fait au Sud depuis le 31 Juillet 1968.
    Oui, tout le monde, autour de MARIEN NGOUABI, veut que MASSAMBA DÉBAT soit immédiatement arrêté après sa lettre audacieuse au Président MARIEN NGOUABI. La presse (ÉTUMBA, Le COMBATTANT ROUGE, La VOIX DE LA RÉVOLUTION) le souligne publiquement. MARIEN NGOUABI ne veut pas jeter en prison celui qu’il n’avait pas emprisonné en prenant le pouvoir le 31 Juillet 1968.
    Il y a eu des ratages dans l’histoire du P.C.T mais la rencontre des deux Chefs d’État en mars 1977 devait être un évènement majeur pour le P.C.T, et occupée une place à part. MARIEN NGOUABI vient de constater que le Congo est au fond du gouffre. Après plusieurs tentatives de redynamisation de son Parti, MARIEN NGOUABI défend l’idée que la succession d’échecs de son Parti indique qu’il y a un problème fondamental et qu’il faut mettre à plat toute la question de la « construction d’une société socialiste » au Congo. Cette remise à plat de la question, il compte le faire avec tous les Congolais, il commence donc par son prédécesseur, ALPHONSE MASSAMBA DÉBAT.
    Pour lui, il faut donc d’une façon ou d’une autre transformer, améliorer, rénover ou refonder son Parti, le PCT. Mais ses frères d’armes de la direction politique du PCT et certains membres du P.C.T, originaires de la « cuvette-mère » (1) n’acceptent pas cette idée de remise à plat du parti et surtout cette rencontre avec l’ancien Président. Ils choisissent de conspirer contre MARIEN NGOUABI. Il est seul contre tous. Ces conjurés des premières heures contre MARIEN NGOUABI vont créer des associations pour masquer leurs mauvaises intentions (Association des amis d’OWANDO, de BOUNDJI, de la cuvette, de GAMBOMA…). Ces « faux frères » du Président MARIEN NGOUABI vont aussitôt lancer la rumeur de la démission de MARIEN NGOUABI et pour eux, il veut ramener le SUD au pouvoir. MARIEN NGOUABI, FONDATEUR DU P.C.T SE RETROUVE SEUL DEVANT TOUS CEUX QUI MURMURENT : « MIEUX VAUT QU’UN SEUL D’ENTRE NOUS MEURE QUE NOUS TOUS ».
    Seul devant tous les siens, MARIEN NGOUABI dira et maintiendra la Phrase suivante : « SI TON PAYS MANQUE D’UNE PAIX DURABLE, LE SEUL MOYEN DE LA LUI RENDRE, C’EST DE LE LAVER AVEC TON SANG ». (08 MARS 1977, 10 jours avant son assassinat)
    « LAVER AVEC TON SANG » c’est-à- dire donner ta vie, te sacrifier, aller jusqu’au bout de ce que tu considères comme la voie de dernière salut devant un drame.
    Les Conjurés des premières heures contre MARIEN NGOUABI, tous membres de son parti, considèrent la rencontre MARIEN NGOUABI – MASSAMBA DÉBAT comme une anomalie. Ils ne voient pas que cette rencontre des deux Chefs d’État devait être une occasion de trouver les ressources pour penser les conditions d’un rebond, d’une renaissance du Congo-Brazzaville.
    LE SEUL REGRET DES PATRIOTES C’EST QUE CETTE RENCONTRE N’EST PAS ÉTÉ MISE EN EXERGUE DEVANT TOUTE LA NATION ET QUE LA LETTRE DE L’ANCIEN PRÉSIDENT MASSAMBA-DÉBAT ÉTAIT AUDACIEUSE. CE QUI A PERMIS AUX CONJURÉS DE PREMIÈRES HEURES CONTRE MARIEN NGOUABI DE PRÉPARER LES ASSASSINATS DES DEUX PRÉSIDENTS ET DU CARDINAL ÉMILE BIAYENDA.

    MARIEN NGOUABI ne sait pas que son fruit c’est-à-dire le P.C.T est vermoulu. Un vers dans le fruit (P.C.T) depuis le 1er Avril 1970 au Bureau Politique (date du 1er CONGRÈS EXTRAORDINAIRE DU PCT) comme le souligne son camarade JUSTIN LEKOUNDZOU ITIHI OSSETOUMBA, Membre du Bureau Politique du PCT à sa fondation, ancien Ministre de la Défense, Ancien Secrétaire général du P.C.T dans sa part de Vérité : « AUCUNE CRISE NE S’EST PASSÉE AU CONGO DE 1969 À CE JOUR SANS QU’IL N’Y SOIT IMPLIQUÉ, SOIT DIRECTEMENT, SOIT INDIRECTEMENT. MÊME LORSQUE LE CONFLIT OPPOSAIT LE PRÉSIDENT LISSOUBA À MONSIEUR BERNARD KOLELAS, LE PRÉSIDENT DÉNIS SASSOU-NGUESSO ÉTAIT TOUJOURS IMPLIQUÉ ».
    Les Conjurés des premières heures contre MARIEN NGOUABI ont crié haro sur le Président MARIEN NGOUABI après sa rencontre avec le Président MASSAMBA-DEBAT, ils ont décidé de le trucider (2) et ces sanguinaires du 18 Mars 1977 sont devenus, aujourd’hui, des grosses grenouilles, des « MPANGOU » (3). Ces grosses grenouilles « semblent attendre que la boue les recouvre totalement de son lourd linceul » (sic). En 1977, silence absolu, comme si tous ces Intellectuels, Hommes politiques et Cadres « rouge et experts » du P.C.T rendaient grâce à SATAN devant la belle solution qui venait d’emporter le Président fondateur du P.C.T, MARIEN NGOUABI.

    À SUIVRE…

    Dieudonne Nanit

    1. CUVETTE-MÈRE : Région de la cuvette (Congo-Brazzaville), c’est ainsi que certains lettrés de cette région appellent cette région.
    2. Trucider : Tuer,massacrer
    3. « MPANGOU » : Les « MPANGOU », ce sont les grosses grenouilles qui se tiennent souvent muettes, tantôt au bord des mares, tantôt dans la boue de celles-ci. Quand elles se décident à chanter, leur voix fait penser à des êtres très fatigués, désabusés, déçus. Des lourdes voix qui semblent ne rien dire.

  6. Mr TSATY MABIALA,

    Faites une chose qui vous donnera un peu de crédibilité et vous attirera un peu de sympathie de la part de vos compatriotes : DECLAREZ VOTRE PATRIMOINE . Ce geste vous différenciera de vos collègues politiques qui hésitent mais seront contraints de vous emboiter le pas. Faites-le et vous verrez que cela vaut aussi son pesant d’or. Il faut des gestes forts pour convaincre, vous le savez très bien. On vous regarde.

  7. L`affaire de la kleptomanie laquelle Global Witness à dèja prèsentè les enquêtes, contre Christel Sassou Nguesso et Claudia Sassou, sera aussi mise en pratiique. Les consequences sera des arrestations. Nous voulons etablir une vèritable etat de droit. A bon entendeur…

  8. éclairssissement : ntsatou mabiata pascal = kélela gay imparfaite = 8% takou & pct Nazi ( YA VANDA CLAIR !!!)

    @ ntsatou mabiata pascal ( le « chef » de « l’opposition » « politique » Con-golaidse NOMMÉE par takou & apparenté au pct Nazi )

    MBOULA ZA BA MAMA ZENO !!!!! MBOULA A BA MÂMÂ BÉNO !!!!!! LOKOSSO !!!!
    NGUÉ MÉ mabialisé UPADS !! UPADS MÉ COUMA KÂ pct !! NGUÉ MÉ TÉKISSA UPADS NA pct na takou ! MBOULA MÂMÂ GUÉ !
    OPPOSITION YA TSATOU !!!
    NI KOU BANDAMANE NIAMA !
    CA DIAKA BO YENDENO LA LOMBA MBONGO KOU kolela !!!
    BIKENO BOUYALA !!!
    MBOULA ZA BA MAMA ZENO !!!
    MBOULA ZA BA MAMA ZENO KOUA LOU WIRI ? PAUVRE CONS ! PAUVRE LARBIN DE TON NOMMEUR TAKOU !
    MBO TOU LOU MANISSA !
    MAYEZA MÂ TSATOU !!! LOUKOSSO ! MENDIANTS P R I M I T I F S !!!
    NGUÉ MPÉ KIDONGO KOUA TIÉ ! NGUÉ MPÉ MBENDÉ KOUA YÉ ! ZOBA !!!
    MBOULA ZABA MÂMÂ ZÉNO GUÉ NA kolela gay imparfait ! CA TIA YENDA DILA COU takou !
    MBOULA ZA BA MAMA ZÉNO COUA LOU WIRI?
    TALA NSTATOU YE NACOU FAUTE YA BA CONGOLAIS ????? YENDA DINGA BISSALOU WA SALA ! MBOULA MAMA A BÉNO GUÉ NA kolelas gay imparfaite ! PRIMITIF LOuKOSSO TOUVI NA TOUVI !
    KIBORDEL NA BOU PD A BOUÉNO NA LE NIBOLAND VÉ NGUÉ MÉ COU WA ???? MBOULA A BA MAMA BÉNO !!!

  9. POURQUOI L’OGRE DE L’ALIMA SASSOU NGUESSO ET ANTOINETTE TCHIBOTA EN ABUSENT T-ILS DU MOT  » PAIX « ?

    Historiquement et de par le monde, les dictatures politiques ont eu toujours fonctionné de la même façon: la privation des libertés fondamentales à leurs sujets ; mais celle qui sévit actuellement au Congo-Brazzaville est atypique.
    En effet, en plus des mêmes modes de fonctionnement tyranniques précités, celle de Sassou Nguesso ne cesse de briser abusivement des vies et de fracasser tout un pays et n’oubliant pas les écosystèmes urbains, ruraux et naturels du peuple congolais.
    Par conséquent, la dictature de Sassou Nguesso est désormais fichée comme la plus féroce du continent noir en ce début du XXIe siècle et jusqu’à combien de temps va-t-elle encore tenir au regard des indicateurs sociopolitiques, socioéconomiques, humanitaires et existentiels au rouge sur différentes échelles: individuelles, locales, régionales, nationales et des diasporas ?
    Pour info, on ne combat pas une dictature quel qu’elle soit – par des émotions, ni par l’effet d’appartenance. On l’a combat que par la raison, l’esprit critique, la conscience au dessus des émotions et de l’appartenance.
    Au cœur des enjeux, les problématiques sociétales et civilisationnelles relatives aux libertés fondamentales, aux droits fondamentaux, au caractère sacré de la dignité humaine, à la justice, au devoir de mémoire et au but même de la condition humaine (sociale) et voire existentielle (écologique).

    POURQUOI L’OGRE DE L’ALIMA SASSOU NGUESSO ET ANTOINETTE TCHIBOTA EN ABUSENT T-ILS DU MOT  » PAIX « ? EXPLICATIONS: https://www.youtube.com/watch?v=Ik5cvjXcazY

  10. @ Cette chose la de tsaty pascal mabiala : Vous croyez que le Peuple Congolais est idiot c’est ça? Hô mais attendez !!! nous vous en faisant la promesse que le jour J toi, le petit PD de kolela, les mbéri martin, moungala thierry le petit zizi, mounari, bowao, dzion mathias, moukouéké, silou, timabéléla, mampouya ellot, mvouba, adélaïde et toute votre bande nous allons vous traquer partout ou vous irez vous cacher et justice sera rendu en vous interdisant de faire la politique ! bande de chien galleux que vous êtes ! On va vous vendre chez les bouroundais !!! Vous rendrez tous des comptes au vrai Peuple Congolais ! Bouffon va ! inguéta

    1. @ Dodé Makélélé :

      Rassurez-vous que c’était déja en cours ! Mais toutefois lorsque des enculés affamés homosexuels matcho du genre de mabiala pascal tsaty exibent leur prostitution, il faut les remettre à leur place ! Bonne comprehension

  11. DNK/Bantu (Developpement Nnational Kongo/Bantu).

    Nous sommes tres capable pour resoudre le probleme èconomique qui cause la pauvretè èconomique parmis les habitants du Congo Brazzaville. Accordez nous seulement l`attestation d`enregistrement de notre parti politique DNK/Bantu ainsi nous allons commencer le travail. En janvier 2020, je vais encore envoyer les documents de notre partii politique à un certain monsieur pour nous accorder l`attestation d`enregistrement qui va nous permettre d`accomplir des taches sur le plan national du Congo Brazzaville et international.
    A bon entendeur…

  12. Que ntsatou mabiala revoie son logiciel mental pour le coller aux réalités congolaises .
    La présidentielle est un leurre et une arnaque nationale.

  13. Que Ntsatou sache que l’avenir du pays ne passe pas nécessairement par une élection présidentielle au Congo Brazzaville..
    Le développement d’un pays n’est pas consubstantiel à un président de la république.
    Le contraire nous aurait alerté..
    Ces vieux schémas de pensée politique ne répondent plus aux souhaits des peuples opprimés..
    Nous devons penser par nous-mêmes ,pour nous-mêmes..
    Merci.

Répondre à mabokè Annuler la réponse.