FMI-Congo-Brazzaville : Le gouvernement confirme évidemment sa percée vers Mpemba !

Signé tambours battant le 11 juillet dernier, pour avoir surpris presque tous les observateurs, en raison, à la fois, de plusieurs ratés sur un peu plus deux longues années de négociation, et de l’incurie chronique et notoire du régime, l’accord FMI-Congo Brazzaville, d’un montant de 448,6 millions de dollars sur trois ans, au regard du premier rapport de la mission de contrôle, quelques quatre mois après, accuse, manifestement, avoir du sable dans le réservoir. Il fallait s’y attendre…

« Les autorités ont indiqué que les décrets d’application nécessaires pour rendre opérationnelles la nouvelle Haute autorité de lutte contre la corruption et la Commission nationale de transparence, qui étaient prévus initialement en septembre, seraient approuvés en novembre », peut-on lire, entre autres, dans le lot d’une quinzaine de remarques faites par le premier rapport publié hier 6 novembre, après ce que le journal Le Point avait si bien décrit dans sa parution du 13 juillet 2019, comme « Un accord qui fera date », signé le 11 juillet dernier, entre le Congo-Brazzaville et le Fonds Monétaire International.

Faut-il en ricaner ou en pleurer ! S’en étonner ou le comprendre ! S’en émouvoir ou s’irriter !
On aura noté, par le conditionnel utilisé, le scepticisme ou le sarcasme de la mission du Fonds ! Un peu plus de deux ans de négociation n’auront pas permis aux autorités congolaises d’anticiper, de préparer les textes de mise en œuvre du programme ! Malgré des précédents connus dans le pays et dans le continent ! Dénotant ainsi, et sans étonner, soit l’incompétence permanemment observée, soit un ‘bureaucratisme’ à faire pâlir feu Michel Crozier, l’éminent sociologue et universitaire français pourfendeur des « phénomènes bureaucratiques »

Sans l’ombre d’un doute, et pour ceux qui connaissent le marigot socio-politique et économique congolais, le prétexte des « décrets d’application… », en attente d’élaboration ou d’approbation, constitue une astuce classique de la kleptocratie congolaise, surtout quand ceux-ci sont relatifs à la rationalité et à l’orthodoxie financière. Il suffit, pour s’en convaincre, de rappeler que bien avant le recours au FMI, et ses exigences, les différentes lois fondamentales congolaises, depuis le début des années quatre-vingt-dix, mentionnaient l’impératif pour tous les titulaires des hautes fonctions de déclarer leurs biens, avant et après exercice. Malgré les rappels perpétuels et solennels de l’opposition à cet égard, y compris Sassou-Nguesso alors dans cette situation au printemps 1997 dans le fameux ‘Mémorandum de l’opposition’, l’entrée en vigueur de cette mesure pour le moins importante pour la probité des personnels concernés a toujours été renvoyée à un dispositif complémentaire, jamais intervenu, jusqu’en …2019, soit presque vingt-deux ans après son retour criminel au pouvoir, et quelques mois seulement avant la signature de l’accord avec le FMI ! Autrement dit, moins que la raison invoquée des décrets d’application des deux organes majeurs que constituent la Haute autorité de lutte contre la corruption et la Commission nationale de transparence, la raison fondamentale à ce blocage réside dans l’extraordinaire embarras que posent lesdits organes dans un pays gangrené, depuis toujours, par le pillage massif et décomplexé des deniers publics et la corruption. Le FMI et les différents partenaires du Congo en sont conscients puisque, préventivement, et à plusieurs reprises, ils n’ont cessé de rappeler cette lourde défaillance et ses conséquences. Ainsi, dans son communiqué du 19 avril 2018 notamment, l’institution de Bretton Woods notait-il que « L’économie congolaise souffre… des défis importants liés à la gouvernance…il ne faudrait pas que les autorités du Congo en restent au stade des intentions… [et que pour] traduire en action la rupture avec les politiques et pratiques du passé… [devraient être engagées] des réformes audacieuses et immédiates dans le domaine de la gouvernance », parmi lesquelles, justement, la mise sur pied de la Haute autorité de lutte contre la corruption et la Commission nationale de la transparence. De passage à Brazzaville, le 13 avril de la même année, à l’occasion de la réunion des ministres des Finances de la zone franc, Bruno Le Maire avait déjà abordé dans le même sens : « La France est prête à apporter une aide de 135 millions d’euros à la République du Congo, sous réserve que le Congo conclue son programme avec le FMI. C’est comme ça qu’on apportera de la visibilité au programme de désendettement … ».

Très loin d’un détail, cette problématique de la transparence et de la corruption est en réalité au cœur du règne de Sassou-Nguesso, de sa gestion du pouvoir, et s’était déjà posée avec acuité lors de son premier séjour brutal et par effraction au pouvoir, entre 1979 et 1992. Mais elle a toujours été éclipsée sous le couvert des mêmes et exclusives causes exogènes que sont la dévaluation du prix du baril de pétrole (et du dollar en 1984-85). Sans que jamais il ne réussisse à faire aboutir les négociations avec les institutions financières internationales, de façon loyale. L’on ne peut, ainsi, ne pas manquer de s’étonner de la complaisance de ladite institution, puisqu’elle dispose, forcément, de son casier financier international, qui explique que, préalablement à l’accord, elle faisait déjà état « des risques considérables » liés à plusieurs affaires de corruption compromettant le dictateur et sa famille à l’international, à de nombreux contentieux financiers, à des créances effarantes de plusieurs acteurs financiers internationaux sur le Congo, mais aussi à l’occultation de dettes faramineuses, à l’endroit de la Chine principalement. C’est, certainement cela aussi, qui explique l’empreinte visiblement sarcastique qui ressort de la remarque du début, relative au décret d’application en attente, dont les agents du FMI ne sont pas dupes, comme pour dire que les dirigeants congolais sont incorrigibles, et indignes de confiance. Puisqu’en vérité, ces institutions que sont la Haute autorité contre la corruption et la Commission nationale de transparence, étaient censées être mises en place avant la signature de l’accord, et non après ! Le Fond Monétaire, manifestement, s’est laissé abuser par l’adoption des lois y relatives, oubliant ou ne sachant pas que s’il est un domaine où le despote congolais détonne et détrône ses homologues dans le monde et dans l’histoire, c’est celui de l’invention en abondance des lois et des Constitutions kleenex. Car, pour lui, ces dernières relèvent de la communication pure, de l’incantation et non de l’application qui, d’évidence, ne lui aurait absolument donné aucune occasion d’accéder au pouvoir, et d’y perdurer de surcroît.

Mise à part cette remarque, cette carence majeure et symptomatique du fonctionnement du pouvoir congolais, le rapport du FMI fait état d’autres comme la poursuite et l’achèvement de la restructuration de la dette extérieure conformément à la stratégie visant à rétablir sa viabilité, la prise des mesures et dispositions adéquates en faveur des couches de populations les plus vulnérables, non sans constater par ailleurs que « La croissance se stabilisera probablement autour de 2 % en 2019, soit un niveau similaire à celui observé en 2018 », puisque « Le principal moteur de la croissance reste l’augmentation de la production de pétrole, même si celle-ci est plus faible que prévu en raison de difficultés techniques ponctuelles sur certains champs pétroliers »

Qu’en définitive, « les conditions financières demeurent difficiles », et n’ont nullement permis l’octroi de crédits au secteur privé. Plus grave, « les prêts improductifs ont augmenté pour atteindre 24 % du total des prêts bruts fin septembre. La mission a noté que les retards observés dans la mise en œuvre de la stratégie des autorités visant à apurer les arriérés intérieurs vis-à-vis du secteur privé ont un impact négatif sur la confiance des agents économiques ». Sur le terrain, on s’en doute, c’est une misère sans nom, avec des conditions de vie intenables et une forte croissance de la mortalité qui est constatée, avec le développement du business des pompes funèbres.

Tout de même, et conformément à ses habitudes, la mission n’a pas dédaigné la courtoisie et la diplomatie financières coutumières en notant, comme le ferait un parent à un enfant à jamais gaffeur, mais pour ne pas le décourager et espérer encore un déclic positif, que « L’économie connaît un regain de croissance modeste et se stabilise après la profonde récession qui a commencé en 2014 », pour ajouter tout de suite après, et froidement, que «La croissance demeure trop faible pour faire reculer la pauvreté, car trop tributaire des fluctuations du secteur pétrolier. Les autorités devront redoubler d’efforts pour améliorer la gestion économique et faire avancer les réformes qui favorisent l’activité du secteur privé afin d’accélérer la croissance et la rendre plus inclusive ».

Poursuivant son délicat couplet diplomatique, elle ajoute que par rapport à la situation de fin juin, juste avant la signature de l’accord où les résultats budgétaires étaient mitigés, « les autorités ont atteint les objectifs fixés pour le solde primaire hors pétrole (en pourcentage du PIB hors pétrole) et le financement intérieur net, deux indicateurs essentiels permettant d’assurer une trajectoire viable des finances publiques ». Mais pour objecter là encore que « les recettes non pétrolières ont été inférieures aux attentes, résultat décevant observé également à fin septembre ».

Seul point positif, sans nuance de l’institution, « L’excédent des transactions extérieures courantes devrait atteindre 8 % du PIB en 2019, en partie du fait de la croissance des exportations minières et sylvicoles. ». De telle sorte que « les avoirs extérieurs nets ont augmenté plus rapidement que prévu cette année, ce qui a contribué à l’accumulation de réserves au niveau régional »

Au total, au premier contrôle, les résultats sont si maigres, si décevants et loin du compte au regard de ce qui était attendu, que le rapport termine et décide, en dernière instance que « Lorsque les autorités auront mis en œuvre ces mesures, la mission soumettra à l’analyse du Conseil d’administration un rapport en appui à la demande de la République du Congo pour l’achèvement de la première revue du programme ». Autrement dit, la deuxième tranche de l’aide qui était attendue du Fonds pour le mois de décembre, et avec elle, celle d’autres partenaires comme la France qui avait déjà décaissé une première tranche elle aussi, restent en stand-by…

Paris, 7 novembre 2019

Felix Bankounda Mpélé

17 thoughts on “FMI-Congo-Brazzaville : Le gouvernement confirme évidemment sa percée vers Mpemba !

  1. Il n’y a que des corrompus notoires qui peuvent prétendre continuer faire du business avec de tels MORONS con-go-laids.

  2. SASSOU-NGUESSO peut compter sur la mémoire courte des Con-golais qui lui a permis de rester au pouvoir jusqu’aujourd’hui, en jouant le pourrissement de toutes les situations ; mais réussira t-il à entuber le FMI ? Là, il joue raide. Attention ! mpila mossi : KEBA !!!

  3. LE CONGO BRAZZAVILLE EST UN PAYS A REVENU INTERMEDIAIRE DE LA TRANCHE SUPERIEURE SOURCE BANQUE MONDIALE.INFORMATION OFFICIELLE

    MPEMBA EST UN TERME INCONNU DU LEXIQUE DE LA BANQUE MONDIALE.

    A FELIX BANKOUNDA MPELE

    VOUS NETES PAS UN ECONOMISTE EN CHEF DE LA BANQUE MONDIALE

    VOUS NETES PAS MACRO ECONOMISTE

    CHER FELIX CERTAINEMENT GRAND FRERE FELIX

    IL EXISTE AU SEIN DE LA BANQUE MONDIALE DES PROCEDURES RIGIDES EN MATIERE DE DECAISSEMENT DES FONDS.IL YA DAILLEURS DES SEMINAIRES INTERNATIONAUX A CE SUJET DESTINES AUX FOURNISSEURS DE LA BANQUE MONDIALE.LEXECUTION DUN BUDGET AU SEIN DE LA BANQUE MONDIALE C N PAS LE MARCHE TOTAL DE BACONGO ..NON CA J VOUS LE DIS…. C UN MECANISME DE SUIVI ET EVALUATION. ON SUIT LE TAUX DE DECAISSEMENT. IL YA LE CONTROLE DE GESTION AU NIVEAU DE LA REPRESENTATION RESIDENTE DONC A BRAZZAVILE LE CONTROLE DE GESTION DU BUREAU REGIONAL SOIT JOHANNESBURG PUISQUE LE BUREAU DE LA BANQUE MONDIALE DE BRAZZAVILLE EST RATTACHE A CELUI DE JOHANNESBURG … IL YA LE CONTROLEUR INTERNE IL YA DES AVIS DE NON OBJECTION IL YA DES AUDITS EX ANTE ET DES AUDITS EX POST AVANRT LAPPROBATION DU DECAISSEMENT LA TRANCHE SUIVANTE…. CE SONT DES PROCEDURES ECHELONNEES C N PAS L POOL LA BOUENZA LA CUVETTE NON C N PAS VOS MPEMBA ET VOUS DEVREZ MEME VOUS GENER DUSITER DE TELS LEXIQUES.VOUS ETES LU A BRAZZAVILLE APRES TOUT

    LEXECUTION DU BUDGET AU SEIN DE LA BANQUE MONDIALE SE FAIT AU PREMIER EURO VOUS MAVEZ ENTENDU JE DIS BIEN AU PREMEIR EURO IL YA LES SPECIALISTES BUDGETAIRES

    EX LETAT CONGOLAIS DEMANDE 500 000F POUR CLORURRE LE CHU. LA BAQUEN MONDIALE VA RECRUETER UN COMPTABLE OU AGENT PAYEUR QUEI SE CHAREGERA DE ME

    la france donc esclave des procedures de lunion europenne ne peut pas decaisser la plus petite piece de 5 f en faveur dun pâys sans ouverture dune ligne budgetaire par le comptable europeen …. un comptable sera recrute pour gerer cette ligne budgetaire

    finalement cher aine que faites vous en france?

    les recettes non pétrolières ont été inférieures aux attentes -PREVISIONS VOULEZ VOUS DIRE- , résultat décevant observé également à fin septembre. C NORMAL C DONC UN ECART A IDENTIFIER ET DES MESURES DACTIONS CORRECTIVES DOIVENT ETRE PRISES

    Autrement dit, la deuxième tranche de l’aide qui était attendue du Fonds pour le mois de décembre, et avec elle, celle d’autres partenaires comme la France qui avait déjà décaissé une première tranche elle aussi, restent en stand-by…

    IL EXISTE DES PROCEDURES ADMINISTRATIVES ET FINANCERES AU SEIN DE LUNION EUROPENNE ET DE LA BANQUE MONDIALE IDEM POUR LA BAD PNUD OMS UNICEF UNHCR FNUAP …. LE DECAISSEMENT NE SE FAIT PAS COMME DANS UN TAXI

    IL YA DES HORIZONS TEMPORELS PREVUS POUR LES DECAISSEMENTS SANS COMPTER LES SIGNATURES REVUES DAPPROBATIONS… TOUT EST PREVU DANS LE MANUEL DE GESTION ADMINISTRATIVE ET FINANCERE DE LA BANQUE MONDIALE

    VOUS NETES PAS UN EXPËRT…. ARRETEZ DE FAIRE RIRE LA REPRESENTATION RESIDENTE DE LA BANQUE MONDIALE A BRAZZAVILLE

    1. CHER MONSIEUR LE MINISTRE, VOS EXPLICATIONS AUSSI BIEN PRECISES SOIENT ELLES , NE PRENNENT LA MESURE SUR LA GRAVITE DE CE QUE NOUS NE SOMMES PAS A LA HAUTEUR DES ATTENTES DU FMI DEPUIS LE DIT ACCORD. VOUS NON PLUS, ETES ROMPUS A LA DEONTOLOGIE FINANCIERE, EN REVANCHE JE SALUE VOTRE COURAGE POUR DEFAIRE L’ANALYSE DE MONSIEUR BANKOYNDA. IL NE S’AGIT PAS ICI DE DIRE OU SE TROUVE TEL SIEGE ET COMMENT FONCTIONNE LE FONDS TOUT EN OCCULTANT LES RESULTATS SUR LESQUELLES NOUS SOMMES ATTENDUES.
      FRANCHEMENT, MONSIEUR LE MINISTRE, CETTE FORME DE MYOPIE QUI CARACTERISE LA PLUPART DE VOS COLLEGUES REND ENCORE DIFFICILE LA MISE EN PRATIQUE DES RECOMMANDATIONS ET ENGAGEMENTS QUI ONT PERMIS CET ACCORD SYMBOLIQUE.
      SANS POUR AUTANT QUE JE M’ETERNISE, EN VOUS LISANT JE SEMBLE ADMETTRE QUE RAISONNEMENT CONFIRME BIEN CECI : « ON PEUT ANNULER TOUTE LA DETTE DU CONGO , CE PAYS N’AVANNCERA PAS »
      A MON AVIS CE PROPOS QUI SONNE COMME UNE VRAIE PREMONITION N’EST VALABLE QU’AVEC VOUS ET VOTRE REGIME , QUI A DU MAL A TROUVER LA VOIE DU RESULTAT SATSFAISANT.
      JE SUIS NAVRÉ DE PART LA CRUAUTÉ DE MES MES ECRITS, JE NE POUVAIS M’EN RETENIR

  4. À réaction du ministère de l’enseignement primaire et secondaire,

    Vous êtes très drôle ! Vous êtes entrain de corriger et de donner des leçons d’expertise à Monsieur Bankounda en disant qu’il n’est pas un expert des institutions financières internationales, et pour cela vous lui reprocher des expressions inappropriées du genre « Les recettes non pétrolières ont été inférieures aux attentes » et vous ajoutez « PRÉVISIONS VOUS VOULEZ DIRE « !
    Or ce que vous citez et critiquez là, justement, est un extrait du rapport des experts du Fmi que monsieur Bankounda cite, et a pris la préoccupation de mettre entre guillemets ! Idem pour le passage suivant que vous critiquez aussi !
    Ne trouvez-vous pas que vous êtes un peu ridicule ! 😃
    Je passais seulement. …Kié Kié kié

  5. Quelqu’un peut traduire en lingala la réaction du ministre de « l’enseignement » ? Je pense que c’est un plaisantins qui veut faire de la polémique stérile.
    vous avez compter les fautes d’orthographes et les problèmes de conjugaison ?
    Je montre mon 3ème doigt à ce monsieur.

  6. Les pirates viennent prendre le pètrole du Congo en disant, nous allons t`accorder l`argent pour que tu puisse atteindre la croissance. Cela me fait rire. Et pourtant vous savez tres bien que l`economie du Congo Brazzaville est à zèro. Les 448,6 millions et les 135 millions d`euros de la France ne fait pas du tout 100% stabilitè economique du pays et ne donnera jamais l`accès à la croissance. Ce qui se passe a prèsent au Congo Brazzaville, c`est simplement du pillage des matières premiere sans payer. Dans tout cela c`est le peuple qui souffre. C est le peuple qui meurt. Il s`agit de crime de l`humanitè tout juste parce que le soi disant gouvernement pratique une politique des dèttès avec des crèanciers qui sont des voleurs. La solution pour resoudre notre probleme economique sur le plan national, c`est d`etablir notre propre production monètaire pour notre nation et mettre FIN a cette pauvretè economique qui est la cause des assassinats dans notre nation. C est aussi tres simple à comprendre. Nous avons la souverainitè. Nous sommes une nation très riche en matière premiere et nous avons le droit. Allez vous faire foutre avec vos dèttes et vos crèanciers. Il est temps de comptè sur la capacitè de ce que nous pouvons produire nous même pour le bien de notre propre nation. A bon entendeur…

  7. le congo brazzaville est bel et bien un pays revenu intermediaire tranche superieure.classement officiel de la banque mondiale

    Le Fond Monétaire, manifestement, s’est laissé abuser par l’adoption des lois y relatives, oubliant ou ne sachant pas que s’il est un domaine où le despote congolais détonne et détrône ses homologues dans le monde et dans l’histoire, c’est celui de l’invention en abondance des lois et des Constitutions kleenex. Car, pour lui, ces dernières relèvent de la communication pure, de l’incantation et non de l’application qui, d’évidence, ne lui aurait absolument donné aucune occasion d’accéder au pouvoir, et d’y perdurer de surcroît.

    IL NEXISTE AUCUN RAPPORT ENTRE DE TELS COMMENTAIRES ET UNE REVUE CYCLIQUE DES MISSIONS DU FMI AU CONGO BRAZZAVILLE

    IL N YA AUCUN DESPOTE AU CONGO. SELON LES CONGOLAIS CE PAYS A CONNU TROIS DESPOTES:

    1 alphonse massamba debat oui vous avez bien lu.

    2 jean jacques joachim yombhy opango

    3 pascal lissouba

    denis sassou ng n jamais ete cite au rang des despotes congolais.denis sassou en 2015 avait juge utile de proceder a une refonte de la constitution car celle de 2002 abondamment pleuree par ceux la memes qui navaient pas vote pour cette constitution avaient mis a mal les finances publiques.

    en 1992 sur un caprice denfant mr p lissouba avait derechef(donc un desposte) dissout le parlement congolais post conf nat ce qui etait deja un mepris dans lorthodoxie des finances publiques. mr p lissouba avait donc convoque pour la premeire et la derniere fois le peuple congolais aux urnes.cetait donc les fameuses elections de la conosela(commissions de je ne sais de quoi des electiopsn legislatives anticipees).

    me jean martin mbemba qui pourtant juriste entretemps avait repondu a la sirene du pool etait vice president de cetet conosela. denis sassou ng etait represente dans ce mvt par les isidore mvouba les colonels ayayen (rachete par la suite par p lissouba)… le congo vient de loin…

    dans une democratie mr bakounfa mpele vous etes un aine pour moi mr p lissouba devrait faire face a une commission disciplinaire.largument qu il avait evoque pour dissoudre le parlement ne tenait pas debout(la crise etait aigue et persistante) c officiel.

    mr bakounda

    alors les insuffisances managerailes de mr lissouba avaient fait jour. il navait pas pu organiser les electiosn legistatives anticipees comme cela avait ete le cas avec mr andre milongo.entretemps les coups de feu avaient commence tires par le commandant mbaou ferdinad deveneu a la date dauj defenseur des droits humains ou lanceur dalertes des choses comme ca a paris

    le parlement dissout de 125 sous mr milongo le parlement version p lissoba etait a 123 chiffre au dmeurenat anti constitutionnel le peuple congolais avait docn vu juste de cite p lissouba au rang des despotes.

    docn nous avons vogue ainsi sans parlement.

    JE VOUS FAIS LECONOMIE DU ROLE DU POUVOIR EXECUTIF DANS LA CHAINE DE LA DEPENSE PUBLIQUE NOUS SOMMES LU PAR LE BUREAU DE LA BANQUE MONDIALE A BRAZZAVILLE

    SEUL UN DESPOTE BIZARREMENT ANCIEN FONCTIONNAIRE DE LUNESCO A NAIROBI POUVAIT DONNER UN COUP DE PIED AU PARLEMENT .EVIDEMMENT LELECTION PRESIDNETIELELD E JUILLET 1997… ALORS LA RESPECTONS LE PEUPLE CONGOLAIS IL YAVAIT EU MORT DHOMMES

    VOUS VOUS TROMPEZ LAMENTABLEMENT DE PORTE.

  8. Si Sassou n’était pas un despote kleptomane, le Congo serait dans un meilleur état. Les autres dirigeants Congolais n’ont jamais eu autant de moyens financiers pour moderniser les Régions, investir dans la jeunesse, aider les entrepreneurs, instaurer l’alternance démocratique, éviter et punir le pillage des deniers publics, réduire les dépenses publiques , s’occuper du bonheur de tous les Congolais et non de son clan.

    Sa politique se fonde sur les coups d’Etat permanents afin de conserver un pouvoir usurpé.

    Sassou est non seulement un despote, c’est aussi un tyran incompétent et le père nourricier de la corruption et de la violence au Congo.

    Le pays ne s’en sortira qu’avec une nouvelle équipe réellement choisie par le peuple souverain et un Etat de droit qui mettra de l’ordre républicaine et démocratique dans nos institutions.

    Pour l’heure, le Congo est une république en déroute et bananière.

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