Marie-Anne ABIA, une chanteuse de louanges en pleine effervescence

Désirant vivre des moments forts de rencontre avec la présence de Dieu, elle se réjouit en l’Eternel pour le célébrer en chantant un cantique nouveau, faire retentir sa voix, et annoncer de jour en jour son salut.

Ce que l’on apprécie beaucoup dans le chant de Marie Anne Abia  ce sont les paroles de joie et d’espérance qu’on peut trouver. Tout comme l’écouter chanter quand on traverse une période difficile peut faire le plus grand bien. Marie Anne Abia a cette facilité de mettre en musique des passages bibliques qui nous encouragent, nous exhortent à se relever, à avancer dans notre vie avec le Seigneur Jésus Christ  mais aussi à prendre position pour lui.

Marie-Anne Abia à la Guinguette Africaine de Suresnes.

Invitée d’honneur à la Guinguette Africaine de Suresnes le samedi 24  août dans le cadre de la fête nationale du Congo, Marie-Anne Abia a fera vibrer les cœurs du grand public qui viendra  l’applaudir. Dans une voix limpide elle rappellera à coup sûr  que la vraie joie et le bonheur durable ne se trouve qu’en Dieu seul.

Enfin, à la Guinguette et à un moment unique et fort de la journée patriotique congolaise, Marie-Anne Abia dans son riche repertoire  va utiliser la danse et naturellement le chant pour exprimer son adoration de Dieu. Sans peine et sans chagrin, sans souvenirs tendus.

Marie-Anne Abia qui est à son troisième album, se prépare actuellement pour un nouvel opus qui se veut entièrement louanges à Jésus Christ et danses d’adoration

Pour la petite histoire, ce qu’il faut retenir de la carrière de la chanteuse  des louanges : Marie-Anne Abia

Née des parents chrétiens originaires du Congo Brazzaville, elle a commencé  très jeune à aimer chanter à la maison et à rêver de devenir une « star ». Elle s’excelle dans l’interprétation des tubes en vogue. Sa voix est somptueuse : les prémisses d’une étoile montante sont là.

Ses premiers pas vers Dieu s’effectuent en compagnie de ses parents catholiques et de l’église Sainte Anne de Poto-poto-Brazzaville, où elle évolue dans différentes chorales de cette paroisse.

1991 – De l’église catholique elle atterrit  à l’église pentecôtiste du pasteur Demba Esaie à la suite d’une invocation de délivrance qui a guérit la chanteuse malade et hospitalisée au CHU de Brazzaville.

1994 – Elle adhère au ministère de la CIFMC (communauté internationale des femmes messagère en christ)

1995 – Elle  rejoint en France celui qui en 1996 deviendra son mari, Jean Cherel Abia. Toujours soucieuse de glorifier, louer et adorer Dieu le père,  elle rejoint aussitôt  le siège parisien de la CIFMC et  continue à chanter sous la responsabilité de son guide spirituel Daniel Mokengo.

Marie Anne Abia chanteuse brazzavilloise qui a percé hors du Congo.

1995 – Rencontre avec le célébrissime chanteur évangélique Charles Mombaya. Une véritable  bénédiction pour le succès que va connaitre cette  fructueuse collaboration. En effet, une chanson va particulièrement marquer cette période et connaitre un succès énorme dans toutes les assemblées chrétiennes,« Ozali Mosantu Masiya«  une composition de la chanteuse arrangée à perfection par le maître de l’adoration Charles Mombaya. Cette œuvre mémorable sera une occasion pour la chanteuse de lever le voile de l’anonymat.

Quelques temps après, Marie-Anne Abia  enchaine avec  « Louange Plus« , un Tube réalisé en compagnie des chanteuses Blanche Tudilu, Sylvie Manene, toujours sous la poigne du maitre Mombaya. C’est dire, Marie Anne Abia et Charles Mombaya constituaient désormais la meilleure carte de visite en France. Les œuvres « Louange Plus » et « Ozali Mosantu Masiya » exécutées pratiquement par toutes les assemblées évangéliques et dans toutes les fêtes aura permis à Marie-Anne Abia travailleuse acharnée de gravir les échelles de la renommée.

1997 – Marie-Anne Abia  est victime d’une rupture de corde vocale au point que tous les médecins spécialisés en la matière ayant été consultés lui président une fin de carrière. Mais rien de tout cela. Il s’en suit seulement une longue période de convalescence.

1998 – Le maitre Charles Mombaya décide prématurément de rentrer à Kinshasa, mais il laisse une chanteuse populaire, affutée et affermie. L’absence de son mentor produit rapidement  en elle des effets plutôt positifs de  combativité, force et solidité.

1998 –  Sortie du 1er album « L’heure de la victoire », un tube qui lui a permis de faire le tour du monde (U.S.A, Canada, Europe, Afrique,…).

2002, sortie d’un deuxième album « Jésus Christ est le soleil de ma vie ».

Le succès de Marie-Anne Abia grandit peu à peu. Contre la joyeuse concurrence, elle oppose son talent et sa grâce à travers ses disques dont la qualité est indiscutable et ses spectacles, elle partage avec générosité son don musical.

2017,  Sortie du  troisième album « You are the lord ».

En dépit de ses responsabilités familiales,  la belle Marie-Anne Abia travaille dans la dignité, la simplicité et l’humilité. Elle vit sa passion chaque jour, avec bonheur et joie. Elle concilie parfaitement son rôle d’épouse et maman avec son art.

2019 Adhésion aux éditions Cyriaque Bassoka Productions

Actuellement, elle est en Studio pour la préparation d’un nouvel Album. Ici  va commencer sa collaboration avec Cyriaque Bassoka Productions qui désormais accompagnera à l’international la chanteuse congolaise dans toute sa production musicale. Notamment, la distribution numérique, qui comprend donc le streaming, mais aussi le téléchargement payant.

Clément Ossinondé

 

Laisser un commentaire