Procès du Ministre Okombi Salissa, audience du 05 mars 2019

6 thoughts on “Procès du Ministre Okombi Salissa, audience du 05 mars 2019

  1. SASSOU NGUESSO ET SON TERRORISME D’ETAT : APRES « JE SUIS LE POOL » ET POURQUOI « JE SUIS KELLE » ?
    DICTATEUR SASSOU NGUESSO: STOP INSÉCURITÉ ET TERRORISME D’ETAT CONTRE LES CONGOLAIS. ECHOS DE KELLÉ,
    La tension est loin de baisser à Kellé dans la Cuvette Ouest au Congo Brazzaville. On apprend le viol massif des femmes, les hommes passés à tabac par des militaires, gendarmes et policiers. Ville fantôme, la plupart des gens se réfugient en forêt ou dans d’autres villages.
    Les cas du terrorisme d’état dans le Pool et dans le Grand Niari dès 1998 à nos jours sans l’unité nationale contre le tyran démontre bel et bien que nous ne sommes que des peuples de moutons.
    C’est d’ailleurs les raisons pour lesquelles le dicta-tueur et ses sbires continuent de briser en toute quiétude les vies des congolais et leurs conditions existentielles. https://www.youtube.com/watch?v=jNFksZR_Fks&feature=youtu.be

  2. Les procès bidons de Sassou Nguesso, ne cessent de nous révéler chaque jour le dysfonctionnement même du système Sassou. Le témoin appelé à la barre que j’entends depuis l’Europe,est enseignant juste après avoir obtenu le BAC et n’a pas pu suivre une formation l’habilitant à travailler dans le domaine. Employé dans l’enseignement en 2012 après avoir resté assis au village et sans faire des concours, il se trouve aujourd’hui dans l’administration à la DEC technique. C’est le Congo, Tokende kaka.

  3. Le procès André Okombi Salissa battant son plein, celui en appel de J3M commence le 08 mars, si la Cour tient parole. Alors l’avenir politique de l’ex-candidat à l’élection présidentielle ne tolère ni éparpillement, ni légèreté.

    Pour l’ACB-J3M, le général Jean-Marie Michel Mokoko demeure incontournable, malgré son emprisonnement, qualifié « d’arbitraire ». Pour eux, et c’est une conviction inébranlable, J3M apparaît comme une sorte d’égrégore, et la force qu’il dégage mérite d’être alimentée au travers d’idées nouvelles et d’ateliers autour de son projet. « C’est le rassembleur qu’il nous faut, celui qui transcendance nos différences », avance Thierry-Paul Ifoundza, le président de l’association ACB-J3M (Actions pour le Congo-Brazzaville avec Jean-Marie Michel Mokoko). « Mokoko est un symbole, à l’image de Nelson Mandela, sa libération est donc non-négociable », a complèté Isidore Aya Tonga, l’un des conférenciers du jour. « Mokoko n’est pas un prisonnier de droit commun, c’est un prisonnier politique », a estimé l’opposant Ouabari Mariotti, avant de rappeler que le général a été condamné à 20 ans de prison ferme non pour « atteinte à la Sureté de l’Etat mais pour avoir défié et battu Denis Sassou-Nguesso dans les urnes. https://www.entrecongolais.com/acb-j3m-debat-quel-avenir-politique-pour-jean-marie-michel-mokoko

  4. La qualité d’un peuple ne se mesure t-elle pas par le rapport de force entre obéissants et désobéissants de ses citoyens face à l’injustice ou à un pouvoir injuste. La question de pouvoir du souverain peuple est ainsi posée.

    De ce fait, si un peuple ne cesse d’obéir à un pouvoir injuste ou illégitime perd-il naturellement sa qualité de peuple? S’il suffisait d’obéir à un pouvoir injuste les sujets d’une tyrannie connaîtraient-ils la liberté, la dignité et la justice ?

    La problématique ici posée est à la fois anthropologique sociale, politique, philosophique et morale… Faut-il obéir ou désobéir à un pouvoir injuste ?

    La vraie question ne réside pas dans l’attitude à avoir face à une situation donnée ou la loi est injuste, illégale et illégitime. Ceci ramène à une réflexion sur ce qu’est l’obéissance. Ainsi, l’obéissance repose avant tout sur la conscience.

    La conscience est basée sur l’altérité et a un caractère volontaire. Dès lors, les liens entre l’obéissance, la résistance, la loi et le droit naturel sont étroits. En effet, la résistance et l’obéissance, voila les deux vertus du citoyen. Par l’obéissance, nous assurons l’ordre même tyrannique.
    Et par la résistance, nous assurons notre liberté. Parmi les droits fondamentaux de l’homme figurent la liberté parce qu’elle est comme première et fondamentale des droits de l’homme. La liberté étant la condition même de tout droit.

    Oui, obéir aveuglement à une tyrannie, c’est renoncer à sa liberté, c’est renoncer au droits de l’humanité. Et ce n’est pas tout : renoncer à sa liberté, c’est renoncer aussi aux devoirs de l’humanité et de la civilisation ou plutôt aux devoirs de l’histoire humaine. Sans liberté, il n’y a ni droit, ni devoir de l’humanité. La liberté apparaît ainsi comme la condition du droit et de la morale. https://www.youtube.com/watch?v=0nyL2visgkc

Répondre à 10 mars 2019 tous a oyo edou Annuler la réponse.