Deux (2) morts à Kéllé : Grande situation de tension entre la population et la gendarmerie

De source bien informée, une grande tension règne à KELLÉ à la suite du décès d’un petit fils du défunt Cyrille EBIENGA.

Ce dernier est décédé à la suite de son incarcération et des tortures à lui infliger dans les geôles de la gendarmerie. La population a réagi vivement en brûlant le  pick-up Toyota BJ de la gendarmerie.

Comme le Commandant de la gendarmerie fuyait à pieds en direction de la Mission Catholique, donc d’Etoumbi, il a été abattu par fusil calibre 12 , dans le bas-fond de   » ompyi « .

En ce moment, son corps traine encore.

Dit-on que les femmes fuient en forêt.

Photo du commandant de brigade tué à kellé (vivant et mort).

7 thoughts on “Deux (2) morts à Kéllé : Grande situation de tension entre la population et la gendarmerie

  1. je pense que c’est une tres bonne initiative de procéder à faire la justice sois même puis que avec le droit congolais on a plus confiance.
    que les policiers et les gendarmes se mefient de la population car nous en avons marre et sommes tous prêt à agir ainsi….

  2. BRULEZ LE CORPS DE CE GENDARME ASSASSIN !

    TRES BIEN FAIT POUR LA GUEULE DE CE COMMANDANT CRIMINEL

    Si la population de Kellé pouvait abattre d’autres gendarmes criminels (ce que n’ont pu faire les parents lâches des disparus de Chacona), ça serait une bonne chose.

    Œil pour œil, dent pour dent. La vie d’un enfant vaut celle d’au moins 5 vieux gendarmes alcooliques, satanistes, pédophiles incestueux, criminels impénitents.

    BO BOMA BA GENDARMES NYONSO BO KO MONA.

    BO TOUMBA BA NDAKO NA BANGO.

    ABOUUUU !

    1. Ça peut bien être le début du commencement. Il reste le barbare et sauvage Pierre Mabiala avec ses impôts à la sauvette. Les congolais sont bien tranquile chez eux en dépit de la misère que le système dictatoriaux que leur infligé Sassou Nguesso et ses acolytes depuis bien des décennies. Les agents de Mabiala subiront les mêmes représailles. Je regrette pour l’enfant torturé dans la geôle de la gendarmerie de Kellé. Pour le gendarme qu’il aille au diable. C’est eux qui accompagnent ce désordre dans ce pays.

  3. C’est la jungle à côté de la naturelle qui y existe déjà!
    C’est aussi la loi du talion : la gendarmerie tue un civil, les civils tuent un gendarme.

    La gendarmerie, jadis respectée pour son professionnalisme a fini par rejoindre la police de NDENGUET dans le foutage de merde.

    Maintenant,
    – entre les bérets rouges qui tombent comme des bleus dans des traquenards tendus par les Nsilulus dans le Pool,
    – entre la garde républicaine qui n’est qu’un groupement de Mbochis illettrés et piètres miliciens,
    – entre la police qui rackette les populations et assassine les enfants dans les geôles,
    – entre la justice aux ordres,
    – entre l’armée qui pue grave le Mbochi,
    – entre un pays exsangue car pillé par les politiques…
    A quel saint les Congolais doivent-ils se vouer pour sortir ce bordel de putain de pays de merde de la MBOCHIITE AIGÜE DONT IL EST ATTEINT ?

  4. GENS DE KELLE, CHERCHEZ ET TUEZ D’AUTRES GENDARMES !

    BRULEZ LEURS MAISONS, SANS PITIE.

    VENGEZ LES MORTS DE CHACONA.

    NTANGOU YI FOUENI ! TANGO EKOKI !

    Pour le commandant assassin mort là, donnez son corps à manger aux chiens

  5. Depuis quelques mois, les congolais en général et en particulier les populations de Kellé assistent impuissants à une grave catastrophe écologique dans le département de la Cuvette Ouest notamment dans le district de Kellé. Je ne vais pas ici évoquer cette situation encore moins celle du gendarme assassiné il y a quelques jours. En fait sur la toile, j’ai rencontré un texte quelque peu provocateur intitulé: « Jeu et enjeux politiques au Congo: Cas de la Cuvette Ouest » dont l’auteur est Maurice Ngonika. D’emblée j’avoue que je ne l’ai pas lu entièrement. Mais en filigrane on comprend que l’auteur traite d’une part la naissance du département de la Cuvette Ouest comme conséquence de la marginalisation de cette partie par les autorités du Congo ayant succédé au pouvoir de 1958 à 1992 ( A l’exception de Youlou qui nomma comme ministre Faustin Okomba, il s’agit bien de Jacques Opango, Massamba Débat, Marien Ngouabi, Yombi Opango et Sassou Nguesso). D’autre part, il abord des querelles internes entre fils de Kellé pour représenter leur district au Parlement National. Cela ne m’intéresse pas. Mais ce qui a attiré mon attention dans sa dissertation c’est le titre 2 intitulé: « LES EVÈNEMENTS TRAGIQUES D’OWANDO ». Ce titre est déjà une provocation et toute personne qui connaît l’histoire peut déjà savoir par où on veut mener l’opinion. Il n’ ya pas  » LES EVÈNEMENTS TRAGIQUES D’OWANDO ». Il fallait pour éclairer la lanterne dire « LES EVÈNEMENTS TRAGIQUES D’ETOUMBI ET D’OWANDO » Voilà la VERITE! Dire seulement Owando, c’est manifestement erroné et historiquement lamentable pour ceux qui prétendent éclairer les congolais sur l’histoire trouble de notre pays. De quoi s’agit il, Au mois de juillet 1976, le caporal chef Ongoka, originaire d’Owando en poste au PSP d’Etoumbi est lâchement assassiné dans cette ville alors qu’il rentrait à la maison après avoir pris part à une réunion. Le lendemain, son corps est transféré à Owando sans aucun rapport des services habiletés retraçant les circonstances de ce crime odieux.Il y avait seulemnt une inscription au dessus du cercueil qui disait:  » A NE PAS OUVRIR ». Nous sommes là dans quelle société? Tout le monde sait bien que le déplacement d’un corps d’une localité à une autre, exige des papiers dans le cas où l’on ne peut ouvrir le cercueil, on a le rapport des autorités qui fait foi et certifie le décès de l’individu. Ici rien de tel. Dites mois quelle est cette famille au Congo qui accepterait dans les circonstances pareilles enterrer un être cher assassiné en se contentant seulement de l’Inscription  » A NE PAS OUVRIR »? Déjà même l’inscription en soit évoque clairement une suspicion qui devrait attirer inévitablement l’attention que nous sommes là devant une mort suspecte. Si les auteurs du ce crime odieux ont pensé que les kouyou sont des idiots, ils ont oublié et donc il ne savaient rien de ce qu’ils sont vraiment. Ainsi, contre toute opposition ils ont ouvert le cercueil. A la très grande surprise voici comment le corps se trouvait, habillé en culotte, enroulé dans quelques drap et plongé dans le sable! Quel but le sable faisait dans ce cercueil? Le sable avait pour but d’absorber le sang pour ne pas attirer l’attention de la famille. Tout le monde peut dès lors saisir que ce meurtre avait été motivé et devrait avoir un auteur connu que les gens d’Etoumbi n’ont pas voulu présenter aux autorités! Maurice Ngonika affirme à la page 18 que les kouyous attendait le corps de leur fils en dansant ekongo avant de mener une chasse au mbeti dans la ville. Ceux qui étaient tombés dans leur mains 2 au total ont été assassinés et découpés en morceaux comme pour souligner la sauvagerie des Kouyous. Incroyables! Oui les civilisés d’Etoumbi ont raison selon Maurice Ngonika de transférer les corps comme ce qui s’est passé en juillet 1976 à Etoumbi. Oui continuez à faire de cette manière si vous n’aurez pas des problèmes avec les parents d’autres compatriotes! Il faut rappeler ici que c’est la manière dont le corps d’Ongoka a été traité qui a irrité les kouyous. Il s’agit là d’une profanation pur et simple. Alors qu’attendaient tes parents de la réaction des kouyou devant ce genre de provocation ? C’était une déclaration des hostilités et les kouyous ne pouvaient pas baisser l’échine et accepter l’inacceptable. A l’hôpital 31 juillet d’Owando, l’artiste Ongouya a immortalisé une séquence de cette affaire dans le triage où les médecins dans le bloc opératoires sont en train d’extraire les balles du corps d’Ongoka. Alors arretez de raconter les conneries, ce n’est pas de cette façon que vous voulez construire ce pays. Je n’ai pas tout dit ici: En conclusion, je peux dire que 43 ans après ces faits, les mbéti de Kellé viennent d’abattre un gendarme après la mort dans les geôles de la gendarmerie d’un fils de Kellé! Cet meurtre se justifie t-il? Pourquoi les gens de Kéllé ( les civilisés) ont très vite eu recours à la loi du talion oeil pour oeil, dent pour dent comme les sauvages kouyous en 1976?

  6. « …abattu par fusil calibre 12, »
    Calibre 12, nous avions dit.
    Tant mieux.
    Qui sème le vent récolte la tempête…
    Tant pis pour les barbares. BIEN !

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