Rions un peu : Vous cherchez des tetons saillants, Doukaga est là !

Mabélé ya ko téléma, bo pésa yé Doukaga, chantent les agents de la force publique.

Autrement, « Les seins non-tombants, donnez-lui Doukaga (la ministre de la jeunesse et de l’instruction civique)», en traduction littérale. C’est bien ce que scandent la troupe après le défilé du 15 août 2019. Les troupes ne croient plus à la capacité opérationnelle de leurs chefs, leurs chefs doutent de la confiance de la hiérarchie, la hiérarchie se surveille depuis le syndrome Nianga-Mbouala-Dabira. C’est le règne de la terreur et de la peur au ventre. Le sauve qui peut est présent dans toutes les têtes.

Allons seulement !

9 thoughts on “Rions un peu : Vous cherchez des tetons saillants, Doukaga est là !

  1. Les policiers qui scandent les insanités en prononçant le nom de la ministre Doukaga: « Bo pésa yé Doukaga, mabélé ya ko téléma, « viennent enfin de nous lâcher le morceau, le secret. Bo pesa Ye Doukaga. YE c’est qui? C’est le colonel Ibami Ithou. Donc on comprend que le colonel Obami Ithou a dû harceler sexuellement Madame la ministre Doukaga. Le refus de cette dernière de lui offrir l’entre deux jambes a donc entrainé des mesures de retortion. Toute demande de Madame la ministre pour solliciter les policiers pour monter la garde à son ministere devenait irrecevable. Chez les mbochi si tu refuse le sexe à un dignitaire du pouvoir, sache bien qu’ils t’attendent quelque part, ils ont le pouvoir, l’argent, et l’armée.Quand Ibovi se permettait, il n’ y a pas longtemps de faire les éloges de cet officier, son immoralité vient d’ètre reveler par ses subalterne qui demande à Sassou Nguesso, Mboulou, et Nengue, de donner au colonel Obami Ithou, la ministre Doukaga qui a encore des « tetons debout », pour assouvir ses ébats sexuels. Ah les mbochi.

  2. Saviez-vous que le compositeur de ce champ s’appelle Jean-Claude IBOVI ? C’est le défenseur-porte parole de la « force publique » à l’ assemblée nationale. Disque d’or de l’irrespect et de l’indiscipline assuré. Quel TALENT !

  3. Eh oui ,nous vivons une période singuliére .Si Sassou n’avait existé ,il aurait l’inventé .C’est le nihilisme existentiel.

  4. A propos de « la force publique » très chère à Jean-Claude IBOVI, on a apercu des images furtives d’un fossile, en la personne de Jean-François NDENGUET, bien diminué par le mal qui le ronge. Comment voulez-vous que ce criminel qui refuse d’aller à la retraite et tient à peine debout. soit encore respecté par les voyous de la NGUESTAPO ?

    Le Congo a la lourde charge de créer une vraie police car les miliciens « cobras » qui nous tiennent lieu de force publique en ce moment, sont les premiers délinquants de notre pays. Et c’est leurs enfants, connus sous l’appellation « bébés noirs » qui vont arranger les choses, bien au contraire.
    CONGO, PAYS DE MERDE !!!

  5. Je suis assez perplexe, quant à ces attitudes corporatistes non professionnelles. Certes, dans tous les pays du monde les policiers sont toujours très solidaires entre eux et on a parfaitement compris le contexte conflictuel ici. Toutefois, ce n’est pas une bonne chose pour le pays, venant surtout d’agents des forces de l’ordre. La date du 15 aout, un jour historique pour le Congo, a t-elle perdue de son caractère sacré ? Cela ne doit plus jamais se reproduire.

  6. Le 1er essai d’Isidore Aya Tonga aux enjeux du développement soutenable sera chez l’éditeur courant novembre 2019 à paraître en France janvier avant les municipales de 2020 . Il ne reste plus que 30% du chef d’oeuvre contenant 15 tableaux, 20 histogrammes, 12 photos, etc… Voici en avant première le titre et quelques…

    Écosystèmes urbains et ruraux durables: Le pouvoir de négociations et de responsabilités consensuelles entre citoyens, collectivités locales et entreprises.
    Préfaces
    Lexique
    Avertissement
    Introduction
    Chapitre I
    1-Écosystèmes urbains et ruraux
    1-1- Problématiques
    1-2- Enjeux
    1-3- Synthèses
    Chapitre II
    2 – Responsabilités consensuelles
    2-1- Elus
    2-2- Entreprises
    2-3 – Citoyens
    Chapitre III
    3 – Faisabilité consensuelle
    3-1- Juridique
    3-2 – Organisationnelle
    3-3 – Technique
    3-4 – Economique
    3-5 – Financier
    3-6- Synthèses
    Chapitre IV
    4-Principes et démarches consensuels
    4-1- Principes
    4-2- Démarches
    4-3 – Procédures
    4-4- Élaborations des chartes et labels
    4-5- Comité de pilotage
    4-6- Partenariats/opérations/échanges d’expériences
    Biographie
    Avertissement
    Pendant des millénaires, l‘humanité a survécu et s’est même développée en captant la juste part d’énergie/matière disponible dans différents écosystèmes naturels. L’humanité risque aujourd’hui de compromettre leur existence dans la surconsommation la plus totale des ressources naturelles nécessaires à ses besoins.
    De ce fait, l’homme, dans toute son arrogance, avec orgueil et rébellion, tente de s’ériger au-dessus des lois de la nature et de l’univers. L’empreinte Carbone de l’humanité a atteint d’ailleurs le niveau d’alerte: le changement climatique est à la fois l’un des plus grands défis de l’humanité, et l’un des signes les plus importants de notre surconsommation écologique.
    Le modèle économique actuel présente une courbe de progression du PIB qui est similaire à celle de l’exploitation des ressources naturelles.
    La création de richesse mesurée par les indicateurs économiques comme le PIB correspond à une destruction sauvage ou abusive du capital naturel de l’humanité et que ce dernier est épuisable.
    Pour s’en convaincre, il suffit de constater que la maison nature et espace brûle. Elle est surconsommée, dégradée et polluée par l’homme. C’est un jeu dangereux et néfaste pour les besoins de l’humanité, la santé de l’homme et des espèces vivantes.
    Si c’est vrai, alors, nous ne sommes pas responsables de nos actes, habitudes et comportements contre-nature. Nous sommes individuellement et collectivement poussés par la force obscure de l’inconscience ou plutôt celle du pouvoir économique, du marché, du profit et de la rentabilité illimitée. Il semble important d’essayer d’accorder « développement soutenable » avec le terme apparemment contradictoire de « déterminisme naturel ». Sinon, plus personne n’est responsable de rien.
    D’autant plus que le déterminisme à l’œuvre dans l’inconscient, n’est pas le seul : n’y a-t-il pas un déterminisme non culturel ou historique, mais naturel à la surconsommation sauvage ou abusive et de destruction tout azimut des espaces et milieux naturels?
    Les besoins par ailleurs, pour la croissance économique et les profits commerciaux restent illimités mais, les ressources naturelles nécessaires à ces besoins sont limités ou épuisables dans l’espace et le temps.
    Cela fait d’ailleurs des décennies qu’on s’y essaye sans succès, et la croissance ne cesse de s’amenuiser. Et pourtant les élites politiques et économiques s’obstinent à poursuivre sur la même voie.
    Le modèle économique de société occidental, basé sur la croissance et nos modes de vie énergivores, sont aujourd’hui clairement identifiés comme prédateurs pour le système écologique qui nous permet de vivre.
    Ce modèle de société est fini, il est dans une impasse. Il subsiste pour l’instant, sous perfusion, grâce à l’exploitation forcenée des énergies fossiles, des métaux rares et de millions de travailleurs.
    Il est clair qu’il va finir à courte échéance et ça dépend de nous de savoir si il va finir dans des explosions sociales et le chaos, ou de façon plus noble et raisonnable ou soutenable.
    Si nous ne repensons pas ensemble nos modes des responsabilités politiques, économiques et de démocratie consensuelle – nous avancerons pas à pas vers des décennies de révoltes socio-économiques et de la permanence de l’état de crise environnementale. Et par conséquent, aucune condition sociale et écologique ne sera plus stable.
    L’idée est de développer le pouvoir de négociations et de responsabilités consensuelles entre citoyens, collectivités et entreprises sur différentes échelles locales. Nous sommes sur une planète limitée, il faut donc s’éduquer à l’auto-limitation écologique et cela doit imprégner toutes les structures locales, nationales , continentales et planétaires de nos sociétés. C’est un motif d’espoir extrêmement important car la société civile, si on lui en laisse l’opportunité, peut être très créatrice.
    Un changement de paradigme est nécessaire – il faut changer radicalement sa vision de la réalité ; car le modèle de société occidental n’est pas aménageable. Se mettre sur la voie du changement le plus vite possible est essentiel – il faut retrouver de la diversité culturelle, sociale, économique, écologique et sociétale.
    Par ailleurs, les alternatives doivent être accompagnées d’un changement de conscience individuelle et collective. Nos sociétés créent de l’insatisfaction artificielle, il nous faut donc combler un vide et cela doit bien entendu passer par la surconsommation. Mais c’est un “puits sans fond si l’on ne travaille pas sur notre intériorité” et sur ce qui nous est vraiment nécessaire dans la vie.
    Aller vers des sociétés matériellement frugales, écologiquement et économiquement soutenables, cela ne veut pas dire revenir à l’antiquité ou au moyen âge.
    Chacun de nous peut inventer le monde de demain et une civilisation plus humaine ou consensuelle. Cela passe par des mesures concrètes mais doit impérativement être accompagné par un renouvellement philosophique et un changement en profondeur de notre rapport à notre environnement urbain, rural et naturel sur différentes échelles.
    Ainsi, pourquoi et comment le pouvoir de négociations et de responsabilités consensuelles entre citoyens, collectivités et entreprises peut-il être applicable à toutes formes et mécanismes de sociétés et des démocraties nouvelles?
    De ce questionnement, le comportement individuel du citoyen peut-il devenir le facteur déterminant dans l’aptitude des humais à maîtriser l’évolution de leur environnement local et solidaire de l’environnement planétaire?
    La santé des écosystèmes urbains et ruraux est un des critères de choix du citoyen responsable de son environnement local et solidaire des enjeux du développement soutenable à l’échelle planétaire.
    Les citoyens responsables de leur environnement local et solidaire de la stabilité de l’environnement planétaire constituent un immense pouvoir politique de rénovation des sociétés actuelles et d’innovation des civilisations nouvelles.
    Ce nouveau pouvoir de négociations et de responsabilités consensuelles pourra certainement fonder des concepts, philosophies et des pratiques d’une nouvelle écocitoyenneté.
    La prise de conscience citoyenne devient indispensable pour se défendre intellectuellement, politiquement, économiquement, socialement et culturellement contre les fausses solutions écologiques – pour contribuer aux transformations nécessaires par l’action consensuelle et la responsabilité collective dans l’espace et le temps.

  7. COMMENT SASSOU NGUESSOU PAYE SES EMPLOYÉS : LES FONCTIONNAIRES CONGOLAIS.

    A la veille de la fête de l’indépendance du Congo, Sassou Nguessou Denis est allé dans un village situé pas trop loin d’oyo (ngolodois), dans la zone où il élève ses boeufs, accompagné de 6 personnes, prendre l’argent. L’un d’eux n’en croit pas à ses yeux à failli s’évanouir voyant autant d’argent entassé dans une chambre très bien construite. La maison est gardée. Il est peut-être le seul à détenir les clés tirant la leçon de l’argent volé il y a quelques années dans son palais chez lui à Oyo. L’argent mis dans les malles a été conduit à Oyo puis à l’aéroport direction Brazzaville. Les 6 personnes ont perçu chacune 2 millions de francs CFA comme frais de mission.
    J’écrivais il ya quelques jours que le Congo est une entreprise de Sassou et de son clan. A son départ il faudra déterrer les fausses tombes et défoncer des maisons pour récupérer l’argent caché. A tous, les houes et pelles pour la ruée vers l’or. Du jamais vu ni entendu parler dans aucun pays qu’ un chef d’État ait détourné tout l’argent de son pays pour le cacher à l’étranger ou dans les maisons et dans les fausses tombes autour de chez lui. Ce type est un diable qui a atomisé tout son peuple au point où personne ne bouge son petit doigt et n’ouvre sa gueule.

  8.  » Les conditions de succès de l’ambition de
    l’émergence d’ici 2025
    Cette vision affutée de l’avenir
    de notre pays est enchanteresse. Mais, sa concrétisation appelle les pouvoirs publics à la
    nécessité d’une refondation
    aussi bien de l’appareil de
    l’Etat, pour le rendre capable de
    gérer les changements structurels requis, mais aussi et surtout, de la gouvernance de la
    chose publique. Au risque de
    transformer cette ambition
    louable en un simple slogan.
    Parce que, osons le dire,
    l’émergence ne se décrète pas!
    Elle est l’aboutissement de la
    mise en œuvre des politiques
    publiques efficientes et soutenues, pour garantir la productivité des investissements publics colossaux qui sont, actuellement, consentis et qui
    sont soutenus par une embellie budgétaire exceptionnelle.
    Les lois des finances crèvent
    les plafonds: 3.004 milliards de
    francs Cfa, en 2011; 3.935 milliards de francs Cfa, en 2012 et
    4.116 milliards de francs Cfa,
    pour 2013. On parle même
    d’épargne budgétaire pour les
    générations futures. Il est crucial de les encadrer par des
    mécanismes de suivi et d’évaluation fiables et sans état
    d’âme. La présente réflexion
    est une contribution au débat
    ambiant. C’est aussi une interpellation à l’endroit du président de la République, sur la
    responsabilité historique qui
    est la sienne et sur la nécessité, pour lui, de transcender les
    clivages et les contingences
    idéologiques et politiques actuels. »
    Léon Juste IBOMBO, LA SEMAINE AFRICAINE N°3316 du Mardi 13 Août 2013 – PAGE 6
    OU EN SOMMES NOUS?

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