Vulnérabilité du statu quo de la situation financière du Congo

Disons-le, les pratiques actuelles de mise en commun des réserves des États membres de la CEMAC sont une source potentielle d’instabilité macroéconomique, à l’instar du Congo. Plusieurs États membres ne respectent pas pleinement l’obligation de cession.

Cette pratique, à la rigueur soutenable lorsque le prix du pétrole était supérieur à 100 dollars le baril et que le budget consolidé de la CEMAC était proche de l’équilibre, est devenue un risque majeur depuis l’effondrement du prix du pétrole, aussi bien pour d’autres pays de la CEMAC que le Congo.

Les marges de manœuvre budgétaire étant désormais limitées, les réserves de la BEAC ne sont plus considérées comme adéquates dans les projections actuelles, pour le cas du Congo, le journal les Dépêches de Brazzaville l’a bien mentionné cette semaine en parlant de l’effritement des réserves du Congo à la BEAC. Elles sont devenues inférieures au niveau requis pour défendre la parité de façon crédible dans des conditions défavorables. Le choc du prix du pétrole souligne l’absolue nécessité pour les pays membres de la CEMAC de respecter pleinement l’obligation de mise en commun des réserves. L’absence d’action et l’égarement de la politique budgétaire entraînent des risques et peuvent se révéler coûteux.

Bien que les États membres soient disposés à agir de manière concertée en cas de crise en offrant à la BEAC des avoirs en devises supplémentaires, il n’est pas certain que cette démarche débouche sur une solution mutuellement acceptable dans des délais suffisamment rapides. Même s’il existe une « clause de ratissage » permettant à la BEAC de mobiliser des réserves supplémentaires en cas de nécessité, celle-ci n’a jamais été testée et il n’est pas sûr que la BEAC puisse la faire appliquer.

Alors, le Congo de 2019 s’annonce suffoquant socialement, financièrement, et économiquement, au travail cher Gouvernants, ne laisser pas ce digne peuple Congolais qui ne demande que vivre décemment vivre l’apocalypse, trouvez-en les parades, le choc est inévitable sur le quotidien de vos semblables Congolais que nous sommes.

Audès D’acquin MOULOUMBOU                                                                                                                              Consultant en stratégies d’investissements – Spécialiste du marketing Management

3 thoughts on “Vulnérabilité du statu quo de la situation financière du Congo

  1. CHERS ENFANTS MAUDITS DU CONTINENT,

    Vous êtes encore là ? Allô ! Vous NOUS entendez ? Vous n’êtes pas SOURDS ? Vous respirez ? Vous êtes VIVANTS ? Vous arrivez à LEVER LE DOIGT DEVANT LE BLANC MAL ÉDUQUÉ ? Vous parlez ? Vous lisez les journaux ? Vos méninges fonctionnent-elles ? Vous avez disparu de nos radars. Dites-nous la vérité. Faites-vous encore partie de nous ou êtes-vous déjà AU PANANMA ? Répondez-nous, NOUS vous PRIONS ! Malgré votre méchanceté à notre égard, nous ne souhaitons pas qu’un malheur vous ARRIVE. Nous avons fini par vous accepter tel que vous êtes. « Le macaque ne trouve pas son enfant laid », disait mon grand-père.

    Allô ! Vous êtes encore là ? Vous avez le don de brouiller les pistes, de désavouer les prédictions des croque-morts. Vous êtes un peu fantôme, un peu épouvantail. Comment voulez-vous continuer de diriger les affaires du CONTINENT alors que vous êtes des IDIOTS ET DOUBLEMENT ESCLAVES ? Allô ! Dites quelque chose, MESSIEURS LES VULNÉRABLES ! Il est si long votre mutisme qu’il alimente les soupçons. Chacun y va de sa satire. Êtes-vous un FRANC-MAÇON ou un THURIFÉRAIRE qui refuse LA RÉALITÉ ? Faites signe de vie, je vous en prie ! Prévenez VOS ANCIENS PARENTS. Où êtes-vous PASSÉS ? Qu’êtes-vous DEVENUS ? Manifestez-vous. Si vous faites le mort, tant pis pour vous ! Mon papy disait : « Si quelqu’un fait semblant de mourir, il faut faire semblant de l’enterrer.»

    Allô ! Où êtes-vous, MESSIEURS LES VOLEURABLES SANS SCRUPULE? Le peuple AFRICAIN VEUT VOUS LUNCHER depuis des ANNÉES déjà. Vous êtes encore là ? Que faites-vous de vos jours et nuits ? Vous regardez-vous dans la glace ? Vous n’êtes plus que DES ROITELETS en fin de règne. De grâce, ne mourez PAS AVANT VOS MAÎTRES (sassou et les blancs mal éduqués)! Les vautours ont soif, les sangliers ont faim, les sauterelles sont en chaleur. Sortez par la porte ou la lucarne ou la cheminée car demain, si vous êtes encore là, vous risquerez d’ÊTRE PENDUS. « C’est lorsque l’eau est encore au niveau de la cheville qu’on doit quitter une rivière qui entre en crue », me prévenait mon papy, grand pêcheur de son époque.

    Allô ! Vous êtes encore en vie, MESSIEURS LES ESCLAVES VOLONTAIRES ? Toujours entouré de vos ouailles ? De vos PARENTS, de vos FEMMES, de vos ENFANTS, de votre horde de laquais et de majordomes ? Tous accrochés au TROU DU CUL DE sassou, comme des puces à une bourrique en agonie ! Que restera-t-il de votre règne quand vous aurez tiré votre révérence ? Un nuage de cendre, une clôture de barbelés, un nid de scorpions, des postillons, des pieds encrottés, des mains maculées de sang ? Voyez-vous, vous ne laisserez pas une image reluisante de vous. A cette allure, le peuple n’éprouvera pas du chagrin. Mon grand-père m’expliquait que « lorsque l’épervier meurt, la poule ne pleure pas. »

    Allô ! Avez-vous encore vos facultés auditives ? Si vous nous entendez encore, sachez que vous avez fait de l’AFRIQUE un amuse-galerie. DES RÉPUBLIQUES BANANIÈRES. Une ratatouille explosive. Un mélange de GAULLISME, DE POMPIDOUISME, DE GISCARDIME, DE MITTERANDISME, DE CHIRAQUISME, DE SARKHOZISME, DE HOLLANDISME, DE MACRONISME et de libéralisme sauvage, le tout cuit dans les lois liberticides. Vous avez excellé dans l’arbitraire. Les résultats de la politique qui est menée sous votre parrainage sont, à tout le moins, loin de répondre aux attentes légitimes des AFRICAINS. C’était prévisible parce que vous n’avez pas ni les qualités ni l’étoffe DES MEILLEURS FILS DE CE CONTINENT, malgré VOS APPARENCES. « Tous les tambours ne donnent pas un bon son », disait mon papy.

    Vous avez accompli, dans ce CONTINENT, ce que vous pensiez être le plus indiqué, en fonction de VOS INTELLIGENCES. Vos choix politiques, votre vision et votre conduite auront marqué négativement le CONTINENT. L’histoire jugera de leurs conséquences. En retour, Le CONTINENT vous aura SUPPORTÉ, EN ESSAYANT DE BRONCHER, durant PLUSIEURS DÉCENNIES. Mais, dans la vie, tout a une fin. NOUS ESPÉRONS QUE le moment est donc venu de rendre AU CONTINENT ce qui lui appartient. «Le crapaud et tout ce qui est dans son ventre appartiennent au martin-pêcheur », disait mon papy, grand ornithologue de son époque.

    UNE BONNE ÉDUCATION EST raisonnablement suffisante pour qu’un homme accomplisse son œuvre et satisfasse ses ambitions. Allô ! Vous NOUS entendez ? Votre NIVEAU D’INTELLIGENCE, vous commande de ne plus vous occuper des charges de l’Etat bien trop lourdes. A n’en pas douter, votre retour aux affaires après la dégradation de VOS CERVEAUX, serait un calvaire pour vous et pour le CONTINENT. C’est donc en toute conscience que nous vous interpellons en faveur de la seule et unique décision qui puisse ouvrir une ère nouvelle pour le CONTINENT, où l’intérêt général sera mis au-dessus de l’intérêt des hommes : votre renoncement au pouvoir. Mon grand-père disait : « Qui refuse de traverser la rivière ne se noie pas. »

    MESSIEURS, vous êtes encore là ? Allô ! Vous NOUS recevez ? Si vous êtes encore de ce monde, refusez de suivre la déraison, les peurs et les instincts égoïstes de ceux qui vous entourent. Ouvrez la voie à VOTRE EXIL EXTRA TERRESTRE. Le CONTINENT attend de vous cette sage décision. C’est à cette seule condition que le CONTINENT renouera avec l’espoir et s’engagera alors dans une transition pour construire des institutions légitimes et solides. C’est le préalable pour ériger l’Etat de droit et la démocratie, seul objectif à même d’assurer la paix et la prospérité pour les générations à venir. Allô ! Vous êtes toujours là ? Ecoutez nos conseils, il EST trop tard. « Qui refuse d’écouter les vivants entendra la voix des morts », aimait à dire mon aïeul, grand oracle de son époque.

    INSPIRÉ DU TEXTE DE Jonas MOULENDA

  2. Chers compatriotes,

    Je reviens à la charge. Notre discours vis-à-vis du régime de Sassou Nguesso Denis doit devenir de plus en plus concis et clair. Appelons le chien par le chien et le chat par le chat…

    Nous voulons le départ immédiat de ce régime. Et par tous les moyens…

    La léthargie et l’inertie artificielles imposées par force au peuple congolais par le régime totalitaire de Sassou ne peuvent plus être acceptées. Il n’existe aucune raison que la vie publique des congolais puisse passer au ralenti depuis l’année 2014 sous la seule volonté d’un individu.

    Le Congo est un pays riche, mais mal gouverné. La richesse du Congo ne se limite pas seulement sur les ressources dont regorge son sous-sol, mais aussi des différents fils et filles congolais diplômés, hautement qualifiés et formés dans des grandes écoles de travers le monde. Leur seul handicap : la maladresse d’être né dans une ethnie qui ne soit pas au pouvoir.

    En rappel, le repli identitaire ethnique dont se réclament certains congolais est une question dérisoire privée que chacun doit se faire désormais dans son for intérieur. Nous donnerons au Congo de demain un instrument efficace pour éradiquer cette sottise nationale. J’y reviendrai prochainement.

    Lorsque je m’adresse à vous, chers compatriotes, je vous parle ici de la nation congolaise. La nation ‘Congo’ est une valeur irrévocablement et supérieure à une considération ethnique. Tous les congolais qui ont confondu l’appartenance ethnique à une structure pouvant se substituer en une forme d’autorité étatique à la congolaise seront tous poursuivis et châtiés sans exception.

    La réappropriation de la souveraineté de notre pays des mains de ce régime devient un paradigme sans équivoque.

    Le discours doit être désormais clair et les personnes se sentant concernées doivent se récuser d’eux-mêmes. Nous les connaissons.
    Le Congo ne doit plus vivre sous la dictée d’une philosophie de gouvernance d’un autre âge. Le racolage des vertus folkloriques préfabriquées d’un village mélangé avec certaines notions barbares de conservation de pouvoir ne peut pas rendre ce régime républicain. Il n’a pas pu réussir à le faire depuis 1997 jusqu’ aujourd’hui Décembre 2018.

    L’indépendance du Congo de 1960 a été confisquée par un groupe de voyous. Ceci est désormais inadmissible !

    Le Congo notre pays a reculé de 50 ans et j’en suis furieux.

    Le peuple congolais doit se lever. Je mets en garde tout congolais, qui voudra privilégier son appartenance ethnique au détriment de la patrie « CONGO ». Nous n’avons que ce Congo et c’est à nous de le sauver.

    Vive le Congo

    Kassava de Tsibakala

Laisser un commentaire