2013-2017 : Documentaire sur l’œuvre littéraire de Michel Innocent Peya [Vidéo]

Cinq ans déjà que Michel Innocent Peya s’adonne à la littérature, avec des thématiques dont la profondeur interpelle ses contemporains.

Depuis la parution du livre « Entre le bon sens et l’Alternance absolue, l’Afrique à la croisée des chemins », jusqu’au tout récent, « Vision verte de Denis Sassou Nguesso… », l’homme a de par ses écrits, bousculé parfois des codes désuets, ou alerté sur des évidences qui appellent à l’urgence, notamment sur la démocratie à l’africaine ou le climat, au point d’incarner un engagement littéraire nouveau au service de l’humain.

Désormais, les écrits de Michel Innocent Peya ont un réel impact aux quatre coins du globe, faisant de l’écrivain, un globe-trotter, car il est sollicité de partout où ses combats littéraires ont un réel impact.

5 thoughts on “2013-2017 : Documentaire sur l’œuvre littéraire de Michel Innocent Peya [Vidéo]

  1. Sincèrement, quelle moralité le propriétaire de ce site veut toujours faire valoir en publiant les papiers de ce Peya? Est-ce vraiment la ligne d’édition de ce journal en ligne?
    A t-il un seul instant pensé que le contingent des lecteurs, abonnés et intervenants sur ce site est constitué des gens anti-PCT et a la fois anti-sassou?
    Et si la mangeoire de sassou passe aussi par ce site, le sait-on?
    Pour une façon de respecter et chérir son public, Zenga-Mambu « excelle ».
    Allez comprendre pourquoi la jeunesse congolaise n’avance pas avec ces genres de tenues rétrogrades et qui ne lui font pas honneur.

  2. Malgré ma curiosité littéraire, je n’ai jamais eu le courage de lire une seule œuvre de ce monsieur. Par respect pour l’auteur qui est régulièrement critiqué, par amitié pour Laurent qui mène un travail de titan à travers ce site, je me suis fait violence et ai écouté une partie de ce ‘’documentaire’’ panégyrique. J’ai expédié le temps qui y a été consacré (1h 21 min) en moins de 10 minutes. C’est dire que j’ai surzappé cette bande sonore insipide. C’était laborieux et révoltant. Je n’aurai pas l’indécence de livrer l’indigence de ce que j’ai pu glaner. Un mot résume le tout : lamentable.

    Un petit conseil à l’auteur, qu’il décode le langage corporel des auditeurs attirés dans les salles certainement à coups d’espèces sonnantes et trébuchantes. Ils se moquent tous royalement de l’orateur en se demandant ce qu’ils sont allés faire dans cette galère. Mais que ne ferait-on pas pour glaner les pétrocfa du Congo ? Essayer de nous vendre en plein XXIème siècle des Etat-termitières d’Afrique dont les reines-mères (et pourquoi pas les rois-pères) seraient garants à vie de la stabilité est tout simplement une injure à notre intelligence collective. Et à la mort du roi-père, qui de mieux que le roi-fils pour assurer le bonheur des populations éperdument reconnaissantes ? La ficelle est tellement grosse, mais le filon tellement payeur que personne n’y résiste. Quand la médiocrité atteint ces sommets, on se demande ce que nous avons fait au bon Dieu pour la mériter et tomber si bas.

    A la décharge de Zenga Mambu, il faut reconnaître le droit à la liberté d’expression et donc d’exposition. L’auteur a dû payer comme il le fait gracieusement à travers la planète pour placer cette publicité de son chef-d’œuvre littéraire. Même France 24 et la COP 21 sont passés à la soupe. Pourquoi pas si cela se fait dans les règles de l’art mercantile de ce monde ? N’oublions pas que ce site doit vivre pour pouvoir continuer à nous informer. Espérons tout simplement que ce cauchemar prenne fin le plus vite possible. Souhaitons à l’auteur de continuer son œuvre avec la même ferveur pour pérenniser la pensée de son conducator après que ce dernier aura quitté la tête du pays et laissé à d’autres la caisse de la termitière. Espérons surtout que le roi-père ne cédera pas la place au roi-fils. L’affront serait tout simplement insupportable.

  3. Si PEYA pouvait « écrire » sans mettre en avant le nom du dictateur SASSOU-NGUESSO, peut-être que le lecteur s’attarderait-il un peu.
    Il n y a pas de différence entre les chanteurs Congolais qui lancent leur « mabanga » en faveur d’hommes politiques tordus et PEYA qui respire, pète, rote et chie SASSOU-NGUESSO. Les premiers ne chantent pas leur art et le dernier n’écrit pas son talent. C’est LAMENTABLE !

  4. Ceci est une pure escroquerie à laquelle Peya se livre..Solidarité avant avec les victimes innocentes de la guerre du Pool orchestrée par le criminel, génocidaire, président illégal Sassou Nguesso et sa clique. Sassou Nguesso qui avait toujours dit qu’il n’ y avait de crise dans le Pool, reconnait aujourd’hui la souffrance des populations du Pool, des enfants du pool qui ne vont plus à l’école depuis des années .Que le monde entier sache définitivement à quel point le tyran génocidaire Sassou Nguesso se moque du monde, est manipulateur et est dangereux.
    Ntoumi et ses combattants qui , avec des moyens de bord ont opposé une résistance très courageuse au dictateur qui a déclenché le génocide avec ses hélicoptères, ses mercenaires et milice tribale, sont à félicités. Que l’ONU, la communauté internationale pour donner au dialogue un sens, n’a qu’à envoyer au pool des missions d’observation dans le Pool pour faire le bilan du dégat humain et matériels. Il faut dresser une liste totale des villages, localités rasées par les bombardements incessants des hélicoptères et forces armées barbares de Sassou Nguesso et son régime sanguinaire.
    Sassou Nguesso doit s’expliquer sur les vérités longtemps dissimulées. Il est temps qu’il s’explique sur la guerre de 1997, le premier génocide du Pool( 1998 – 2004) ; ce 2e génocide depuis avril 2016, sur l’affaire des disparus du Beach, sur l’affaire d’explosion de Mpila et toute l’affaire de Ntourou, celui des prisonniers politique au Congo, des enlèvements, disparitions forcées, détournement des deniers publics et celui de la dette actuelle du Congo, de la crise économique, financière.
    Aussi longtemps que le tyran génocidaire Sassou Nguesso ,le clan Sassou et son PCT resteront au pouvoir au Congo, rien de bon n’est possible pour le Congolais. Il est temps que l’impunité cesse au Congo. Sassou Nguesso et sa clique » qui ne cessent d’instrumentaliser l’Etat, répondent enfin de leurs actes de barbarie, m de corruption, de haute trahison et des crimes contre l’humanité. »
    .

Laisser un commentaire