Fantasmagories et mythomanie d’un despote : Sassou Nguesso face à France 24

Sans craindre de choquer, Sassou-Nguesso a, une fois de plus, au cours de l’interview accordée à France 24 et RFI ce 7 mai, répondu de façon détonante aux questions qui lui étaient posées, mêlant,  de façon crue et surréaliste, mensonges et cynisme. De quoi s’interroger sur son récidivisme, sa désinvolture et sa méchanceté face à ses compatriotes…

Il restera, aux psychanalystes et autres formations proches, à expliquer qu’est-ce qui peut pousser, en pleine journée et à une heure de grande écoute, un homme au pouvoir depuis trente-cinq ans cumulés, mais aussi plus de cinquante fois père, et grand-père plus du double de cela, despote assumé soit-il, à débiter sereinement une longue série de faussetés immédiatement vérifiables devant une chaîne de télévision internationale, France 24 !

Certes, on connaît la célèbre formule selon laquelle, « Pour emporter l’adhésion des masses, il faut leur dire les choses les plus stupides et les plus crues » (A. Hitler) et, Sassou-Nguesso qui s’y connaît et s’y retrouve certainement, n’en est pas à son premier usage de cette morbide philosophie dans sa longue, grossière et calamiteuse carrière politique. Certes encore, il n’est pas à sa première indécence face à la même chaîne, puisque le 8 avril 2013 notamment, après sa sortie d’une réception par François Hollande, et interviewé par feu Jean-Karim Fall, il assumera, avec une innocence désarçonnante, le trafic d’influence à ce haut niveau, en reconnaissant explicitement qu’il avait re-posé au président français, après l’avoir fait au précédent sommet de la francophonie à Kinshasa en octobre 2012, son problème des « Biens mal acquis » (notre réflexion : « L’indécence d’État ou l’État honteux validé« , Mediapart, avril 2013). Certes enfin, Robert Dussey nous rappelait et avertissait en 2008, moult démonstrations à l’appui, pourquoi « L’Afrique malade de ses hommes politiques » (Picollec, 2008), de leur incompétence, inconscience, irresponsabilité et incuries diverses, se retrouve. ..au fond du trou ! Tout de même, il était permis de penser, de croire que face au contexte sanitaire mondial singulièrement préoccupant  du moment, qui exige un sérieux particulier de tous les dirigeants, et à moins d’une année de son nouveau face-à-face factice avec les Congolais pour s’auto-valider encore président, comme en 2002, 2009 et 2016, il mettrait un peu plus de manière et de délicatesse à ses interventions. Rien n’y a été, démontrant par là-même que ces paramètres sont loin, ou plutôt absentes de ses préoccupations puisque, de toute façon, ni ses ambitions fondamentales, ni sa propulsion sauvage et criminelle au pouvoir en 1979 et 1997 n’en dépendent.

Dans la quasi-totalité des questions à lui posées par les journalistes de France24 et RFI ce 7 mai donc, et sur les questions nationales, Sassou-Nguesso confirme ce qu’il a toujours été tout au long de sa carrière, dans la gestion de la chose politique : user de tous les mensonges pour duper, convaincu que la majorité de ceux qui l’écoutent n’ont pas le fil de ses stratégies pourtant constantes. Et que si certains peuvent douter de certaines de ses affirmations, de la même façon qu’ils le peuvent de certaines accusations, ils ne disposent pas d’arguments pour l’accabler ou se faire une vraie conviction. Ainsi, le tour est joué.

Alors que ce pays, englué dans une corruption massive chronique et le pillage industrialisé et décomplexé de ses ressources, principalement par la famille et les proches du régime, est plongé dans une indiscutable récession qui ne dit pas son nom depuis plusieurs années, le Congo a néanmoins été débarqué de l’aide pro-covid-19 par le FMI, dans sa première liste des 25 bénéficiaires dont 19 sont africains, le 14 avril, pour des raisons évidentes (notre réflexion : « FMI-Congo-Brazzaville : le gouvernement confirme évidemment sa percée vers Mpemba », in Mediapart, 8 novembre 2019). Interrogé à ce propos par les journalistes, le guide congolais répond, de la manière la plus sérieuse, que « Nous sommes en rapport constant avec le FMI … qui ré-approuvera la demande d’urgence que nous avons formulé, …qui peut aller entre 300, 400 ou 500 millions de dollars » ! Rapport, ou négociation constante en effet, qui dure depuis presque cinq ans ! De telle sorte que, lorsque à la surprise générale, le FMI a néanmoins décidé d’approuver un accord triennal de 448,6 millions de dollars le 11 juillet dernier, au titre de sa facilité élargie de crédit (FEC), avec un décaissement immédiat de 44,9 millions, pour lui permettre de « rétablir la stabilité macroéconomique, y compris la viabilité de la dette, et à jeter les bases d’une croissance plus élevée et plus inclusive » (Rapport du FMI), la première revue semestrielle, en novembre de la même année, fut le constat d’une catastrophe à peine voilée : faisant la revue et le point des défaillances, les représentants de l’institution, amers, concluront que « Lorsque les autorités auront mis en œuvre ces mesures, la mission soumettra à l’analyse du Conseil d’administration un rapport en appui à la demande de la République du Congo pour l’achèvement de la première revue du programme ». Partant, ils suspendront le second versement qui était prévu. La visite suivante, de février 2020, confirmera encore l’impasse, avec toutefois, comme d’habitude, un discours courtois. Sans aucun versement toujours.

Comprendra qui voudra alors, quand l’incompétent de tous les temps affirme auprès des journalistes que « nous avons confiance, le monde a connu cette situation grave dans le passé, les économies du monde répondront, le pétrole aussi remontera ses prix et nous ne croyons pas à un effondrement de l’économie congolaise » ! Un leitmotiv du dirigeant congolais, à chaque message à la nation, en fin d’année, depuis quatre ans, mais aussi lors de son premier séjour au pouvoir entre 1979 et 1992, où les recettes massives et sans précédent jusqu’alors, liées au pétrole, contribueront au contraire à la récession du pays au milieu des années 1980, à cause de « la chute brutale et conjuguée du prix du baril du pétrole et du dollar » exclusivement selon lui, sans réussir à répondre aux exigences du FMI avec lequel le pays s’était approché et accordé, et surtout sans qu’il n’en tire les leçons. De cette situation des années 80, où il avait fait de son pays de quelques trois millions d’habitants alors, l’un des plus endettés au monde, jusqu’à consommer et hypothéquer par anticipation les recettes pétrolières pour les cinq années suivantes, il avouera, cinq ans après, au printemps 1997, dans la perspective certaine de berner ses compatriotes qu’il avait tiré les leçons, et surtout de reconquête criminelle du pouvoir, que : « J’ai vécu ce terrible choc comme un drame personnel » (Sassou-Nguesso, Le manguier, le fleuve et la souris, JC Lattès, 1997, p.55).

Comme si cela ne suffisait pas, à la question du journaliste relative au détournement des fonds sur 69 projets de santé, qui est un secret de polichinelle pour tous les Congolais, puisqu’il ne se passe pas un petit trimestre sans qu’il ne soit fait état par les ONG habituels, mais aussi par les associations civiles locales, de détournements massifs dont, entre de dizaines d’autres, l’acquisition par la petite fille du dictateur à peine sortie de l’adolescence, d’un appartement de 7 millions de dollars à la Trump Tower à New-York (cf. notamment L’Obs, 10 avril 2019), sans jamais que les institutions de contrôle (Assemblée et justice notamment) ne réagissent de quelque manière, le dictateur répond une fois de plus, sans rire que : « Tout ceci est faux, aucun sou n’a été détourné. Nous avons programmé la construction de près de 14 hôpitaux, 12 pour les départements, un hôpital central des Armées, l’hôpital Mère-enfant qui est terminé et en fonctionnement, les autres sont à peu-près à 75 pour cent… » ! Peu de Congolais ont certainement réussi à éviter le tournis, en entendant que la principale Maternité de Brazzaville, de plus d’une quarantaine d’années, produit de la Coopération russo-congolaise, dite Blanche Gomez, située à moins d’un kilomètre de l’aéroport et au bord de l’avenue qui y mène, pour avoir changé de nom et été réhabilitée parce que usée par le temps faute d’entretien, est une nouvelle construction « terminée et en fonctionnement » ! On lui reconnaîtra toutefois le droit au lapsus à propos des douze hôpitaux départementaux, qu’il a dû confondre avec ses douze palais présidentiels départementaux et modernes, qui eux sont évidemment réellement terminés, puisque les projets hospitaliers eux, du même nombre, à peine au niveau des fondations ou des murs pour les plus avancés, sont depuis envahis par la petite savane, et ont rejoint le nombre immense des éléphants blancs, sur l’ensemble du territoire, objets des ricanements des Congolais ! C’est au moins cela de gagné, dans un pays où sévissent la tristesse et la misère, et où prospèrent les entreprises de pompes funèbres, au point que le maire de la capitale jusqu’à peu, Christian Okemba, a pu clamer, tranquillement en décembre dernier, « La morgue, poumon de la Mairie» ! (cf pour le détail, « La morgue, poumon de la Mairie… », par Ouabari Mariotti, in Dac-presse, 11 décembre 2019)

Des prisonniers politiques, un corollaire constant de la dictature dans l’histoire politique postcoloniale congolaise (notre réflexion : « l’épisode Mokoko, une bien ordinaire et prévisible ‘sassoulerie’ politico-judiciaire », in Mediapart, 5 juin 2018), et principalement de l’ancien chef d’état major général et homme politique, Jean Marie Michel Mokoko et Okombi Salissa, tous les deux anciens candidats à la rocambolesque présidentielle de 2016, mais aussi proches de lui avant et membres de son parti, avant qu’ils ne s’émancipent, de façon surréaliste une fois de plus, il répond au journaliste qui l’interroge que « Les personnes que vous citez ne sont pas en prison parce que ce sont des personnalités politiques…ils ont été poursuivis et mis en prison pour des faits de droit commun.. », sans évidemment faire état desdits délits de droit commun, puisque inexistants comme tels!

Enfin, des intellectuels cités par le journaliste pour la leçon donnée aux dirigeants africains afin qu’ils se ressaisissent et prennent conscience des enjeux à l’occasion de la pandémie, le despote congolais a la réplique classique, quand ce ne sont pas ceux de son pays principalement qu’il a réussi à hisser en mercenaires contre leur propre pays, en disant : « Je ne sais pas s’ils sont en contact avec le continent » ! Les nouvelles technologies, qui font du monde entier désormais « un petit village » selon l’opinion de tous ou presque, et qui permettent aux Congolais mais aussi à toutes les populations du monde, de savoir ou de s’informer à la minute près de ce qui se passe dans n’importe quel recoin, constituent une vaste illusion, selon lui !

Le projet de se faire succéder par son fils qui, fidèle à son père, depuis, caracole dans plusieurs affaires de corruption, se trouve à la tête d’un empire de pillage, est cité dans plusieurs affaires de blanchiment et de ‘Biens mal acquis’, autre secret de polichinelle pour les Congolais, est balayé d’un revers de la main : « C’est de la légende » ! Parole de celui qui, au lendemain des terribles événements du 5 juin 1997 qui ne firent pas moins de dix mille morts de l’avis de tous, face aux accusations de coup d’État du pouvoir en place, opposait : « On m’accuse d’avoir voulu faire un coup d’État. C’est absurde ! …Le but n’est pas la prise du pouvoir» (Libération, 10 juin 1997, page 7), avant de s’exclamer quelques trois jours plus tard, « Nous avons conquis la moitié de la capitale, et demain nous atteindrons la présidence de la République ! », puis de s’autoproclamer président quatre mois après, le 24 octobre 1997, mais de continuer à proclamer tout de même qu’ « il n’y a pas eu de coup d’État au Congo » ! (Jeune-Afrique Économie et Le Nouvel Afrique Asie, juillet-août 2001)

Celui qui reconnaît et écrit que « Mon pays est beau, il regorge de ressources, il est peuplé d’hommes et de femmes pleins de talents, d’énergie et de sagesse… Il possède tout, le soleil, une terre féconde, de l’eau à profusion, des richesses naturelles... » (Sassou-Nguesso, Le manguier...cité, page 17), n’a aucun état d’âme face au fait qu’après trente-cinq ans cumulés au pouvoir, l’eau dont il fait état et vante, coule en permanence partout sauf dans les robinets, tout en ayant le deuxième plus grand fleuve du monde ; que près de soixante pour cent d’une population de moins de cinq millions vive en permanence sous le seuil de la pauvreté selon toutes les institutions habilitées ; que près de soixante-dix pour cent de celle-ci vive de la débrouille dans l’informel, que les revenus à caractère social (bourses et pensions de retraite notamment) traînent plus de vingt mois de retard,  que le système éducatif soit parmi les derniers du monde, que le pays soit encore endetté jusqu’au cou comme en 1992 quand il l’avait quitté par les urnes, avant de le reconquérir avec le soutien des forces financières et armées étrangères ; que le pays face au Covid-19, ne dispose que de vingt lits de réanimation et dix respirateurs, selon le journal Jeune Afrique, et d’autres sources ! Sans qu’il ne se gêne de faire état de « l’aide en direction des populations les plus démunies, et nous pensons que nous prendrons toutes les mesures pour soutenir notre peuple dans cette situation difficile, et nous l’avons toujours fait dans le passé » !

Comble du mensonge, alors que parmi les points d’achoppement de la mission de contrôle du FMI et le gouvernement en novembre 2019, se trouvaient la non-concrétisation « des mesures et dispositions adéquates en faveur des couches de population les plus vulnérables » et le détournement à d’autres fins des crédits mis à disposition en faveur du secteur privé pour relancer l’économie, le dirigeant congolais affirme aujourd’hui que « Nous avons pris une série de mesures,…un fonds de solidarité de 100 milliards de cfa (soit 150 millions d’euros) pour soutenir les entreprises en difficulté et le secteur informel… » ! Sans doute un appât pour gagner le gros lot, puisqu’il demande « 300, 400 ou 500 millions de dollars » ! Cela est manifestement incongru dans la mesure où avant la crise du covid-19 et la dégringolade du baril du pétrole, le gouvernement congolais n’avait pu satisfaire cette exigence, et qu’il le soit en période plus aggravée, sauf en jouant encore de la dette et des prêteurs cachés, autre reproche du FMI !

Au total, ce qu’aura réussi Sassou-Nguesso dans cette interview, c’est à peindre, à confirmer un profil très présent auprès des despotes, celui de mythomane. Très peu cependant le réussissent à la perfection, comme il l’a fait en l’occurrence…

Félix BANKOUNDA MPELE (Source Mediapart, 12 mai 2020)

11 thoughts on “Fantasmagories et mythomanie d’un despote : Sassou Nguesso face à France 24

  1. UN IDIOT (sassou), C’EST CELUI QUI N’ARRÊTE PAS DE FAIRE CE QUI NE MARCHE PAS.
    NE DEMANDEZ PAS À CET IDIOT (de sassou) DE VOUS DIRE LA VÉRITÉ.
    C’EST UN IDIOT (sassou) QUE LES BLANCS MAL ÉDUQUÉS ADORENT CARESSER.

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  4. C’est le mythomane en chef du Congo , malade ,depuis des lustres ,il avait echappé ,dés son enfance aux radars des psychologues Congo!ais .
    Mentir à soi – même est un des signes cliniques de la folie sénile dont les effets se font voir ,au jour le jour .
    Voilà un Erasmien ,elogeur de la folie .

  5. AU QUOTIDIEN, UN ACTE FACHISTE ET RACISTE ANTI-AFRICAIN EN ASIE, AMÉRIQUE, EUROPE ET AU MOYEN-ORIENT = 100 ACTES TRIBALISTES ET XÉNOPHOBES ENTRE AFRICAINS EN AFRIQUE ET AILLEURS DANS LE MONDE. L’homme Africain peut être intelligent, riche et au pouvoir ou non ailleurs dans le monde ; mais tant que l’Afrique ne sera pas débout, l’africain ne sera jamais respecté hors du continent.
    L’enjeu de libérer l’Afrique est de la libérer d’abord de ses ennemis de l’intérieur ; puis changer les mentalités, habitudes et comportements africains qui nuisent gravement à l’évolution du continent noir.
    Enfin, l’enjeu de libérer l’Afrique est celui de la respectabilité interraciale des africains partout le monde.
    POURQUOI ET COMMENT SASSOU NGUESSO PEUT-IL LIBÉRER A TOUT INSTANT J3M MOKOKO ET OKOMBI SALISSA? https://www.youtube.com/watch?v=Cxupwm0TJT4

  6. Mes chers Compatriotes , ma faiblesse congénitale c’est que je vois toujours avant les autres .parfois je vois ce que les autres ne voient pas …..j’ai regardé cette émission de France 24 , je vous fait remarquer la pertinence des questions posées ,la manière , la tonalité …… Je dis sans risque de me tromper , ces préoccupations venaient de loin , pas des journalistes présents à la télé ce jour là.
    Ce sont des questions qui reflétaient l’avenir politique du Congo .
    – la question sur la libération du général MOKOKO et d’ OKOMBI ….Le journaliste termine par ah!!! bon , il bloque ses lèvres et baisse la tête , je me suis fait une idée …. ,Ils envoient toujours les journalistes te faire parler, t’écouter , tâter le terrain …..
    BANZOUZI Guy-Macaire
    Président des Amis du cdt KIGANGA Pierre (AKP ).

  7. Denis Sassou Nguesso continue a nous racontè la politique des Traders. Il continue à dormir.
    Un Trader peut gestionner le portefeuille du producteur et le trainer dans toute genre direction macabre comme un esclave arracher de ses propres droits.

    La mission d`un Trader c`est de se faire des bènèfices avec de l`argent il ou elle à mis a la disposition. Le concept des Traders c`est des valeurs èconomique dètenus par eux même. Un pays qui pratique la politique des Traders comme leur economie principale, c est un pays qui a mis toute la nation en danger de pauvretè èconomique et ce pays manque de dignitè pour sa propre politique monètaire.

    Un pays qui est à zèro.

  8. On lui demande si le pays peut devenir en etat de collapse sur le plan èconomique, il dit non, mais en même temps c`est le même Denis Sassou Nguesso qui est entrain de mettre en pratique une politique des Traders qui sera un vide quand la gestion des Traders sera inactif. C`est bien une rèalitè de collapse.

    Mais Denis Sassou Nguesso ne comprend pas cela.

  9. À L’IMAGE DE thiery moungala, QUI MENT 24/24, L’IDIOT sassou EST DANS SON ÉLÉMENT LORQU’IL EST EN FACE DES JOURNALISTES MAL EDUQUÉS OU MAL CONDITIONNÉ.

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