L’ARPCE se mobilise pour la gestion des fréquences en Afrique

Le directeur des Ressources en fréquence à l’Agence de régulation des postes et communications électroniques (ARPCE), Benjamin Mouandza a indiqué le 4 octobre à Brazzaville que les experts en gestion de fréquences des pays d’Afrique francophone ont été dotés d’outils efficients pour mieux gérer le spectre de fréquences radioélectriques.

Après cinq jours d’échange et d’apprentissage, vous vous êtes familiarisés aux différentes facilités offertes par le logiciel SMS4DC de l’Union international des télécommunications (UIT) dédié aux pays en développement et d’avoir compris l’importance de la notification des assignations de fréquences », a souligné Benjamin Mouandza, lors de la clôture du séminaire de formation sur la notification des assignations de fréquences et le logiciel dédié à la gestion des fréquences dans les pays en développement.

La cheffe de bureau gestion des demandes de fréquences à l’ARPCE, Chynauldat Bangue a fait savoir que la notification des assignations de fréquences permettait aux pays d’enregistrer dans le fichier international les fréquences attribuées et du coup peuvent consulter ce fichier pour être informé des fréquences déjà attribuées. « Si les enseignements de cette formation sont mis en application, nous n’assisterons plus aux brouillages et aux interférences », a-t-elle notifié.

« Le logiciel SMS4DC permet de mettre les limites aux différentes fréquences attribuées par les différents pays. C’est un logiciel que l’UIT a conçu uniquement pour les pays en développement qui n’ont pas de moyens financiers pour acheter les logiciels performants qui leur permet de gérer leurs fréquences », a poursuivi Chynauldat Bangue.

Au total 50 participants de 15 pays africains ont participé à séminaire de formation. Ces derniers ont été invités à l’appropriation de l’utilisation régulière de ce nouveau logiciel dans leurs différentes institutions.

Jean Chrysostome NDZIONA

5 thoughts on “L’ARPCE se mobilise pour la gestion des fréquences en Afrique

  1. Les perturbateurs biologiques, surconsommation, environnement, santé humaine, culture consumériste, sociétés et civilisations nouvelles !
    Les perturbateurs biologiques sont des agents qui paraissent influer (ou « perturber ») sur le fonctionnement des cellules de notre organisme.

    Présumé coupables: faux médicaments, amiante, additifs alimentaires, Dioxine, Pesticides, herbicides, PCB, Bisphénol A, formaldéhyde, Phtalates, Benzène, Métaux lourds, Radio-éléments (rayonnement bêta et gamma), Radiofréquences (ondes électromagnétiques), l’abus des médicaments, Rayons ultra-violets…

    Il semble que les perturbateurs biologiques (endocriniens ou cancérologiques) ayant un effet négatif sur la santé ou l’environnement proviennent notamment de l’exposition aux produits de synthèses et chimiques fabriqués par l’homme.
    Ils provoquent, entre autres, des troubles de reproduction et de développement ainsi que certains cancers. Les cas de troubles de reproduction sont bien documentés chez de nombreuses espèces. On a par exemple constaté la masculinisation des mollusques marins femelles.

    Les perturbateurs biologiques créent une instabilité génétique (avec dérèglement de mécanismes cellulaires fondamentaux, dont le contrôle du cycle cellulaire de la réplication ou la réparation de l’ADN protégés par des points de contrôle dont la cellule tumorale ne tient pas compte) – je parle ici des altérations épigénétiques (qui sans toucher directement l’intégrité des gènes modifient leur fonctionnement) – Isidore AYA TONGA.
    La prévention des cancers dépend pour l’essentiel de nos modes de production, de consommation et de nos rejets dans l’environnement -Isidore AYA TONGA…
    Des prédispositions génétiques sont à étudier sur une lignée individuelle et familiale au cas échéant.

    Par Isidore AYA TONGA, philosophe naturaliste et scientifique environnementaliste, Paris, France ! http://congo-objectif2050.over-blog.com/les-perturbateurs-biologiques-consommation-environnement-et-sant%C3%A9-humaine

  2. Au fait, combien gagnent nos amis de l’ARCPE ? Un petit tour d’inspection y vaudrait un peu la peine. Non?
    Mr CASTANOU devrait déclarer en premier son patrimoine, en bon Pasteur qu’il est. Pas vrai ?

  3. ARCPE:
    – gros contributeur de l’appareil sécuritaire de la dictature congolaise(systèmes d’écoutes et de décryptage)
    – cet organisme à toute sa place s’il y avait un cadre juridique qui encadre le pouvoir de cet organisme sur l’utilisation des moyens de surveillance des réseaux.
    – Dans une dictature, cela devient une arme incompatible avec la liberté à laquelle le peuple congolais a droit.

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